Maman à décoincer 1 - histoire érotique

Femme à décoincer chapitre 1

Aurélie, femme bien en chair, aux formes généreuses, est très coincée du cul, comme on dit. Son mari Paul désespère de la décoincer, c'est lumière éteinte qu'ils font l'amour à la papa, rien d'autre. Elle ne lui a jamais fait une gâterie, lui ne lui à jamais caressé les fesses de craindre le courroux d'Aurélie. Souvent, il se finit manuellement, pour atteindre l'orgasme. Pourtant ils s'adorent, à par le sexe Aurélie est une femme charmante très sociable et très prévenante, avec son mari et son fils Justin, qui a aujourd'hui 22 ans, il prépare un master.

le coquin, fantasme sur sa maman. le bougre l'épie, lorsqu'elle va prendre sa douche et qu'elle omet de verrouiller la porte, c'est le cas aujourd'hui. Le gredin pousse doucement la porte et se faufile dans ma pièce d'eau, sa maman est dans la douche, malgré la buée, il voit au travers la paroi transparente, le corps quasi parfait de sa maman, qui se savonne et se frotte le corps. Elle s'attarde sur ses parties intimes, elle enduit de gel douche son gant de toilette, et se frotte énergiquement la vulve, magiquement son clito prend du volume. Elle pousse de gros soupirs en faisant passer sur lui le gant de nombreuses fois. Enfin elle passe à l'anus, longuement elle le frotte, à chaque fois qu'elle appuie dessus, elle frémit.

De de son poste d'observatoire, Justin ne perd pas une image et ni un son, sa verge enfle dans son pantalon. Sa maman maintenant se frotte les seins, de temps en temps, elle les presse, agace ses mamelons un bon moment en gémissant faiblement. Enfin elle prend le pommeau de la douche et passe le jet sur ses seins, ses fesses et s'attarde sur son trésor qu'elle a entre les jambes. Elle se cabre doucement ouvre les jambes le plus possible. Le jet pratique sur sa vulve un doux massage, Aurélie souffle fortement. Soudain elle raccroche le pommeau et saisit son clito et le brante énergiquement, en serrant les dents.

Elle grimace, gémit et finit par exploser. Elle se cambre, sa chatte envoie dans les airs un jet de cyprine fabuleux, c'est si fort qu'elle se laisse tomber dans le bac de la douche. La coquine très coincée avec son mari, se défoule lorsqu'elle est seule. Justin, n'a pas le temps de sortir sa verge, qu'il gicle dans son pantalon.


Sa maman refait surface, elle ouvre la porte de la douche, Justin a juste le temps de s'éclisser sans que sa maman ne le voit, il se laisse tomber sur le canapé, pour reprendre ses esprits. Son sperme enduit son slip, et englue sa verge. Il la presse au travers du pantalon, les perles qui se cachaient dans la hampe, giclent dans le slip. Il serre les dents, il attend avec impatience que sa maman sort de la salle de bain, pour pourvoir mettre son slip au lavage.


Enfin Aurélie sort de la salle de bain enveloppée dans un peignoir de bain. Elle est détendue, elle croise le regarde de son fils, qui semble pétiller. Le coquin la dévore des yeux, il la revoit encore entrain de se masturber. Sa queue engluée, prend du volume, il se presse la verge de nombreuses fois, puis brusquement, il la sort de son pantalon. Il la saisit fermement, et l'agite sous les yeux écarquillés de sa maman, qui sursaute et dit en rougissant :

-Mais Justin, tu deviens fou, qu'est-ce que tu fais !

il dit ne serrant les dents :

-Je me branle pour toi maman, je t'ai vu te branler dans la douche, oh purain quel corps que tu as maman, je suis excité !

Aurélie sursaute, elle dit en béguant et en rougissant fortement :

-Tu, tu, m'épie, mais, mais, tu, tu, es un monstre, oh je te hais, petit salaud !

En souriant Justin ajoute :

-Tu as joui tellement fort que tu t'es écroulée dans le bac. Tu es si belle lorsque tu jouis maman, j'ai envie de te prendre comme une bête !

La maman tremble de tout ses membres elle arrive à dire :

-Justin , tu es fou, ôte-toi cette idée de la tête, tu es un monstre de vouloir me faire une chose pareille !

Justin se lève, il retire son pantalon et son slip englué, la maman regarde la verge tendue, luisante de sperme. Elle serre les dents. Son fils s'approche d'elle, il tire sur la ceinture du peignoir, qui s'ouvre, il écarte les deux pans, et dit :

-Oh putain comme tu es belle maman, papa doit en faire des folies avec toi ( si le bougre savait) !

Il l'enlace et la serre très fort contre lui, Aurélie frémit, en sentant contre son corps nu, la verge enduite de sperme de son fils, glisser sur son ventre. Le coquin agite son bassin, en tenant les hanches de sa maman qui stresse terriblement. Elle bafouille :

-Justin, non, non, ne fais pas ça, je t'en prie, c'est odieu !

La verge puissante appuie fortement contre son bas-ventre, elle grimace elle ne peut retenir les nombreux frissons qui parcourt son corps. Avec peine elle repousse son agresseur de fils. Elle est rouge écarlate et respire rapidement. Elle regarde le pieu dressé de Justin, qui laisse échapper quelques gouttes de semence sur le sol. Elle tente de refermer son peignoir, ses gestes sont maladroits. Justin regarde avec envie la toison maternelle, qui étrangement suinte. La maman en ravalant sa salive dit :

-Justin, veux-tu remettre ton pantalon, tu ne peux pas exhiber ton sexe devant moi, je suis ta maman tout de même, cela est immoral, range ton engin svp !

Mais le bougre ne l'entend pas, il agite énergiquement sa verge en serrant les dents. Il dit :

-Regarde dans quel état que tu me mets maman, sois à moi, juste une fois !


En soupirant fortement Aurélie s'esclaffe :

-Tu es un monstre, tu me fais devenir folle, j'ai honte de toi !


Justin la regarde et en fronçant les sourcils, réplique en plein délire :

-Pourquoi tu te refuses à moi, tu dois être vachement bonne à baiser, je sens que tu es une grosse salope, avoue-le !

La maman se cabre, outrée et un peu survoltée, elle répond :

-Justin cesse de dire des bêtises, je SUIS TA MAMAN, je vais en référer à ton papa, des idées malsaines qui te rendent fou !

Justin ouvre brusquement les pans du peignoir pose ses mains sur les épaules de sa maman et fait tomber le tissu éponge sur le sol. Aurélie se retrouve nue devant son fils, elle tente de cacher son intimité, en plaquant une main sur sa vulve, et l'autre sur ses seins. Elle tremble comme une feuille, paniquée, elle à beaucoup de mal à trouver ses mots. Justin se plaque contre son corps et sans aucune gêne, il lui caresse les fesses. Sa maman reste sans voix, devant l'audace de son fils. Sans scrupule, le gredin passe ses doigts dans le large sillon, qui sépare les lobes fessiers. Aurélie défaille, elle bègue :

-Justin, non, non reprends toi, ne commets pas l'irréparable, non,non, je ne veux pas !

Le majeur de Justin taquine l'anus rebelle qui résiste, il appuie plus fort. Aurélie pousse un petit cri, la première phalange est comme aspirée. Aurélie se raidit, elle qui ne voulait pas que son mari lui touche l'anus, malgré l'humiliation qu'elle subit, eh bien là, elle a un doigt planté dans le cul, elle dit faiblement :

-Justin, tu es un monstre, qui ne respecte pas sa maman, laisse-moi, je ne suis pas un jouet retire ton doigt, tu es fou, non, non arrête!

Pour toute réponse, il enfonce son doigt entièrement dans le rectum de la maman, qui qui souffle bruyamment, en disant :

-Justin, non, non, oh comme j'ai honte, même pas ton papa a oser faire une monstruosité pareille !

Le coquin, lui ramone la gaine étroite, doucement, en faisant de doux allers et retours !

Elle qui a horreur de l'acte, prise de panique, et de honte, elle défaille. Pour ne pas chuter elle s'accroche au cou de son fils en serrant les dents, elle dit avec des larmes plein les yeux :

- Mon Dieu, c'est immonde, ce que tu fais Justin, retire ton doigt, petit salaud, tu bruleras en enfer, tu mérites une bonne fessée, voyou, je le dirais à ton papa !

Justin prend pitié de sa maman, il retire son doigt du rectum très serré, et dit :

-Tu as raison, je mérite une bonne raclée !

Il pousse brusquement sa maman sur le canapé, et s'allonge sur ses genoux. prise par surprise, Aurèle reste baba. son fils insiste :

-Alors tu me l'as donne cette fessée promise !

Pas très rassurée, la maman pose sa main sur les fesses nues, les caresse un court instant, puis lève le bras, et l'abat sur les lobes charnus. Justin sursaute, la maman recommence à frapper, mais de plus en plus fort. Les fesses portent les marques des doigts. Justin se contorsionne, en geignant de douleur. la maman cesse de frapper, elle contemple les fesses martyrisées, en faisant une moue puis, prise de remord, elle se met à caresser avec douceur les fesses marquées de son fils. Machinalement ses doigts passent dans le sillon, glissent plusieurs fois sur l'anus. sans savoir pourquoi, la maman lui écarte les fesses, et observe l'anneau ridé. Elle ravale bruyamment sa salive et pose un doigts sur l'œillet boursouflé. Elle appuie plusieurs fois sur le muscle souple. Justin se cambre comme pour l'offrir à sa maman.

Comme pour se venger, elle appuie plus fort, le doigt disparait entièrement avec aisance dans l'anus étroit. Aurélie est surprise par l'aspiration de l'anus, elle reste un moment sans faire de mouvement, puis reproduit ce que son fils lui a fait. sans brusquer, elle ramone doucement le conduit anal. Ironiquement elle dit :

-Alors mon salaud comment tu trouves ça, hein !

Justin ne peut dire :

-Oh maman, maman, continue, c'est trop bon !

Aurélie reste sans voix, elle regarde son doigt planté dans l'anus de son fils, et sans se poser de question, ose commencer un petit va-et-vient. Rapidement Justin gémit, il agite doucement sa croupe. Aurélie accélère, le ramonage devient plus rapide et plus profond. Justin la supplie :

-Ajoute un autre doigt maman, et ramone moi le cul énergiquement, c'est trop bon !

La maman surprise par cette demande, retire son doigt et en présente deux à l'entrée du conduit. Elle pousse, les deux intrus s'enfoncent jusqu'à la dernière phalange. Son fils sursaut :

-Oh oui, vas-y maman bourre-moi le cul !

Comme un automate, elle fouille l'antre de Sodome. Mais au fur et à mesure, son angoisse s'estampe. Elle fouille, ramone, pilonne le cul de son fils, sans complexes, elle semble se lâcher. Elle tourne ses doigts dans la gaine, la fouille profondément. Justin gémit comme un animal blessé. Son plaisir augmente au fil des minutes, sa maman s'acharne, elle fouille et ramone comme une forcenée l'anneau qui devient très boursouflé. Elle sent contre sa cuisse l'engin de chair qui est dure comme du béton. la coquine maintenant prend un malin plaisir à bourrer le cul de son fils. Justin se cabre et en poussant un long gémissement jouit. La cuisse de sa maman reçoit la décharge gluante. brusquement, elle retire ses doigts, et repousse Justin. En voyant le sperme, elle s'écrie :

-Justin tu es un salaud, regarde comment tu m'as arrangé !

Elle étend la semence sur sa cuisse, sans savoir pourquoi. Elle ne se rend même plus compte qu'elle est nue devant son fils. Le bougre a la la verge dressée comme un mat, elle est impressionnante. Aurélie la regarde un instant, Justin lui dit tendrement :


-Maman, branle-moi !

La maman ravale sa salive, et dit :

-N'y pense pas mon cochon, c'est dégueulasse de faire ça !

Justin réplique :

-Tu viens de me faire jouir du cul, et tu refuses de me branler, là, je ne te comprends pas ?

Aurélie se pince les lèvres et répond :

-Je regrette déjà de l'avoir fait, ne n'en demande pas plus !

Le bougre de fiston répond :

-Et moi, je peux te branler, dis-oui maman cela serai formidable !

Aurélie réplique :

-Mais tu es malade, jamais je me laisserai tripoter, j'ai horreur de ça, et en plus par mon fils, c'est impensable !

Il sourit et dit :

-Pourtant tu es nue devant moi !

Elle réalise effectivement qu'elle est nue, et en faisant une moue :

-Oh mon Dieu c'est vrai !

Elle veut saisir son peignoir, mais Justin a bascule sur le canapé. Il lui caresse les seins, les malaxe fermement, enfonce ses doigts dans la chair souple. Sa maman grimace elle veut repousser l'agresseur, mais elle est sans force. Lorsque Justin pose ses lèvres sur ses mamelons, elle se cabre en poussant un :

-Non, non Justin !

la bouche vorace de son fils, la fait gémir malgré elle. Tout en lui dévorant les tétons, il plaque sa main sur la chatte, qui étrangement suinte affreusement. Aurélie grimace, un faible Non, sort de sa bouche. Le coquin lui caresse la vulve, saisit le clito et le triture. Rapidement la boule de chair double de volume, il la saisit entre deux doigts et commence à l'agiter. Aurélie souffle comme un dragon, malgré elle, elle agite son bassin. Sa chatte trempée est en feu, la maman, ne se débat plus. Elle subit sans opposer de résistance la masturbation efficace que produit fils, sur son clito gonflé affreusement. La maman maintenant, n'est que gémissements et râles. Justin la délaisse s'agenouille devant elle et lui écarte les jambes. Il avance sa tête entre les cuisses ouvertes, et plaque sa bouche sur la vulve dégoulinante. Il enfonce sa langue dans le conduit détrempé, le fouille profondément, avant d'aspirer tout ce que la chatte rejette.

Aurélie, geint comme une agonisante. Il se cambre fortement, lorsque son fils lui gobe le clito et le suce voracement. Elle croit mourir de plaisir, elle défaille :

-Oh Justin, Justin, tu es un monstre, jamais ton papa n'a oser me faire une chose pareil, mon Dieu je suis un catin, que Dieu me pardonne !

Soudain elle se cabre et explose de jouissance, son corps se met à trembler, elle est fébrile, elle hurle :

-Justin, Justin, mon chéri tu me tues !

Il se redresse, il bande comme un poney, sa verge est douloureuse. Mais il reprend possession avec sa bouche, le fruit trop mûr qui laisse échapper son jus. Il suce voracement le clito qui est devenue méconnaissable. Sa maman geint comme une malade elle appuie fortement sur ma tête de son fils pour bien la maintenir contre son temple en fusion.

Soudain une voix se fait entendre, c'est Paul qui entre dans le salon il dit :

-Je n'en crois pas mes yeux, ma femme se fait bouffer ma chatte par son fils, elle qui me refuse tout les plaisirs du sexe, je n'en reviens pas !

Mais au lieu de ruer, il regarde son fils qui dévore la chatte à sa maman. Aurélie est comme en transe, elle n'a pas encore réagit. Ses yeux sont vitreux, sa respiration rapide, elle gémit fortement. Elle se cabre en poussant cri presque inhumain, une nouvelle jouissance la terrasse sur le canapé. Ses halètements sont rauques et bruyants. Elle sursaute en voyant son mari, elle devint rouge comme une pivoine, elle se met à trembler comme une feuille. Elle a tellement honte qu'elle bègue :

-Oh Paul comme j'ai honte, je ne sais pas ce qui m'est arrivé, j'ai cédée aux avances de Justin, je ne me reconnais plus, je suis devenue une salope, oh mon Dieu comment ai-je pu faire ça, je suis mal Paul pardonne moi !

Paul s'avance vers le couple incestueux, il regarde sa femme se penche sur elle et lui donne un baiser bruyant sur les lèvres. Puis il regarde en souriant son fils qui le cocufie, et dit :

-C'est formidable Justin, elle t'accorde ce qu'elle m'a toujours refusée. Je te demande mon garçon, d'y aller plus loin avec elle, fais la grimper aux rideaux, décoince-là !

Justin est rassuré, il sourit à son papa, et lui dit :

-Oh papa merci, je vais la prendre comme une chienne, je vais la faire devenir une grosse, grosse salope, es confiance en moi !

Aurélie reste un moment sans oser faire un mouvement. Justin présente sa verge aux lèvres charnues de sa maman, il lui dit tendrement :

-Suce-la maman, apprend à sucer une bite, tu verras comme c'est doux une bonne bite dans la bouche, vas-y, vas-y maman suce, suce !

Aurélie regarde avec une certaine angoisse, l'engin planté sur le bas-ventre de son fils. La verge est dressée comme un mat, le bougre la frotte doucement contre ses lèvres. Quelques perles de rosée, s'échappent du méat ouvert. Aurélie se pince les lèvres en serrant les dents. Elle regarde en stressant la bite de son fils, qui semble redoutable. Paul l'encourage :

-Fais un effort ma chérie, prends ton courage à deux mains, vas-y, vas-y ferme les yeux et ouvre la bouche, lèche le gland !

Aurélie dit en grimaçant :

-Mais c'est dégueulasse de suce un sexe !

Paul insiste :

-Ne fais pas ta chochote ma chérie, deviens une vraie femme !

Aurélie, en tremblant, prend en main le manche vivant, observe le gland large et épais. Elle hume le chapeau qui suinte légèrement en grimaçant, et ouvre timidement la bouche. Elle sort sa langue et donne quelques coups sur le cèpe épais. Elle ose faire tourner sa langue sur le gland, et aussi tiller le frein. Justin se tend comme un arc, il pousse un gémissement lorsque sa maman lui gobe le gland.
Aurélie fait une moue qui rapidement disparait, elle se met a sucer avec de plus en plus de voracité le large chapeau, qui trône sur la hampe. Au fil des minutes, elle semble prendre un certain plaisir, a sucer et téter le champignon, qui lui fait mal aux mâchoires.

En l'entend même pousser de petits gloussements, pendant qu'elle tète. Justin grince des dents, il se cambre en poussant un son rauque. Une puissante giclée est éjectée de son membre, elle remplit la bouche de la maman, qui au bord de l'étouffement repousse brutalement son fils. Elle fait une grimace affreuse, elle regarde son mari, ses yeux sont écarquillés fortement. Prise de nausées, elle veut cracher la décharge. Mais Paul la stoppe net, en lui criant :

-Non ne crache pas avale ma chérie, avale, avale !

Aurélie lèvres pincées, hésite. Puis peu à peu déglutie, elle fait une moue, mais finit par tout avaler. D'un geste rapide, elle s'essuie d'un revers de la main les lèvres, d'où s'échappait un filet de liquide blanchâtre. Paul souriant et satisfait du résultat, il relève le menton de sa femme, et lui donne un baiser sur les lèvres, et la félicite :

-Bravo ma chérie, tu fais de gros progrès, continue !

Paul se met nu, et dit en souriant :

-Il faut battre le fer quand il est chaud !

Il donne sa queue à sucer à sa femme, qui saisit la verge, la décalotte et avec une hésitation, gobe le gland. Paul se met à geindre. Il constate que sa femme apprend vite. Elle suce et tète comme une vorace le membre vivant, pour enfin Femme à décoincer chapitre 1