Ma première année d'internat (8)
Récit érotique écrit par Tounet39270 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Ma première année d'internat (8)
Chapitre 8
-Putain, tu vas me faire jouir. Tu veux que je jouisse où ?
-Je te veux en moi.
-Tu en es sûr ?
-Certains, vas-y !
Il reprit son enculade et d’un coup se planta bien à fond et je sentis au moins une quinzaine de jets de sperme se déverser en moi. C’était chaud et j’étais bien. Il resta planter comme ça en moi en me disant qu’il avait pris son pied. Quand tout à coup, je vis par la fenêtre un visage familier qui me fixait. Je reculai d’un coup ce qui fit basculer Bertrand sur le lit et moi par la même occasion vu qu’il me maintenait par la taille sa queue toujours en moi. Je me suis retourné vers lui et nous nous sommes mis à rire mais dans ma tête je me disais : mais que fou Maxence ici et est-ce qu’il m’a vu ?
Je m’allongeais à côté de Bertrand qui me pris dans ses bras. Il vint m’embrasser puis me caressa le torse en me souriant.
-T’as vraiment été incroyable, me dit-il.
-Merci mais toi aussi.
-Si tu veux aller à la salle de bain pour tu sais quoi, c’est la porte au bout du couloir.
Je lui donnai un baiser et me dirigeai aux toilettes. Quand je revins vers Bertrand, j’ai hésité à lui dire que j’avais aperçu Maxence mais je m’en suis ravisé. Je le retrouvai dans la cuisine, vêtu de son boxer. Il était en train de boire de l’eau dans sa cuisine à même la bouteille. Qu’est-ce qu’il peut-être sexy. Je récupérai mon caleçon que je remis puis commençai à me rhabiller.
-Que fais-tu ? me dit-il.
-Ben, je vais te laisser tranquille et retourner au lycée.
-Il n’est que 15h30. Tu as des choses de prévues ?
-Ben, non pas spécialement. Je vais sûrement me poser dehors et lire un peu.
-Eh bien, restes un peu ici si tu le souhaites. J’ai peut-être envie d’un deuxième round ?
Il me sourit et me pris dans ses bras pour m’asseoir sur le rebord de l’évier puis vint se placer entre mes cuisses. Il mit ses bras autour de ma taille et je mis mes jambes autour de la sienne. Il déposa sa bouche contre la mienne et le baiser dura une éternité.
-Si je n’avais pas été marié, je t’aurai bien dit de rester cette nuit mais pas possible.
-Oui et tu es mon professeur.
-Oui, aussi. Mais sous tes airs de timides, t’es un petit allumeur, tu le sais ça ?
-Ben, je ne t’ai jamais allumé ?
-Tu plaisantes ? Tes regards en disaient longs. Et c’est toi qui as fait le premier pas hier.
-C’est pas faux mais ça c’est parce que je voyais bien que tu étais partant.
-T’es vraiment dingue. Tu as quel âge déjà ?
-18 ans.
-Putain de merde, je n’avais pas fait gaffe mais on a quand même 17 ans d’écart.
-Et alors ? Je peux te poser une question ?
-Bien entendu.
-Tu voudras me revoir après cet après-midi. Je veux dire en dehors du lycée bien sûr.
-Tu sais que ça va être compliqué ?
-Oui, je le sais bien.
-Je ne veux rien te promettre. Juste profitons de ce moment, ok ?
-Oui, pas de problème.
J’étais toujours dans ses bras sur le rebord de l’évier et cette fois-ci, c’est moi qui l’embrassai. Il enleva à nouveau mon T-shirt et déboutonna mon pantalon qu’il fit glisser le long de mes jambes.
-Tu sais que tu es vraiment mignon.
-Ben non, je ne trouve pas justement. Je me suis toujours trouvé quelconque.
-Eh bien ne sous-estime pas ta beauté car franchement, tu n’as rien à envier à certains beaux gosses du lycée.
Je me mis à rougir de plus belle et le pris dans mes bras en l’embrassant. Il me reprit dans ses bras et me porta cette fois-ci jusque dans le salon. Il me déposa au sol et nous nous sommes enlevés mutuellement nos sous-vêtements. Il bandait déjà comme un taureau.
-Tu vois l’effet que tu me fais. Et crois moi-même quand je t’ai vu la première fois en cours, ma queue commençait à se réveiller.
Il poussa dans le canapé où je pris place et c’est lui qui prit ma queue en bouche pour la gober. Il se mit à me sucer bien à fond en me faisant de bonnes gorges profondes. Le pied, on ne m’avait jamais fait ça et je gémissais vraiment très fort. Il me regardait droit dans les yeux et je vis dans ce regard que oui je le reverrai encore en dehors du bahut. Je fermais les yeux et d’un coup je revis le visage de Maxence dans la rue. Je les réouvris en pensant à autres choses. Il se releva et vint s’allonger sur moi puis me mangea la bouche.
-Tu me rends dingues, tu sais ça ? Même avec ma femme, ce n’est pas aussi intense.
Il se releva et alla s’asseoir dans le fauteuil en face de son canapé. Il me fixa et sans qu’il ne dise quoi que ce soit, je vins m’installer sur lui. Mais cette fois-ci, je ne me mis pas en face mais je lui tournais le dos. Je pris sa queue entre mes doigts et la plaça sur mon petit trou puis je pris appuis avec mes mains sur ses deux cuisses. Je commençais à onduler le bassin pour lui montrer que je prenais les choses en main ? Il me caressait le dos et attrapait mes fesses de temps en temps. Je collais mon dos contre son torse puis tournais la tête pour le regarder et il s’approcha pour m’embrasser. Puis je me penchais en avant pour prendre appuis sur la table basse et c’est lui qui commença à me mettre des coups de reins. Avec une de mes mains, je lui caressais ses belles couilles qui pendaient et se ballottaient au fur et à mesure de ses coups de reins. Il commença doucement puis la cadence devint plus forte. Je me retrouvai à quatre pattes sur le tapis du salon et il me défonça littéralement le cul. Je gémissais fort au rythme de ses coups de queue. Il se retira puis la remit d’un coup violent et sec et refit ça quatre ou cinq fois, je ne sais plus. J’étais en transe.
Il me releva ensuite pour m’embrasser, me souleva à nouveau et enfila sa queue en moi en me portant. J’avais les jambes sur ses bras et c’est lui dit donnait la cadence. Il marchait lentement avec sa queue en moi et me colla contre le mur. Je posais une jambe au sol et l’autre toujours sur son bras et il me pinait de plus en plus fort et moi je criais de plaisir. Pour je pense me faire taire, il me mit sa langue dans ma bouche et m’embrassait. Je voyais des perles de sueur couler le long de son visage tellement il me baisait fort. J’avais les jambes en coton mais je ne voulais pas qu’il s’arrête bien au contraire, j’en voulais encore plus. Il retira sa queue puis me prit par la main. Il m’emmena jusqu’à la table de la salle à manger. Il appuya sur mon dos et je me retrouvais le torse contre le bois de la table et il me planta sa queue bien profondément en poussant des grognements de plaisir. Il me défonça dans cette position pendant plus de dix minutes puis me fit encore relever la jambe pour que l’enculade soit encore plus forte.
-Putain, j’ai jamais baisé quelqu’un comme ça auparavant. Fou toi à quatre pattes.
Je lui obéis puis vint se placer devant moi la bite devant la bouche. Je compris tout de suite où il voulait en venir. Il s’approcha et me mit sa queue en bouche. Il prit appuis sur mes hanches et commença à me pilonner la bouche comme s’il baisait mon cul. Il y allait bien fort et bien à fond. Je devais m’efforcer de respirer par le nez. Je bavais tellement il y allait fort. Le pire, c’est que j’aimais ce qu’il me faisait. Je sentais à chaque coup de reins ses couilles taper contre mon menton.
-Je ne vais pas tarder à te remplir la bouche mon mignon.
Je ne pouvais pas répondre. Il continua de me baiser la bouche et au bout de cinq minutes, il planta sa queue bien en fond de gorge et cria son plaisir comme une bête en rut. Je sentis son jus se déverser au fond de ma gorge et je dus tout avaler. Une bonne dizaine de jet de sperme. Encore une fois, je me mis à éjaculer sans même me toucher sur le sol de la salle à manger. Je sentais aussi qu’une partie coulait le long de mes joues. Il se recula et je repris sa queue en bouche pour la nettoyer sans laisser la moindre trace de son jus. Il me regarda faire puis vint lécher le sperme sur ma joue et avec sa langue, il vint me la planter dans ma bouche pour me rouler une pelle. Une pelle avec un mélange de salive et de jus : un régal.
Nous nous sommes relevés puis nous sommes allés nous poser sur le canapé. Il m’attrapa et me fit m’allonger la tête sur lui au niveau de son entre-jambe. Il me regardait en me caressant les cheveux et me souriait.
-Whouaa, tu m’as vidé, me dit-il.
-C’était vraiment génial.
-Et encore, génial est un bien petit mot pour ce que tu viens de me faire vivre.
On s’est toisé du regard de longues minutes sans se parler. Il n’y avait que des regards et des caresses et je sentais encore sa queue en demie érection. Après ça, il me dit :
-Tu veux prendre une douche peut-être ?
-Oui, je veux bien.
Nous nous sommes levés et je l’ai suivi en matant son cul bien ferme. Il me montra la douche. J’ouvris l’eau et commençai à me doucher pendant qu’il me sortait une serviette puis me regarda et dit :
-Et puis merde.
Je n’ai pas compris ce qu’il voulait dire par là et vint me rejoindre sous l’eau. Il prit du gel douche et me frotta le dos, le torse, les fesses, ma queue qui se réveillait encore. Il me regarda avec un sourire en coin. Je pris moi aussi du gel douche pour le savonner et arrivé à sa queue, je ne le frottais pas mais plutôt le branlais.
-Tu ne t’arrêtes donc jamais ?
-Pas quand j’ai une bombe sexuelle devant moi. Et je te signale que tu bande aussi.
-T’es mignon.
Nous finissons de nous savonner et je m’appuis contre la paroi de douche en cambrant mon cul.
-T’es sérieux, tu en veux encore ?
-Oui, remplis-moi encore.
-Putain, tu me plais toi.
Il s’approcha de moi et me mit sa queue directement. L’eau coulait sur nos deux corps parfaitement emboîter et il me baisa encore une fois sous la douche. Cette fois-ci, il fut moins long à venir. J’arrêtais l’eau puis me mis à genoux en le regardant en le sentant gémir plus fort car je savais qu’il était sur le point de gicler.
-Gicles-moi au visage, lui dis-je en le regardant droit dans les yeux.
-Putain, t’es vraiment à tomber.
J’ouvris la bouche et sortis ma langue et il gicla 5 ou 6 jets de sperme au visage. Je me délectais de tout ce qu’il m’offrait. Il m’aida à me relever et vint m’embrasser mais cette fois-ci sans violence mais plutôt avec passion. Il rouvrit ensuite l’eau pour nous rincer. Nous nous sommes ensuite séchés puis habillés cette fois-ci.
-Tu as le temps de boire un café avant de partir ?
-Oh oui avec plaisir.
Nous avons encore discuté pendant une bonne demi-heure puis il me raccompagna à la porte mais avant de l’ouvrir, il me plaqua contre celle-ci et m’embrassa à nouveau. Il me tendit un papier et me dit que c’était son numéro de téléphone, que je devais faire attention car sa femme pouvait regarder celui-ci de temps en temps car il le laisse traîner partout dans la maison. Je le remercie et ouvris la porte. Il m’attrapa le bras et me regarda droit dans les yeux.
-La réponse est oui.
Il sourit et referma la porte doucement. J’étais sur un nuage mais je sentais les courbatures arriver. Que voulait-il dire par la réponse est oui. Je lui envoyais donc un message durant mon retour au lycée mais il me répondit qu’il fallait que je réfléchisse.
Une fois au lycée, je suis allé directement au self pour manger. J’étais seul et sur un petit nuage. Puis, je suis remonté à l’internat et me suis allongé directement sur mon lit. J’ai fermé les yeux et me suis assoupis. J’ai été réveillé d’un coup par quelqu’un qui me secouait. J’ouvris les yeux et je vis Maxence dans une colère folle. Il me dit sans crier mais assez froidement :
-Je sais tout. Je sais avec qui tu étais. Je suis dégoûté. Comment tu as pu ?
Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit qu’il est parti sur son lit, a mit ses écouteurs et m’a tourné le dos.
Fin du chapitre 8.
-Putain, tu vas me faire jouir. Tu veux que je jouisse où ?
-Je te veux en moi.
-Tu en es sûr ?
-Certains, vas-y !
Il reprit son enculade et d’un coup se planta bien à fond et je sentis au moins une quinzaine de jets de sperme se déverser en moi. C’était chaud et j’étais bien. Il resta planter comme ça en moi en me disant qu’il avait pris son pied. Quand tout à coup, je vis par la fenêtre un visage familier qui me fixait. Je reculai d’un coup ce qui fit basculer Bertrand sur le lit et moi par la même occasion vu qu’il me maintenait par la taille sa queue toujours en moi. Je me suis retourné vers lui et nous nous sommes mis à rire mais dans ma tête je me disais : mais que fou Maxence ici et est-ce qu’il m’a vu ?
Je m’allongeais à côté de Bertrand qui me pris dans ses bras. Il vint m’embrasser puis me caressa le torse en me souriant.
-T’as vraiment été incroyable, me dit-il.
-Merci mais toi aussi.
-Si tu veux aller à la salle de bain pour tu sais quoi, c’est la porte au bout du couloir.
Je lui donnai un baiser et me dirigeai aux toilettes. Quand je revins vers Bertrand, j’ai hésité à lui dire que j’avais aperçu Maxence mais je m’en suis ravisé. Je le retrouvai dans la cuisine, vêtu de son boxer. Il était en train de boire de l’eau dans sa cuisine à même la bouteille. Qu’est-ce qu’il peut-être sexy. Je récupérai mon caleçon que je remis puis commençai à me rhabiller.
-Que fais-tu ? me dit-il.
-Ben, je vais te laisser tranquille et retourner au lycée.
-Il n’est que 15h30. Tu as des choses de prévues ?
-Ben, non pas spécialement. Je vais sûrement me poser dehors et lire un peu.
-Eh bien, restes un peu ici si tu le souhaites. J’ai peut-être envie d’un deuxième round ?
Il me sourit et me pris dans ses bras pour m’asseoir sur le rebord de l’évier puis vint se placer entre mes cuisses. Il mit ses bras autour de ma taille et je mis mes jambes autour de la sienne. Il déposa sa bouche contre la mienne et le baiser dura une éternité.
-Si je n’avais pas été marié, je t’aurai bien dit de rester cette nuit mais pas possible.
-Oui et tu es mon professeur.
-Oui, aussi. Mais sous tes airs de timides, t’es un petit allumeur, tu le sais ça ?
-Ben, je ne t’ai jamais allumé ?
-Tu plaisantes ? Tes regards en disaient longs. Et c’est toi qui as fait le premier pas hier.
-C’est pas faux mais ça c’est parce que je voyais bien que tu étais partant.
-T’es vraiment dingue. Tu as quel âge déjà ?
-18 ans.
-Putain de merde, je n’avais pas fait gaffe mais on a quand même 17 ans d’écart.
-Et alors ? Je peux te poser une question ?
-Bien entendu.
-Tu voudras me revoir après cet après-midi. Je veux dire en dehors du lycée bien sûr.
-Tu sais que ça va être compliqué ?
-Oui, je le sais bien.
-Je ne veux rien te promettre. Juste profitons de ce moment, ok ?
-Oui, pas de problème.
J’étais toujours dans ses bras sur le rebord de l’évier et cette fois-ci, c’est moi qui l’embrassai. Il enleva à nouveau mon T-shirt et déboutonna mon pantalon qu’il fit glisser le long de mes jambes.
-Tu sais que tu es vraiment mignon.
-Ben non, je ne trouve pas justement. Je me suis toujours trouvé quelconque.
-Eh bien ne sous-estime pas ta beauté car franchement, tu n’as rien à envier à certains beaux gosses du lycée.
Je me mis à rougir de plus belle et le pris dans mes bras en l’embrassant. Il me reprit dans ses bras et me porta cette fois-ci jusque dans le salon. Il me déposa au sol et nous nous sommes enlevés mutuellement nos sous-vêtements. Il bandait déjà comme un taureau.
-Tu vois l’effet que tu me fais. Et crois moi-même quand je t’ai vu la première fois en cours, ma queue commençait à se réveiller.
Il poussa dans le canapé où je pris place et c’est lui qui prit ma queue en bouche pour la gober. Il se mit à me sucer bien à fond en me faisant de bonnes gorges profondes. Le pied, on ne m’avait jamais fait ça et je gémissais vraiment très fort. Il me regardait droit dans les yeux et je vis dans ce regard que oui je le reverrai encore en dehors du bahut. Je fermais les yeux et d’un coup je revis le visage de Maxence dans la rue. Je les réouvris en pensant à autres choses. Il se releva et vint s’allonger sur moi puis me mangea la bouche.
-Tu me rends dingues, tu sais ça ? Même avec ma femme, ce n’est pas aussi intense.
Il se releva et alla s’asseoir dans le fauteuil en face de son canapé. Il me fixa et sans qu’il ne dise quoi que ce soit, je vins m’installer sur lui. Mais cette fois-ci, je ne me mis pas en face mais je lui tournais le dos. Je pris sa queue entre mes doigts et la plaça sur mon petit trou puis je pris appuis avec mes mains sur ses deux cuisses. Je commençais à onduler le bassin pour lui montrer que je prenais les choses en main ? Il me caressait le dos et attrapait mes fesses de temps en temps. Je collais mon dos contre son torse puis tournais la tête pour le regarder et il s’approcha pour m’embrasser. Puis je me penchais en avant pour prendre appuis sur la table basse et c’est lui qui commença à me mettre des coups de reins. Avec une de mes mains, je lui caressais ses belles couilles qui pendaient et se ballottaient au fur et à mesure de ses coups de reins. Il commença doucement puis la cadence devint plus forte. Je me retrouvai à quatre pattes sur le tapis du salon et il me défonça littéralement le cul. Je gémissais fort au rythme de ses coups de queue. Il se retira puis la remit d’un coup violent et sec et refit ça quatre ou cinq fois, je ne sais plus. J’étais en transe.
Il me releva ensuite pour m’embrasser, me souleva à nouveau et enfila sa queue en moi en me portant. J’avais les jambes sur ses bras et c’est lui dit donnait la cadence. Il marchait lentement avec sa queue en moi et me colla contre le mur. Je posais une jambe au sol et l’autre toujours sur son bras et il me pinait de plus en plus fort et moi je criais de plaisir. Pour je pense me faire taire, il me mit sa langue dans ma bouche et m’embrassait. Je voyais des perles de sueur couler le long de son visage tellement il me baisait fort. J’avais les jambes en coton mais je ne voulais pas qu’il s’arrête bien au contraire, j’en voulais encore plus. Il retira sa queue puis me prit par la main. Il m’emmena jusqu’à la table de la salle à manger. Il appuya sur mon dos et je me retrouvais le torse contre le bois de la table et il me planta sa queue bien profondément en poussant des grognements de plaisir. Il me défonça dans cette position pendant plus de dix minutes puis me fit encore relever la jambe pour que l’enculade soit encore plus forte.
-Putain, j’ai jamais baisé quelqu’un comme ça auparavant. Fou toi à quatre pattes.
Je lui obéis puis vint se placer devant moi la bite devant la bouche. Je compris tout de suite où il voulait en venir. Il s’approcha et me mit sa queue en bouche. Il prit appuis sur mes hanches et commença à me pilonner la bouche comme s’il baisait mon cul. Il y allait bien fort et bien à fond. Je devais m’efforcer de respirer par le nez. Je bavais tellement il y allait fort. Le pire, c’est que j’aimais ce qu’il me faisait. Je sentais à chaque coup de reins ses couilles taper contre mon menton.
-Je ne vais pas tarder à te remplir la bouche mon mignon.
Je ne pouvais pas répondre. Il continua de me baiser la bouche et au bout de cinq minutes, il planta sa queue bien en fond de gorge et cria son plaisir comme une bête en rut. Je sentis son jus se déverser au fond de ma gorge et je dus tout avaler. Une bonne dizaine de jet de sperme. Encore une fois, je me mis à éjaculer sans même me toucher sur le sol de la salle à manger. Je sentais aussi qu’une partie coulait le long de mes joues. Il se recula et je repris sa queue en bouche pour la nettoyer sans laisser la moindre trace de son jus. Il me regarda faire puis vint lécher le sperme sur ma joue et avec sa langue, il vint me la planter dans ma bouche pour me rouler une pelle. Une pelle avec un mélange de salive et de jus : un régal.
Nous nous sommes relevés puis nous sommes allés nous poser sur le canapé. Il m’attrapa et me fit m’allonger la tête sur lui au niveau de son entre-jambe. Il me regardait en me caressant les cheveux et me souriait.
-Whouaa, tu m’as vidé, me dit-il.
-C’était vraiment génial.
-Et encore, génial est un bien petit mot pour ce que tu viens de me faire vivre.
On s’est toisé du regard de longues minutes sans se parler. Il n’y avait que des regards et des caresses et je sentais encore sa queue en demie érection. Après ça, il me dit :
-Tu veux prendre une douche peut-être ?
-Oui, je veux bien.
Nous nous sommes levés et je l’ai suivi en matant son cul bien ferme. Il me montra la douche. J’ouvris l’eau et commençai à me doucher pendant qu’il me sortait une serviette puis me regarda et dit :
-Et puis merde.
Je n’ai pas compris ce qu’il voulait dire par là et vint me rejoindre sous l’eau. Il prit du gel douche et me frotta le dos, le torse, les fesses, ma queue qui se réveillait encore. Il me regarda avec un sourire en coin. Je pris moi aussi du gel douche pour le savonner et arrivé à sa queue, je ne le frottais pas mais plutôt le branlais.
-Tu ne t’arrêtes donc jamais ?
-Pas quand j’ai une bombe sexuelle devant moi. Et je te signale que tu bande aussi.
-T’es mignon.
Nous finissons de nous savonner et je m’appuis contre la paroi de douche en cambrant mon cul.
-T’es sérieux, tu en veux encore ?
-Oui, remplis-moi encore.
-Putain, tu me plais toi.
Il s’approcha de moi et me mit sa queue directement. L’eau coulait sur nos deux corps parfaitement emboîter et il me baisa encore une fois sous la douche. Cette fois-ci, il fut moins long à venir. J’arrêtais l’eau puis me mis à genoux en le regardant en le sentant gémir plus fort car je savais qu’il était sur le point de gicler.
-Gicles-moi au visage, lui dis-je en le regardant droit dans les yeux.
-Putain, t’es vraiment à tomber.
J’ouvris la bouche et sortis ma langue et il gicla 5 ou 6 jets de sperme au visage. Je me délectais de tout ce qu’il m’offrait. Il m’aida à me relever et vint m’embrasser mais cette fois-ci sans violence mais plutôt avec passion. Il rouvrit ensuite l’eau pour nous rincer. Nous nous sommes ensuite séchés puis habillés cette fois-ci.
-Tu as le temps de boire un café avant de partir ?
-Oh oui avec plaisir.
Nous avons encore discuté pendant une bonne demi-heure puis il me raccompagna à la porte mais avant de l’ouvrir, il me plaqua contre celle-ci et m’embrassa à nouveau. Il me tendit un papier et me dit que c’était son numéro de téléphone, que je devais faire attention car sa femme pouvait regarder celui-ci de temps en temps car il le laisse traîner partout dans la maison. Je le remercie et ouvris la porte. Il m’attrapa le bras et me regarda droit dans les yeux.
-La réponse est oui.
Il sourit et referma la porte doucement. J’étais sur un nuage mais je sentais les courbatures arriver. Que voulait-il dire par la réponse est oui. Je lui envoyais donc un message durant mon retour au lycée mais il me répondit qu’il fallait que je réfléchisse.
Une fois au lycée, je suis allé directement au self pour manger. J’étais seul et sur un petit nuage. Puis, je suis remonté à l’internat et me suis allongé directement sur mon lit. J’ai fermé les yeux et me suis assoupis. J’ai été réveillé d’un coup par quelqu’un qui me secouait. J’ouvris les yeux et je vis Maxence dans une colère folle. Il me dit sans crier mais assez froidement :
-Je sais tout. Je sais avec qui tu étais. Je suis dégoûté. Comment tu as pu ?
Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit qu’il est parti sur son lit, a mit ses écouteurs et m’a tourné le dos.
Fin du chapitre 8.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien belle histoire excitante lue d’une main évidemment !
