Maman devient accro à la bite de son fils 1 - histoire érotique

Charlotte, depuis qu'elle a cédé aux avances de son fils Remi, est complètement transformée. Plus vigoureux que son mari, surtout plus innovant, le bougre autoritaire exige qu'elle lui soit soumise corps et âme. Le jeunot de 22 ans l'a fait grimper aux rideaux à chaque fois qu'il decide de la prendre.
Charlotte attend avec impatience le bon vouloir de son fils pour être prise comme une bête. Pendant son absence, elle reste de longues heures, rêveuse, affalée sur le canapé, hantée par la queue puissante de son fils.
Mais prise remord, Charlotte ne supporte plus cette situation, elle prend son courage à deux mains et décide d'en parler à son mari Marc. Elle attend qu'ils soient au lit pour avouer sa faute :

-Marc, j'ai fait une chose affreuse, je te trompe avec Remi !


Marc est réputé, pour son calme, sursaute, se redresse et prend-appuie sur ses coudes, il ravale sa salive, et demande en béguant :

-Tu fais l'amour avec notre fils, et cela, depuis quand ?



Avec des tremolos dans la voix, Charlotte répond :

-Cela fait deja deux mois, je ne peux plus me passer de lui, il me donne des plaisirs immenses, c'est autre chose qu'avec toi, je n'arrive pas à me l'expliquer !




Marc, un peu vexé, prend une grande aspiration et réplique :

-Je sais que je ne suis pas un foudre de guerre, mais de là à te faire baiser par notre propre enfant, il y a un monde, là, tu m'en bouches un coin !
Toi, si réservée, si prude, je ne comprends pas !



Charlotte a les larmes qui lui remplissent les yeux, elle pousse un grand soupir et dit :

- Cela commencé, il y a un peu moins de deux mois, un matin, il est venu derrière moi et m'a enlacé, il était en slip, il m'a donné de nombreux baisers sur la nuque et sur le cou. Il se frottait contre ma croupe, le coquin bandait comme un cheval, sa queue coulissait entre mes fesses, le fin tissu de ma blouse ne me protégeait pas. Il a tiré sur ma blouse, en faisant sauter quelques boutons, et c'est mis à me caresser les seins. J'étais sans force, il me petrissait les seins avec une habileté remarquable. Je me suis mise à fondre.
Je me suis retourné, il m'a embrassé. Je n'ai pu résister tellement j'étais fébrile. Voilà, j'ai cédé. Comme je ne pouvais plus garder ça pour moi, c'est pour cela que je t'en parle, j'ai honte de moi pour ce que j'ai fait, je te demande pardon !






Marc sait que sa femme n'est pas perverse, et qu'elle a cédé sous une pulsion incontrôlable. Bien que cela lui coute, il se fait une raison. Il l'embrasse fougueusement et lui fait l'amour comme jamais il ne lui à fait, en espérant lui faire oublier les assauts de son fils. Un jour, en rentrant de son travail, il retrouve sa femme, jupe retroussée, culotte sur le sol, se faisant un petit plaisir solitaire, les yeux rivés au plafond, elle ne se rend même pas compte qu'elle n'est pas seule. Il la regarde en hochant la tête négativement et lui dit :

-Tu penses encore à lui hein !


-Elle le regarde sans changer de position et répond avec douceur :

-Oui, c'est plus fort que moi, je sens encore en moi sa queue coulisser dans mon ventre, mon Dieu, il me rend folle !


Sans se soucier de la présence de son mari, Charlotte se masturbe comme une forcenée, elle serre les dents en grognant comme une bête. Ce qu'elle cherchait, arriva, elle se cabre comme un cheval qui rue, et explose de jouissance. Marc serre les poings, il a envie de sauter sur sa femme et de la prendre sauvagement. Mais là, la coquine, ce n'est pas lui qu'elle veut. Il renonce et monte dans la chambre en marmonnant. Soudain la porte d'entrée s'ouvre, Remi apparait, il fronce les sourcils et dit :


-Mais, salope, tu m'attends même plus maintenant, tu te branles sans ma permission !

Charlotte répond :


-Je pensais si à toi mon chéri, que cela a était plus fort que moi !



Remi comme un macho, réplique :

-Mais ma salope pour cette incartade, tu dois être puni !


Il s'assied sur le bord du canapé, saisit sa maman brusquement et l'allonge sur ses genoux, il lui retrousse la jupe en dévoilant son fessier charnu. Il commence à fesser les lobes qui rapidement prennent de la couleur. Charlotte à chatte tape sur ses fesses, grimace en poussant des cris de bête blessée. Remi ne retient pas ses coups, les fesses de sa maman son rouge vif. Enfin, les coups cessent de pleuvoir. La main frappeuse caresse les lobes martyrisés, des doigts, s'insèrent dans le sillon et taquinent la rondelle brune, Charlotte se raidit, jamais personne n'avait joué avec son anus, l'attouchement rectal lui est agréable, elle se met à geindre doucement. La main quitte le fessier et passe sous le ventre de Charlotte qui pousse de nombreux soupirs. Remi s'exclame :


-Ouah, la fessée t'a fait mouiller salope de maman, mais tu aimes ça avoue !


La maman ne répond pas, Remi comprend que sa maman est excitée, il lui enfonce trois doigts dans le cratère en éruption et le fouille un court instant avant de basculer sa maman sur le canapé. Il sort sa queue raide comme une barre de fer et l'enfonce dans le ventre de sa maman qui se met à geindre de bonheur, elle affectionne la levrette. Remi lui défonce la chatte comme un forcené, à chaque enfoncement de sa queue dans le corps de sa maman, il lui donne une forte tape sur les fesses. Remi ignorait que sa maman avait une tendance maso. Charlotte à chaque coup pousse un :

-Oui, oui, mon chéri continue, n'arrête pas !

La défonce est terrible, Charlotte à deja jouit deux fois, les râles rauques de sa maman l'excitent, le bougre infatigable s'acharne sur le corps de sa maman comme un soudard. Les gémissements sont si bruyants que Marc les entend de sa chambre, il descend et reste figé, sur ce qu'il voit. Remi, accroché aux hanches larges de sa maman, ne ménage pas ses cours de bélier. Charlotte jouit encore en couinant comme un animal. Marc ne reconnait plus sa femme, elle est devenue un vrai volcan, dans le bras de son fils. Sa queue, subit une si forte érection qu'elle en devient douloureuse. Marc n'a pas d'autre choix que de la sortir de son pantalon.