Mes frères, ma belle-mère et son neveu. 3 Jules.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2023 dans la catégorie Plus on est
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Mes frères, ma belle-mère et son neveu. 3 Jules.
Mes frères, ma belle-mère et son neveu. 3
Jules.
Je ne sais pas si elle m’a cru mais l’honneur est sauf, j’espère. Plus tard j’ai une discussion avec Jules que je traite comme s’il était réellement mon frère.
-Frérot, je te comprends. Si voir ça sur une vidéo hot passe encore, je comprends la réaction de la fille qui y a été confrontée. Tu as vu un toubib ?
-Non.
-Eh bien je vais me renseigner et voir ce qu’on peut faire pour résoudre ce problème.
Quelques mois et un traitement médicamenteux plus tard, Jules me demande de revenir dans sa chambre et de recommencer l’expérience. Au moment fatidique, je me méfie et ai prévu un récipient conséquent. Le nombres de ses craches est sensiblement le même mais le volume en a considérablement réduit. Il est encore largement au-dessus de la moyenne mais c’est acceptable pour une gourmande comme moi.
Suite :
Dès le lendemain, je passe à l’étape suivante. Je lui découvre mes charmes, me mets debout face à lui, l'enlace comme pour danser un slow, ma bouche prend la sienne, il se laisse guider. Je caresse son visage, il m'embrasse le front, les joues, le cou. Je libère mon corps puis le sien de toute entrave et peux maintenant me consacrer entièrement à son sexe. Je lui prends les deux mains pour les poser sur ma poitrine puis pose les miennes sur son bas-ventre où se dresse le membre viril de Jules.
Je me laisse descendre jusqu’à ce que son chibre oscille doucement devant mon visage. Je m'aperçois qu'il est toujours aussi tendre comme quelque chose de fragile et en même temps viril bien que je regrette qu’il bande trop mou pour moi. L’émotion me saisit quand même en imaginant le plaisir qu’on peut ressentir à être pénétrée par un tel épi. Je referme les doigts autour avec émoi et il me laisse œuvrer à ma guise sur sa hampe de chair.
Je n’y tiens plus, le pousse dans un fauteuil et me mets à califourchon sur lui. Je prends sa virilité bien plus grosse que celle de mes frères et m'empale lentement en la tenant pour l’introduire en moi par son manque de virilité. Je grimace puis lui décoche un sourire des plus charmeurs. Dans un sens je suis satisfaite qu’il bande mou car je suis assez étroite. Je sens quand même l’exceptionnelle pine qui comprime mes chairs.
Je continue à m'activer sur Jules. Dans un grognement de satisfaction, il lance son bas-ventre en avant me faisant ainsi comprendre son plaisir. J'entreprends aussitôt de refermer ma main sur ses couilles, de les presser avant de la remonter sur la base de sa colonne pour la faire coulisser de haut en bas. Il est comme en extase que je m’occupe de sa virilité orgueilleuse.
Je le repousse délicatement pour dégager complètement le gland brûlant et trempé de mon sexe et m'active avec mes doigts tout le long de son jonc que je masturbe avec un plaisir extrême. Sa jeune virilité bande peut-être un peu plus sous l'intense désir qui lui taraude les entrailles. Il ne peut plus se retenir, se cambre en laissant échapper un petit gémissement de contentement en se vidant dans ma bouche qui déborde sous la dose. J’en recrache la plus grande partie pour en apprécier le goût à petite dose comme un œnologue.
-Pas mal, une bonne année, celle de notre naissance…
Il a pris de l’assurance et c’est maintenant lui qui veut me donner du plaisir. Nous intervertissons nos places. J'ai sans sa langue qui oscille sur mon périnée entre mes grandes lèvres et mon anus. Je remarque son amateurisme mais le laisse découvrir ce qui fait la différence entre l’homme et la femme et ce qui est identique. Il est jeune comme moi et la vigueur revient très vite à cet âge-là. Je constate avec plaisir que sa verge se raidit à nouveau. je ne peux m'empêcher de grogner quand je sens le majeur de Jules plongé dans mon antre le plus secret réservé aux initiés. Je m’adapte aussitôt à cette nouvelle intrusion. Il retire son doigt et le porte à sa bouche puis le replonge de plus belle. Il se dessale à la vitesse grand V le salaud ! Son doigt me pénètre avec une grande facilité alors je prends le bélier pour l'attirer entre mes fesses. Jules ne comprend pas tout de suite l’invitation puis saisit enfin où je veux en venir. Je me mets en levrette pour lui faciliter les choses. Il se positionne derrière moi et dirige sa tringle contre mon anus.
Mais consternation, ce que je craignais devient réalité. Son gland appuie sur mon sphincter accueillant mais il n’y arrive pas. La combinaison de la grosseur de son sexe, de l’éjaculation précédente et du manque évident de rigidité de son pénis fait que c’est un zéro pointé, hélas.
Déçu, il met court à notre petite sauterie et me demande de mettre fin à cette expérience décevante. Je me rhabille et regagne ma chambre déçue, il faut que je trouve une solution…
Je me renseigne sur le net et la solution est un anneau pénien ou cockring. Je vais dans le garage et dégotte un joint en caoutchouc. J’en mesure les cotes intérieures ; 4,8 centimètres, OK, ça devrait coller. Il faut dire que mon Jules est bien équipé. Deux jours après, nous remettons ça. Je lui dis ce que je vais faire puis lui passe l’anneau, déjà une couille, puis la deuxième et enfin le bout de sa queue et arrive ainsi à lui mettre l’anneau entre ses bourses et son bas-ventre. J’entreprends enfin de le faire bander est obtiens un résultat au-delà de mes espérances.
La chose molle que je pliais sans difficulté c'est transformé en une barre d'une rigidité incroyable.
Je lâche sa verge et contemple le résultat. Un véritable épieu de chair me fait face, tendu à l'horizontale. L'anneau que je croyais trop grand serait presque trop petit. Il emprisonne le sang qui pulse dans les grosses veines très proéminentes maintenant. Je soupèse la bête qui me fait face. Je sais qu'il a une grande queue mais elle parait bien plus petite par un effet de proportions.
Après les préliminaires pour bien nous échauffer, j’enduis son manche d'une dose conséquente de gel lubrifiant et fait de même avec ma chatte.
Jules ne se contient plus et son gland piaffe d'impatience sur ma vulve. Plusieurs fois de suite je sens son gland parcourir de haut en bas ma fente avant d’en franchir la porte. L'effet que je ressens n’a plus rien à voir avec nos premiers ébats. Cet énorme soc trace son sillon sans aucun effort apparent dans mon vagin qui n'a jamais été autant à la fête. Il ne s'arrête que quand son gland butte tout au fond sur le col de mon utérus.
-Oh putain Jules ! Je suis à la fête ! Qu’est-ce que je dérouille ! Tu avais déjà un beau chevron, mais maintenant c'est une poutre faitière. Ohh ouuuii ! prends-moi, baise-moi plus fort, encore, encore…
il est tellement heureux d'arriver à me faire jouir en quelque aller-retour qu'il ne met pas beaucoup de temps pour connaître lui aussi l'orgasme. Il se retire de ma grotte et astique son braquemard jusqu'à la délivrance. Mais là compression exercée par l'anneau produit un effet auquel je ne m'attendais pas. Les jets de foutre sont d'une puissance monstrueuse. Le premier crépit le mur derrière moi et je dois attendre les suivants pour voir apparaître sur mon corps de ma chatte à mes cheveux de longues traînées blanchâtres comme de gigantesques lignes de coke. Je n'y couperai pas de la douche.
Il avait prévu le coup et me donne un rouleau de sopalin pour essuyer le maximum de ses débordements. Je croyais être tranquille quelques minutes mais sa verge congestionnée par l'anneau ne débande pratiquement pas. Il se souvient de son raté de l'autre jour et guide son pal vers un autre objectif. Je sens sur mon anneau fripé son boutefeu qui s’impatiente.
Il doit appuyer bien fort pour que la coiffe de la fusée soit dans mes entrailles. Je déguste comme pas possible avec ce défonce-cul hors-norme qui s'introduit dans mon rectum.
-Tu me casses le cul Jules ! Tu me casses le cul avec ton gros dard ! Je l'ai voulu et je l'ai mais ce n'est pas pour les fillettes… Aaahhh ! Doucement !
Il ralentit la cadence jusqu'à s'arrêter et savoure tout d'abord cette nouvelle sensation puis la pression qu'il m’inflige à nouveau reprend. Jules entreprend un va-et-vient dans mon corps qui s'habitue peu à peu à un tel intru. Jules n’a pas assez d'expérience et son obusier est tellement comprimé dans mon petit trou qu’il n'arrive pas à se contrôler et en moins d'une minute il envoie à nouveau une deuxième décharge de semence dans mon derrière. C'est encore si copieux que ça me fait l'impression d'un lavement. Je n'ai jamais ressenti un tel plaisir et autant de satisfaction de me faire enculer. Il est couvert de sueur et ses mouvements deviennent saccadés et désordonnés.
Après ce moment de pure extase, il se retire et des contractions involontaires de mon anus qui a du mal à se refermer expulsent la crème blanche souillée de traces grisâtres tellement le ramonage était profond.
Je suis tout heureuse du résultat de mon stratagème « étrangleur », mais je suis très partageuse avec mes frères. Comme avec sa tante, il faut que je les fasse profiter d’un tel partenaire à nos petites parties de jambes en l’air familiale.
Quelques jours plus tard, je tends un piège à Jules. Je lui demande de me retrouver dans ma chambre pour une petite partie coquine comme convenu, je suis rodée maintenant pour lui passer le cokring et il bande comme un dieu. Paul et Stan nous rejoignent sur la pointe des pieds. J'avais prévu le coup et bandé les yeux de Jules. Paul et Stan viennent à mes côtés et contemplent mon ouvrage. Ils semblent impressionnés par ce qu'ils découvrent. Ils ne s'attendaient sûrement pas à être confrontés avec Jules et à un tel calibre. Jules et confortablement assis dans son fauteuil, les jambes écartées au maximum avec sa verge cerclée à sa base de l'anneau de caoutchouc. Son chibre se dresse tel un obélisque au centre de son corps. Mes frères me regardent faire, mes mains courent sur cette hampe majestueuse, serrées l'une contre l'autre dans un mouvement tournant autour de son axe. Je ne prends en bouche que le gland violacé que je titille du bout de la langue sous ses grognements de plaisir. Ce n'est pas qu'ils soient à voile et à vapeur mais ils ne rechignent pas à se faire une petite gâterie entre frères.
A suivre…
Jules.
Je ne sais pas si elle m’a cru mais l’honneur est sauf, j’espère. Plus tard j’ai une discussion avec Jules que je traite comme s’il était réellement mon frère.
-Frérot, je te comprends. Si voir ça sur une vidéo hot passe encore, je comprends la réaction de la fille qui y a été confrontée. Tu as vu un toubib ?
-Non.
-Eh bien je vais me renseigner et voir ce qu’on peut faire pour résoudre ce problème.
Quelques mois et un traitement médicamenteux plus tard, Jules me demande de revenir dans sa chambre et de recommencer l’expérience. Au moment fatidique, je me méfie et ai prévu un récipient conséquent. Le nombres de ses craches est sensiblement le même mais le volume en a considérablement réduit. Il est encore largement au-dessus de la moyenne mais c’est acceptable pour une gourmande comme moi.
Suite :
Dès le lendemain, je passe à l’étape suivante. Je lui découvre mes charmes, me mets debout face à lui, l'enlace comme pour danser un slow, ma bouche prend la sienne, il se laisse guider. Je caresse son visage, il m'embrasse le front, les joues, le cou. Je libère mon corps puis le sien de toute entrave et peux maintenant me consacrer entièrement à son sexe. Je lui prends les deux mains pour les poser sur ma poitrine puis pose les miennes sur son bas-ventre où se dresse le membre viril de Jules.
Je me laisse descendre jusqu’à ce que son chibre oscille doucement devant mon visage. Je m'aperçois qu'il est toujours aussi tendre comme quelque chose de fragile et en même temps viril bien que je regrette qu’il bande trop mou pour moi. L’émotion me saisit quand même en imaginant le plaisir qu’on peut ressentir à être pénétrée par un tel épi. Je referme les doigts autour avec émoi et il me laisse œuvrer à ma guise sur sa hampe de chair.
Je n’y tiens plus, le pousse dans un fauteuil et me mets à califourchon sur lui. Je prends sa virilité bien plus grosse que celle de mes frères et m'empale lentement en la tenant pour l’introduire en moi par son manque de virilité. Je grimace puis lui décoche un sourire des plus charmeurs. Dans un sens je suis satisfaite qu’il bande mou car je suis assez étroite. Je sens quand même l’exceptionnelle pine qui comprime mes chairs.
Je continue à m'activer sur Jules. Dans un grognement de satisfaction, il lance son bas-ventre en avant me faisant ainsi comprendre son plaisir. J'entreprends aussitôt de refermer ma main sur ses couilles, de les presser avant de la remonter sur la base de sa colonne pour la faire coulisser de haut en bas. Il est comme en extase que je m’occupe de sa virilité orgueilleuse.
Je le repousse délicatement pour dégager complètement le gland brûlant et trempé de mon sexe et m'active avec mes doigts tout le long de son jonc que je masturbe avec un plaisir extrême. Sa jeune virilité bande peut-être un peu plus sous l'intense désir qui lui taraude les entrailles. Il ne peut plus se retenir, se cambre en laissant échapper un petit gémissement de contentement en se vidant dans ma bouche qui déborde sous la dose. J’en recrache la plus grande partie pour en apprécier le goût à petite dose comme un œnologue.
-Pas mal, une bonne année, celle de notre naissance…
Il a pris de l’assurance et c’est maintenant lui qui veut me donner du plaisir. Nous intervertissons nos places. J'ai sans sa langue qui oscille sur mon périnée entre mes grandes lèvres et mon anus. Je remarque son amateurisme mais le laisse découvrir ce qui fait la différence entre l’homme et la femme et ce qui est identique. Il est jeune comme moi et la vigueur revient très vite à cet âge-là. Je constate avec plaisir que sa verge se raidit à nouveau. je ne peux m'empêcher de grogner quand je sens le majeur de Jules plongé dans mon antre le plus secret réservé aux initiés. Je m’adapte aussitôt à cette nouvelle intrusion. Il retire son doigt et le porte à sa bouche puis le replonge de plus belle. Il se dessale à la vitesse grand V le salaud ! Son doigt me pénètre avec une grande facilité alors je prends le bélier pour l'attirer entre mes fesses. Jules ne comprend pas tout de suite l’invitation puis saisit enfin où je veux en venir. Je me mets en levrette pour lui faciliter les choses. Il se positionne derrière moi et dirige sa tringle contre mon anus.
Mais consternation, ce que je craignais devient réalité. Son gland appuie sur mon sphincter accueillant mais il n’y arrive pas. La combinaison de la grosseur de son sexe, de l’éjaculation précédente et du manque évident de rigidité de son pénis fait que c’est un zéro pointé, hélas.
Déçu, il met court à notre petite sauterie et me demande de mettre fin à cette expérience décevante. Je me rhabille et regagne ma chambre déçue, il faut que je trouve une solution…
Je me renseigne sur le net et la solution est un anneau pénien ou cockring. Je vais dans le garage et dégotte un joint en caoutchouc. J’en mesure les cotes intérieures ; 4,8 centimètres, OK, ça devrait coller. Il faut dire que mon Jules est bien équipé. Deux jours après, nous remettons ça. Je lui dis ce que je vais faire puis lui passe l’anneau, déjà une couille, puis la deuxième et enfin le bout de sa queue et arrive ainsi à lui mettre l’anneau entre ses bourses et son bas-ventre. J’entreprends enfin de le faire bander est obtiens un résultat au-delà de mes espérances.
La chose molle que je pliais sans difficulté c'est transformé en une barre d'une rigidité incroyable.
Je lâche sa verge et contemple le résultat. Un véritable épieu de chair me fait face, tendu à l'horizontale. L'anneau que je croyais trop grand serait presque trop petit. Il emprisonne le sang qui pulse dans les grosses veines très proéminentes maintenant. Je soupèse la bête qui me fait face. Je sais qu'il a une grande queue mais elle parait bien plus petite par un effet de proportions.
Après les préliminaires pour bien nous échauffer, j’enduis son manche d'une dose conséquente de gel lubrifiant et fait de même avec ma chatte.
Jules ne se contient plus et son gland piaffe d'impatience sur ma vulve. Plusieurs fois de suite je sens son gland parcourir de haut en bas ma fente avant d’en franchir la porte. L'effet que je ressens n’a plus rien à voir avec nos premiers ébats. Cet énorme soc trace son sillon sans aucun effort apparent dans mon vagin qui n'a jamais été autant à la fête. Il ne s'arrête que quand son gland butte tout au fond sur le col de mon utérus.
-Oh putain Jules ! Je suis à la fête ! Qu’est-ce que je dérouille ! Tu avais déjà un beau chevron, mais maintenant c'est une poutre faitière. Ohh ouuuii ! prends-moi, baise-moi plus fort, encore, encore…
il est tellement heureux d'arriver à me faire jouir en quelque aller-retour qu'il ne met pas beaucoup de temps pour connaître lui aussi l'orgasme. Il se retire de ma grotte et astique son braquemard jusqu'à la délivrance. Mais là compression exercée par l'anneau produit un effet auquel je ne m'attendais pas. Les jets de foutre sont d'une puissance monstrueuse. Le premier crépit le mur derrière moi et je dois attendre les suivants pour voir apparaître sur mon corps de ma chatte à mes cheveux de longues traînées blanchâtres comme de gigantesques lignes de coke. Je n'y couperai pas de la douche.
Il avait prévu le coup et me donne un rouleau de sopalin pour essuyer le maximum de ses débordements. Je croyais être tranquille quelques minutes mais sa verge congestionnée par l'anneau ne débande pratiquement pas. Il se souvient de son raté de l'autre jour et guide son pal vers un autre objectif. Je sens sur mon anneau fripé son boutefeu qui s’impatiente.
Il doit appuyer bien fort pour que la coiffe de la fusée soit dans mes entrailles. Je déguste comme pas possible avec ce défonce-cul hors-norme qui s'introduit dans mon rectum.
-Tu me casses le cul Jules ! Tu me casses le cul avec ton gros dard ! Je l'ai voulu et je l'ai mais ce n'est pas pour les fillettes… Aaahhh ! Doucement !
Il ralentit la cadence jusqu'à s'arrêter et savoure tout d'abord cette nouvelle sensation puis la pression qu'il m’inflige à nouveau reprend. Jules entreprend un va-et-vient dans mon corps qui s'habitue peu à peu à un tel intru. Jules n’a pas assez d'expérience et son obusier est tellement comprimé dans mon petit trou qu’il n'arrive pas à se contrôler et en moins d'une minute il envoie à nouveau une deuxième décharge de semence dans mon derrière. C'est encore si copieux que ça me fait l'impression d'un lavement. Je n'ai jamais ressenti un tel plaisir et autant de satisfaction de me faire enculer. Il est couvert de sueur et ses mouvements deviennent saccadés et désordonnés.
Après ce moment de pure extase, il se retire et des contractions involontaires de mon anus qui a du mal à se refermer expulsent la crème blanche souillée de traces grisâtres tellement le ramonage était profond.
Je suis tout heureuse du résultat de mon stratagème « étrangleur », mais je suis très partageuse avec mes frères. Comme avec sa tante, il faut que je les fasse profiter d’un tel partenaire à nos petites parties de jambes en l’air familiale.
Quelques jours plus tard, je tends un piège à Jules. Je lui demande de me retrouver dans ma chambre pour une petite partie coquine comme convenu, je suis rodée maintenant pour lui passer le cokring et il bande comme un dieu. Paul et Stan nous rejoignent sur la pointe des pieds. J'avais prévu le coup et bandé les yeux de Jules. Paul et Stan viennent à mes côtés et contemplent mon ouvrage. Ils semblent impressionnés par ce qu'ils découvrent. Ils ne s'attendaient sûrement pas à être confrontés avec Jules et à un tel calibre. Jules et confortablement assis dans son fauteuil, les jambes écartées au maximum avec sa verge cerclée à sa base de l'anneau de caoutchouc. Son chibre se dresse tel un obélisque au centre de son corps. Mes frères me regardent faire, mes mains courent sur cette hampe majestueuse, serrées l'une contre l'autre dans un mouvement tournant autour de son axe. Je ne prends en bouche que le gland violacé que je titille du bout de la langue sous ses grognements de plaisir. Ce n'est pas qu'ils soient à voile et à vapeur mais ils ne rechignent pas à se faire une petite gâterie entre frères.
A suivre…
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