Ma première rencontre en "baisodrome". - histoire érotique

J'ai adoré mes retrouvailles avec mon premier complice, il m'a copieusement baisé, avec l'aide de trois inconnus, à l'intérieur du Sex-Shop.

J'apprécie qu'il aime profiter de moi, comme ça, c'est pas toujours le cas !
Beaucoup d'hommes n'aiment pas partager !

On se revoit deux fois seuls, au cours du mois qui suit notre baise en quatuor, à mon appartement.
C'est la seconde fois, qu'il me parle de son pote.

"Mon copain aimerai bien te baiser chez toi, ou ailleurs, si ça te dit ! Il peut aussi se faire prêter un appartement, t'es chaud, ou pas ? Ce serait en début de soirée, le mercredi !".
"Pourquoi pas ! Je dirai que j'ai rencontré un ami !".

"Je lui donne un RDV ?".
"Oui, sur le début du port, vers 17 h ! Ca me laisse le temps de sortir du boulot !".

Le jour venu, lorsqu'il vient vers moi, je me dis que personne ne peut imaginer qu'il va me baiser, tant, on a rien en commun !
Je lui emboite le pas, en ayant l'air de discuter avec un parent, ou un collègue de travail, bien plus âgé que moi.
Je réalise que je n'ai jamais connu cette situation, j'ai le rôle de la femme, qui suit un homme dans son baisodrome.

Je le sens fébrile, quand il sort les clés de l'appartement.

"Tu viens souvent ici ?".
"Non, c'est rare ! Et le pote qui me le prête, crois que c'est pour baiser une meuf ! Personne ne sait que j'aime les petits minets comme toi !".

L'endroit est un peu sombre, les volets sont fermés.
Il va fermer les fenêtres.

"Il faudrait pas qu'on t'entende couiner ! Même si j'adore ça ! Viens, approches !".

Je le rejoins près de la fenêtre, on voit les gens passer en dessous de nous, dans la rue, à travers les persiennes.
Il déballe sa verge.

"Tu vas me sucer ! Ca m'excite que les gens passent, sans savoir que tu me pompes la bite !".

Je m'accroupi devant lui, sa grosse verge me déforme la gorge.
J'avoue que moi aussi, ça m'excite.
Il me fait régurgiter, en recrachant ma salive sur ma lèvre inférieure.

"Hummmm ! Ouais ! Comme ça, toi aussi, ça t'excite ?".
"Oui ! J'aime trop sucer ta grosse bite ! S'ils me voyaient !".
"Hummmm ! Continues, salope ! Putain, je suis content que t'es accepté de me voir ! On va bien s'amuser tous les deux !".

Je me régale plus tranquillement de sa grosse verge. il me caresse les cheveux.

"Tu sais que j'ai pas arrêté de penser à notre baise de l'autre jour ! C'était trop bon ! J'avais plus envie de ma vieille, à cause de ta chatte !".
"Mmmmmm ! Désolé ! J'y suis pour rien ! Mais moi aussi, j'y ai beaucoup repensé, surtout avec ce que tu m'as fait ! Mmmmm !...".

"Qu'est-ce que je t'ai fait ?".
"Ben, je sais pas comment ils t'encaissent les autres, mais moi, tu m'a fait saigner du cul !".

"J'en baise pas beaucoup d'autres ! Mais tu vas t'habituer ! Tu verras !".
"Je sais ! C'est pas la première fois que ça m'arrive !".
"Bon, j'ai envie de changer, viens !".

Il étale une nappe sur le sol, après s'être dénudé, en même temps que moi.
Je me positionne au dessus de sa verge, pour le sucer, pendant qu'il plonge sa langue entre mes fesses.

"Hummmmm ! Ca, c'est mon péché mignon ! J'adore te bouffer la chatte !".

J'avoue que grâce à lui, j'y prend de plus en plus, de plaisir.
Surtout quand il me détend assez, pour m'enfoncer sa langue.
Je l'en pompe encore plus goulument ! Je lui dévore la queue !

Puis, je craque, j'ai trop envie qu'il me prenne !
Je me redresse sur son visage, en ondulant du bassin.
Sa grosse langue me fouille l'intérieur de la chatte !

"Orghhh ! Ca m'excite ! Baise-moi ! S'il te plait !".

Il ne s'arrête pas !

Je décide de me dégager, pour me placer au dessus de son gros gland.

"Non ! Pas comme ça ! Je veux voir ma bite, pendant que tu te la prends dans la chatte ! Mets-toi à quatre pattes !".

Je me positionne comme une femelle, qui attend sa saillie.

"Cambres ton cul ! Mieux que ça ! Salope ! Tu la veux ma bite ?".
"Oui ! Je la veux ! Orghhhh ! Oui ! Doucement ! Arghhhhhhhh ! Tu es gros !".

"Ecartes toi bien les fesses ! Aide-moi à te la mettre, salope !".
"Orhhhhhhhhhh ! Putain ! Arghhhhhhhh ! Stop ! Ne pousses plus ! Laisses-moi m'habituer !".

Il remplace mes mains par les siennes, puis me cale contre le mur, face à moi, pour pousser sur son gros mandrin.
"Arghhhhhhhhhhh ! Salaud ! Putainnnnnnnnnn ! Tu m'déchires le cul, encore !...".
"Voilà, ça y est ! J'y suis ! C'est pas mieux comme ça ? Hummm ! Qu'est qu'on est bien dans ta chatte !".

"Orhhhhhhhhhh ! Orhhhhhhhhhh ! Orhhhhhhhhhh ! Doucement ! Arghhhhhh ! Putain ! C'est bon !...".
"T'en redemande, maintenant ! Sale pute ! Je vais te démonter, maintenant !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Salaud ! Arghhhhhhhhhh !...".

Au début, sa grosse verge avait du mal à glisser en moi, mais, plus il m'encule, et plus je lubrifie sur elle.

Il me déchire le cul avec une grande aisance, à présent.
Putain, ce qu'il est dur, dans mon pauvre orifice anal !
Ma tête est vrillée sur le coté, contre le mur, pendant qu'il me défonce l'anus, à grands coups de bite.

Ma verge, habituellement au repos, ne l'est plus !
Il me sollicite trop la prostate !
Le plaisir m'envahit tout le corps, puis je suis pris de spasmes dans la queue.
Je macule la nappe sous moi, en râlant comme une chienne.

"Tu craches ton jus, salope ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Oui ! Salaud ! Putainnnnnnnnnn ! Je joui du cul aussi ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".

"Je peux me lâcher, alors ? Orghhhhhhhhhh ! Tiens, prend ça ! Arghhhhhhhhhhh ! Putain, c'est trop bon !".

Il ajoute, pendant que je râle mon plaisir:

"Orhhh ! Mon dieu ! Ce que j'aime ta chatte ! Minot ! Arghhhhhhhhh ! Je me vide les couilles ! Ouiiiiiiiiiiii !".

Il recule mon corps, pour me coucher sous lui, en s'agrippant à mes épaules.

"Orhhhhhhhhhh ! Doucement ! Arghhhhhh ! Putain ! T'es gros ! Tu me détruis la chatte !...".

Il gémit, en vivant ses derniers spasmes d'éjections éjaculatoires.

"Orhhhhh ! Orhhhhhhhhhh ! Arghhhhhh ! Putain ! C'est bon, minot ! J'ai trop bien joui ! J'crois que j'ai jamais autant giclé dans un cul !".

Il m'oblige à vivre ses derniers mouvements de verge, sans bouger sous lui.
Il me garde à ma place de salope soumise, et ça me plait !

Le moment est long ! Très long ! Puis, il se tourne sur le coté:

"Viens me sucer la bite ! Elle est pleine de foutre ! Laves-moi ça !".

Je me penche doucement sur sa verge, pour la lécher.

"Hummmm ! Voilà ! Comme ça, c'est bien ! T'es une bonne salope ! Bien soumise ! Orhhh ! Oui, encore avec ta langue ! Laves mes couilles aussi !".

On entend un peu les passants, dans la rue, pendant que je fais des bruits de succions.

"Alors, t'as aimé, comment je t'ai enculé, ma salope ? On le refera ?".
"Mmmmmm ! Oui ! Quand tu veux !".

Je commence à le cerner, c'est le genre d'homme qui ne tient pas aussi longtemps que les autres.
Mais, il reprend vigueur assez vite, et je sais que je vais encore me faire enculer, une fois de plus, voire deux !

On a effacé les traces de nos ébats.
On est restés nus, l'un contre l'autre, sur le canapé à se faire des confidences.
Puis, de fil en aiguille, il m'a baissé sur sa queue, qui commençait à rebander sous mes caresses.

"Putain, tu m'excites trop ! Minot ! Ca m'est plus arrivé, depuis un moment ! Je retrouve ma jeunesse avec toi !".

Il m'a couché contre une table, pour se branler dans ma chatte.
J'ai joui presque instantanément, dès sa réinsertion, puis ça s'est calmé.

J'ai alors connu d'autres orgasmes, pour atteindre le plaisir prostatique.
J'ai vidé ma vessie pour la première fois avec lui.
Comme tous mes amants, il a adoré ça !

J'ai vécu mes orgasmes humides, jusqu'au sien, toujours dans mes intestins.
On s'est quitté ensuite.

Plus tard, on s'est peu revu, problème de disponibilités réciproques !
Presque toujours dans ce "baisodrome".
Je me suis toujours demandé ce que pensais les voisins qui nous croisaient, arrivant ou partant de l'appart.
Je me rappelle encore, de ce que je ressentais en sortant de là !
Je croisais des jolies filles qui me faisaient du charme, mais moi, je me sentais illégitime !
Je ne méritais pas de leur plaire, j'avais encore l'anus douloureux, de la défonce anale d'un homme, deux fois plus âgé que moi.
Et j'allais devoir changer de slip, à l'insu de ma femme, encore ignorante de mon vice caché.

Un an et demi plus tard, j'ai signé pour une mission intérim en dehors de la ville.
Devinez qui travaillait dans la boite ?
Dès le premier déshabillage dans le vestiaire, je savais qu'il matait mon cul !
Il m'a demandé discrètement de ne rien dire aux autres.
Il tenait trop à son image de queutard hétéro invétéré !

Ce ne fut pas simple, de bosser en sachant qu'un collègue connaissait mon secret.
Mais je m'y suis habitué.
Par contre, pour lui, c'était plus difficile, il avait envie de moi !
J'étais une tentation perpétuelle.

Dès qu'il a pu, il m'a raccompagné en me prenant à la sortie.
Là, il m'emmenait dans un cabanon en ruine, mais j'en dis trop.

Il m'a coincé dans des recoins (un buisson, le local technique) pour se faire sucer.
Entre autres, on a utilisé les toilettes pour ça, elles nous le permettaient, par leur éloignement !
Mais on était rarement seuls, et on a failli se faire surprendre.
On s'est calmé, et on a peu recommencé dans l'endroit.

Sauf deux fois, on a trainé pour s'habiller, et quand tout le monde est parti, on est allés dans les douches communes.
C'était pratique pour enlever le sperme !

Puis, ce fut plus simple !
Il a exigé que ce soit moi, qui l'accompagne en chantier !

"Il travaille bien, le minot, c'est lui que je veux !".

Tu m'étonnes !
Putain, ce qu'il m'a mis dans la chatte, ce salaud ! En plus, nous étions les seuls ouvriers.
Tout le temps qu'on était en déplacement, je rentrai avec le slip, plein de taches de foutre ! Sauf quand il éjaculait dans ma gorge.
Deux semaines, à se faire remplir la chatte ! Hummm !

Le plus souvent, il m'enculait deux fois à trois fois, dans la journée, mais allez, j'arrête de me plaindre ! Même si ça perturbait ma libido hétéro, j'ai adoré ça.
Puis, on a repris le travail en atelier.
J'ai changé de boite, et on s'est revus plus épisodiquement.

Corinne n'a jamais su pour ce type, dont j'ai fini par connaitre le prénom: Léopold ! Mais, on l'appelai tous Léo.
Il est l'un de ceux qui m'appelai le plus "ma p'tite salope".

J'avoue que si au début, j'ai pris notre relation à la légère, ensuite sa domination m'a conquis.
Et je suis devenu accroc, d'abord à sa bite, puis à lui.
Je me souviens de mon bonheur d'aller le rejoindre au travail, à cette époque !

Pourtant le mec ne donnait pas envie ! Plutôt vieux et repoussant, en fait ! Mais, cette virilité ! Et cette queue ! Hummm ! J'en salive encore !

Il est arrivé dans ma vie, quand j'étais dans mon désir boulimique de sexe, le plus fort.
C'était parfait.