Mélanie la voisine 2

- Par l'auteur HDS linsee -
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Récit libertin : Mélanie la voisine 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mélanie la voisine 2
Franc, savoure cet instant magique, les femmes s'embrassent goulument, leurs souffles rauques sont profonds. La main agile de Mélanie glisse sur la culotte humide, en faisant quelques pressions sur la fente. La vulve, très sollicitée, suinte de plus en plus. Sous la friction délicate, les lèvres enflent de plus en plus, Mélanie constate que le clito a pris beaucoup du volume. Elle le saisit entre ses doigts, et au travers du tissu comment un habile branlage. Marylène, même en serrant les dents, ne peut retenir quelques gémissements. Les doigts habiles lui arrachent des grognements de bête piégée. Marylène s'accroche à son amie en disant faiblement :

-Oh ma chérie, c'est bon, continue, continue !

Mélanie, profitant de l'état second de son amie, avec autorité, lui dit :

-Tu vas être ma salope, je vais faire de toi, une bonne jouisseuse !

Au bord de l'orgasme, et complétement soumise, Marylène répond :

-Oui, oui, fais de moi ce que tu veux, je suis à toi ma chérie !

Mélanie, sûre de l'emprise qu'elle a sur son amie, enfonce le clou :

-Je veux t'entendre dire que tu es une pute, aller dis-le :


Sans chercher à comprendre, Marylène, très excitée, répond :

-Oui, je suis une pute, ta pute, ma chérie, oh mon Dieu, je vais jouir, ça vient, ça vient !


Franc ne reconnait plus sa femme, elle qui est d'habitude assez réservée, accepte d'être le jouet sexuel de Mélanie, et au pire devenir sa pute. Cela le fait frissonner, il est impatient de voir la suite. Au fil des minutes, il s'avère que Mélanie est une maitresse femme. Elle fait mettre Marylène nue, lui demande de bien ouvrir sa chatte, et de sortir de son écrin son clito. Comme un automate, la soumise obtempère. Franc reste scotché, il lui semble que sa femme, prend du plaisir à suivre, sans contester, les ordres de sa maitresse. Mélanie dit haut est fort :

-Branle-toi salope, éclate-toi le clito !


En ouvrant largement les cuisses, Marylène s'empare de son clito, le presse et l'agite vigoureusement. Pour plaire à son amour, en serrant les dents, elle le maltraite, le torture. Jusqu'à ce qu'il devienne monstrueux. Mélanie lui ordonne :


-Surtout, ne jouis pas, dès que ça vient, tu cesses de te branler !
Elle commande la manœuvre :
-Oui, oui, comme ça, encore, encore, arrête, arrête, vas-y recommence plus vite, plus vite. Stop, stop, non, non, ne jouis pas !

Plusieurs fois, Marylène, est au bord de l'explosion. Elle cesse de se masturber, attend que la pression retombe, pour reprendre ensuite le branlage. Ses yeux sont embués, à chaque pause, elle halète, sa respiration est rapide, son souffle, court. Enfin, Mélanie se mêle au jeu. Elle se met à genoux face à sa proie, et en regardant le clito, prend une grande aspiration, et brutalement plaque sa bouche dessus. Marylène pousse un gémissement terrible, elle se cambre au maximum, pour offrir à la bouche vorace sa vulve, qui suinte comme un fruit trop mûr.

Mélanie aspire et avale, tout ce qu'elle lui offre, elle se gave jusqu'à plus soif du liquide suave. Lorsqu'elle aspire le clito, un grognement de fauve se fait entendre. Marylène cabrée comme jamais subit les assauts redoutables de la bouche de son amour. Entre deux succions, Mélanie dit :

-Joui, joui, salope, tu n'en peux plus, joui !


Marylène geint, agite son bassin férocement, puis en hurlant explose de jouissance. Le cri qu'elle pousse fait sursauter son mari, qui ne la jamais entendue jouir aussi fort. Pour son premier acte lesbien, Marylène prouve qu'elle en a pris un certain plaisir. Mais sera-t-elle à la hauteur pour rendre le même plaisir à son amour. Mélanie se redresse, elle sourit et en regardant sa proie haletante, dit :

-Bouffe-moi la chatte ma chérie, surtout, ne me déçois pas, je suis en feu !


Avec des gestes lents, la copine s'effeuille comme une strip-teaseuse. Marylène et Franc, sont en admirations devant le corps quasi parfait de leur voisine. Sur les seins lourds, des mamelons larges et épais trônent au centre d'aréoles fortement grenelées.
Franc ne les quitte pas des yeux. Marylène en ravalant sa salive regarde la chatte aux lèvres épaisses qu'elle doit dévorer. Ses yeux pétillent comme du champagne. La toison de son amante brille tellement elle est humide. Elle avance sa tête entre les cuisses largement ouvertes, hume avec force, les effluves odorantes que la chatte rejette.

Elle donne quelques coups de langue sur la fente dégoulinante, avant de gober la perle d'amour. Mélanie se cabre en geignant de plaisir, les aspirations bien dosées font gémir Mélanie comme une bête blessée. Le clito devient large et épais, Marylène s'acharne dessus comme une vorace. La coquine prend son travail de lesbienne à cœur, et elle prouve qu'elle est douée. Elle suce, lèche les grandes lèvres, les mordille, en geignant autant que sa soumise. Avant de lui mordre le clito. L'effet est immédiat, Mélanie se cabre et explose de jouissance en grimaçant.

Après un petit instant de récupération, Mélanie reprend les choses en mains. Elle saisit entre son pouce et son index un mamelon de Marylène, le presse, fortement et commence à le triturer. Elle le roule entre ses doigts, l'étire au maximum. Marylène grimace, geint. Habilement, la femme maitresse fait subir le même traitement à l'autre mat de chair. De sa main libre, Mélanie saisit le clito toujours gonflé, le branle vigoureusement, l'écrase puissamment. Elle le malmène, le torture, tout cela sous les yeux hagards de Franc. Une jouissance monstrueuse fait hurler Marylène. C'est si violent que Marylène se met en chien de fusil, plaquent ses mains sur sa vulve en feu en marmonne :

-Mon Dieu, mon Dieu, c'est dément ce que tu me fais ma chérie, j'ai honte de jouir si fort !

En souriant, son amante répond :

-Ce n'est que le début, je vais te faire défoncer par Franc, je lui demanderai de te faire des choses que tu ne dois pas refuser, mais avant, j'ai des jouets à la maison, je vais les chercher !

Mélanie enfile le peignoir de Marylène et s'absente un instant. Elle revient avec une petite valise. Elle retire son peignoir, et ouvre la valise. Les yeux des voisins s'ouvrent grandement, en voyant ce que contient la valise. Mélanie sort, un à un, les objets sexuels. Des godes plus impressionnants les un que les autres s'étalent sur le sol. Un engin monstrueux fait pincer les lèvres à Marylène. Elle le prend en main, le palpe pour en tester la texture. L'engin est muni de trois boutons. Curieuse, Marylène appuie sur l'un d'eux, le gland de l'engin se met en rotation. La surprise est totale, Marylène manque de lâcher l'engin. Elle regarde son mari qui ne quitte pas le monstre des yeux. Timidement, elle appuie sur le second bouton.

Le gode se met à vibrer, et à se contorsionner. Marylène laisse échapper :


-Oh la vache, c'est quoi ce truc !

Mélanie lui suggère de tourner le bouton qui n'est rien d'autre qu'un variateur. Elle obéit, L'engin s'agite avec plus d'énergie, en vrombissant fortement. Marylène n'en croit pas ses yeux. Elle ne peut s'empêcher d'appuyer sur le troisième bouton. Elle sursaute, l'engin expulse un jet puissant de liquide visqueux, qui à s'y méprendre ressemble à du sperme. Marylène reste sans voix devant l'éjaculation de la bite factice. Elle arrête l'engin. Mélanie lui souffle :

-C'est mon préférée, avec lui, j'ai des jouissances extraordinaires, tu vas être gâtée ma salope !

Elle agite sous son nez une lanière de cuir, et lui dit :

-Allonge-toi, Franc va bien te défoncer, après, tu auras droit au grand jeu, je répète, tu ne dois rien refuser !

En s'allongeant sur un banc sans dossier, Marylène dit avec quelques trémolos dans la voix :

-Je t'aime trop, je ne peux rien te refuser ma chérie, je suis à toi, use de mon corps comme tu l'entends !

Mélanie dépose un baiser bruyant sur les lèvres de sa soumise, et répond :

-C'est bien, comme cela que je l'entends, tu vas être une grosse pute, qui va exploser de jouissance !


Mélanie fait glisser sur la peau laiteuse de son amante la lanière de cuir. Marylène frémit, le cuir glisse doucement sur ses seins, descend sur son ventre et passe plusieurs fois sur sa fente, qui ne cesse de rejeter son jus. Un coup bien ajuster sur le clito, fait cabrer Marylène qui s'accroche au banc fortement. Un deuxième plus violent la fait grogner. Le clito devient violacé, il est méconnaissable sous les coups de plus en plus violents. Enfin, Mélanie jette la lanière et dit :

- Franc défonce à fond cette salope !

Franc rapidement se met nu, sa verge est dressée comme un mat, il prend place entre les cuisses de sa femme et lui enfonce brutalement sa queue jusqu'aux couilles. Sa femme pousse un gémissement de plaisir, pendant la violente pénétration. Elle s'accroche à lui.
En tirant fermement sur ses hanches, Franc l'embroche, jusqu'à la garde à chaque coup de reins. Mélanie dit :

-Tape fort, tape fort, fais lui mal, défonce-là cette pute, dis-le que tu es une pute !

Marylène, entre deux souffles, dit :

-Oui, oui, je suis une grosse pute, votre pute, oh putain comme c'est bon !

Mélanie donne quelques coups de lanière sur les seins de la soumise, rapidement, elles se marquent de traces rouges, les mamelons ne sont pas épargnés par la morsure du cuir. Sous les coups de reins de son mari et les coups de lanière, Marylène geint comme une bête en rut :

-Oh, c'est trop, mon Dieu, je vais jouir, oui, oui, ça vient !

Une jouissance terrible fait hurler Marylène. Pendant qu'elle se contorsionne de jouissance, Mélanie dit :

-Prends là par le cul, vas-y, encule-la !


Mélanie replie les jambes de Marylène sur son ventre, et les maintient bien ouvertes. Franc, n'a jamais sodomisé sa femme, c'est un acte, elle lui a toujours refusé. Il place le membre, qui n'a pas encore éjaculé, contre la petite porte, que sa femme ne peut plus lui interdire. Il pousse, Marylène grimace, l'anneau ridé, ne peut résister à la poussée, il s'ouvre et laisse le passage au manche de chair qui s'enfonce lentement dans la gaine qu'il dilate. Marylène geint comme une bête blessée. Mélanie prend pitié d'elle, elle lui saisit le clito et le branle énergiquement. Dilatée analement comme elle ne la jamais était, Marylène souffle, geint agite sa croupe à ma recherche d'une jouissance anale qu'elle ne connait pas encore.

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Texte coquin : Mélanie la voisine 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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