Mes nuits à l'hôtel, avec Gilles !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mes nuits à l'hôtel, avec Gilles !
Cette anecdote est un peu, une suite à mes retrouvailles avec Gilles.
Afin de mettre un peu de beurre dans mes épinards, je commence à faire des foires pour écouler mon stock.
Je devrai partir le vendredi soir, pour passer la nuit à l'hôtel, et renter le lundi, en début d'après-midi.
Il y a cinq heures de route.
Malheureusement, Corinne ne peut pas se libérer pour m'aider.
Je demande à mes amis, mais je ne trouve personne, pour le moment.
J'attend encore des réponses de quelques uns.
Puis, en fin de matinée, en semaine, j'ai la visite de Gilles, qui me baise copieusement, une fois de plus.
Lors de notre récupération sexuelle, ou nous sommes nus, l'un contre l'autre, et que j'apprécie ce moment, en ressentant encore des spasmes de plaisir anal.
Il me demande, si je suis partant pour baiser le samedi soir à la boutique.
Je serre mon œillet rose, sous la pulsion d'un rejet de foutre.
"Ouhhh ! Celui-ci, Pas de souci ! Mais le prochain, je serai pas là, enfin, si je trouve un copain qui veuille bien m'aider à tenir mon stand !".
"Ben, je peux venir, moi !".
"Gilles ! T'es sérieux ?".
"Ben, pourquoi pas ! Je suis à la retraite ! Ca me fera une ballade !".
"Euh, tu me prends de court, ça veut aussi dire que tu vas me baiser sans arrêt !".
"Hummm ! Ca aussi ! Ca me fera du bien !".
Après quelques rires, je lui réponds:
"Bon, Ok ! Mais je sais pas, si je dois te remercier ! Tu resteras discret devant les autres vendeurs !".
"Comptes sur moi !".
"Par contre, comme pour les autres, je te rémunérerai !".
"Si tu veux !".
Je lui demande de me nettoyer le cul avec de l'essuie-tout.
Ce qu'il adore faire avant de m'embrasser, fier de sa prestation.
Ces gestes assoient la forme de notre longue relation.
Ma "Chatte" lui appartient et il est mon amant principal.
Lors du départ, j'ai un drôle de sentiment, je suis content de partir avec lui, mais intrigué aussi.
A quelle sauce va t-il me déguster !
J'ai caché à Corinne, l'identité de celui qui m'accompagne, elle le saura bien assez tôt !
On s'arrête toutes les 1h30 environ, pour se dégourdir les jambes, et satisfaire nos besoins naturels.
Au premier arrêt, en plaisantant, il me dit qu'il a envie d'une "petite pipe".
"Tu veux pas attendre ce soir, à l'hôtel ?".
"Oui, aussi !".
"Ah, D'accord ! Ca commence ! Bon, sors à la première aire sans station ! Je vais m'occuper de ta queue avec plaisir, alors !".
Je prend un malin plaisir, à dégrafer lentement, sa braguette.
"Putain ! Qu'est-ce que tu fais, Dépêches-toi !".
"J'aime prendre mon temps, quand j'ai une belle queue devant moi ! Et puis, j'adore me faire désirer ! Tu la veux ma bouche, salaud !".
"C'est toi la salope ! T'as pas le droit de me faire attendre ! Vite, prends la dans la bouche !".
J'aime sentir son épaisseur entre mes doigts.
Je dirige le bout de sa grosse verge, entre mes lèvres chaudes.
M'écarteler la bouche sur sa large bite, m'a toujours énormément excité.
"Oh, ouais ! Putain, je m'en lasse pas, Suces-moi bien, chéri ! Tu vas bien me faire gicler, pas vrai ?".
"Mmmmmmm ! Oui, j'en ai envie ! Ca fait longtemps que tu m'as pas donné ton sperme !".
"Tu l'auras, mon chéri ! Continues de me sucer ! Orhhhhhh ! C'est bon !".
Le souci, c'est qu'on baise tellement souvent, qu'il est très long à jouir !
Je salive énormément sur sa grosse et longue verge, je me déforme la gorge, en me pénétrant sans retenue.
Sa bite est couverte de bave, tant je me défonce la gorge.
J'agite mes doigts énergiquement, sur son gland, en lui dévorant les couilles, pour le faire jouir plus vite.
"Arhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Chéri, encore ! Oh, tu me suces bien !".
"Mmmmmm ! Glllllllllllrp ! Pourquoi, tu viens pas, alors ?".
"Je suis désolé ! Mon p'tit Pascal ! Je pense trop à ta chatte ! J'ai envie de ton p'tit trou !".
"Non, s'il te plait ! Pas déjà !".
Il me relève et m'embrasse, tout en me caressant le corps.
"Allez ! laisses-toi faire, on va gagner du temps, en plus, je suis sûr !".
"Peut-être ! Mais j'aurais le cul éclaté ! On va bientôt s'arrêter pour manger ! Ca va me gêner !".
Son regard excité, et mes doigts sur sa grosse bite en érection, finissent de me convaincre.
Je me dénude les fesses, et me tourne pour qu'il prenne place derrière moi.
Il me salive l'anus, et joue de son gland contre mon œillet anal.
On se connait parfaitement à présent ! Plus de 12 ans de sodomies ensemble !
Je joue de mon sphincter, pendant qu'il s'occupe de me pénétrer.
En 4 ou 5 enfoncements, il vient toucher le fond de mon anus.
"Arhhhhhhhhhh ! Gilles ! Orhhhhhhhhhh ! C'est bon ! J'adore quand tu m'encules ! Arhhhhhhhhhh !".
"J'ai bien fait d'insister, alors !".
"Orhhhhhh ! Ouiiiiiiii ! Vas-y éclates-moi le cul ! Maintenant !".
"Je peux ? Comme ça ?".
Il pousse plus fort et s'enfonce jusqu'aux couilles, puis débute sa défonce anale avec une amplitude maximale.
Il me fait jouir deux fois du cul, puis on est contraint de stopper nos ébats, des gens utilisent les toilettes, non loin de nous.
On attend patiemment leur départ.
C'est un supplice pour moi, d'avoir son gros sexe, planté jusqu'aux couilles, sans bouger.
Je coulisse sur lui, de moi-même pour encore ressentir du plaisir anal, en mordant mes lèvres.
Puis, libéré de la présence des autres personnes, il m'encule à nouveau, comme un forcené, je titube de nombreuses fois, en orgasmant de l'anus.
Il m'annonce enfin son plaisir, et me dit:
"Tiens, mon chéri ! Ouvres la bouche, je te l'ai promis ! Vite !".
Je pivote vers sa bite, qui me comble aussitôt la gorge et m'abreuve de son foutre gluant.
Je gémis de plaisir cérébral, j'adore me délecter à sa source chaude.
Son jus, que je déglutine et qui coule dans ma gorge, me fait bander.
Ses râles de bonheur augmentent mon excitation.
"Oh, Putain, ça fait du bien ! J'étais sous pression ! Merci Pascal !".
"Merci à toi aussi ! Je me suis régalé ! C'était bon encore !".
On reprend la route, pour s'arrêter à une aire avec restaurant.
Je suis obligé de laisser échapper des flatulences, que je contiens, mais qui le font rire.
"C'est ta faute ! Salaud ! Tu m'as pas ménagé !".
"Je sais, tu m'excites, j'y peux rien ! Je suis accroc à ta chatte !".
"Ca promet !".
Il nous reste 3 heures de route, avant l'hôtel, déjà réservé !
Le deuxième arrêt est sans sexe, si ce n'est qu'un passage aux toilettes, pour évacuer un écoulement de jus anal, est obligatoire pour moi !
Une fois arrivés, un peu étourdis par la route, on passe sous la douche pour se détendre.
Après quelques attouchements, on décide de continuer sur le lit.
Il me suit, pendant que je me place en levrette pour lui tendre mon cul.
Il n'a pas besoin de beaucoup de temps pour me transpercer l'anus.
En quelques assauts, il passe le fond de mon cul, et vient cogner ses couilles contre mes fesses.
Je râle de jouissance, pendant qu'il gémit son plaisir de m'enculer encore.
Il recule au bout de quelques minutes, je me retourne sur le dos, il vient entre mes cuisses écartées et me pilonne en m'embrassant, tout au long de sa possession puissante.
Je prend encore un orgasme anal entre ses bras énormes, Je suis heureux du bonheur qu'il me donne encore, et j'aime savoir qu'on va passer notre nuit ensemble.
"J'adore t'enculer, mon chéri, je m'en lasse pas ! Je suis trop content de passer, une nuit avec toi !".
Il pense donc comme moi !
"Moi aussi ! Arhhhhhhhhhh ! Je suis tellement bien dans tes bras ! Sur ta queue ! Orhhhhh !".
Il me déplace et me soulève le cul par les tibias, pour s'enfoncer en moi, en m'offrant la vue de sa bite qui m'écartèle l'anus.
Il sait que j'adore jouir comme ça, je ressens plus profondément sa bite au fond de moi.
Il amplifie ses assauts, interminablement.
Puis, lorsqu'après une très longue défonce anale, il devine qu'il va éjaculer, il me demande:
"Chéri ! Branles toi ! Ca commence à monter !".
Je me masturbe pendant qu'il m'encule, j'aime lui offrir ce plaisir.
Le bonheur anal qu'il me procure, augmente très vite mes sensations péniennes.
Je lui crie que je vais exploser sur moi.
Il s'agite plus rapidement, ce qui me fait éjaculer, en me secouant de spasmes continus.
Il sort sa grosse queue, qui glisse au dessus de ma verge en la maculant de foutre.
Nos râles s'entremêlent. Son foutre m'arrose le visage.
Ce moment ou je joui moi-même, en me faisant arroser de sperme me rend fou.
Un orgasme cérébral rejoint mon éjaculation.
Je râle encore plus fort quand il remet sa bite en moi.
Il termine d'éjecter son plaisir dans mon anus, en me donnant ses doigts couverts de son jus à lécher.
Ses derniers assauts sont encore un délicieux moment pour moi.
Il me laisse retomber sous lui, puis colle son corps lourd au mien.
Nos spermes s'étalent entre nous, pendant qu'on s'embrasse.
"Hummm, j'ai adoré te baiser comme ça ! On s'entend bien tous les deux ! Tu trouves pas ?".
"C'est vrai ! Depuis le temps qu'on se connait ! On aurait pu se lasser, pourtant !".
Il me dirige lentement vers sa verge, il adore se faire lécher longuement après l'éjaculation, je ne m'en prive pas !
Il me fait lécher son ventre et le sperme qui le recouvre, également !
Après un retour sous la douche, on se couche l'un dans l'autre, sans pénétration.
Je m'endors comme une souche, j'ai passé une trop bonne journée !
On a encore deux nuits devant nous !
Afin de mettre un peu de beurre dans mes épinards, je commence à faire des foires pour écouler mon stock.
Je devrai partir le vendredi soir, pour passer la nuit à l'hôtel, et renter le lundi, en début d'après-midi.
Il y a cinq heures de route.
Malheureusement, Corinne ne peut pas se libérer pour m'aider.
Je demande à mes amis, mais je ne trouve personne, pour le moment.
J'attend encore des réponses de quelques uns.
Puis, en fin de matinée, en semaine, j'ai la visite de Gilles, qui me baise copieusement, une fois de plus.
Lors de notre récupération sexuelle, ou nous sommes nus, l'un contre l'autre, et que j'apprécie ce moment, en ressentant encore des spasmes de plaisir anal.
Il me demande, si je suis partant pour baiser le samedi soir à la boutique.
Je serre mon œillet rose, sous la pulsion d'un rejet de foutre.
"Ouhhh ! Celui-ci, Pas de souci ! Mais le prochain, je serai pas là, enfin, si je trouve un copain qui veuille bien m'aider à tenir mon stand !".
"Ben, je peux venir, moi !".
"Gilles ! T'es sérieux ?".
"Ben, pourquoi pas ! Je suis à la retraite ! Ca me fera une ballade !".
"Euh, tu me prends de court, ça veut aussi dire que tu vas me baiser sans arrêt !".
"Hummm ! Ca aussi ! Ca me fera du bien !".
Après quelques rires, je lui réponds:
"Bon, Ok ! Mais je sais pas, si je dois te remercier ! Tu resteras discret devant les autres vendeurs !".
"Comptes sur moi !".
"Par contre, comme pour les autres, je te rémunérerai !".
"Si tu veux !".
Je lui demande de me nettoyer le cul avec de l'essuie-tout.
Ce qu'il adore faire avant de m'embrasser, fier de sa prestation.
Ces gestes assoient la forme de notre longue relation.
Ma "Chatte" lui appartient et il est mon amant principal.
Lors du départ, j'ai un drôle de sentiment, je suis content de partir avec lui, mais intrigué aussi.
A quelle sauce va t-il me déguster !
J'ai caché à Corinne, l'identité de celui qui m'accompagne, elle le saura bien assez tôt !
On s'arrête toutes les 1h30 environ, pour se dégourdir les jambes, et satisfaire nos besoins naturels.
Au premier arrêt, en plaisantant, il me dit qu'il a envie d'une "petite pipe".
"Tu veux pas attendre ce soir, à l'hôtel ?".
"Oui, aussi !".
"Ah, D'accord ! Ca commence ! Bon, sors à la première aire sans station ! Je vais m'occuper de ta queue avec plaisir, alors !".
Je prend un malin plaisir, à dégrafer lentement, sa braguette.
"Putain ! Qu'est-ce que tu fais, Dépêches-toi !".
"J'aime prendre mon temps, quand j'ai une belle queue devant moi ! Et puis, j'adore me faire désirer ! Tu la veux ma bouche, salaud !".
"C'est toi la salope ! T'as pas le droit de me faire attendre ! Vite, prends la dans la bouche !".
J'aime sentir son épaisseur entre mes doigts.
Je dirige le bout de sa grosse verge, entre mes lèvres chaudes.
M'écarteler la bouche sur sa large bite, m'a toujours énormément excité.
"Oh, ouais ! Putain, je m'en lasse pas, Suces-moi bien, chéri ! Tu vas bien me faire gicler, pas vrai ?".
"Mmmmmmm ! Oui, j'en ai envie ! Ca fait longtemps que tu m'as pas donné ton sperme !".
"Tu l'auras, mon chéri ! Continues de me sucer ! Orhhhhhh ! C'est bon !".
Le souci, c'est qu'on baise tellement souvent, qu'il est très long à jouir !
Je salive énormément sur sa grosse et longue verge, je me déforme la gorge, en me pénétrant sans retenue.
Sa bite est couverte de bave, tant je me défonce la gorge.
J'agite mes doigts énergiquement, sur son gland, en lui dévorant les couilles, pour le faire jouir plus vite.
"Arhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Chéri, encore ! Oh, tu me suces bien !".
"Mmmmmm ! Glllllllllllrp ! Pourquoi, tu viens pas, alors ?".
"Je suis désolé ! Mon p'tit Pascal ! Je pense trop à ta chatte ! J'ai envie de ton p'tit trou !".
"Non, s'il te plait ! Pas déjà !".
Il me relève et m'embrasse, tout en me caressant le corps.
"Allez ! laisses-toi faire, on va gagner du temps, en plus, je suis sûr !".
"Peut-être ! Mais j'aurais le cul éclaté ! On va bientôt s'arrêter pour manger ! Ca va me gêner !".
Son regard excité, et mes doigts sur sa grosse bite en érection, finissent de me convaincre.
Je me dénude les fesses, et me tourne pour qu'il prenne place derrière moi.
Il me salive l'anus, et joue de son gland contre mon œillet anal.
On se connait parfaitement à présent ! Plus de 12 ans de sodomies ensemble !
Je joue de mon sphincter, pendant qu'il s'occupe de me pénétrer.
En 4 ou 5 enfoncements, il vient toucher le fond de mon anus.
"Arhhhhhhhhhh ! Gilles ! Orhhhhhhhhhh ! C'est bon ! J'adore quand tu m'encules ! Arhhhhhhhhhh !".
"J'ai bien fait d'insister, alors !".
"Orhhhhhh ! Ouiiiiiiii ! Vas-y éclates-moi le cul ! Maintenant !".
"Je peux ? Comme ça ?".
Il pousse plus fort et s'enfonce jusqu'aux couilles, puis débute sa défonce anale avec une amplitude maximale.
Il me fait jouir deux fois du cul, puis on est contraint de stopper nos ébats, des gens utilisent les toilettes, non loin de nous.
On attend patiemment leur départ.
C'est un supplice pour moi, d'avoir son gros sexe, planté jusqu'aux couilles, sans bouger.
Je coulisse sur lui, de moi-même pour encore ressentir du plaisir anal, en mordant mes lèvres.
Puis, libéré de la présence des autres personnes, il m'encule à nouveau, comme un forcené, je titube de nombreuses fois, en orgasmant de l'anus.
Il m'annonce enfin son plaisir, et me dit:
"Tiens, mon chéri ! Ouvres la bouche, je te l'ai promis ! Vite !".
Je pivote vers sa bite, qui me comble aussitôt la gorge et m'abreuve de son foutre gluant.
Je gémis de plaisir cérébral, j'adore me délecter à sa source chaude.
Son jus, que je déglutine et qui coule dans ma gorge, me fait bander.
Ses râles de bonheur augmentent mon excitation.
"Oh, Putain, ça fait du bien ! J'étais sous pression ! Merci Pascal !".
"Merci à toi aussi ! Je me suis régalé ! C'était bon encore !".
On reprend la route, pour s'arrêter à une aire avec restaurant.
Je suis obligé de laisser échapper des flatulences, que je contiens, mais qui le font rire.
"C'est ta faute ! Salaud ! Tu m'as pas ménagé !".
"Je sais, tu m'excites, j'y peux rien ! Je suis accroc à ta chatte !".
"Ca promet !".
Il nous reste 3 heures de route, avant l'hôtel, déjà réservé !
Le deuxième arrêt est sans sexe, si ce n'est qu'un passage aux toilettes, pour évacuer un écoulement de jus anal, est obligatoire pour moi !
Une fois arrivés, un peu étourdis par la route, on passe sous la douche pour se détendre.
Après quelques attouchements, on décide de continuer sur le lit.
Il me suit, pendant que je me place en levrette pour lui tendre mon cul.
Il n'a pas besoin de beaucoup de temps pour me transpercer l'anus.
En quelques assauts, il passe le fond de mon cul, et vient cogner ses couilles contre mes fesses.
Je râle de jouissance, pendant qu'il gémit son plaisir de m'enculer encore.
Il recule au bout de quelques minutes, je me retourne sur le dos, il vient entre mes cuisses écartées et me pilonne en m'embrassant, tout au long de sa possession puissante.
Je prend encore un orgasme anal entre ses bras énormes, Je suis heureux du bonheur qu'il me donne encore, et j'aime savoir qu'on va passer notre nuit ensemble.
"J'adore t'enculer, mon chéri, je m'en lasse pas ! Je suis trop content de passer, une nuit avec toi !".
Il pense donc comme moi !
"Moi aussi ! Arhhhhhhhhhh ! Je suis tellement bien dans tes bras ! Sur ta queue ! Orhhhhh !".
Il me déplace et me soulève le cul par les tibias, pour s'enfoncer en moi, en m'offrant la vue de sa bite qui m'écartèle l'anus.
Il sait que j'adore jouir comme ça, je ressens plus profondément sa bite au fond de moi.
Il amplifie ses assauts, interminablement.
Puis, lorsqu'après une très longue défonce anale, il devine qu'il va éjaculer, il me demande:
"Chéri ! Branles toi ! Ca commence à monter !".
Je me masturbe pendant qu'il m'encule, j'aime lui offrir ce plaisir.
Le bonheur anal qu'il me procure, augmente très vite mes sensations péniennes.
Je lui crie que je vais exploser sur moi.
Il s'agite plus rapidement, ce qui me fait éjaculer, en me secouant de spasmes continus.
Il sort sa grosse queue, qui glisse au dessus de ma verge en la maculant de foutre.
Nos râles s'entremêlent. Son foutre m'arrose le visage.
Ce moment ou je joui moi-même, en me faisant arroser de sperme me rend fou.
Un orgasme cérébral rejoint mon éjaculation.
Je râle encore plus fort quand il remet sa bite en moi.
Il termine d'éjecter son plaisir dans mon anus, en me donnant ses doigts couverts de son jus à lécher.
Ses derniers assauts sont encore un délicieux moment pour moi.
Il me laisse retomber sous lui, puis colle son corps lourd au mien.
Nos spermes s'étalent entre nous, pendant qu'on s'embrasse.
"Hummm, j'ai adoré te baiser comme ça ! On s'entend bien tous les deux ! Tu trouves pas ?".
"C'est vrai ! Depuis le temps qu'on se connait ! On aurait pu se lasser, pourtant !".
Il me dirige lentement vers sa verge, il adore se faire lécher longuement après l'éjaculation, je ne m'en prive pas !
Il me fait lécher son ventre et le sperme qui le recouvre, également !
Après un retour sous la douche, on se couche l'un dans l'autre, sans pénétration.
Je m'endors comme une souche, j'ai passé une trop bonne journée !
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