Maman, merci d'avoir fait de moi un homme. - histoire érotique

Fiona est une femme aux formes avantageuses, et en profite. À son passage, les envieux la fusillent du regard. Elle adore exhiber son corps quasi parfait. Malheureusement son mari bande de moins en moins, le sexe l'intéresse presque plus, elle qui aime le sexe reste sur sa faim. Ce ne sont pas les masturbations vigoureuses qu'elle s'inflige que celle-ci la calme. Au fil des mois, la coquine ne tient plus, il lui faut de la bite. La salope en recherche de sexe, se met à allumer son fils, tout juste majeur. Une fois que son mari est couché, elle s'assure que son fils regarde la télé, pour sortir de la salle de bain, enroulée dans une serviette, nouée au-dessus des seins. Le tissu éponge, lui, arrive à mi-cuisses. Elle va au salon en se déhanchant lestement. Provocante, elle passe, plusieurs fois devant son fils, qui reste scotché sur les cuisses et les seins de sa maman. Il réalise que cette femme de quarante-cinq ans, qui est sa maman, à de quoi faire bander un mort.



Lui, casanier, ne sort jamais de la maison, il n'a pas de petite copine, et encore moins de petits copains, cela laisse penser, que le jeune homme est encore puceau à 18 ans, les seuls moments charnels de sa vie, ce sont ses branlettes nocturnes.



Elle le regarde, en souriant et s'assied à côté lui, elle l'attire contre son corps pour lui faire un câlin comme quand il était plus jeune. Il a sa tête contre un sein et se blottit contre elle, en ronronnant. Son oreille est posée contre le sein à demi-dénudé. Loïc sent la chaleur du lobe contre sa joue, cela lui fait un effet monstre, son membre commence à le chatouiller. De temps en temps, il regarde discrètement les cuisses que la serviette cache très mal. Sa maman prend soin de bien les mettre en évidence. Fiona appuie doucement sur la tête de son fils pour le plaquer plus contre son sein. Pendant cette action bien pensée. Le lobe se dénude davantage en libérant le mamelon. Loïc sent contre sa joue le téton large et épais, il frémit. Lentement, le bougre tourne la tête vers le mamelon. Ses lèvres le frôlent timidement, de la pointe de sa langue, il le taquine avec douceur. Fiona, vicieusement, se tourne un peu plus vers son fils, pour qu'il ait un libre accès au fruit qu'elle offre généreusement à son fils.



Sans se poser de question, Loïc se met à téter le mamelon. Il ne faut pas longtemps à Fiona pour geindre de plaisir. Elle pose sa main sur sa cuisse, écarte légèrement la serviette, et glisse sa main par la brèche. Ses doigts caressent sa fente qui, en peu de temps, se met à suinter. Soudain, elle retire sa main, ouvre largement la serviette et saisit la main de son fils, pour la poser sur son fruit juteux. Loïc surpris délaisse le mamelon pour regarder la chatte dénudée de sa maman, que ses doigts touchent. Fiona, sans dire un mot, appuie sur la main de son fils en la faisant monter et descendre sur sa fente en feu. Loïc, novice, se prête au jeu, il frotte les grandes lèvres avec plus d'assurance, et reprend le mamelon en bouche.




Il aspire et suce le téton comme un enfant qui s'allaite. Fiona souffle fortement, elle ouvre encore plus les cuisses, et s'offre en se cambrant aux attouchements maladroits de son fils. Les doigts voyagent sur la vulve dégoulinante, fébrilement. Le jeunot saisit la protubérance au-dessus des grandes lèvres et commence à la triturer de plus en plus énergiquement. Loïc est étonné par le volume que prend le clito de sa maman. Excitée comme une puce, Fiona fait tomber la serviette. Elle se laisse tomber sur le canapé, en entraînant son fils dans sa chute volontaire. Loïc se redresse et saisit à pleine main, les seins généreux de sa maman en les pétrissant comme du bon pain. Les seins se raffermissent, les bouts, se mettent à durcir en devenant très épais. La maman en soufflant murmure :

-Mon chéri, suce mes tétons, dévore-les, maman a besoin d'amour !



Bien que pas très doué, Loïc fait de son mieux, il aspire un à un les mamelons et le suce avidement comme un affamé. Fiona est aux anges, elle gémit en se mordant le poignet. Loïc devient plus audacieux, sa bouche descend sur le torse de sa maman, en donnant des baisers et une lèche sur chaque parcelle de peau. Il s'attarde sur le nombril, l'agace un moment avant de reprendre la progression vers le temps de l'amour. Automatiquement sa maman ouvre les cuisses, sa toison est trempée de cyprine. Elle se cabre lorsque la bouche du jeune novice se pose sur sa fente en ébullition, et aspire le jus abondant qui s'y échappe. Les râles de sa maman excitent le jeunot qui s'enhardit et enfonce sa langue dans la gaine détrempée. Fiona pousse un long râle rauque en se cambrant comme un pont.


Loïc apprend très vite le coquin, il dévore la chatte à sa maman en la faisant couiner de plaisir. Instinctivement, il gobe le clito, le suce, le mordille à en faire hurler sa maman de plaisir. Fiona se cabre et explose de jouissance. Son corps se met à trembler, elle ne peut contrôler les nombreux frissons qui secouent son corps, elle répète :


-Oh mon chéri, donne ta queue à sucer à maman, je vais te récompenser, donne, donne, vite, vite mon chéri !



Loïc se redresse, il regarde le corps splendide de sa maman un long moment avant de retirer son pantalon, il baisse son slip, sa verge jaillit et oscille sur son bas ventre comme un appel à l'amour. Malgré son jeune âge, le bougre est bien monté, sa maman laisse un instant traîner ses yeux sur le manche de chair. Il avance son bas-ventre, Fiona saisit d'une main le manche brûlant, l'agite quelques secondes avant de le décalotter, et d'ouvrir la bouche pour le gober. La bouche de Fiona fait délirer son fils qui ne s'est sûrement jamais fait sucer le mandrin. Sa bouche suce et tète le gland, titille le frein, les succions sur le cèpe font couiner Loïc de plaisir, il dit en grognant :

-Oh maman, c'est merveilleux, ta bouche est divine mon Dieu, je vais jouir, arrête maman, arrête !

Fiona ne l'écoute pas, au contraire, elle s'active encore plus sur le gland, Loïc pousse un cri et remplit la bouche de sa maman avec son jeune sperme encore frais. Fiona n'attendait que cela, elle avale jusqu'à la dernière goutte de sperme. Ensuite, elle lèche la hampe sur toute sa longueur et suce encore un peu le gland qui frétille dans sa bouche vorace. Elle recrache le membre et dit d'une voix peine d'émotion :

-Baise ta maman mon chéri, viens mettre ta queue dans son ventre !


Loïc regarde la toison détrempée et place son mandrin encore vigoureux contre. Il pousse doucement, sa maman pousse un gémissement pendant toute la pénétration. Lee coquin s'accroche à ses hanches et commence un va-et-vient de plus en plus violent. Fiona donne aussi des coups de reins brutaux, elle veut que la queue de son fils, l'empale entièrement. À chaque coup de bélier, un son rauque sort de la bouche de Fiona. Elle agite son bassin en grognant, elle dit en serrant les dents :

-Oui mon chéri, bourre bien ta maman, oui, oui, oh mon Dieu comme c'est bon, je vais jouir mon chéri, ouiiiiiiiiii !



Fiona se cabre et explose en s'accrochant à son amant de fils. Loïc défonce sa maman avec toute la fougue de sa jeunesse, elle jouit encore deux fois avant qu'il ne lui remplisse le ventre de sa semence. Il se retire et en regardant sa maman, il, lui dit :

-Maman chérie, je te remercie d'avoir fait de moi un homme, je serai à toi à chaque fois que tu le désireras ma petite maman chaudasse !


Fiona lui sourit et lui dit :

-Je vais encore te sucer mon chéri, ta queue est si bonne !