Mes employeurs 4 - histoire érotique

Marc, toujours accroché aux hanches de son amante, lui déverse enfin sa semence dans l'intestin. Les succions sur le clito gonflé et la pénétration anale deviennent moins intenses, pour enfin se terminer dans de derniers gémissements faibles. Les deux femmes halètent fortement en reprenant leurs esprits. Marc retire son glaive du cul si accueillant d'Eléonore, qui se redresse péniblement en laissant Laura reprendre son souffle.

Paul regarde la chatte de Laura qui est encore gonflée par la précédente jouissance, lentement, il prend place entre les cuisses ouverte. Sa queue tendue comme jamais, il l'avance vers le temple qu'il convoite d'investir. Laura a les yeux remplis de buée, il se cabre légèrement lorsque le gland de Paul se place contre sa fente ruisselante de cyprine. Elle pousse un long gémissement pendant toute la pénétration. Elle s'accroche à lui en soufflant comme un bœuf. C'est la première fois qu'elle trompe son mari, mais elle a une excuse, c'est avec son consentement.


Elle désirait, sans se l'avouer, la verge puissante de Paul dans son ventre fébrile. Elle s'accroche à lui comme une pieuvre à son rocher. Paul en bon amant ne la brusque pas immédiatement, il veut que cela se fasse progressivement. Graduellement, il fait voyager sa queue dans le ventre de Laura, qui ne retient pas ses gémissements.


Marc regarde le couple uni, avec des yeux exorbités, sa verge est prise de soubresaut, il la saisit pour calmer les pulsions qui agitent sa verge. Eléonore, lui prend la main et l'attire contre elle, elle lui dit doucement à l'oreille :

-Prends-moi mon bel étalon, j'ai envie de ta queue dans mon ventre, oui mon chéri baise-moi fort !


Marc la regarde et répond et avec une pointe d'ironie :

-Ma vieille, je vais te prendre comme la chienne que tu es !


Eléonore se tend comme un arc et réplique :

-Oui, oui, mon chéri comme une chienne, oh oui, fais-moi mal, fais-moi hurler, oui, oui, j'aime la bite, viens vite me défoncer mon chéri !

Sans se faire prier d'avantage Marc se place entre les cuisses de la femme affamée, et lui plante avec violence sa queue jusqu'aux couilles dans le ventre. C'est en poussant un gémissement terrible qu'Eléonore s'agrippe à son pourfendeur. Marc prend même du plaisir à la malmener. Ses coups de pilons sont si violents que la soumise sursaute en poussant un râle à chaque enfoncement du pieu dans son ventre.

Paul, lui, est plus doux, sa verge coulisse dans la gaine détrempée avec une douceur extrême. Les gémissements que pousse Laura prouvent qu'elle prend un plaisir certain à ce genre de pénétration. Mais l'expert augment lentement le rythme, Laura geint plus fortement en agitant doucement son bassin. Il semble qu'elle approuve ce changement de rythme, plus la cadence augmente, plus elle gémit de plaisir. Une fois la vitesse idéale obtenue, Laura croit être sur une autre planète, elle geint à en perdre haleine.


Elle se cambre sous les estocades de plus en plus violentes de son amant, une pénétration plus violente que les précédentes, la fait cabrer et exploser de jouissance. Elle gémit si fort que Marc cesse de défoncer Eléonore et regarde sa femme s'agiter de plaisir sur le pieu planté en elle. Paul est heureux d'avoir fait jouir la femme qu'il désirait fortement depuis des jours. Il serre les dents et accélère le pilonnage. Laura reprend ses gémissements sous le ramonage intense que lui inflige Paul. Il donne un coup de reins puissant et se bloque au plus profond du ventre de son amante, et y déverse un flot de sperme.

La douce chaleur de semence dans son ventre provoque une seconde jouissance de Laura. Son corps tremble, sa respiration et rapide. Eléonore momentanément délaissée, donne de formidables coups de reins pour s'empaler totalement sur la queue de Marc, qui, rappelé à l'ordre par ces coups de pilons, reprend le ramonage. Sa queue entre et ressort à vive allure du ventre de la vieille femme qui geint de bonheur en s'accrochant comme un animal sur sa proie. Une violente jouissance lui secoue les entrailles. Son cri ne laisse aucun doute, sa jouissance est forte. Marc lui travaille encore un moment la chatte avant de jouir à son tour.

Paul parle doucement à l'oreille de Laura :

-Place sous tes reins le coussin qui est là, ma chérie, et replie tes jambes sur ton ventre, je vais te faire découvrir d'autres jouissances !

Comme une automate, Laura fait ce que lui demande Paul, elle est sa chose et veut lui appartenir totalement. La position obtenue satisfait Paul qui peut avoir accès aux deux orifices de son amante. Il avance sa tête vers les fruits si généreusement offerts. Sa bouche se pose sur la vulve dégoulinante du surplus de sperme. Un léchage bien ordonné fait grogner Laura, soudain, elle sursaute, langue de Paul vient de se poser sur son anus, et se met à lécher le petit trou ridé.


Laura croit qu'elle rêve, jamais son mari n'a osé lui toucher l'anus, et là, c'est incroyable, c'est une langue autre que celle de son mari qui glisse sur son œillet. Bien qu'elle ait honte de cet attouchement, La sensation qu'elle ressent est diaboliquement bonne. Paul sait qu'il ne faut pas brusquer les choses. C'est avec douceur qu'il salive abondamment la pastille brune. Le coquin fait quelques petites pressions linguales sur l'anus, sans trop insister. Le bougre sait comment assouplir le muscle rectal avant de le forcer.

Cet attouchement inconnu de Laura, la fait geindre de plaisir. Elle ferme les yeux de honte. Marc se retire du ventre de son hôte, sa verge goutte sur le sol. Eléonore insatiable lui saisit la verge gluante et la gobe sans se poser de questions. Marc regarde sa femme en se posant la question, va-t-elle accepter la sodomie, va-t-elle l'aimer. Lui qui n'a jamais osé la sodomiser, attend avec impatience la suite des événements.

Eléonore suce et tète le manche qui ne baisse pas la tête, elle triture les couilles en les pressant fortement de temps en temps, il paraît que cela stimule l'homme. Une puissante décharge fait sursauter la suceuse. Un flot se crème onctueuse, lui remplit la bouche. Elle repousse l'éjaculateur et avale en souriant ce don des Dieux.