Mario, le quinquagénaire Portugais 4
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mario, le quinquagénaire Portugais 4
J'ai 26 ans, ma vie sexuelle a été bouleversée.
Ma femme a des amants, avec mon approbation, ce qui excite mon hétérosexualité.
On fait l'amour plus souvent, et lorsqu'elle veut un rapport plus sexe, il lui suffit de me raconter ses aventures avec d'autres hommes pour que je la défonce plus sauvagement.
Je suis mieux dans ma peau, elle sait que j'ai une double vie avec des hommes moi aussi.
Nous en avons terminé avec la jalousie, sauf elle qui m'interdit de rencontrer d'autres femmes.
Je m'en fous, je n'en ai pas envie, mais il y aura quelques accidents, malgré tout.
Un jour, je décroche le téléphone, pensant répondre à un ami.
"Allo ? Pascal ?".
Je ne reconnais pas la voix, avec un léger accent latin.
"Oui, c'est qui ?".
"C'est Mario ! Tu m'as pas oublié, j'espère !".
"Oh ! Mario ! C'est dur de t'oublier ! Je pense souvent à toi ! Qu'est-ce que tu deviens ?".
"Eh bien, à la fermeture de la boite, ça n'a pas été simple ! Surtout pour un homme de mon âge, retrouver du travail, c'est dur ! Mais après une longue période de chômage, j'ai été employé par une boite intérim ! Et toi ?".
"Pareil ! Mais je suis jeune ! J'ai trouvé assez vite ! Mais comment t'as eu mon numéro ?".
"Sur l'annuaire ! Mais je t'appelle pas pour avoir des nouvelles, tu te doutes un peu pourquoi ?".
"Ah, c'est sympa ! Bien sûr, je dirai pas pas non ! Rien que d'en parler, j'en ai envie !".
"On pourrait s'arranger pour que je passe, tu viendrais chez moi !".
"Chez toi ? Mais y a ta femme ?".
"C'est fini ! Je l'ai perdue ! C'est difficile d'en parler, mais, justement, ça me ferait du bien de te revoir, j'en ai besoin !".
"Je suis désolé de savoir que tu sois passé par là, je sais pas quoi te dire !".
"C'est la vie ! Acceptes de me revoir, ce sera gentil et suffisant !".
"Quand tu veux alors ! Ce sera avec plaisir !".
Comme Corinne travaille le Samedi, je demande à Mario de passer me prendre au plus tôt après son départ.
Lorsque je le retrouve, je remarque que ses cheveux ont encore grisonné.
Il conduit en posant sa main sur ma cuisse, frôlant mes testicules à travers mon jeans.
"T'as pas changé, tu es toujours aussi mignon et excitant !".
"Merci, ça me fait toujours aussi bizarre d'entendre ça ! C'est fou comme je plais aux hommes mariés, plus âgés ! Tant mieux d'ailleurs ! J'adore ça !".
"Tu te fais souvent draguer ?".
"Assez ! Des fois, c'est difficile à gérer en société, je ne veux pas qu'on connaisse mon penchant homo. Mais quand un homme arrive à m'exciter, je peux pas résister ! Récemment, j'ai bossé chez un particulier, un militaire marié, dès que sa femme est partie faire des courses, il m'a dragué et m'a enculé dans sa cuisine !".
"T'as du avoir un gros pourboire !".
"Ah ah ! En effet ! Argent et grosse queue ! J'ai adoré !".
Quelques minutes passent, il se gare devant une petite villa.
La maison n'est pas décorée à mon goût, mais ce n'est pas important.
Il m'offre un café, il se tient à mes cotés sur son canapé.
On discute de nos premiers échanges à l'époque des chantiers et des rencontres cachées dans un bâtiment vide, près de l'entreprise.
"Tu revois Dimitri ?".
"Non, plus maintenant, il est rentré chez lui, je crois ! Les autres aussi !".
Toutes ces conversations m'excitent, il en rajoute en me disant:
"J'adorai te baiser après le travail dans la maison vide ! Tu te souviens ?".
"Oui ! Bien sûr ! Et le matin, des fois, tu me donnais mon petit déjeuner ! C'était excitant de te sucer !".
"Humm ! Oui ! C'est vrai, tu réclamais mon sperme ! C'était bon aussi de t'enculer avant d'aller travailler !".
"C'était excitant aussi ! Mais moins évident pour moi ! C'était dur de bosser avec mon cul éclaté ! Salaud !".
"Hummm ! Si on recommençait ?".
Il ouvre sa braguette d'une main, tout en collant sa bouche à la mienne.
Je réponds à son baiser, ma main s'engouffre dans son slip, pour retrouver cette excitante sensation; toucher sa très large bite.
"Oh, Pascal, si tu savais comme j'ai souvent pensé à toi ! Je vais souvent au petit bois, mais c'est pas comme avec toi !".
"Moi aussi ! Je pense souvent à toi ! Tu me donnes tellement de plaisir ! On va rattraper le temps perdu !".
Il se redresse et se déshabille entièrement, je l'imite.
Il prend ma main et m'attire dans sa chambre.
Il s'assoie au bord de son lit avec le sexe dressé comme un obus.
Je me place entre ses cuisses, mes lèvres se séparent, pour laisser passer ma langue, qui va lécher son magnifique gland.
"Oh, Pascal ! Enfin ! Tu es là ! Encore , je veux jouir avec toi !".
"Oui, je suis là ! Moi aussi, je veux jouir avec toi ! Mmmmmmmmm".
Je me pénètre la bouche en mouvements amples et humides.
Il me fait partager son plaisir avec de nombreux râles et gémissements, il m'excite encore davantage.
Après de longues minutes, je ralenti ma pipe goulue, j'ai envie qu'il me prenne.
Il me place allongé, sur le ventre, et me dévore l'anus.
Sa langue cherche à s'insérer en moi, mon œillet s'ouvre lentement.
Il cesse de me lécher pour venir coller son gros gland contre mon anus.
Il utilise son poids pour écarteler mon petit trou, qui devient plus large à chaque tentative.
Je retrouve ce phénomène excitant qui me force à mordre quelque chose, en le sentant me pénétrer jusqu'aux couilles.
"MMMMMMMMMMM, Mario, Arhhhhhhhhhhh ! Oh putain ! J'avais oublié ! Arhhhhhhhhhh! MMMMMMMMM".
Il reste planté en moi, patiemment, puis je me tortille sur sa bite.
Il comprend que c'est le moment pour bouger et m'enculer comme je le mérite.
Les pénétrations, d'abord contrôlées et tendres, deviennent profondes et puissantes.
Il se sert des ressorts du matelas qui me repoussent vers sa bite, pour me défoncer comme une bête.
Je gueule comme une petite chienne.
"Arhhhhhhhhhhh ! Mario ! Tu me défonces trop bien ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Oh, Pascal ! Je suis trop excité ! J'ai trop envie de ton cul ! Il m'a trop manqué !".
"Arhhhhhhhhhhh ! Putain, je le vois ! Arhhhhhhhhhhh ! Tu me casses le cul !".
Il est tellement excité qu'il se contente de cette position.
Il me détruit le cul avec puissance en m'enfonçant dans son matelas à chaque assaut.
Sa saillie est interminable, sa bite fait un bruit de flaque en investissant mon anus qui s'est habitué à ses assauts et a atteint une ouverture maximum.
Il ressort sa bite entièrement et replonge en moi sans difficulté, faisant ressortir du jus anal blanchâtre, de plus en plus abondant.
J'ai atteins un point culminant d'orgasme, il me tue de plaisir.
J'ai l'impression de me transformer en défouloir sexuel.
Au bout de 30 à 40 minutes, je sais plus, il se met à grogner comme jamais et se dresse sur ses bras, en plantant sa grosse queue au fond de mon cul.
"Arhhhhhhhhhhh ! Pascal, Ca y est, je joui ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Gllllllllllrrrrrrrrrrrr !".
Je suis saisi par un orgasme cérébral instantané, sa jouissance en moi, m'excite énormément.
Il se déverse très, très longuement, dans de nombreux râles et grognements.
Je tords mon cul pour recevoir plus profondément son plaisir.
Puis, il s'écroule sur moi, nous mêlons nos respirations essoufflées.
"Oh, putain ! Pascal ! Ca fait du bien ! Tu peux pas savoir ! Ouhhhfffff ! J'en avais besoin ! C'est toujours aussi bon avec toi !".
Il nous tourne sur le coté, sans se retirer de mon anus, et me serre dans ses bras.
Il m'a épuisé de plaisir, ses mains qui me caressent le corps et les cheveux me font partir dans un petit sommeil réparateur.
Il m'accompagne dans cette micro sieste, une longue demi heure, tout de même !
Je suis réveillé par une sensation d'humidité entre les fesses, sa bite est sortie de mon anus en débandant.
Je me retourne, il ouvre les yeux lui aussi.
"Humm, c'était bon ! J'ai rarement joui comme ça ! Et toi ?".
"Moi aussi ! Mais tu m'as éclaté le cul ! Je suis trempé !".
"Humm ! Moi j'aime, quand tu mouilles comme ça !".
"Je me doute, mais je vais mettre un moment à retrouver des sensations normales !".
Il se lève, et je fais de même, je remarque une tâche humide, au niveau de mes fesses, sur le lit.
"Tu veux déjeuner ?".
"Oui, c'est pas de refus ! J'ai besoin de reprendre des vitamines !".
En déjeunant, je me faufile aux toilettes pour soulager un reflux de sperme et de sécrétions anales.
Je ne refuse pas un besoin de tendresse de sa part, on finit par retourner dans son lit.
Je lui prodigue une très, très longue fellation, tendre et pleine d'amour de sa bite.
Il est heureux, et ça me comble de bonheur, puis je me place au dessus de lui pour m'empaler.
Je me baise avec douceur parfois, et fougue aussi, de temps en temps.
Il accompagne mes râles avec les siens.
Je me place en levrette, il m'encule comme une bête encore une fois.
Puis, je me retrouve avec les cuisses ouvertes et lui planté en moi.
Mes orgasmes s'enchainent, il me dit, adorer me faire jouir.
Il me soulève les fesses, me montrant sa grosse queue qui me pénètre interminablement.
Mon sexe se met à bander, puis j'explose tout mon foutre sur mon ventre, à chaque nouvel assaut profond.
Il ne résiste pas à mon double orgasme et lâche mes cuisses pour venir éjaculer dans ma gorge.
Je fini d'orgasmer en avalant son sperme chaud et poivré.
La puissance de notre jouissance commune nous étonne tous les deux.
"J'ai encore bien joui ! C'était fort ! Pas toi Pascal ?".
"Si ! J'avoue ! C'était excitant et ça m'arrive pas souvent !".
"C'est bon de te retrouver ! On va se revoir j'espère !".
"Bien sur, mais tu me promets de ne pas t'attacher ! Je ne peux pas ! J'ai une vie de famille !".
"On va faire avec ! J'aime trop te baiser !".
"Si ça reste comme ça, ça va, mais si ça devient plus tendre, ça deviendra dangereux pour moi !".
"Pas de souci ! Je suis plus un jeune homme !".
On s'est donc retrouvé épisodiquement, une fois par mois.
Il rattrapait son manque de relation sexuelle épanouissante avec moi, et se soulageait au petit bois, quand il n'en pouvait plus de m'attendre.
C'est lui qui a mis fin à la relation, devant mon refus de venir le voir plus souvent, avec encore comme motif:
"Je t'aime, j'ai besoin de te voir plus souvent !".
Tant pis !
Ma femme a des amants, avec mon approbation, ce qui excite mon hétérosexualité.
On fait l'amour plus souvent, et lorsqu'elle veut un rapport plus sexe, il lui suffit de me raconter ses aventures avec d'autres hommes pour que je la défonce plus sauvagement.
Je suis mieux dans ma peau, elle sait que j'ai une double vie avec des hommes moi aussi.
Nous en avons terminé avec la jalousie, sauf elle qui m'interdit de rencontrer d'autres femmes.
Je m'en fous, je n'en ai pas envie, mais il y aura quelques accidents, malgré tout.
Un jour, je décroche le téléphone, pensant répondre à un ami.
"Allo ? Pascal ?".
Je ne reconnais pas la voix, avec un léger accent latin.
"Oui, c'est qui ?".
"C'est Mario ! Tu m'as pas oublié, j'espère !".
"Oh ! Mario ! C'est dur de t'oublier ! Je pense souvent à toi ! Qu'est-ce que tu deviens ?".
"Eh bien, à la fermeture de la boite, ça n'a pas été simple ! Surtout pour un homme de mon âge, retrouver du travail, c'est dur ! Mais après une longue période de chômage, j'ai été employé par une boite intérim ! Et toi ?".
"Pareil ! Mais je suis jeune ! J'ai trouvé assez vite ! Mais comment t'as eu mon numéro ?".
"Sur l'annuaire ! Mais je t'appelle pas pour avoir des nouvelles, tu te doutes un peu pourquoi ?".
"Ah, c'est sympa ! Bien sûr, je dirai pas pas non ! Rien que d'en parler, j'en ai envie !".
"On pourrait s'arranger pour que je passe, tu viendrais chez moi !".
"Chez toi ? Mais y a ta femme ?".
"C'est fini ! Je l'ai perdue ! C'est difficile d'en parler, mais, justement, ça me ferait du bien de te revoir, j'en ai besoin !".
"Je suis désolé de savoir que tu sois passé par là, je sais pas quoi te dire !".
"C'est la vie ! Acceptes de me revoir, ce sera gentil et suffisant !".
"Quand tu veux alors ! Ce sera avec plaisir !".
Comme Corinne travaille le Samedi, je demande à Mario de passer me prendre au plus tôt après son départ.
Lorsque je le retrouve, je remarque que ses cheveux ont encore grisonné.
Il conduit en posant sa main sur ma cuisse, frôlant mes testicules à travers mon jeans.
"T'as pas changé, tu es toujours aussi mignon et excitant !".
"Merci, ça me fait toujours aussi bizarre d'entendre ça ! C'est fou comme je plais aux hommes mariés, plus âgés ! Tant mieux d'ailleurs ! J'adore ça !".
"Tu te fais souvent draguer ?".
"Assez ! Des fois, c'est difficile à gérer en société, je ne veux pas qu'on connaisse mon penchant homo. Mais quand un homme arrive à m'exciter, je peux pas résister ! Récemment, j'ai bossé chez un particulier, un militaire marié, dès que sa femme est partie faire des courses, il m'a dragué et m'a enculé dans sa cuisine !".
"T'as du avoir un gros pourboire !".
"Ah ah ! En effet ! Argent et grosse queue ! J'ai adoré !".
Quelques minutes passent, il se gare devant une petite villa.
La maison n'est pas décorée à mon goût, mais ce n'est pas important.
Il m'offre un café, il se tient à mes cotés sur son canapé.
On discute de nos premiers échanges à l'époque des chantiers et des rencontres cachées dans un bâtiment vide, près de l'entreprise.
"Tu revois Dimitri ?".
"Non, plus maintenant, il est rentré chez lui, je crois ! Les autres aussi !".
Toutes ces conversations m'excitent, il en rajoute en me disant:
"J'adorai te baiser après le travail dans la maison vide ! Tu te souviens ?".
"Oui ! Bien sûr ! Et le matin, des fois, tu me donnais mon petit déjeuner ! C'était excitant de te sucer !".
"Humm ! Oui ! C'est vrai, tu réclamais mon sperme ! C'était bon aussi de t'enculer avant d'aller travailler !".
"C'était excitant aussi ! Mais moins évident pour moi ! C'était dur de bosser avec mon cul éclaté ! Salaud !".
"Hummm ! Si on recommençait ?".
Il ouvre sa braguette d'une main, tout en collant sa bouche à la mienne.
Je réponds à son baiser, ma main s'engouffre dans son slip, pour retrouver cette excitante sensation; toucher sa très large bite.
"Oh, Pascal, si tu savais comme j'ai souvent pensé à toi ! Je vais souvent au petit bois, mais c'est pas comme avec toi !".
"Moi aussi ! Je pense souvent à toi ! Tu me donnes tellement de plaisir ! On va rattraper le temps perdu !".
Il se redresse et se déshabille entièrement, je l'imite.
Il prend ma main et m'attire dans sa chambre.
Il s'assoie au bord de son lit avec le sexe dressé comme un obus.
Je me place entre ses cuisses, mes lèvres se séparent, pour laisser passer ma langue, qui va lécher son magnifique gland.
"Oh, Pascal ! Enfin ! Tu es là ! Encore , je veux jouir avec toi !".
"Oui, je suis là ! Moi aussi, je veux jouir avec toi ! Mmmmmmmmm".
Je me pénètre la bouche en mouvements amples et humides.
Il me fait partager son plaisir avec de nombreux râles et gémissements, il m'excite encore davantage.
Après de longues minutes, je ralenti ma pipe goulue, j'ai envie qu'il me prenne.
Il me place allongé, sur le ventre, et me dévore l'anus.
Sa langue cherche à s'insérer en moi, mon œillet s'ouvre lentement.
Il cesse de me lécher pour venir coller son gros gland contre mon anus.
Il utilise son poids pour écarteler mon petit trou, qui devient plus large à chaque tentative.
Je retrouve ce phénomène excitant qui me force à mordre quelque chose, en le sentant me pénétrer jusqu'aux couilles.
"MMMMMMMMMMM, Mario, Arhhhhhhhhhhh ! Oh putain ! J'avais oublié ! Arhhhhhhhhhh! MMMMMMMMM".
Il reste planté en moi, patiemment, puis je me tortille sur sa bite.
Il comprend que c'est le moment pour bouger et m'enculer comme je le mérite.
Les pénétrations, d'abord contrôlées et tendres, deviennent profondes et puissantes.
Il se sert des ressorts du matelas qui me repoussent vers sa bite, pour me défoncer comme une bête.
Je gueule comme une petite chienne.
"Arhhhhhhhhhhh ! Mario ! Tu me défonces trop bien ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Oh, Pascal ! Je suis trop excité ! J'ai trop envie de ton cul ! Il m'a trop manqué !".
"Arhhhhhhhhhhh ! Putain, je le vois ! Arhhhhhhhhhhh ! Tu me casses le cul !".
Il est tellement excité qu'il se contente de cette position.
Il me détruit le cul avec puissance en m'enfonçant dans son matelas à chaque assaut.
Sa saillie est interminable, sa bite fait un bruit de flaque en investissant mon anus qui s'est habitué à ses assauts et a atteint une ouverture maximum.
Il ressort sa bite entièrement et replonge en moi sans difficulté, faisant ressortir du jus anal blanchâtre, de plus en plus abondant.
J'ai atteins un point culminant d'orgasme, il me tue de plaisir.
J'ai l'impression de me transformer en défouloir sexuel.
Au bout de 30 à 40 minutes, je sais plus, il se met à grogner comme jamais et se dresse sur ses bras, en plantant sa grosse queue au fond de mon cul.
"Arhhhhhhhhhhh ! Pascal, Ca y est, je joui ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Gllllllllllrrrrrrrrrrrr !".
Je suis saisi par un orgasme cérébral instantané, sa jouissance en moi, m'excite énormément.
Il se déverse très, très longuement, dans de nombreux râles et grognements.
Je tords mon cul pour recevoir plus profondément son plaisir.
Puis, il s'écroule sur moi, nous mêlons nos respirations essoufflées.
"Oh, putain ! Pascal ! Ca fait du bien ! Tu peux pas savoir ! Ouhhhfffff ! J'en avais besoin ! C'est toujours aussi bon avec toi !".
Il nous tourne sur le coté, sans se retirer de mon anus, et me serre dans ses bras.
Il m'a épuisé de plaisir, ses mains qui me caressent le corps et les cheveux me font partir dans un petit sommeil réparateur.
Il m'accompagne dans cette micro sieste, une longue demi heure, tout de même !
Je suis réveillé par une sensation d'humidité entre les fesses, sa bite est sortie de mon anus en débandant.
Je me retourne, il ouvre les yeux lui aussi.
"Humm, c'était bon ! J'ai rarement joui comme ça ! Et toi ?".
"Moi aussi ! Mais tu m'as éclaté le cul ! Je suis trempé !".
"Humm ! Moi j'aime, quand tu mouilles comme ça !".
"Je me doute, mais je vais mettre un moment à retrouver des sensations normales !".
Il se lève, et je fais de même, je remarque une tâche humide, au niveau de mes fesses, sur le lit.
"Tu veux déjeuner ?".
"Oui, c'est pas de refus ! J'ai besoin de reprendre des vitamines !".
En déjeunant, je me faufile aux toilettes pour soulager un reflux de sperme et de sécrétions anales.
Je ne refuse pas un besoin de tendresse de sa part, on finit par retourner dans son lit.
Je lui prodigue une très, très longue fellation, tendre et pleine d'amour de sa bite.
Il est heureux, et ça me comble de bonheur, puis je me place au dessus de lui pour m'empaler.
Je me baise avec douceur parfois, et fougue aussi, de temps en temps.
Il accompagne mes râles avec les siens.
Je me place en levrette, il m'encule comme une bête encore une fois.
Puis, je me retrouve avec les cuisses ouvertes et lui planté en moi.
Mes orgasmes s'enchainent, il me dit, adorer me faire jouir.
Il me soulève les fesses, me montrant sa grosse queue qui me pénètre interminablement.
Mon sexe se met à bander, puis j'explose tout mon foutre sur mon ventre, à chaque nouvel assaut profond.
Il ne résiste pas à mon double orgasme et lâche mes cuisses pour venir éjaculer dans ma gorge.
Je fini d'orgasmer en avalant son sperme chaud et poivré.
La puissance de notre jouissance commune nous étonne tous les deux.
"J'ai encore bien joui ! C'était fort ! Pas toi Pascal ?".
"Si ! J'avoue ! C'était excitant et ça m'arrive pas souvent !".
"C'est bon de te retrouver ! On va se revoir j'espère !".
"Bien sur, mais tu me promets de ne pas t'attacher ! Je ne peux pas ! J'ai une vie de famille !".
"On va faire avec ! J'aime trop te baiser !".
"Si ça reste comme ça, ça va, mais si ça devient plus tendre, ça deviendra dangereux pour moi !".
"Pas de souci ! Je suis plus un jeune homme !".
On s'est donc retrouvé épisodiquement, une fois par mois.
Il rattrapait son manque de relation sexuelle épanouissante avec moi, et se soulageait au petit bois, quand il n'en pouvait plus de m'attendre.
C'est lui qui a mis fin à la relation, devant mon refus de venir le voir plus souvent, avec encore comme motif:
"Je t'aime, j'ai besoin de te voir plus souvent !".
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toutes mes histoires avec des hommes ont eu une fin. Officiellement, je suis hétéro, c'est comme ça que je veux vivre ma vie.
Je m'en veux beaucoup d'avoir joué avec les sentiments de mes amants, mais dès le départ, ils savaient que je n'étais pas libre !
Je m'en veux beaucoup d'avoir joué avec les sentiments de mes amants, mais dès le départ, ils savaient que je n'étais pas libre !
Très belle histoire , comme je les aime. Sans soumission ni vulgarités , deux amants consentant . Dommage que cette histoire ai pris une fin .
Deux amants qui se font bien plaisir mutuellement , cela peut aussi à amener à plus , genre tendresse l'un vers l'autre qui dans certains cas peut devenir dangereux , surtout si un des partenaire( ou les deux ) n'est pas libre . C'est malheureusement le risque entre partenaires qui s'entendent bien et souvent .
Deux amants qui se font bien plaisir mutuellement , cela peut aussi à amener à plus , genre tendresse l'un vers l'autre qui dans certains cas peut devenir dangereux , surtout si un des partenaire( ou les deux ) n'est pas libre . C'est malheureusement le risque entre partenaires qui s'entendent bien et souvent .