Maintenant ! c’est Moi et le Le Marchant de légumes (3) :

- Par l'auteur HDS Noura -
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Maintenant ! c’est Moi et le Le Marchant de légumes (3) : Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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Maintenant ! c’est Moi et le Le Marchant de légumes (3) :
Le vendredi et le week end suivant, le scénario fut le même et ma femme profita au maximum des capacités sexuelles du black et moi du spectacle par la fenêtre. Et chaque fois, je me masturbais et grâce à la vue du gros zob du black à l’œuvre dans ma femme et à mes vas et viens de mon doigt dans mon cul, j’arrivais à bien éjaculer une forte dose de sperme sur le mur de la caravane.
Le lundi, notre hôtesse nous informa que nous sommes tous invités, mercredi, jeudi et vendredi prochains chez sa sœur, dans la capitale, pour une grande fête familiale. Nous devons y aller avec la voiture de nos hôtes et nous devons y assister coute que coute. D’autant plus que notre retour au bled était prévu pour le début de la semaine suivante.
Pour ma femme, il fallait se rassasier de plaisirs charnels avec son black durant ces deux jours et il lui restera aussi le denier week end avant le grand départ au bled. Mais pour mes projets personnels, le temps est trop serré. Si je dois gouter le dépucelage et l’initiation à la sodomie de ma terma, il faut le faire ce lundi ou le lendemain mardi. Pendant la nuit, j’ai réfléchis et dressé un plan.
Le lendemain, lundi après-midi, j’ai espionné et suivi ma femme jusqu’à son entrée dans la caravane de son amant black. Puis je suis allé vers la caravane du jeune marchant Algerien. Dès que j’ai cogné la porte, il m’a ouvert et toujours torse nu et poilu. Je lui ai dit que j’avais un message personnel pour lui, d’un ami commun. Nous sommes alors entrés et j’ai pris la chaise et lui s’est assis sur son lit.
Il me regardait avec curiosité mais il ne me connaissait pas. Immédiatement, j’ai attaqué, en arabe. « al mar’a éli djik koula youm raha ém’ridha hadha é’s’mana » (la femme qui vient chez toi chaque jour est malade cette semaine). Très étonné, il m’a regardé avec encore plus d’attention et il m’a dit « m’né’n ta3rafha anta ? » (Comment tu la connais ?).
Alors, très rapidement, sans lui laisser le temps de trop réagir, et sans état d’âme, je lui ai avoué notre situation. Mariés dans l’ancienne tradition sexuelle bloquée depuis trente ans, ayant des enfants et des petits enfants, nous ne faisions plus l’amour depuis ces longues dernières années.
Profitant de notre voyage à l’étranger, j’ai donné à ma femme sa liberté totale sexuelle et ils en ont profité agréablement tous les deux, durant ces deux semaines. Elle est malade et ne viendra qu’après guérison. Je l’ai remercié car ma femme a eu beaucoup de plaisir et d’orgasmes et surtout de l’avoir dépuclé et initié du cul. Presque hébété, il continuait à me regarder sans mot dire.
Je restais silencieux un moment, alors il a repris ses esprits et m’a dit « hadhik martak ! wa b’3athat’hali é’nikha ! mine soua’t’ha wa mine termet’ha ! » (C’était ta femme ! et tu me l’avais envoyé pour la baiser ! de sa chatte et de sa terma !). J’ai fais oui de la tête et avec un sourire complice.
Alors, il éclata d’un rire sonore et se tapant sur les cuisses, « Hikaya s’péciale ! 3ayla s’péciale ! » (histoire spéciale ! famille spéciale !). et, complètement décomplexé, il ajouta « martak é’skhouna ! mine é’souwat’ha wa mine termet’ha » (ta femme est chaude ! de la chatte et du cul !).
Je n’étais pas gêné du tout car j’avais tout accepté depuis le début. Alors je suis passé à ma requête personnelle. « Rani jeitak thani bach é’dirli e’m’zya ! » (je suis venu te voir pour te demander un service !). Il riait toujours et me dit « bi é’lemzya ! ya h’bibi ! bi é’lemzya ! » ( avec plaisir mon ami ! avec plaisir !). Et moi « marty farhana ki halay’t’ha mine termet ‘ha bi ‘s’houla ! » ( ma femme a été contente car tu lui a ouvert le cul facilement).
Il était surpris mais il me dit doucement « na3am ! ana khabir fi fateh let’rem ! » (en effet ! je suis expert pour ouvrir les culs). Alors je lui demande « Ana chahi e’t’héli teremti bi e’shoula ! » ( moi, je désire que tu m’ouvre ma terma vierge avec facilité ! Il resta bouche bé, alors g’agoutais pour le convaincre « wa é’tchaba3ni neik manha ! kima m’rati ! » ( et que tu me rassasie de sodomies ! comme ma femme !).
Il paraissait sonné, mais il se secoua et repris son grand rire « Zébi fi khedmedkoum ! hatli ! hatli teremtek ya h’bibi ! » (Mon zob est à votre service ! donnes ! donnes moi ta terma mon ami ! ) et avec un clin d’œil complice « e’nike teremek bi zébi lakhchine ! » ( je vais niquer ta terma avec avec mon gros zob ! » et il ajouta avec son gros rire d’affamé « wa jibli martak é’nikoum fi dhouz mine tram’koum ! » (et amènes moi ta femme et je vous niquerais tous les deux par vos terma !).
Il était content et prêt, alors, immédiatement, il ota son pantalon et me montra son zob, que je connaissais et qui était l »gèrement bandé et me dit « chouf zébi ! touil wa khchine ! warini teremtek ! » ‘voici mon zob ! long et gros ! montres moi ton cul !). Prestement, j’enlevais mon pantalon et slip et, lui tournant le dos, je lui offrais mon derrière et mon cul. II s’exclama « ah ! ya h’bibi ! teremtek kbira wa 3aridha ! kima anta3 martak !» (mon ami ! ta terma est grande et large ! comme celle de ta femme !). Je reculais vers lui mon derrière et en me courbant légèrement.
Alors il m’empoigna les hanches, puis me caressa et me malaxa les fesses et mis son visage sur le sillon de mon cul et j’ai senti sa respiration sur mon anus. « zébi ! ch’7al teremtek malssa ! bla zakba wahda ! » (zébi ! comme ta terma est lisse ! sans aucun poil !) et, me léchant le sillon et l’anus, il ajouta « 3andék terema ekh’china ou em’lahma ! kheir mine martak ! » ( tu as une belle terma large et souple mieux que ta femme !) et poussant son doigt dans mon anus « bessah qarek é’mzaira ! lazem e’n’hélou’ha bil vazline ! » (mais ton cul est très serré ! on doit l’ouvrir avec l’aide de la vaseline).
Il se leva pour aller chercher le necessire et moi, en connaisseur, j’ai pris position sur le lit, poitrine sur les draps et le derrière haut soulevé, les jambes et cuisses largement écartées. Ainsi, j’offrais ma belle terma vierge et mon anus sérré avec impatience. En revenant vers moi, il me dit « hé ! jabat’ha gad gad ! mane 3almak hadha position ? « (hé ! tu est juste ! juste ! mais qui t’a appris cette position ?). Et moi, humblement, « filmate porno ! » (les films porno !) sans lui avouer évidemment, ce que j’avais vu ma femme faire pour mieux gouter ses coups de zob dan sa terma.
Il s’agenouilla derrière moi et commença d’abord par me lécher le sillon et l’anus et essaya de feire entrer un doigt. C’était difficile, quoique ces lècheries m’ont fait frissonner du cul. Alors, il me mit de la vaseline dans l’anus et même un peu à l’intérieur en forçant avec son doigt. Ça me faisait un peu mal mais pas autant quant je faisais mes besoins. Il réussit à faire pénétrer un doigt et commença des vas et viens à l’intérieur. Ça devenait très agréable ces frottis dans mon sphincter.
Il mit ensuite deux doigts, avec un peu plus de vaseline et en forçant. Un moment, j’ai eu une forte douleur sur l’anus, mais j’ai résisté et c’est passé, puis il me masturba avec ses doigts l’intérieur du cul. A un moment, il me dit « ouja3tak ? » (je te fais mal ?) et moi « non ! zid ! douk’houm ! achtar dakhali zébek ! » (non ! continues ! enfonces les ! dépêche toi de me pénétrer par ton zob !).
Alors, il s’arrêta tout en écartant ses deux doigts pour mieux m’ouvrir l’anus. J’ai ressenti comme un léger courant d’air car mon anus doit être déjà assez ouvert. Ensuite, il posa lourdement son zob tout le long du sillon de mes fesses et le frotta plusieurs fois. Ce fut une sensation nouvelle mais très agréable pour moi car son zob était bien gonflé, lourd et doux à la fois, une grosse masse de chair qui me donnait des frissons. « houk ! houk ! ya sahbi ! zebek e’hlou ! » (frotte ! frottes ! mon ami ! ton zeb est si doux !).
Ensuite, il mit son gland entre ses doigts écartés et poussa avec douceur dans mon anus. De mon coté, j’ai essayé de gonfler au maximum mon derrière pour mieux écarter mes fesses et bien ouvrir mon anus. Au début, ce fut un peu douloureux mais comme je restais stoïque et silencieux. Il continua à pousser et petit à petit son gland traversa mon anus. C’était certes encore douloureux mais ô combien merveilleux.
Il m’empoigna encore mieux les hanches avec ses groses mains et me dit « hahou zebi 7al bab qarek ! dhork nazhaou ! » ( voila mon zob a ouvert la porte de ton cul ! maintenant on va s’amuser !). Cette pénétration du gland de son zob, je l’ai ressenti dans tout mon corps avec des frissons de désirs d’un tabou interdit balayé. Enfin, je commençais à ressentir et à gouter une nouvelle forme de liberté totale et merveilleusement agréable. Un zob vient de me pénétrer et même si j’éprouvais une légère honte, je la goutais avec plaisir, avec jouissance.
Et, rapidement, en poussant toujours avec douceur, tout le gros zob pénétra dans mon sphincter. « khlass h’bibi ! haleit’lak teremtek ! zebi ag’3arlak qarek ! wa glissa dakhel e’terma ! » (ça y est mon ami ! je t’ai ouvert le cul ! mon zob t’a défoncé l’anus ! et il s’est glissé au fond de ta terma !). Quant j’ai sentis les couilles du jeune homme me chatouiller l’internieur de mes cuisses, j’ai su que le zob était totalement à l’intérieur de mon cul.
Enfin, dépucelé avec douceur, j’attendais la suite avec impatience. Je lui dis « h’bibi ! la3ab zébeb dakhal teremti ! 3aradhli teremti ! zahiha ! ( mon ami ! fais jouer ton zob dans ma terma ! élargis moi la terma ! fais la jouir ! ). Et goutant ma nouvelle liberté sexuelle « Nikni bezzaf bi zebek lekhchine ! 7ata é’n’3ayat bi l’fara7 ! wa 3assal e’neik el’teremti la3ziza ! » ( baises moi fort avec ton gros zob ! pour me faire crier de joie ! et du miel de la sodomie pour ma chère terma !)Alors, doucement il commença par plusieurs vas et viens. Moi aussi je commençais doucement à m’étourdir et je me sentais m’ouvrir de plus en plus. Brusquement, il sortit totalement son zob, ce qui me fit crier « dakhal zébék ! dkhlouli ! » (Enfonces ton zob ! enfonces le moi !). Il m’expliqua « ousbour ! bi chouwya 3ala teremtek ! » (Patience ! doucement pour ta terma !) et encore « e’nzidou vazline ! e’nmalssou e’terma chouwya ! wane e’nzidou e’neikou ! ousbour ! » ( on vas ajouter de la vaseline ! lubrifier un peu la terma ! et on continuera à baiser ! patience !).
En effet, il me mit encore du fluide et il poussa son zob et miracle, il s’enfonça presque en vitesse. J’ai juste senti ses frottements, d’ailleurs très agréables, en écartant mon anus et en se glissant tout le long de mon sphincter. Cette pénétration, malgré sa facilité a eu un aspect aussi brutal que la sortie du zob. Et c’est cela qui m’a donné encore une nouvelle sensation de jouissance, de fantasme.
Enfin, j’étais heureux d’avoir atteint mon objectif en venant me faire sodomiser. Maintenant, je constate que la pénétration d’un zob, même brutale, dans ma terma, pouvait me procurer du plaisir, physique et psychique. Cet homme était vraiment un expert de la sodomie et je vais en profiter au maximum. Laissons le, maintenant, prendre son plaisir avec ma terma. Je le lui dis « h’bibi ! dir rayak dhorka ! hahi teremti lék ! azha biha wa zahiha ! » ( mon ami ! fais ce que tu veux maintenant ! ma terma est à toi ! jouies avec et fais la jouir !).
Il poussa un autre grand rire et me dis « hadha x’actment wach galatli martak ki halayt termet’ha ! » (c’est exactement ce que m’a dit ta femme lorsque je lui ai ouvert la terma !). Et oui, on a des points communs, moi et ma femme. Puis il commença ses vas et viens en me tenant fortement par les hanches. De temps à autres, j’essayais de remuer du derrière pour mieux sentir le zob dans mes entrailles. Car, maintenant, ces mouvements du zob me procuraient une sorte de plaisir, de frissons et de jouissances. Je sentais que mon cul était bien rempli par ce gros zob mais j’avais aussi l’impression qu’il se mouillait tout seul. Et mon zob qui se mettait en érection tout seul par devant.
J’ai demandé « rah zébek issil fi qari !» mais il m’expliqua « e’zeb mazal ma tayarch h’libou ! hadhik raha teremtek é’t’sil mine é’chahoua ! » ( mon zob n’a pas encore laché son lait ! c’est ta terma qui coules de jouissances !). Et, expert, il ajouta « ki ‘zeb i7ouk e’terma ! ta7la’l’ha ! tatlaq e’3ssalha ! » (lorsque le zob frotte la terma, elle jouit alors elle libère son miel !).
Et tout en pilonnant mes entrailles par ses puissants coups de reins, il ajouta « e’terma e’tmalass dakhalha ! wa e’tzid e’t’habbal zob ! » ( la terma se lubrifie de l’intérieur ! elle affole le zob !). Et il me donna quelques coups de zob rageurs comme pour concrétiser ses dires « Hahou zebi yetgonfla ak’thar wak’thar ! » (voila mon zob qui gonfle de plus en plus !). « ya zébi ! ech7al teremtek e’hlouwa ! » (ô mon zob ! comme ta terma est douce !). J’étais content et ça ajoutait à mon plaisir.
Ainsi, ma terma exprime son plaisir et c’est ce que je voulais savoir. Voila pourquoi ma femme raffolait des sodomies. C’est gagné, moi aussi, je ne pourrais plus me priver de ce plaisir que peut me donner ma terma, d’autant plus, selon cet expert, elle est large et lisse donc attirante et bandante. « Nick ya sahbi ! nick 7’bibek wa martou ! zebek ekhchine wa h’lou zahana fi dhoudj ! » ( baises ô mon ami ! baises ton ami et sa femme ! ton gros zob est doux et nous fait jouir à tous les deux ).
Et après un long moment, il s’arcbouta sur mon derrière, agrippa mes hanches, s’enfonça autant qu’il peut dans mon cul et éjacula dans mes entrailles. Plusieurs jets chauds et puissants ont bombardé mon fond de cul et m’ont rempli jusqu’à déborder de mon anus et suinter sur mes cuisses. Paradoxalement ? c’est cette jouissance du zob dans mes entrailles qui m’a donné la vrai réalité de ma sodomie.
Alors, je lui ai avoué « ah ya sahbi ! ech’7al 7’louwa e’neika ! wa e’fraq e’za’n’na fi teremti ! » (ô mon ami ! combien est jouissante cette sodomie ! et le déversement du sperme dans ma terma !).Et encore « zebeb dakhal kamal fi qari ! wa ‘3ssal qlawyk e’ssgaouli teremti lahbiba ! ma7laha ! ma7lah ! » ( et ton zob qui m’a rempli le cul ! et le miel de tes couilles ont arrosé ma chère terma ! c’est si bon ! si bon !).
J’étais maintenant réellement sodomisé, engagé dans ma nouvelle liberté sexuelle. Rempli de la semence du mâle et avec un gros zob qui fouillait librement mes entrailles, je ne pouvais pas demander mieux pour un début. Les séances de baises de ma femme que j’avais observés puis gouté ensuite les premières réactions de mon corps par devant et ma derrière m’avaient aidés à me rapprocher de ce jeune homme. Mon dépucelage et mon initiation, sans douleur reelle, ont été une réussite et je suis heureux de mon choix et je n’ai plus aucun reproche pour ma femme, bien au contraire. Je suis un cocu heureux et un sodomisé enchanté et prêt à recommencer.
Après notre première séance de dépucelage, on s’est netoyé au mieux surtout pour évacuer le sperme de ma terma. Ensuite, j’ai décidé de sucer le zob de mon ami et de le branler un peu quoique il était resté pratiquement gonflé, mais ça me faisait plaisir de tenter aussi cette expérience. Surtout que je faisais cela face à face, mes yeux dans ceux de mon amant et sans sourciller.
Il était mon maitre dominateur et moi son esclave sexuel. « mouss ! moussli zébi ! » (suces ! suces mon zob ! « e’tlamssou wa 7oukou bi yadék ! » ( tates le et branles le avec tes mains !) et encore, pendant que je le suçais comme j’ai vu faire ma femme « hiss el qoua e’nta3ou ! e’zeb éli hal’lek teremtek ! » ( sent sa force ! le zob qui a ouvert ta terma !). Et avec son rire bruyant habituel « e’zeb hbib teremtek ! moussou ! gonflih ! » ( le zob amant de ta terma ! suces le ! gonfles le !). C’est toute une nouvelle manière de vivre qu’il faudrait que je maitrise convenablement pour éviter les excès et les dérapages.
Ensuite, on a reprit notre aventure sexuelle. Et ainsi, pendant plus de trois heures, le jeune homme m’a sodomisé, m’a donné du plaisir et de la jouissance de toutes les manières. J’ai même réussi à éjaculer en me masturbant pendant qu’il me pilonnait la terma. D’abord, à genoux sur le lit, puis face à face, mes jambes croisées sur son dos et les cuisses largement ouvertes, lui permettant d’avoir mon anus juste en mire de son zob. « Martak e’t7ab e’tnik kima hak dha ! e’nta thani ! » (ta femme aime baiser comme ça ! toi aussi !). Moi aussi, j’ai ressenti les plaisirs des poils de sa poitrine sur la mienne et à ce moment, mon assentiment etait total pour ma femme.
Puis, je lui ai demandé de me niquer, assis sur la chaise et moi, enfonçant mon cul sur son zob pointé à la verticale. Je branlais ma terma sur son zob et gémissais de jouissance. Il était étonné et s’est exclamé « ya zébi ! ch7al tachti e’neik ! » ( zobi ! combien tu aimes la baise !) et encore « achta7 fog zébi ! achta7 ! rani e’tgonflet ki el’borka’n ! » ( danses : danses sur mon zob ! je suis gonflé comme un volcan !).
Et il éjacula pour la troisième fois des giclées ressenties par tous les deux différentes des pécedentes car la position assise était spéciale, érotique et c’était moi qui sodomisait ma terma, à ma guise, à mon rythme de plaisir. J’ai aussi osé caresser ses fesses poilus et sincèrement, moi l’imberbe, cela me donnait des frissons et des envies totales de m’abandonner à cet homme.
La aussi, au rythme de ses vas et viens je me suis branlé et juste après son éjaculation, j’ai eu la mienne sur son ventre et sa poitrine, en forçant un peu. Il a rigolé « ya hbibi ! raq tatlaq mine teremtek wa mine zebek ! anta toukhrouj nayak wa maniouk ‘ekbir ! terma wa zob ! » ( mon ami ! tu deverses de ta terma et de ton zob ! tu sera un grand amateur de terma et de zobs!).
C’est vrai ! je commence à constater que j’avais le feu dans ma terma mais aussi dans mon zob. On verra plus tard ce que cela donnera. Enfin, fatigués et rassasiés, on s’est un peu nettoyés et rhabillés. Il m’a dit « aroua7 qoudwa fi blaçat martak lamridha ! » ( viens demain à la place de ta femme malade ! » et il ajouta « teremtek h’loua ! kheir mine termet martak ! yamkane raha mazalate dhy’ga 3ala zébi ! ki i7ouk’ha ‘e’n’ziid e’ta’nane ! » (ta terma est douce ! meilleure que celle de ta femme ! peut-être parce qu’elle est encore serrée pour mon zob ! quant il la frotte, mon zob se gonfles encore plus !).
Ainsi, je commence déjà à avoir un amateur pour ma terma ! Puis je l’ai quitté, très heureux d’avoir réussi le plan que j’avais élaboré hier soir. Maintenant que je suis dépucelé et initié, je peux m’amuser autant que le fait ma femme. Connaissant l’heure de son retour, j’ai un peu marché ans les alentours puis je l’ai aperçue qui trottait vers la maison. Je l’ai suivi dix minutes plus tard.
La soirée est passée normale et tous les deux, en parfaits hypocrites, rassasiés de sexe, nous avons joué notre rôle d’époux simple et distants même pendant la nuit. Avant de m’endormir, j’ai élaboré un autre plan pour demain pour rattraper ma femme en satisfaction sexuelle. Je vais accrocher ma femme avec notre hôtesse pour l’après-midi, pour achats de linges et de choses à ramener au bled.
Ainsi, elle va rater son rendez-vous avec son black et c’est moi qui irait à sa place. je vais servir à son amant black la même excuse que celle qui a réussi avec le marchant Algérien. Ensuite je lui ferais gouter ma jeune terma et on verra si elle pourra accueillir son énorme zob dont je rêvais depuis plusieurs jours. A la guerre comme à la guerre, ma terma vaut bien un petit mensonge.

Les avis des lecteurs

Moi aussi c'est comme ça ! quant la terma me démange, je ne reconnais que la loi des gros zeb ! longs et épais ! pour m'assoir dessus avec jouissances!

Histoire Erotique
Comme toujours très bien écrit et bien bandant! On attend la suite des expérimentations, peut-être des cousins ou des potes du marchand de légumes? Enfin, vivement la suite....



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