Mélanie la voisine fin - histoire érotique

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Franc sauvagement laboure l'étroit conduit, en faisant geindre sa femme. Il découvre peu à peu que sa coquine d'épouse, aime tout ce qui a un rapport avec le sexe, et plus c'est violent, plus, elle aime. Mélanie lui travaille le clito avec démence, pendant que Franc lui dilate l'anus. Les gémissements de Marylène ressemblent à ceux d'une agonisante. Elle reçoit dans son rectum un flot de sperme épais que son mari lui offre généreusement. Elle grogne, agite sa croupe de plus en plus vite. Elle se tend comme un arc et jouit pour la première fois du cul en hurlant :

-Encore, encore, c'est trop bon !

Mélanie est satisfaite du travail, elle lâche le clito enflé et dit en souriant :

- Nous allons varier les pénétrations, prend la chatte de ta femme, pendant que tu bandes encore, comme elle en redemande, nous allons bien l'éclater !

Franc retire sa queue gluante du rectum de Marylène et sans ménagement lui enfonce dans le ventre. En grognant comme un fauve, il la défonce sauvagement.

Mélanie veut qu'il décharge rapidement, elle place sur les couilles de Franc un vibro et l'actionne. Il suffit de quelques secondes pour qu'une éjaculation puissante remplisse le ventre de Marylène qui s'accroche à son mari, comme un rapace sur sa proie.
Franc, serre les dents, sa femme insatiable agite son bassin comme une forcenée. La coquine cherche une nouvelle jouissance, et pour cela, elle se démène comme un beau diable sur la queue raide de son mari.

Une jouissance inespérée fait cabrer Marylène, qui retombe lourdement sur le banc. Sous la conduite de Mélanie, Franc se retire, et dit avec arrogance :

-Maintenant, tu vas sucer la bite de ton mari, pendant que je vais te brouter !

Marylène, sans se faire prier, saisit la queue de son mari, la décalotte et la prend en bouche. Les succions sont bruyantes et soutenues. Soudain la suceuse pousse un grognement, son amie vient de plaquer sa bouche sur son puits d'amour qui rejette le surplus de sperme.

Bien que ce soit ses premiers actes de lesbienne, Mélanie semble aimer ça. Elle dévore en grognant la chatte baveuse de son amie qui suce avec rage la bite de son mari. la bouche change d'orifice, Marylène se cambre fortement, la bouche vorace de sa maîtresse aspire le muscle rectal avec force, la sensation ressentit par Marylène est atroce, son initiation anale continue, jamais une bouche ne s'est occupée de son anus. Elle recrache la bite de Franc, et dit :

Oui, oui, c'est bon ma chérie, bouffe-moi le cul, oh putain comme c'est bon !

La langue, après plusieurs tentatives infructueuses, réussi à pénétrer l'antre étroit, le fouille comme elle peut, en arrachant à la soumise des râles d'agonisantes. Mélanie se redresse et ordonne à sa proie de se mettre sur le ventre, en écartant bien ses fesses. Rapidement, Marylène prend la pose et avec ses mains ouvre au maximum ses fesses. Mélanie prend la lanière de cuir et vise l'anus, le premier coup fait cabrer la soumise, les seconds, la font grimacer. Mais le résultat obtenu est très satisfaisant. L'anus hyper gonflé est caressé par les longs doigts fins de Mélanie, qui dit :

-Franc, plante lui ta queue dans le cul, il faut bien l'ouvrir ta salope, tu verras elle ne pourra plus se passer de la sodomie !


Franc profite que sa queue est toujours opérationnelle. Pour la placer contre l'anneau atrophié. Il pousse sa femme pour un grognement et s'agrippant au banc. La verge puissance s'enfonce jusqu'aux couilles dans le rectum qu'il dilate. L'enculage est sévère, Franc savoure cet instant de bonheur, il sait maintenant que sa femme ne lui refusera son anus. Le bougre l'encule avec rage, il s'accroche à ses hanches et la démonte comme jamais, elle ne l'a été. À chaque enfoncement de sa queue dans la gaine étroite, il pousse un han de bûcheron. Sa femme n'a jamais connu d'instant aussi intense. Très soumise, Marylène geint de plaisir, elle dit entre deux gémissements :

-Merci ma chérie, de me faire subir comme une chienne, les jeux de l'amour, je veux mourir de plaisir, fais de moi une machine à jouir mon amour !

Le va-et-vient est redoutable, enfin en grognant, Franc envoie dans l'intestin de sa femme tout ce qu'il lui reste de sperme dans les couilles. Elle se cabre à son tour et répond par une jouissance anale extraordinaire. Enfin les amants se séparent, après un temps de récupération, il est temps de passer à l'étape supérieure.
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Marylène suis les conseils de son amante. Elle s'allonge sur le banc avec un gros coussin sous les reins. Jambes repliées sur le ventre, elle attend avec impatience la suite. Mélanie saisit un vibro, et l'appuie sur le clito de sa soumise qui se cambre fortement, les vibrations font gonfler la boule de chair. De temps en temps, Mélanie fait glisser l'engin sur les grandes lèvres humides et atteint dans la foulée l'anus qui se contracte sous les vibrations. Lentement Mélanie l'enfonce dans la gaine, le ronronnement, et les ondes vibrantes de l'appareil, font geindre Marylène qui ne peut retenir :

-Mon Dieu, c'est terrible, oh putain, oh putain !

Lentement avec un doigté de pro, Mélanie fait voyager le vibro dans le rectum de sa soumise qui ne peut retenir ses gémissements de plaisirs. Franc, voyeur, assiste au spectacle en salivant. C'est la première fois que sa femme subir les pires outrages sexuels, et cela le rend fou de joie
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Marylène est au bord de l'explosion, mais son amante, ne le lui en laisse pas le temps, elle retire le vibro, et enduit de gel lubrifiant la chatte et l'anus de Marylène qui maintenant s'attend au pire. Elle enduit abondamment le gode énorme du produit glissant. El le présente à la chatte gourmande. L'engin est aussi gros que le bras d'un enfant.

Mélanie le frotte plusieurs fois sur la fente de son amante, puis pousse doucement. Les grandes lèvres s'écrasent, et laissent le passage au monstre de silicone qui s'engage dans la vulve qui distend. Une fois que l'engin est engagé, Mélanie, met la rotation du gland en rotation. Un grognement d bête qui rugit se fait entendre. Marylène s'accroche au banc en se cabrant au maximum. le gland factice rotatif lui racle les parois sensibles du vagin en lui arrachant des gémissements terribles. Franc émerveillé ne dit pas un mot, elle salive fortement. Mais lorsque Mélanie actionne le second bouton, un long râle sort de la bouche de la soumise. l'engin se met louvoyer et à vibrer fortement, il s'enfonce sans assistance dans le ventre de Marylène qui ne peut retenir :

-Oh, mon dieu, mon Dieu ,Mélanie qu'est-ce que tu me fais, ouah comme ce truc m'ouvre je vais mourir mon amour.


Une fois que la bite de silicone est entièrement dans le ventre de Marylène. Mélanie active le variateur, l'engin vrombi et s'agite encore plus vite dans le corps de la soumise qui est au bord de la syncope. Presque instantanément, son corps explose. Plusieurs jouissances la font geindre, Mélanie, recule l'engin et le lâche. Automatiquement, le mandrin reprend petit à petit possession du conduit. Marylène geint comme une mourante, ses yeux sont révulsés, un rictus affreux déforme son visage, de la bave s'échappe à la commissure de ses lèvres, Les jouissances à répétitions la font défaillir, elle tremble de tous ses membres. Mélanie appuie sur le dernier bouton, pour Marylène c'est comme une libération, un flot puissant de liquide, lui remplit le ventre. Elle retombe lourdement sur le banc en haletant fortement. La femme maitresse arrête l'engin.

Des spasmes violents agite le corps de a soumise, plusieurs orgasmes à la suite la font délirer :

Mélanie c'est fantastique et démentiel à la fois, j'ai cru mourir de jouissance, merci pour le bonheur que tu me donnes !

Mélanie retire le gode, Franc reste sans voix devant le trou béant qui rejette le liquide blanchâtre. Il dit entre deux déglutitions :

-Oh la vache comme elle est ouverte, je peux y enfoncer ma main !

En souriant Mélanie dit :

-Ne t'en prives pas, le passage est fait !

Après un temps d'hésitation, Franc, enfonce un à un ses doigts dans la chatte fortement dilatée. C'est sans difficulté qu'il réussit à y introduire toute sa main. Sa femme se cambre comme un pont en pleine tempête, en geignant. Sa main fouille chaque recoins du conduit, elle fait des demi rotations, des allers et retours qui prennent de la vitesse. Marylène grimace :

-Je vais jouir, Franc je vais jouir !

Il ferme le poing et lui pilonne la chatte avec rage. Comme annoncée, Marylène explose de jouissance, en hurlant. Mélanie sonne la recréation, les trois toujours nus, se restaurent et prennent le temps de recharger les accus. Après plusieurs heures de pose. Le trio requinqué décide de reprendre les ébats. Maintenant c'est au tour de Mélanie.