Mes frères, ma belle-mère et son neveu. 2. Rose.

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Récit libertin : Mes frères, ma belle-mère et son neveu. 2. Rose. Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2023 dans la catégorie Plus on est
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Mes frères, ma belle-mère et son neveu. 2. Rose.
Mes frères, ma belle-mère et son neveu. 2
Rose.
Au bout de quelques minutes je reprends enfin mes esprits. Je n'ose pas ouvrir les yeux. J'entends Stan me murmurer à l'oreille combien il m'aime puis c'est le tour de Stan et enfin de Rose.
Leurs déclarations me font tomber en sanglots. Ce ne sont pas mes enfants mais je ne fais aucune différence avec Jules, la chair de ma chair. Au milieu de mes larmes, je leur avoue combien je les aime et tiens à eux.
-Tu as aimé notre cadeau ? Me demande Rose.

Suite :
Ils sont là debout devant moi, nus, et moi assise sur le canapé. Ils sont si heureux d'avoir pu me donner du plaisir. Mes yeux descendent sur l’entrejambe des garçons où une érection me prouve qu’ils m’aiment d’une drôle de façon. Sans vraiment réfléchir, j'avance mes mains vers leurs bourses que je malaxe avant de saisir les membres turgescents.
Sous les yeux amusés de Rose, j'entame une lente masturbation et quand ils se rapprochent et que les tiges tendues se retrouvent au niveau de mon visage, je donne quelques bisous sur le bout des glands pour finalement les prendre dans ma bouche les deux en même temps. Stan ferme les yeux, il frissonne sous mon contact et je pense que c'est tout nouveau pour lui contrairement à son frère. Ils se serrent l’un contre l’autre pour contempler ma bouche sur l'ardillon du frère ou du leur.
Stan a le bout non décalotté, du bout des doigts j'effleure le museau rose qui pointe. Sa queue est légèrement plus petite que celle de Paul. Je la prends très délicatement d’une main et de l’autre celle de son frère et commence à les masturber.
Les garçons se laissent faire et je décide de m’abandonner. Je m'allonge sur le divan, me saisis du plus petit membre tendu et le guide à l'entrée de ma vulve. Je dois l’attirer à moi en appuyant sur ses fesses pour qu'il trouve le courage de me prendre. Ataviquement, il entame un va-et-vient précautionneux puis sans plus aucune retenue. Le pauvre va si vite que je n’ai même pas le temps de trouver mon plaisir avant qu’il ne trouve son plaisir et lâche quelques malheureuses gouttes de sperme sur mon bas-ventre.
Paul le regarde avec un air dubitatif sur la piètre exhibition de son frère. Il prend sa place et pénètre à son tour mon intimité. Le rythme est plus lent, plus détendu avant qu’il accélère et que quelques minutes après, il se vide lui aussi sur mon ventre. J'ai eu un début de jouissance mais je ne suis pas assouvie, dommage… j’ai la sauce de ces deux garçons sur ma peau et en goutte la saveur. On trouve son plaisir où l’on peut. Ils se regardent le bigoudi en confiture. Je me lève du canapé, les embrasse et regagne ma chambre après un passage à la douche. Qu’elle drôle de soirée !
Je songe à Jules, que va-t-il penser de sa tante ? Avant de m’endormir, je me fais la promesse d’essayer de savoir pourquoi il s’isole. Je demanderai à Rose de me seconder dans cette mission.

(Rose)
Drôle de mission que m’a confié Jeanne, ma belle-mère, m’occuper de son neveu, ce puceau de Jules. Je le piste dans la maison et arrive à le coincer dans la salle de bain au moment où il va faire sa lessive. Il est reparti dans sa chambre pour chercher du linge qu’il a dû oublier et je fouille dans la corbeille. Une boule m’attire, c’est un de ses draps mais il est rêche comme du papier-peint qu’on décolle. J’ai même du mal à le déplier tellement la surface (collante) est vaste. Ce petit merdeux a dû verser du sirop ou une autre boisson sucrée dessus ou alors… Il s’est branlé et a juté dedans, mais ce n’est pas possible, il faudrait dix bites avec des couilles débordantes de foutre pour arriver à un tel résultat… Il revient et je m’esquive en vitesse.
Les jours suivants, je le chauffe mais contrairement aux petits cons habituels, il devient fuyant quand ça devient trop chaud et j’arrive à me demander s’il n’aimerait-pas mieux les garçons aux filles. J’arrive un jour à le coincer et y vais franchement.
-Jules, Je ne te plais-pas ? Pourquoi fuis-tu au lieu de profiter de ce que je te dévoile ? Tu préfères les garçons ?
-Euh…non-Rose… C’est pas ça. Je n’ai eu qu’une seule expérience avec une fille, mais elle m’a traitée de monstre, que je devrais consulter, que ce n’est pas normal.
-Que me racontes-tu là Jules ? Explique-moi, je ne comprends pas. N’ai pas peur de tout me dire si ça peut t’aider.
-Elle a voulu me branler et quand j’ai euh-éjaculé, elle m’a traité de gros dégueulasse, que j’étais un vrai animal.
-Qu’est-ce que tu veux dire par là, je lui demande ? Elle n’a pas aimé le goût de ton foutre ? Tu ne l’as pas forcée à le boire, quand même ?
-Ce n’est pas ça Rose, c’est que… Quand je jouis, eh bien…
-Eh bien quoi ? Accouche !
-Je jouis comme je pisse, tu vois ce verre de quinze centilitres ? Je le remplis sans problème.
-Tu te fous de moi Jules, c’est pas possible ! Je n’ai vu qu’un seul noir américain avec une queue monstrueuse faire ça sur le net. Il crépissait littéralement les filles !
-Eh bien avec moi, ça fera deux, constate Jules. Après que vous m’ayez chauffé le jour de l’anniversaire de ma mère, je me suis branlé et depuis je le fais souvent et des fois je n’ai pas le temps d’éviter la catastrophe et inonde mes draps.
Je commence à comprendre pour le drap, mais je veux le voir pour le croire.
-Laisse-moi faire Jules, je veux constater par moi-même que tu n’affabules pas.
-Si tu veux, mais je t’aurai prévenue.

Je délace son pantalon de zouave et le descends sur ses chevilles. Notre discussion a dû l’émoustiller vu le paquet qui gonfle le devant de son boxer. Je glisse une main de chaque côté sous l'élastique pour descendre son boxer. Plus je le tire sur ses cuisses plus je vois s'allonger une nouille d'une longueur inhabituelle. Je m'étais trompée, Jules ne bandait pas. Je constate ébahie que son sexe au repos est déjà plus gros et plus long que celui de Paul ou de Stan. Je l'aide à retirer complètement ses habits et me saisis avec appréhension de cette chose flasque. Il me faut un moment avant que son organe réagisse à une branlette que je fais avec mes deux mains. La chose s'allonge, s’allonge, et s'allonge encore. J'ai maintenant entre les mains un chibre qui doit bien faire dans le double décimètre, sinon plus. Mais je n'arrive pas à obtenir une érection complète. L’organe plie dans mes mains. J'ai beau m'évertuer maintenant en y ajoutant ma bouche, rien n'y fait, je dois donc m'en contenter. Avec toute ma science je le branle et le suce dans la mesure de mes possibilités buccales. J’ai constaté que l’énorme prune qui lui sert de gland est fendue d’un méat disproportionné. Jules commence à bouger un peu dans tous les sens, me regarde et me met en garde.
-Tu ne devrais pas Rose, tu ne devrais pas…
Je ne devrais pas quoi ? Je continue à astiquer des deux mains cette verge incroyable en en pompant le museau quand soudain il se recule et branle avec vigueur de la main droite son chibre pendant que l'autre main empoigne la base et les bourses.
-Je vais jouir Justine, je vais jouir…

Je pose mes mains sur le haut de ses cuisses, ouvre la bouche et attends pour assister au spectacle.
Et là je ne suis pas déçue. Les jets se succèdent, j’en dénombre neuf. Vous me direz ; il n'est pas le seul capable d'une telle performance. Mais chaque jet de foutre dure cinq à six fois plus longtemps que le commun des mortels. Et si ce n'était que ça ! Je commence à comprendre l'utilité d’un méat aussi large. Un véritable ruisseau de foutre en jaillit, me noyant la bouche et me crépissant le visage et les seins d’une couche épaisse de semence très abondante. Il avait raison, il éjacule comme il pisse… Quand enfin cette fontaine à foutre est à sec, je dois râcler mes paupières avec mes doigts pour pouvoir ouvrir les yeux et je constate la catastrophe sur mes habits. A lui tout seul, il a craché plus de jus qu’un car entier de rugbymans. Je suis si affolée de ce que je viens de subir que je me relève, me précipite vers la porte pour sortir de sa chambre et croise sa tante jeanne sur le chemin de la salle de bain. Je ne sais pas ce qu'elle a pu penser mais je le saurai bien assez tôt.
Je me jette sous la douche pour me débarrasser de cette crème collante puis lave à grande eau mes vêtements souillés. Heureusement qu’il y a dans la corbeille à linge en attente de repassage de quoi me changer ! Je sors de la salle de bain et tombe sur Jeanne qui patientait dans le couloir.
-Qu’est ce qui t’es arrivée Rose, tu es sortie comme une furie de la chambre de Jules le visage couvert de…
-De Yop maman, de Yop ! Ce connard de jules a renverser la totalité du récipient sur moi, j’en avais partout…

Je ne sais pas si elle m’a cru mais l’honneur est sauf, j’espère. Plus tard j’ai une discussion avec Jules.
-Frérot, je te comprends. Si voir ça sur une vidéo hot passe encore, je comprends la réaction de la fille qui y a été confrontée. Tu as vu un toubib ?
-Non.
-Eh bien je vais me renseigner et voir ce qu’on peut faire pour résoudre ce problème.

Quelques mois et un traitement médicamenteux plus tard, Jules me demande de revenir dans sa chambre et de recommencer l’expérience. Au moment fatidique, je me méfie et ai prévu un récipient conséquent. Le nombres de ses craches est sensiblement le même mais le volume en a considérablement réduit. Il est encore largement au-dessus de la moyenne mais c’est acceptable pour une gourmande comme moi.

A suivre…

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Histoire Libertine
À suivre...

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Jules, l'homme fontaine.



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