Ma première année d'internat (15 et fin)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
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Récit libertin : Ma première année d'internat (15 et fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma première année d'internat (15 et fin)
Chapitre 15

Il resta près de moi à discuter, m’embrasser de temps en temps jusqu’à 22h pour l’extinction des feux et là, c’est moi qui l’embrassai mais pas un petit baiser, un baiser qui voulait dire j’ai envie de toi là tout de suite. Je me suis allongé sur mon lit en l’entraînant avec moi. Je lui ai retiré sa serviette que j’ai fait voler au sol. Il était déjà en érection. Il retira mon caleçon et mon haut qu’il fit voler lui aussi dans la chambre. Je me suis relevé pour venir me mettre entre ses cuisses et prendre sa queue qui me manquait dans la bouche. Je l’ai sucé longuement puis lui ai fait ma meilleure gorge profonde. Il me stoppa car il allait jouir trop vite sinon puis je me suis à nouveau allongé vers lui. Nous nous sommes caressés tout en nous regardant. Il n’y avait pas de paroles. Tout se jouait dans notre regard. Il continua ses caresses en me titillant mon trou. Il me demanda avant si j’en avais envie et je lui dis oui que j’ai toujours eu envie de lui. Il me doigta tout en douceur puis il me mit sur le côté et se colla dans mon dos. Il appuya son gland à l’entrée de ma rosette puis l’inséra doucement. J’avais envie de lui si fort que je reculais mon cul d’un coup pour qu’il soit en moi très vite. Il releva un peu sa jambe et commença à me mettre des coups de reins tout en m’embrassant dans le cou. C’était intense et magique. Ces derniers moi sans le sentir près de moi ont été tellement longs que je trouvais ce moment vraiment fort. Sa peau était toujours aussi douce. Ses coups de reins devenaient de plus en plus intenses et après une heure comme ceci, je le senti se raidir en moi. Il voulut se retirer mais je le maintins avec mes mains. Il prit, le drap sur le côté et le mit dans sa bouche pour crier son plaisir en jouissant en moi. Plus d’une quinzaine de jets de sperme se déversèrent en moi. C’était fort, c’était intense. Il s’est retiré, je l’ai sucé et je me suis lové ensuite dans ses bras. Tout en le regardant, je lui dis :

-Je t’aime.
-Je t’aime aussi, tu sais. Depuis le premier jour où je t’ai rencontré, j’ai su.

Nous nous sommes endormis ensemble sans bruit et j’étais heureux.
Le lendemain matin, nous sommes allés prendre notre petit-déjeuner puis nous sommes allés fumer devant le lycée. C’est là que Charly fit son apparition avec un grand sourire. Il me regarda et je fis oui de la tête ce qui le fit sourire encore plus.

-Pourquoi souris-tu comme un imbécile, dis Maxence à Charly ?
-Pour rien, mais toi, tu n’aurais rien à me dire par hasard.
-Ben non, quoi ?
-Oh pas grand-chose. Juste toi et Jérôme !
-Comment ça ?
-Je le sais depuis le début de l’année et je vous ai même entendu. J’en ai même parlé avec lui et tu vois, je n’ai jamais rien dit. J’ai gardé ton secret mais je suis ton meilleur pote et je trouve ça super que tu es trouvé quelqu’un avec qui tu te sens toi.
-Je, heu, quoi ?
-Tu as très bien entendu et je trouve ça cool pour vous que vous soyez à nouveau ensemble. Et je ne dirai rien à personne.

Il le prit dans ses bras et avons ris.
Les deux jours suivant ont été similaires. Chaque soir, nous dormions ensemble et c’était super. Le mercredi après-midi arriva et nous sommes partis ensemble chez Bertrand. Il nous accueillit à bras ouverts. Nous nous sommes installés sur le canapé et lui en face de nous puis il prit la parole.

-Bon, tu es donc au courant pour Jérôme et moi ?
-Oui, dis Maxence.
-Je suis heureux pour vous et vous trouve beau tous les deux et oui cela me fait bizarre de me dire que plus rien ne se passera avec lui.
-Je suis désolé m’sieur.
-Appelles-moi Bertrand, tu veux bien. Ici, tu le peux.
-D’accord. Je suis un peu jaloux quand même parce qu’il a été vers vous. Vous êtes quand même très,… sex je dois dire.
-C’est gentil. Mais même si j’ai des sentiments pour Jérôme, je reste marié et ne veux pas perdre ma femme.
-Je comprends oui. Et je sais qu’il en a pour vous et je suis désolé pour ça.

Je les ai laissé discuter un peu et pendant ce temps-là, j’ai été faire un tour dans l’appartement de Bertrand. Je suis revenu vers eux et ils avaient l’air d’être d’accord mais je ne savais pas encore sur quoi. Je vis Maxence se levé puis parti dans le couloir. J’allais pour le suivre mais Bertrand me dit qu’il allait aux toilettes. J’ai été étonné mais je suis resté assis sur le canapé en baissant les yeux. Je n’arrivais pas à le regarder car j’avais honte de ce qui se passait malgré les sentiments que j’avais aussi pour lui. Puis, je le vis se lever et me prendre la main. J’allais pour parler mais il me fit non de la tête. Il me fit me relever toujours en me prenant la main et me demanda de le suivre. Je ne comprenais rien et en plus je ne voyais pas revenir Maxence. Nous partîmes dans la direction de la chambre et là, stupeur !!! Maxence était là, nu sur le lit. Je l’ai regardé puis j’ai tourné la tête vers Bertrand qui m’embrassa aussitôt. Oh mon dieu ses lèvres puis je revins à la raison en le repoussant.

-C’est quoi ce bordel ? Max, qu’est-ce que tu fais ?
-Ecoutes-moi, me dit-il. On a longuement parlé avec Bertrand et on sait tous les deux que tu nous aimes et que tu ne sais pas comment faire.
-Du coup, on veut te proposer quelque chose, enchérit Bertrand en se déshabillant.
-Qu… quoi donc ?
-On t’aime aussi tous les deux et je ne peux pas quitter ma femme pour toi alors tu seras avec Maxence et avec moi aussi. On peut être tous les trois ensemble, me dit-il en commençant par me retirer mon pull.
-Je, je, vous êtes dingue ?
-Non, on t’aime tout simplement.

Il me déshabilla au reste et m’allongea sur le lit. Nous nous sommes embrasser tous les trois. Ils se sont allongés tous les deux l’un à côtés de l’autre et je me suis mis à les sucer chacun leur tour. Ils s’embrassaient pendant que je les pompais en les regardant. J’étais encore troublé par ce qui se passait mais excité en même temps. Maxence m’allongea sur le ventre et vint se placer derrière moi pour placer sa queue en moi. Bertrand vint s’asseoir devant moi en écartant les jambes pour que je continue de le sucer comme je savais le faire. Je sentais Maxence se déchaîner dans mon cul et je grognais de plaisir car ma bouche était déjà bien remplie. Après un quart d’heure de ce traitement, Bertrand se releva et partit derrière nous. Maxence était toujours en moi et je sentis un poids de plus sur moi puis Maxence eut un sursaut et un râle intense. Je pus tourner la tête et je vis Bertrand tenir Maxence par les hanches. Max me baisait et Bertrand baisait Max. J’étais stupéfait par ce qui se passait. Ensuite, ils se sont retirés et Bertrand se mit sur le dos en me demandant de le chevaucher. Je grimpai sur sa queue et il me fit me pencher sur lui pour l’embrasser quand je sentis Maxence derrière moi. Sa queue était placée à l’entrée de mon petit trou déjà bien ouvert par la queue de Bertrand. Il commença doucement à placer son gland puis appuya. Il n’y arrivait pas car la place était déjà prise mais il continua ses essais quand enfin il y arriva. Puis doucement, il put la rentrer. Ils me faisaient une double pénétration pour la première fois. J’avais mal mais après plusieurs vas et viens, l’excitation repris le dessus. C’est moi qui bougeais mon cul sur leurs deux grosses queues ce qui les fit gicler quasiment en même temps. Pour moi, le fait d’avoir leur jus en moi et en même temps consolida ce pacte qui avait été mis en place. Je jouis à mon tour sur le ventre de Bertrand et nous nous sommes tous les trois à nouveau embrassés.

Le soir, nous sommes retournés à l’internat et j’étais très heureux. Les semaines ont continué à se ressembler. J’avais enfin porté plainte contre Tristan. La fin d’année arriva et un jour, il y eu un essai d’alarme incendie au lycée. Tout le monde fut réuni dans la cour et je vis au loin Bertrand courir vers moi en bousculant certains des élèves. Tout le monde le regardait faire et il s’approcha de moi. Il me prit les mains et m’embrassa fougueusement devant tout le monde. Certains sifflaient en nous voyant faire, d’autres se parlaient à voix basse mais je m’en foutais. J’étais heureux.

Je vous écris tout ceci car cela s’est passé il y a cinq ans. Je vis en couple avec Maxence et encore maintenant, nous revoyons régulièrement Bertrand. Nous nous aimons tous les trois et formons un trouple même s’il n’est pas avec nous tout le temps.

Fin du chapitre 15.

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Texte coquin : Ma première année d'internat (15 et fin)
Histoire sexe : Une rose rouge
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