MA VENGEANCE. (3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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MA VENGEANCE. (3)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Ma vengeance a pris, forme, Véronique est devenu une pute et j’organise la déchéance de Gaétan.
Dans cette optique je viens de faire l’amour à Myriame, sa jolie femme dans la chambre où il me trompait avec ma femme.
Ce qui était imprévu, c’est que je ressente du sentiment pour ma jolie maîtresse.
Ces deux jours passés avec elle mon permis de balayer l’amour que je portais à Véronique pour le remplacer par ce que l’on appelle un coup de foudre que je ressens pour Myriame.
Lorsque je retrouve Véronique, elle perd son sang-froid, car elle a cru que je l’avais abandonnée enfermé dans la chambre.
Je lui donne un repas lui signalant que je pourrais être amené à m’absenter, mais quelles heures de jeûne seront toujours bonnes pour sa ligne.
• Attention, tu te négliges, je t’ai imposé d’être toujours maquillé, viens, je vais le faire.
Je l’entraîne dans la salle de bains, je prends le noir pour les yeux et je les badigeonne. Je prends le rouge pour les joues et je lui fais des joues de clown.
Enfin, le rouge à lèvres qui tourne autour de sa bouche débordant largement ses lèvres fines.
Je la saisis par les cheveux et je l’oblige à regarder sa tête dans la glace.
• Regarde la tête d’une pute qui va encore en prendre plein la chatte samedi prochain. Je suis sûr que si je te mets mes doigts dans la chatte, elle est trempée en pensant, comment ils vont l’enfiler toute la soirée.
Une fois de plus elle part en larmes détruisant mon œuvre d’art.
• Arrête, j’ai compris la leçon, jamais plus je n’appartiendrais à un autre que toi,
Le jour de notre mariage, elle m’avait fait le même serment, comment la croire.
Je retourne à mon travail et je passe des ordres qui devront être exécutés dans deux jours.
J’appelle les États-Unis où tout baigne. Au moins un secteur qui pour moi est positif dans le marasme que la trahison de Véronique m’a entraîné.
Heureusement que j’ai retrouvé l’amour dans les bras de celle qui a été aussi trompée que moi.
Je pense à tout cela en roulant vers elle, lorsque j’arrive, je trouve le même petit bout de femme avide de mon sexe lorsqu’elle s’agenouille devant moi pour avaler la totalité de ma verge qui pénètre jusqu’à mes couilles.
Elle me relâche pour mieux me reprendre et respirer un grand coup.
Je veux garder toute ma force pour la faire jouir et plus encore, au regard de notre affinité.
Je la fais se relever et elle me saute dans les bras.
Comme, lorsqu’elle a ouvert, elle était nue, ma verge qu’elle a fait tendre au maximum avec sa bouche entre en elle lorsque je la repose dessus.
J’ai ses bras en collier autour de mon cou et ses lèvres sur mes lèvres.
Petite et légère, je la fais sauter comme un bouchon sur ma tige qui entre en elle comme si elle était venue s’emmancher sur un mât de cocagne.
Elle est riche en bruit divers pour exprimer son plaisir.
À combien de mètres les voisins vont-ils finir par croire que Gaétan l’égorge.
Il faut qu’ils aient confiance en ma bite, je lui donne du bonheur qu’elle semble avoir été privée depuis un long moment.
Dès que je la dépose sur le lit de misère de son mariage, elle me tend sa croupe pour que je continue à pilonner sa chatte lui arrachant là encore toute une litanie de mots qui sont de plus en plus crus.
J’en ai entendu dans ma jeunesse, mais avec elle j’atteins des flots de termes tous très osés et que je refuse de retranscrire non pas, car je suis prude, mais parce qu’ils sont la plupart du temps en rapport avec ma virilité et la manière dont elle reçoit ma verge en elle.
Je passe une nuit de rêve. Il me semble que le faite de se faire prendre dans le lit conjugal décuple les ardeurs de Myriame.
Lorsqu’elle projette son basin vers ma verge ou elle s’est assise toute la hargne qu’elle y met me fait la remplir par de longs traits de sperme qu’elle apprécie aux râles que j’entends.
Glissant vers le pied du lit, elle vient récupérer dans sa bouche les dernières traces de ma jouissance.
Cinq fois, cinq fois je l’honore jusqu’à décharger. Cinq fois je me vide en elle alors que de son côté, elle jouit jusqu’au bout de la nuit.
Au matin, elle m’apporte un déjeuner au lit refusant que je la quitte.
Je le fais pourtant ayant encore des choses à faire chez moi ou je dois nourrir ma pute pour qu’elle soit en forme pour se donner à ses clients samedi. Après je rejoins mon entreprise où je peaufine ma vengeance contre Gaétan.
Le vendredi soir, je préviens ma petite de mon absence pour le week-end désolé de lui mentir, car il est hors de question de lui avoué ce que Véronique va faire à Barcelone.
De son côté, elle part chez sa mère prétextant qu’elle est malade pour huit jours afin d’éviter de rencontrer son mari.
Son mari vient à mon bureau ce matin pour comprendre pourquoi je l’ai envoyé à Berlin où il a attendu pour rien.
Je le détrompe lui certifiant que ces trois jours ont été bénéfiques pour nos entreprises mais qu’il est trop tôt pour que je lui dévoile certains points toujours en négociation.
• Tu pars dimanche soir au État Uni à Houston pour une durée indéterminée voilà tes billets d’avion que ma secrétaire t’a pris, ta fiche Esta qu’elle a téléchargée sur Internet, tu as bien fait ton passeport biométrique qui te permet d’éviter la demande de visa ?
• Oui, j’ai tout et mon passeport date de trois mois.
• Tu attendras à l’hôtel Hilton comme tu l’as fait à Berlin et tu te tiendras prêt à intervenir à mon moindre coup de fil de ma part.
Tu mangeras dans ta chambre et tu as interdiction de sortir, des millions de dollars sont en jeu et surtout la survie de nos deux entreprises.
Avant de partir, établit une procuration en blanc à mon nom me donnant tout pouvoir, car il y a des chances que pour clore l’affaire ta signature et la mienne soit nécessaire et la moindre minute de retard nous serait fatale.
Je sais que signer un blanc est illégale, mais qui ira vérifier que tu as signé le papier avant ton départ.
Lorsque l’on touchera le tas d’or que nous allons gagner, tu me remercieras.
Je te téléphonerais soit pour que tu interviennes sur place s’il y a problème sois pour que je te prévienne que tout s’est bien passé et que tu peux rentrer.
• Tu as de la chance, en entrant j’avais un SMS de Myriame qui m’a prévenu qu’elle s’absentait pour aller au chevet de sa maman, je vais éviter toutes questions sur mon voyage.
Plus c’est gros plus, cela paraît vrai.
• Je peux te poser une question.
• Je t’ai toujours tout dit, jamais depuis notre enfance, je ne t’ai caché la moindre chose.
• Moi non plus, Myriame dans son SMS demandait que si je te voyais, je te demande où est Véronique, elle essaye désespérément de la joindre et son phone la renvoie vers la boîte vocale.
La ficelle est un peu grosse, il s’inquiète de sa maîtresse qui doit être dans l’impossibilité de lui répondre, j’aimerais pouvoir lui répondre !
J’ai bien une petite idée, mais est-il digne de confiance.
• Je voulais éviter d’en parler, c’est le seul point noir dans ma vie en ce moment, j’ai reçu un message que je suis dans l’impossibilité de savoir de qui, il vient m’annonçant qu’elle a été vue dans le grand hôtel de la ville et cette semaine prendre un avion pour l’Espagne.
Je me suis renseigné.
À l’hôtel le concierge l’a reconnue sur la photo que je lui ai montré en la récupérant sur mon bureau. Il m’a même dit qu’elle était restée trois jours sans descendre mangeant avec le roomservice dans la chambre dont il a refusé de me donner le numéro.
• Il t’a parlé de son amant, car je suppose que si elle a rejoint un homme, ils ont fait autre chose que de se regarder dans le blanc des yeux.
• Il a bien voulu me dire qu’elle il l’avait vu, mais sur l’homme, il a refusé de me dire son nom.
Il a regardé le registre m’a certifié que la réservation avait été faite par un homme, mais a strictement refusé de me donner son nom, car il risquait sa place. J’ai sorti des billets de cent qu’il a repoussés montrant son intégrité. J’en savais assez alors je suis parti sans insister.
Je le vois se redresser, c’étant voûté lorsque j’ai commencé à parler de l’hôtel où il baisait Véronique.
• Quant à l’aéroport au guichet d’embarquement la préposée la reconnut en partance seule vers Barcelone.
• Je lui ai demandé si elle était seule, elle a eu du mal à se souvenir, mais a fini par admettre qu’elle était peut-être avec le jeune homme qui était derrière elle. Lorsque ses bagages ont été enregistrés, elle a semblé l’attendre. Elle a bien ajouté qu’elle ne peut toutefois pas l’affirmer.
Je suis sûr qu’elle est partie avec son amant.
Tu te rends compte, je viens de découvrir que je suis cocu.
Quel con, tout ce qui vient de lui être dit sur le départ de Véronique, est cousu de fil blanc et un homme ayant de la jugeote me les ferait remarquer.
• Sur ce plan, je suis tranquille, je vais te faire, moi aussi une confidence lorsque nous faisons l’amour Myriame écarte les cuisses et attend que j’aie déchargé, se retourne et s’endors.
Pauvre con, tu as un volcan dans ton lit, une folle de son cul et tu vas baiser ailleurs.
• Oui, tu as de la chance.
Moi aussi j’ai le droit d’être faux-cul !
La tête qu’il fait lorsqu’il a conscience que Véronique est parti peut-être avec un plus jeune que lui est d’une grande jouissance pour moi qui suis le cocu primaire.
Et comme d’un autre côté je le fais cocu aussi, je prends l’avantage dans le monde des cocus.
Je le vois partir sachant qu’il est mort dans son boulot en m’ayant donné les pleins pouvoirs surtout que ce très grand couillon a signés trois blancs qui vont me permettre d’agir avec plus d’ampleur.
Je prends un deuxième portable anonyme dans mon coffre.
J’envoie un SMS à Gaétan.
« J’ai réussi à trouver un motif pour partir et je suis allé à Barcelone chez une amie. Je t’attends à l’adresse que je t’indique à vingt-deux heures précises. Ne soit surtout pas surpris de l’endroit où habite ma copine. Tu demanderas à son mari que tu veux voir Viviane, il te fera conduire à moi. Je te le redis, l’endroit est surprenant, mais je t’attends sagement. »J’espère qu’il fera le voyage vers Barcelone, la surprise va être grand avant d’aller s’enterrer aux États-Unis.
Le samedi arrive et à l’heure prévue ma pute monte en voiture en géniens toujours autant.
• Christian, j’espérais que tu aurais eu enfin pitié et que tu aurais de la compassion pour moi.
• J’ai beaucoup de compassion, mais il faut bien que tu fasses la pute pour récupérer le fric que tu m’as coûté.
• Mais tu le jettes.
• Je crois t’avoir déjà dit que je faisais ce que je voulais de mon fric, c’est la dernière fois que je te le dis. Chaque fois que je te fais une remontrance, c’est une semaine de plus au bordel.
Maintenant pour mon seul plaisir et que je bande un peu pendant le trajet, raconte-moi Gaétan.
• Tout a commencé, il y a un an quelques jours avant le jour de ton anniversaire lorsque nous les avons reçus pour ton repas.
Tous les jours précédents, j’ai reçu des messages de plus en plus suggestifs.
Il avait récupéré mon numéro de portable sur celui de Myriam.
Son premier message me disait qu’il était tombé amoureux de moi et le dernier une heure avant qu’ils arrivent, c’était qu’il voulait que j’évite d’avoir une culotte et un soutien gorges.
Il m’avait tellement échauffé que je l’ai fait et que, lorsque je suis allé à la cuisine réussissant à me rejoindre sans Myriame pour allumer les bougies du gâteau d’anniversaire de son ami, il est venu derrière moi à soulever ma petite jupe et prestement il a sorti sa queue qu’il m’a plantée dans la chatte.
J’avais du mal à les allumer à mesure que mon plaisir montait.
Il a dû le sentir, car il a écarté mon corsage et m’a attrapé les seins.
Il me les a griffés ce qui m’a fait pousser un cri.
Souvent toi, tu m’as demandé ce qu’il y avait et Gaétan a dit que je m’étais brûlé avec une allumette.
La peur que j’avais d’être surprise a décuplé l’orgasme qu’il a déclenché en moi me remplissant d’un bon jus bien chaud que je sentais fuser entre mes cuisses et sa bite vers l’extérieur tellement il m’a rempli.
Lorsque j’ai remis mon chemisier correctement et que j’ai apporté le gâteau, je sentais son sperme coulé le long de mes cuisses et la simple pensé de ce que nous venions de faire a déclenché un orgasme dans mon ventre qui a failli me faire échapper ton gâteau.
Ces provocations ont continué au fil des jours et il souhaitait toujours me prendre dans des endroits et des postures toujours osées qui ont amplifié ma soumission envers lui.
On a baisé dans sa voiture devant la maison un soir d’automne dans la nuit alors que tu prenais un bain et que je suis sortie nue sous un simple peignoir.
Il était à la place du chauffeur et sa bite était tout dur lorsque je suis entré, je me suis assise à califourchon dessus et alors qu’il me pilonnait, le volant me labourait le dos, la douleur s’est transformée en plaisir.
Il m’a rempli une nouvelle fois et lorsque je suis entré, je t’ai rejoint pour prendre un bain et au moment où je passais au-dessus du rebord de la baignoire, tu as mis tes doigts dans ma chatte et tu m’as dit être content que je mouille pour toi.
Tu m’as fait descendre sur ta verge et lorsque tu es entré, je savais que ta queue baignait dans le sperme de Gaétan, j’ai failli mourir de honte, mais la salope qu’il a faite de moi a pris le dessus et tu m’as fait jouir encore plus fort lorsque je te sentais coulisser dans son jus.
Brec arrête, je bande comme un taureau à toutes ces évocations et il faut que je m’arrête pour m’aérer un peu afin de faire retomber la pression, car si je m’écoutais, je vais la prendre près du petit bois au bout du parking et ainsi je serais son premier client de la journée.
Je tiens à être fidèle à Myriame alors je fais les cent pas jusqu’à ce que la tension retombe.
La fin du voyage se termine en même temps qu’elle m’explique que sa dernière lubie a été de passer une nuit complète avec elle et c’est pour cela qu’ils ont profité de mon absence pour prendre une chambre à l’hôtel.
• Descends et entre, au boulot…
Ma vengeance a pris, forme, Véronique est devenu une pute et j’organise la déchéance de Gaétan.
Dans cette optique je viens de faire l’amour à Myriame, sa jolie femme dans la chambre où il me trompait avec ma femme.
Ce qui était imprévu, c’est que je ressente du sentiment pour ma jolie maîtresse.
Ces deux jours passés avec elle mon permis de balayer l’amour que je portais à Véronique pour le remplacer par ce que l’on appelle un coup de foudre que je ressens pour Myriame.
Lorsque je retrouve Véronique, elle perd son sang-froid, car elle a cru que je l’avais abandonnée enfermé dans la chambre.
Je lui donne un repas lui signalant que je pourrais être amené à m’absenter, mais quelles heures de jeûne seront toujours bonnes pour sa ligne.
• Attention, tu te négliges, je t’ai imposé d’être toujours maquillé, viens, je vais le faire.
Je l’entraîne dans la salle de bains, je prends le noir pour les yeux et je les badigeonne. Je prends le rouge pour les joues et je lui fais des joues de clown.
Enfin, le rouge à lèvres qui tourne autour de sa bouche débordant largement ses lèvres fines.
Je la saisis par les cheveux et je l’oblige à regarder sa tête dans la glace.
• Regarde la tête d’une pute qui va encore en prendre plein la chatte samedi prochain. Je suis sûr que si je te mets mes doigts dans la chatte, elle est trempée en pensant, comment ils vont l’enfiler toute la soirée.
Une fois de plus elle part en larmes détruisant mon œuvre d’art.
• Arrête, j’ai compris la leçon, jamais plus je n’appartiendrais à un autre que toi,
Le jour de notre mariage, elle m’avait fait le même serment, comment la croire.
Je retourne à mon travail et je passe des ordres qui devront être exécutés dans deux jours.
J’appelle les États-Unis où tout baigne. Au moins un secteur qui pour moi est positif dans le marasme que la trahison de Véronique m’a entraîné.
Heureusement que j’ai retrouvé l’amour dans les bras de celle qui a été aussi trompée que moi.
Je pense à tout cela en roulant vers elle, lorsque j’arrive, je trouve le même petit bout de femme avide de mon sexe lorsqu’elle s’agenouille devant moi pour avaler la totalité de ma verge qui pénètre jusqu’à mes couilles.
Elle me relâche pour mieux me reprendre et respirer un grand coup.
Je veux garder toute ma force pour la faire jouir et plus encore, au regard de notre affinité.
Je la fais se relever et elle me saute dans les bras.
Comme, lorsqu’elle a ouvert, elle était nue, ma verge qu’elle a fait tendre au maximum avec sa bouche entre en elle lorsque je la repose dessus.
J’ai ses bras en collier autour de mon cou et ses lèvres sur mes lèvres.
Petite et légère, je la fais sauter comme un bouchon sur ma tige qui entre en elle comme si elle était venue s’emmancher sur un mât de cocagne.
Elle est riche en bruit divers pour exprimer son plaisir.
À combien de mètres les voisins vont-ils finir par croire que Gaétan l’égorge.
Il faut qu’ils aient confiance en ma bite, je lui donne du bonheur qu’elle semble avoir été privée depuis un long moment.
Dès que je la dépose sur le lit de misère de son mariage, elle me tend sa croupe pour que je continue à pilonner sa chatte lui arrachant là encore toute une litanie de mots qui sont de plus en plus crus.
J’en ai entendu dans ma jeunesse, mais avec elle j’atteins des flots de termes tous très osés et que je refuse de retranscrire non pas, car je suis prude, mais parce qu’ils sont la plupart du temps en rapport avec ma virilité et la manière dont elle reçoit ma verge en elle.
Je passe une nuit de rêve. Il me semble que le faite de se faire prendre dans le lit conjugal décuple les ardeurs de Myriame.
Lorsqu’elle projette son basin vers ma verge ou elle s’est assise toute la hargne qu’elle y met me fait la remplir par de longs traits de sperme qu’elle apprécie aux râles que j’entends.
Glissant vers le pied du lit, elle vient récupérer dans sa bouche les dernières traces de ma jouissance.
Cinq fois, cinq fois je l’honore jusqu’à décharger. Cinq fois je me vide en elle alors que de son côté, elle jouit jusqu’au bout de la nuit.
Au matin, elle m’apporte un déjeuner au lit refusant que je la quitte.
Je le fais pourtant ayant encore des choses à faire chez moi ou je dois nourrir ma pute pour qu’elle soit en forme pour se donner à ses clients samedi. Après je rejoins mon entreprise où je peaufine ma vengeance contre Gaétan.
Le vendredi soir, je préviens ma petite de mon absence pour le week-end désolé de lui mentir, car il est hors de question de lui avoué ce que Véronique va faire à Barcelone.
De son côté, elle part chez sa mère prétextant qu’elle est malade pour huit jours afin d’éviter de rencontrer son mari.
Son mari vient à mon bureau ce matin pour comprendre pourquoi je l’ai envoyé à Berlin où il a attendu pour rien.
Je le détrompe lui certifiant que ces trois jours ont été bénéfiques pour nos entreprises mais qu’il est trop tôt pour que je lui dévoile certains points toujours en négociation.
• Tu pars dimanche soir au État Uni à Houston pour une durée indéterminée voilà tes billets d’avion que ma secrétaire t’a pris, ta fiche Esta qu’elle a téléchargée sur Internet, tu as bien fait ton passeport biométrique qui te permet d’éviter la demande de visa ?
• Oui, j’ai tout et mon passeport date de trois mois.
• Tu attendras à l’hôtel Hilton comme tu l’as fait à Berlin et tu te tiendras prêt à intervenir à mon moindre coup de fil de ma part.
Tu mangeras dans ta chambre et tu as interdiction de sortir, des millions de dollars sont en jeu et surtout la survie de nos deux entreprises.
Avant de partir, établit une procuration en blanc à mon nom me donnant tout pouvoir, car il y a des chances que pour clore l’affaire ta signature et la mienne soit nécessaire et la moindre minute de retard nous serait fatale.
Je sais que signer un blanc est illégale, mais qui ira vérifier que tu as signé le papier avant ton départ.
Lorsque l’on touchera le tas d’or que nous allons gagner, tu me remercieras.
Je te téléphonerais soit pour que tu interviennes sur place s’il y a problème sois pour que je te prévienne que tout s’est bien passé et que tu peux rentrer.
• Tu as de la chance, en entrant j’avais un SMS de Myriame qui m’a prévenu qu’elle s’absentait pour aller au chevet de sa maman, je vais éviter toutes questions sur mon voyage.
Plus c’est gros plus, cela paraît vrai.
• Je peux te poser une question.
• Je t’ai toujours tout dit, jamais depuis notre enfance, je ne t’ai caché la moindre chose.
• Moi non plus, Myriame dans son SMS demandait que si je te voyais, je te demande où est Véronique, elle essaye désespérément de la joindre et son phone la renvoie vers la boîte vocale.
La ficelle est un peu grosse, il s’inquiète de sa maîtresse qui doit être dans l’impossibilité de lui répondre, j’aimerais pouvoir lui répondre !
J’ai bien une petite idée, mais est-il digne de confiance.
• Je voulais éviter d’en parler, c’est le seul point noir dans ma vie en ce moment, j’ai reçu un message que je suis dans l’impossibilité de savoir de qui, il vient m’annonçant qu’elle a été vue dans le grand hôtel de la ville et cette semaine prendre un avion pour l’Espagne.
Je me suis renseigné.
À l’hôtel le concierge l’a reconnue sur la photo que je lui ai montré en la récupérant sur mon bureau. Il m’a même dit qu’elle était restée trois jours sans descendre mangeant avec le roomservice dans la chambre dont il a refusé de me donner le numéro.
• Il t’a parlé de son amant, car je suppose que si elle a rejoint un homme, ils ont fait autre chose que de se regarder dans le blanc des yeux.
• Il a bien voulu me dire qu’elle il l’avait vu, mais sur l’homme, il a refusé de me dire son nom.
Il a regardé le registre m’a certifié que la réservation avait été faite par un homme, mais a strictement refusé de me donner son nom, car il risquait sa place. J’ai sorti des billets de cent qu’il a repoussés montrant son intégrité. J’en savais assez alors je suis parti sans insister.
Je le vois se redresser, c’étant voûté lorsque j’ai commencé à parler de l’hôtel où il baisait Véronique.
• Quant à l’aéroport au guichet d’embarquement la préposée la reconnut en partance seule vers Barcelone.
• Je lui ai demandé si elle était seule, elle a eu du mal à se souvenir, mais a fini par admettre qu’elle était peut-être avec le jeune homme qui était derrière elle. Lorsque ses bagages ont été enregistrés, elle a semblé l’attendre. Elle a bien ajouté qu’elle ne peut toutefois pas l’affirmer.
Je suis sûr qu’elle est partie avec son amant.
Tu te rends compte, je viens de découvrir que je suis cocu.
Quel con, tout ce qui vient de lui être dit sur le départ de Véronique, est cousu de fil blanc et un homme ayant de la jugeote me les ferait remarquer.
• Sur ce plan, je suis tranquille, je vais te faire, moi aussi une confidence lorsque nous faisons l’amour Myriame écarte les cuisses et attend que j’aie déchargé, se retourne et s’endors.
Pauvre con, tu as un volcan dans ton lit, une folle de son cul et tu vas baiser ailleurs.
• Oui, tu as de la chance.
Moi aussi j’ai le droit d’être faux-cul !
La tête qu’il fait lorsqu’il a conscience que Véronique est parti peut-être avec un plus jeune que lui est d’une grande jouissance pour moi qui suis le cocu primaire.
Et comme d’un autre côté je le fais cocu aussi, je prends l’avantage dans le monde des cocus.
Je le vois partir sachant qu’il est mort dans son boulot en m’ayant donné les pleins pouvoirs surtout que ce très grand couillon a signés trois blancs qui vont me permettre d’agir avec plus d’ampleur.
Je prends un deuxième portable anonyme dans mon coffre.
J’envoie un SMS à Gaétan.
« J’ai réussi à trouver un motif pour partir et je suis allé à Barcelone chez une amie. Je t’attends à l’adresse que je t’indique à vingt-deux heures précises. Ne soit surtout pas surpris de l’endroit où habite ma copine. Tu demanderas à son mari que tu veux voir Viviane, il te fera conduire à moi. Je te le redis, l’endroit est surprenant, mais je t’attends sagement. »J’espère qu’il fera le voyage vers Barcelone, la surprise va être grand avant d’aller s’enterrer aux États-Unis.
Le samedi arrive et à l’heure prévue ma pute monte en voiture en géniens toujours autant.
• Christian, j’espérais que tu aurais eu enfin pitié et que tu aurais de la compassion pour moi.
• J’ai beaucoup de compassion, mais il faut bien que tu fasses la pute pour récupérer le fric que tu m’as coûté.
• Mais tu le jettes.
• Je crois t’avoir déjà dit que je faisais ce que je voulais de mon fric, c’est la dernière fois que je te le dis. Chaque fois que je te fais une remontrance, c’est une semaine de plus au bordel.
Maintenant pour mon seul plaisir et que je bande un peu pendant le trajet, raconte-moi Gaétan.
• Tout a commencé, il y a un an quelques jours avant le jour de ton anniversaire lorsque nous les avons reçus pour ton repas.
Tous les jours précédents, j’ai reçu des messages de plus en plus suggestifs.
Il avait récupéré mon numéro de portable sur celui de Myriam.
Son premier message me disait qu’il était tombé amoureux de moi et le dernier une heure avant qu’ils arrivent, c’était qu’il voulait que j’évite d’avoir une culotte et un soutien gorges.
Il m’avait tellement échauffé que je l’ai fait et que, lorsque je suis allé à la cuisine réussissant à me rejoindre sans Myriame pour allumer les bougies du gâteau d’anniversaire de son ami, il est venu derrière moi à soulever ma petite jupe et prestement il a sorti sa queue qu’il m’a plantée dans la chatte.
J’avais du mal à les allumer à mesure que mon plaisir montait.
Il a dû le sentir, car il a écarté mon corsage et m’a attrapé les seins.
Il me les a griffés ce qui m’a fait pousser un cri.
Souvent toi, tu m’as demandé ce qu’il y avait et Gaétan a dit que je m’étais brûlé avec une allumette.
La peur que j’avais d’être surprise a décuplé l’orgasme qu’il a déclenché en moi me remplissant d’un bon jus bien chaud que je sentais fuser entre mes cuisses et sa bite vers l’extérieur tellement il m’a rempli.
Lorsque j’ai remis mon chemisier correctement et que j’ai apporté le gâteau, je sentais son sperme coulé le long de mes cuisses et la simple pensé de ce que nous venions de faire a déclenché un orgasme dans mon ventre qui a failli me faire échapper ton gâteau.
Ces provocations ont continué au fil des jours et il souhaitait toujours me prendre dans des endroits et des postures toujours osées qui ont amplifié ma soumission envers lui.
On a baisé dans sa voiture devant la maison un soir d’automne dans la nuit alors que tu prenais un bain et que je suis sortie nue sous un simple peignoir.
Il était à la place du chauffeur et sa bite était tout dur lorsque je suis entré, je me suis assise à califourchon dessus et alors qu’il me pilonnait, le volant me labourait le dos, la douleur s’est transformée en plaisir.
Il m’a rempli une nouvelle fois et lorsque je suis entré, je t’ai rejoint pour prendre un bain et au moment où je passais au-dessus du rebord de la baignoire, tu as mis tes doigts dans ma chatte et tu m’as dit être content que je mouille pour toi.
Tu m’as fait descendre sur ta verge et lorsque tu es entré, je savais que ta queue baignait dans le sperme de Gaétan, j’ai failli mourir de honte, mais la salope qu’il a faite de moi a pris le dessus et tu m’as fait jouir encore plus fort lorsque je te sentais coulisser dans son jus.
Brec arrête, je bande comme un taureau à toutes ces évocations et il faut que je m’arrête pour m’aérer un peu afin de faire retomber la pression, car si je m’écoutais, je vais la prendre près du petit bois au bout du parking et ainsi je serais son premier client de la journée.
Je tiens à être fidèle à Myriame alors je fais les cent pas jusqu’à ce que la tension retombe.
La fin du voyage se termine en même temps qu’elle m’explique que sa dernière lubie a été de passer une nuit complète avec elle et c’est pour cela qu’ils ont profité de mon absence pour prendre une chambre à l’hôtel.
• Descends et entre, au boulot…
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