Ma première année d'internat (7)

- Par l'auteur HDS Tounet39270 -
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Récit libertin : Ma première année d'internat (7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma première année d'internat (7)
Chapitre 7

Il referma sa braguette, se remit en place et j’en fis de même. Il se rapprocha de moi, me prit dans ses bras et me fit un léger baiser.

-On se voit demain pour les cours. Je compte sur votre discrétion.
-Oui monsieur.
-Bien.

Je pris mes affaires et partis. En ouvrant la porte, je me suis retourné pour le voir et je le vis me regarder puis tourner la tête.

-A demain m’sieur et merci.
-A demain Jérôme. Merci de ?

Je ne répondis pas et partis. Il m’a appelé Jérôme. J’étais sur un petit nuage. En sortant de la salle, je vis une silhouette courir au fond du couloir.
Le soir, je rejoignis Léa et Jade pour manger et celles-ci m’ont encore interrogé sur le prof d’anglais. J’ai juste dit que j’avais vu une alliance à son doigt mais que je n’en savais pas plus. Nous nous sommes séparés ensuite car elles remontaient à l’internat et moi je suis parti devant le lycée pour fumer. J’allumai ma clope et envoyai des sms à Myriam quand Maxence s’installa près de moi. Je l’ai regardé rapidement puis j’ai fait comme s’il n’était pas là.

-Je peux te parler un instant s’il te plaît ? me dit-il.
-Ca dépends de ce que tu veux me dire.
-Tu joues à quoi en ce moment ?
-Comment ça, je joue à quoi ?
-Tu fais quoi avec monsieur Fuinel ?
-Que veux tu que je fasse avec lui ? C’est mon prof. Il veut juste que je teste de faire un échange avec une élève d’un lycée à Londres.
-Je ne parle pas de ça et tu le sais !
-Ben non, je ne vois pas de quoi tu parles ?
-Fais pas l’innocent. Il est où le mec de la semaine dernière que j’ai rencontré ? Tu sais, ce mec coincé et tout timide.
-Ben comme tu peux le voir, il nous a quitté comme tu l’as fait aussi sans aucune explication.
-Fait attention à toi steuplait.

Je finis ma clope puis la jetai. Je laissai derrière moi Maxence. Mais pourquoi se soucie-t-il de moi comme ça ? Une fois dans la chambre, je me suis posé sur mon lit en repensant à mon après-midi, à ce qu’il s’était passé avec mon prof. Non mais sérieusement, je ne me reconnais plus non plus. Maxence rentra dans la chambre et se mis à bosser sur son lit. Il me regardait souvent avec insistance et je n’osais pas le regarder. J’avais encore des sentiments pour lui mais il ne faut pas. IL NE FAUT PAS.
Vers 22h, Maxence repris la parole pour me souhaiter une bonne nuit et qu’il voulait vraiment que l’on reste ami. Je lui ai juste répondu bonne nuit et j’ai éteins la lumière de mon côté.
Le lendemain, journée tranquille. Nous sommes mercredi et je n’ai que deux heures de cours. Une de mes profs est absente. Nous terminons donc la dernière heure de cours par le cours d’anglais. Nous rentrons dans la salle, et tout le monde va s’installer. Je passe devant le bureau du prof avec Myriam et je lui dis un grand bonjour en lui faisant un grand sourire. Il me regarde et me dit lui aussi bonjour mais sans toutefois montrer le moindre signe.

-Qu’est ce qui t’arrive ? dit Myriam.
-Ben rien, je disais juste bonjour.
-T’es bizarre toi.
-T’es nulle.
La première demi-heure se passe calmement. Dès qu’il pose une question, je lève la main pour répondre. A chaque fois que je lui réponds, je le regarde droit dans les yeux et lui souris. Il ne montre toujours rien. Puis il nous donne un exercice à faire qui devrait nous prendre quinze minutes et se met à marcher dans les rangs. Tout le monde à la tête baisser pour bosser y compris moi et lorsqu’il passe à côté de moi, je sens sa main sur mon épaule puis il repart comme si de rien n’était. Je continue de travailler et nous terminons le cours. Il nous demande de nous rendre le travail et il me regarde avec insistance cette fois-ci. Myriam sort la première et je prends mon temps pour ranger mes affaires. Toutes les autres filles sortent en rendant leurs travaux et je passe le dernier. Lorsque je lui tends ma copie, il me donne un petit bout de papier en même temps. Je le prends et le mets directement dans ma poche. Avant de rejoindre ma pote, je lis le mot sur lequel est inscrit : cet après-midi, viens à 14h à l’adresse suivante : 4 rue ….. puis je le remets dans ma poche. Je rejoints Myriam et nous sortons fumer avant qu’elle ne rentre chez elle. J’allume ma clope et en prenant mon paquet dans ma poche, le mot tombe au sol. Je ne fais pas attention et Myriam le ramasse et l’ouvre.

-Merde, pourquoi tu ne m’as pas dit que tu avais un rencard ? C’est qui ?

Je lui repris le mot des mains et le remis dans ma poche.

-C’est personne.
-Allé, dis-moi.
-Non, je ne veux pas te le dire. En tout cas pas tout de suite.
-T’es chiant. Tu me diras plus tard alors.
-Oui peut-être.
-Bon, ben profites bien de ton après-midi.

Elle me fit la bise puis s’en alla.
Je me suis dépêché à aller manger puis je suis remonté à l’internat pour prendre une douche et de me doucher. En sortant de la douche, je me suis retrouver face à Maxence qui me demanda pourquoi j’étais bien fringué et où j’allais. Je lui ai dit que cela ne le regardait pas et je commençais à partir. Il me retint par le bras et me demanda de rester. Je lui dis non et partis.
Je ne connaissais pas encore très bien la ville alors, je partis plus tôt vers le point de rendez-vous avec une énorme boule au ventre. Il y avait un café en face du bâtiment où devait sûrement se trouver l’appartement de mon prof. Je suis allé m’installé à l’intérieur et pris un café. A 13h55, je suis sorti du café et je me suis rendu devant le bâtiment. J’ai regardé l’interphone pour trouver son nom et je sonnai. Il décrocha et me dit de monter au dernier étage. Il n’y avait qu’un seul appart et je ne pouvais pas le rater. Je pris mon courage à deux mains puis pris l’ascenseur direction le dernier étage. J’étais vraiment fébrile et l’ascenseur se stoppa. J’en sorti et il était là à m’attendre avec un grand sourire. Il s’était changé et portais un short en jean et un polo très cintré. J’avais déjà aperçu ses tatouages sur ses bras mais il en avait aussi sur les mollets. Mon Dieu, qu’il est sexy. Je m’approchais pour le rejoindre et il me fit rentrer. En passant devant lui, je lui dis :

-Re bonjour m’sieur.
-Tu sais, ici tu peux m’appeler Bertrand.

Il m’emboîta le pas et me fit m’installer dans son salon. Je pris place sur le canapé assez timidement.

-Tu veux boire quelque chose ?
-De l’eau, ça ira très bien.
-Tu ne veux pas plutôt une bière ? T’es majeur et on est que les deux.
-Euh oui, je veux bien alors.

Il partit dans la cuisine qui était ouverte au salon et revint avec deux bières dont une qu’il me tendit. Je bus une gorgée pour me détendre et il en fit de même.

-Tu te doutes un peu du pourquoi je t’ai laissé ce mot ?
-Oui, bien sûr.
-J’ai vraiment hésité tu sais. Je t’ai expliqué que j’avais plus à perdre que toi.
-Oui je me souviens.
-Tu sais, c’est la première fois que je fais ça !
-Avec un homme ?
-Non, je veux dire, je suis marié et j’ai deux enfants. C’est la première fois que je trompe, du moins que je m’apprête à tromper ma femme.
-Ca veut dire que vous avez déjà eu des relations homos ?
-Oui, mais c’était il y a plus de quinze ans.
-Ah ok. Vous êtes marié depuis combien de temps.
-Tu peux me dire tu et je suis marié depuis 12 ans et je connais ma femme depuis quinze ans.
-Whouaaa mais vous, tu es jeune pourtant.
-Si tu veux oui, j’ai 35 ans.
-Et tes enfants, ils ont quels âges ?
-Ma fille à 10 ans et mon fils en a 7.
-Ok.

Nous finissons notre bière tranquillement en se jaugeant du regard puis je lui dis :

-Je peux te demander quelque chose ?
-Oui, bien sûr, je t’écoute.
-Pourquoi avoir répondu positivement à mes avances ?
-Je ne sais pas trop. Peut-être et même sûrement que cela m’a fait plaisir que tu me dévores des yeux car oui je t’ai bien vu me mater en cours. Et aussi, tu ressembles à mon premier amour.
-Mais les filles aussi te font des avances.
-Ce n’est pas la même chose. J’ai ma femme à la maison et je l’aime.
-Si tu l’aimes, pourquoi m’avoir demandé de venir.
-Je ne sais pas. Mais tu sais qu’il ne faut pas que tu tombes amoureux de moi.
-Je sais, je ne suis pas stupide.
-Je préfère te l’entendre dire. Tu es sûr de ce que tu veux ?
-Et vous, pardon et toi ?

Pour seule réponse, il se rapprocha de moi, prit ma bouteille de bière et m’embrassa en m’allongeant sur le canapé. Je le stoppai en lui demandant une dernière chose.

-Et tu n’as pas peur que ta femme ne rentre avec tes enfants.
-Elle est parti chez ses parents pour l’après-midi et ne rentre que ce soir avec les enfants.

Il reprit son baiser et je m’abandonnai à lui. Son baiser était tendre mais fougueux en même temps. Puis il me regarda et me caressa la joue. Il me sourit est se rassit sur le canapé en me faisant venir sur ses genoux. Je m’approchais et je l’embrassais à nouveau. Il me retira mon T-shirt et je fis de même avec son polo. Je pus admirer son torse bien dessiné. Il était poilu mais devait sûrement se tondre les poils. Il y avait un début de tatouage sur son épaule qui redescendait dans le dos (j’ai découvert plus tard que c’était un envol de corbeau qui lui prenait une bonne partie du dos). Il m’embrassa dans le cou et me caressait le dos. Pour ma part, je ne restais pas inactif. Je remuais mes fesses contre son entre-jambe. Je sentais enfin sa queue se redresser contre mes fesses et je n’avais qu’une hâte, de la voir enfin. Puis d’un seul coup, il me prit dans ses bras et me porta jusque dans sa chambre. Mon Dieu, je n’en revenais toujours pas de cette force qu’il pouvait avoir et voir ses muscles se contractés me rendait encore plus dingue de lui. Arrivé dans la chambre, il me jeta sur le lit et vint me retirer le reste de mes vêtements. J’allais me redresser pour le déshabiller mais il le fit de lui-même. Il fit descendre son slip et mon Dieu, Maxence en avait une longue et grosse mais là je dois dire que je ne m’attendais pas à ça. En plus de ça, sa queue était rasée de près et ses couilles étaient énormes et pendantes et elles aussi rasées de près. La longueur devait égaler celle de Max mais la grosseur, je me suis fait peur tout seul. Jamais, je ne pourrais me prendre ce monstre en moi. Il vit mon regard et se mit à rire.

-Oui, elle est grosse et longue mais t’inquiète pas mon mignon, je ne te ferai pas mal.

Sur ses belles paroles, il vint se placer sur moi. Il attrapa mes mains qu’il plaça au-dessus de ma tête et tout en les maintenant, il m’embrassa à nouveau. Je sentais sa queue se frayer un passage entre mes jambes et j’adorais ça. Je lui fis comprendre de s’allonger sur le dos, ce qu’il fit immédiatement. Il me fit me mettre sur le côté et à quatre pattes pour que je le suce et il passa sa main directement sur mon cul qui pétrit. Je commençais par lécher ses couilles puis les gober ? Quelle douceur en bouche ! Il gémissait à chaque fois que j’aspirais ses couilles puis, le passais ma langue le long de sa queue et arrivé au niveau du gland, je me mis à le gober et le lécher ce qui le fit gémir encore plus. Je pris ensuite sa queue à pleine bouche et je commençais à le sucer doucement. Il mit une de ses mains derrière sa tête et cracha dans son autre main pour venir étaler sur mon petit trou. Je cambrais un peu plus et me rapprochais aussi pour qu’il ait un accès plus facilement. Il me massait ma petite rosette puis y mit son doigt qu’il faisait et rentrer tout doucement. Moi aussi je gémissais et je reprenais ma pipe un peu plus rapidement. J’essayai de la prendre toute entière en bouche sans y arriver. Il inséra cette fois-ci deux doigts qui coulissait plus rapidement. Puis, il remonta ses jambes pour prendre appuis dessus et commença à me limer la bouche en mettant des coups de bassin. Il mit ensuite un troisième doigt qui me fit gémir encore plus fort. Il se releva ensuite et me fis baisser le torse et remonter mon cul qu’il écarta de ses deux mains puissantes. Il vint me lécher la raie pour me planter sa langue par la suite. Il me fit un anulingus d’enfer pendant plus de dix minutes. Ce mec est vraiment un expert en la matière. Je n’avais encore jamais ressenti ça. Il sortit ensuite un tube de lubrifiant de sa table de chevet et un petit flacon noir. Il l’ouvrit et me dit que cela allait me détendre et m’aider à accepter sa queue en moi.

-Qu’est-ce que c’est ? lui demandais-je.
-C’est du poppers. Tu connais ?
-Non pas du tout. Et qu’est-ce que je dois faire avec.

Il m’expliqua donc comment l’utiliser. Je suivis donc ses instructions et pendant que je respirais ce produit, il commençait à me mettre un peu de lubrifiant et continuait de me doigter et il s’en mit aussi sur sa queue. Il plaça ensuite son gland contre mon trou et il prit ma taille avec son autre main. En l’espace d’un instant, je me sentis sur un petit nuage et lorsqu’il rentra son gland en moi ce qui me fit crier mais bizarrement, je n’eu pas mal. Il me dit de respirer encore puis continua son ascension avec sa queue. Et nous avons répété cela encore deux fois jusqu’à ce que sa queue soit bien en moi. Je sentais enfin ses couilles placées contre mon cul. Sans qu’il ne me le demande, je repris du poppers et il commença à donner des coups de bassin doucement. Une fois habitué, il me prit le flacon des mains et me dit qu’il voulait cette fois-ci qu’il me sente bien en lui. Ses coups de reins furent doux au départ puis lorsqu’il vit et entendit que je prenais enfin mon pied, il accéléra la cadence. Je criais de plus en plus et cela l’excitait encore plus. J’avais toujours le cul bien cambré quand je sentis qu’il m’allongea bien sur le lit puis il se mit en position (comme pour faire des pompes) et commença à me démonter le cul de plus en plus fort avec des coups de reins bien violents. Mais je n’avais pas mal comme avec l’autre connard de Tristan. Je prenais mon pied. J’étais vraiment en extase. Il retira sa queue et la replanta d’un coup sec ce qui me provoqua un cri de surprise.

-Retournes-toi. Je veux te voir quand je te baise.

Je me mis sur le dos et il releva mes jambes qu’il plaça autour de son cou. Il remit sa queue en moi et continua ses allers retours bien fort et il vint ensuite m’embrasser. Sa langue me baisait elle aussi la bouche. Il me pilonna un bon moment dans cette position puis me mit ensuite sur le côté et vint se placer derrière moi en relevant ma jambe. Pendant qu’il me baisait, je tournais la tête pour qu’il m’embrasse encore et avec une de mes mains, j’attrapais ses couilles que je malaxais durant sa baise. Il avait l’air d’apprécier ça. Après plusieurs minutes, il me fit me lever et se leva à son tour. Je me mis à genoux et pris sa queue en bouche. Il prit ma tête entre ses mains et me regarda droit dans les yeux.

-Tu la veux bien à fond ?

Je fis oui de la tête et là, il me pilonna la bouche comme si j’étais un cul à baiser. Il la ressortit et cette fois-ci me la planta bien au fond en maintenant ma tête. Ça y était, j’arrivais enfin à la prendre toute entière et je me mis à jouir sans me toucher sur son sol de chambre. Il sourit en voyant ça et me fit me relever et me plaqua contre la vitre de sa chambre. J’avais une vue sur la rue mais personne ne levait la tête. Il me fit cambrer à nouveau puis m’encula de plus belle et encore plus fort. Je le sentais grogner et je sentais sa transpiration couler dans mon dos.

-Putain, tu vas me faire jouir. Tu veux que je jouisse où ?
-Je te veux en moi.
-Tu en es sûr ?
-Certains, vas-y !

Il reprit son enculade et d’un coup se planta bien à fond et je sentis au moins une quinzaine de jets de sperme se déverser en moi. C’était chaud et j’étais bien. Il resta planter comme ça en moi en me disant qu’il avait pris son pied. Quand tout à coup, je vis par la fenêtre un visage familier qui me fixait. Je reculai d’un coup ce qui fit basculer Bertrand sur le lit et moi par la même occasion vu qu’il me maintenait par la taille sa queue toujours en moi. Je me suis retourné vers lui et nous nous sommes mis à rire mais dans ma tête je me disais : mais que fou Maxence ici et est-ce qu’il m’a vu ?

Fin du chapitre 7.

Les avis des lecteurs

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Oui le temps qu elle soit validee

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Toujours pas de partie 5 oubliée ? J’espère qu’elle sortira un jour

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J’attends la partie 5 pour pouvoir continuer 🥲🥲

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très belle histoire,vivement la suite!



Texte coquin : Ma première année d'internat (7)
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