Mes nuits à l'hôtel, avec Gilles ! 2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mes nuits à l'hôtel, avec Gilles ! 2
Je me sens bien, pendant ce premier jour de vente, les affaires marchent bien, et le regard de Gilles sur moi, me rend heureux.
Depuis, longtemps, notre relation sexuelle s'est transformé en forte amitié, basée sur le sexe, le respect et l'humour !
On s'est perdu de vue, un moment, mais nos retrouvailles furent très chaudes !
Chacun fait rire l'autre ! De plus, si, il me domine puissamment, quand il me baise, il est très protecteur et respectueux avec moi, quand on ne baise pas !
A chaque fois que je me baisse, je sais qu'il regarde mes fesses.
Dès la première fois, il me dit:
"Ne restes pas comme ça, trop longtemps, sinon, je ne réponds pas, de moi !".
Je ris, en lui disant de rester discret, mais j'aime être désiré comme ça !
Pendant le "Casse-Croute", il me fait part du plaisir qu'il ressent à m'accompagner dans mon travail.
"Je passe un super moment ! Et j'ai hâte de rentrer à l'hôtel, aussi !".
"Moi aussi, finalement ! Je pensais pas à toi pour m'accompagner, mais j'adore joindre le plaisir au travail !".
L'après-midi est encore plus fructueuse que la matinée.
On couvre notre stand, un peu avant 20 h.
Je lui offre un petit resto, avant de rentrer à l'hôtel.
Encore un moment très agréable !
Dès qu'on passe la porte de notre chambre, il pose sa main sur ma hanche.
Je pivote aussitôt, pour lui donner mes lèvres.
Ses mains frottent mon corps avec puissance, je ressens fortement son désir.
Il libère ma bouche.
"Arhhhhhh ! Gilles ! C'était dur d'attendre ! J'ai envie que tu me prennes !".
"Pour moi aussi, c'était dur ! Comme ma bite ! Touches la ! Tu vois comme j'ai envie de toi ?".
Je passe ma main sur sa braguette déformée par son énorme érection.
"Ohhhh ! Putain Gilles ! J'ai tellement de chance que tu aimes me baiser ! Tu as une bite exceptionnelle ! C'est un trésor pour moi !".
"Ben, pour moi, c'est ta chatte, le trésor ! Mon chéri !".
Il me porte sur le bord du lit, je me redresse pour l'aider à se libérer de ses vêtements.
Il fait pareil avec moi.
Je suis toujours autant excité par sa présence.
Sa grande taille, imposante me fait fondre de désir.
Son énorme sexe qui forme un arc sous son propre poids, est une vision irréelle pour moi.
Je connais déjà la multitude de plaisirs que je vais ressentir, mais je ne m'en lasse pas.
"Gilles ! Tu m'excites ! J'ai envie d'être à toi, encore !".
"Hummm ! Je t'adore Pascal ! T'es toujours partant pour le plaisir ! On va encore passer une super moment !".
Il s'allonge sur le lit, et me tend les bras.
"Viens mon bébé ! Montres-moi comme tu as envie de moi !".
Je l'embrasse longuement, parfois avec tendresse, et à d'autres moments, avec perversité.
Je me glisse entre ses cuisses ensuite, pour aimer sa grosse verge avec mes lèvres, ma langue, ma gorge.
Ses doigts salivés qui me titillent l'anus me font savoir, qu'il me désire ainsi.
Je l'enfourche enfin, au bout de longues minutes buccales.
Je profite d'un excès de salive dans ma bouche pour lui lubrifier le sexe et me couvrir l'œillet anal.
Ses mains puissantes autour de mes hanches, me gardent bien placé pour être transpercé par sa grosse queue.
Je continue de mêler ma langue à la sienne, en poussant mon corps sur son gros sexe.
Très lentement, dans un plaisir énorme, je m'écartèle sur son gros pieu.
Je gémis mon plaisir dans sa bouche, il me fait glisser sur sa bite, me faisant renouveler mes gémissements.
Je surmonte mon plaisir, et prend appui sur son torse.
"Arhhhhhhhhhh ! C'est trop bon de t'avoir dans le cul ! Laisse-moi te montrer comme j'aime ta queue !".
"Hummm ! Oufff ! Ohh ! C'est bon ! Mon bébé ! Tu sais que, même si on s'aime pas, tu es un peu l'homme de ma vie ! J'ai jamais baisé quelqu'un, aussi longtemps ! A part ma femme !".
"Et on va encore le faire longtemps ! Arhhhhhhhhhh ! Putain, je vais déjà prendre mon pied !".
Ce n'est que le premier orgasme d'une longue liste.
Face au fait que mon anus dégouline sur sa bite, je vais prendre une serviette pour la mettre sous mon ventre.
J'ai envie qu'il vienne sur moi, couché sur le ventre, pour me pilonner le cul profondément.
Il me détruit analement, excité par ma cavalcade sur sa bite.
Mon plaisir augmente en intensité, je reconnais le moment que je préfère.
C'est l'orgasme anal complet, je le vis sous ses yeux, en lâchant un très long râle, interminable.
"Putain ! Ce que j'aime te faire jouir ! Ma p'tite salope !".
Je me laisse détruire analement, seul compte pour moi, cet instant magique et intense.
Il nous fait pivoter et me baise encore par dessous.
J'ai mis mes pieds autour de ses cuisses, pour me soulever les fesses, en équilibre, au dessus de sa bite, qui coulisse amplement dans mon anus, trempé de jus.
Il m'épuise encore de plaisir anal, sans discontinuer, puis annonce enfin son désir de jouir en moi.
Je l'accompagne de mes enfoncements, sur sa grosse queue.
Son corps pris de spasmes, jusque dans sa verge, me confirme son éjaculation profonde.
Les secousses dans sa très large bite, se transmettent à mes parois anales.
J'adore reconnaitre ce moment, je sais qu'il m'insémine profondément.
"Arhhhhhhhhhhggggghhhhh ! Putain ! Gilles ! J'adore quand tu me remplis la chatte !".
Il ne peut pas me répondre, il grogne son orgasme pénien, sans fin.
Il m'aide à rester enfoncé sur sa grosse verge, en m'appuyant sur les hanches, de ses mains puissantes.
Je reconnais la fin de son déversement, lorsqu'il relâche sa pression avec ses mains.
"Orhhhhhhh ! Pfhhhhhhhhh ! C'était géant encore ! J'ai super bien joui ! Ca valait le coup d'attendre !".
Il me caresse la queue et les couilles.
"T'as pas éjaculé ! T'es pas gentil ! Tu sais que j'aime quand tu gicles, pendant que je t'encule !".
"Désolé ! Mais il n'est pas trop tard ! Continue de bouger ta queue, je vais te donner ce que tu veux !".
Il coulisse amplement, sans s'emporter, le plaisir est énorme, encore !
Ma queue gonfle entre mes doigts, je prend son bras pour le guider vers mon sexe en érection.
Il me remplace en me masturbant au rythme de sa possession, je me laisse emporter par le double orgasme qui monte inexorablement.
Je suis enfin envahit de contorsions de plaisir, mon foutre macule ses doigts et mon ventre, pendant que je cherche à m'empaler plus profondément sur sa grosse bite.
"Arghhhhhhhhhh ! Putain, qu'est-ce que j'aime baiser avec toi ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Mon bassin ressent ses derniers spasmes de plaisir, il dirige ses doigts vers ma bouche.
Je me délecte de mon jus, en ressentant la fin de mon plaisir anal.
J'aime ce moment pervers et tendre, il fait durer l'instant, en allant chercher mon jus, sur mon ventre.
"Tiens ! Mon Bébé ! Il en reste encore !".
On se tourne, sans se séparer sexuellement, un long moment de caresses sur mon corps, finit de parfaire notre échange de plaisir.
C'est lui qui se décide en premier, à rompre ce moment de communion sexuelle.
"Bon, je t'attends sous la douche !".
Je le suis, il me pousse à me cambrer devant lui, et me titille l'anus, encore béant.
Je pollue ses doigts, et le fond du bac, avec sa grosse dose de sperme, en accompagnant tout ça de flatulences.
"Hummm ! Elle a encore bien reçu, ta chatte ! Pas vrai ? Bébé ?".
"Comme toujours avec toi ! Salaud ! Mais tu sais que c'est comme ça, que j'aime me faire enculer !".
"Oui, on s'est bien trouvé tous les deux !".
On se lave mutuellement, il adore se faire laver la bite sous mes doigts savonnés.
Je me laisse aussi longuement savonner l'anus et les fesses, avant un rinçage et un délicieux anulingus.
On retourne dans les draps, en visionnant la télé, en agrémentant le film, de caresses tendres.
Puis, sa main me fait glisser vers sa verge.
Je fais l'amour à sa grosse bite, sans me lasser de la dévorer.
Ma patience atteint son but, il m'abreuve de son jus, en me disant qu'il aime le faire.
"Oui ! Bois moi ! Arhhhhhhhhhhh ! Tu m'a bien bouffé la bite encore ! Arhhhhhhhhh !".
"Mmmmm ! Gllllllllllrp ! Mmmmmmmmm ! Oui ! Donne moi ton jus, j'adore te boire ! Encore ! Mmmmm ! Gllllllllllrp ! Mmmmm !".
Après avoir vidé ses couilles, il m'attire vers sa bouche pour partager encore un baiser.
"Hummm ! Je crois qu'on va bien dormir après ça !".
En effet, la nuit fut sans accroc, on est tombé tous les deux, dans un sommeil profond !
Le dimanche fut à l'image du samedi.
J'ai pris un plaisir immense à lui offrir un deuxième restaurant, le soir venu.
J'avais besoin de le remercier d'être là, pour m'aider et me donner autant de plaisir.
On s'est encore adonné à de nombreux plaisirs pervers ensemble.
Comme la veille, il me sollicite encore après le sexe et la douche, pendant qu'on regarde la télé.
Cette fois, après une longue fellation, je le chevauche encore, puis me soulève pour l'avaler, quand il m'annonce sa deuxième éjaculation.
"Oh ! Putain ! J'adore baiser avec toi, bébé ! Je commence à penser, que j'aurai du assumer mon coté pédé ! J'ai adoré vivre ces deux jours avec toi ! Finalement, c'est possible de vivre avec un homme !".
"Hummm ! Moi aussi ! Je me régale ! Mais le souci, c'est qu'on a des enfants, et on peut pas regretter ça !".
"Non, t'as raison, si un mec pouvait être enceinte , ça changerai les choses !".
Je ris gentiment.
"Tu m'aurais fais des gosses, alors ?".
"Des tas !".
"Ca ! C'est sûr ! Avec tout ce que tu m'as mis ! Je serais encore en cloque, là !".
Il me serre contre lui, en riant.
Décidément, mon entente est parfaite avec lui, du sexe, de la sensualité, du rire, de la complicité, il ne me manque rien !
Le lendemain matin est plus chahuté, il nous faut reprendre la route !
Il me dit sans cesse, qu'il aimerai renouveler l'expérience, ce qui est possible, puisqu'il a quitté sa femme !
Pendant qu'il conduit, je lui donne l'équivalent de 300 euros en Francs.
Il me crie de les garder.
"Bébé ! Tu les gardes ! Sinon, je vais me fâcher ! J'ai eu assez de plaisirs comme ça, ne gâches pas tout avec l'argent, j'en ai pas besoin ! Tu m'as offert deux restos ! Je t'ai baisé autant de fois que j'en avais envie ! Tu peux pas savoir comme tu m'as rendu heureux !".
"Mais Gilles ! C'est normal que je te paie ! Quand même !".
"Tu m'as payé déjà ! Par contre, je dis pas non, à recommencer dans les chiottes d'une aire d'autoroute !".
"Ca, ce sera avec plaisir ! Et on sortira avant de manger, pour se faire un resto sur la nationale !".
"D'accord ! je m'arrête à la prochaine aire, sans station essence !".
Cette fois, nous n'avons pas été dérangés, j'ai encore connu plusieurs orgasmes anaux.
Il m'a demandé la faveur perverse de pouvoir m'arroser de foutre sur le visage et le corps.
Comment pouvais-je lui refuser ce vice ?
Je suis remonté dans l'utilitaire couvert de sperme, après m'être rincé le visage aux toilettes.
J'ai profité de la route pour changer le haut de mes vêtements.
L'odeur de foutre régnait dans la cabine, on adorait ça !
A mon arrivée à l'appartement, Corinne me reçoit.
Les enfants sont chez la nounou, elle me demande:
"Alors ! T'as bien travaillé ?".
"Oui, super bien ! Ca valait le déplacement ! Et toi, tu as fais quoi ?".
Elle vient se coller contre moi, comme une chatte, et me révèle:
"Hummm ! Moi, j'ai pas été sage ! J'ai dis à S... que j'étais seule ! On a baisé samedi soir et hier après-midi ! Je m'en veux, un petit peu ! Tu dois être en manque de sexe, de ton coté !".
"Oh, non ! J'ai pas arrêté pendant trois jours !".
"Arrêtes de me taquiner, tu sais que je suis jalouse ! Tu me fais marcher !".
"Ben, oui, et non ! Mais c'est pas une fille ! C'est avec Gilles que je suis parti !".
Elle reste bouche bée, elle comprend qu'il a du m'enculer, dès qu'il pouvait.
"Putain, ça veut dire que...".
"Oui, encore ce matin, sur l'autoroute, dans les chiottes !".
"Et t'en as pas eu marre ?".
"Non, je sais pas pourquoi, je me lasse pas de ce mec ! Je dois t'embrasser de sa part, d'ailleurs, il te remercie pour lui avoir prêté "mon p'tit cul", ou plutôt "ma chatte" comme il aime l'appeler, aussi !".
"Et, il te reste de l'énergie pour moi ?".
"Toi, tu sais que c'est différent ! Je dois te prendre ! Avec lui, je me donne !".
Dès les premiers baisers, le ton est donné, nous allons faire l'amour, pendant deux heures.
Elle jouit à plusieurs reprises, dont une fois en m'introduisant ses doigts dans l'anus et disant:
"Il t'as bien défoncé encore, mon amour ! Pas vrai ?".
"Oui ! Tu sais que j'adore sa grosse bite ! J'adore me faire enculer par Gilles !".
Elle est aussitôt emportée par son orgasme cérébral ! Elle adore penser que je me fais baiser par un autre homme !
Mon éjaculation, la seconde de la journée, est une explosion de sensations, ma prostate est encore sensible, c'est indéniable !
Après l'amour, on se raconte nos écarts sexuels.
J'apprend qu'elle a dormi, les deux nuits, chez son amant, pour plus de discrétion.
Les enfants était chez sa mère.
Elle me précise qu'il l'a faite giclé en fontaine, plusieurs fois ! Dont deux fois, en longue sodomie.
Les quelques autres fois, ou je partirai avec Gilles, elle s'amusera à me dire, lors de mon départ:
"Bon, alors ! Bonne baise ! Tu lui feras un gros bisou sur la queue ! Je compte sur toi !".
Quand à moi, je m'étais rassuré, la masculinité de mon amant, empêchait toute ambiguïté, quand à notre véritable relation, c'est pour cela, que j'ai toujours préféré les hétéros !
Mais, on faisait quand même attention, de pas être dans une chambre, proche d'un autre commerçant ! Si c'était le cas, on faisait moins de bruit !
Grâce à lui, j'ai pu me passer des lieux de rencontres pendant très longtemps !
Lui aussi, appréciait ma masculinité, même s'il adorait mon coté fragile et doux, ce qui n'a rien à voir avec l'exubérance des gays assumés !
Lors de nos premières retrouvailles à la boutique, Gilles est euphorique, il me parle sans cesse de notre Week-end !
"Ca fait plaisir que tu ai autant aimé ça ! Moi aussi ! Tu sais ! J'ai adoré ces trois jours !".
"C'est quand qu'il y a une autre foire intéressante ?".
"Ben, des foires, il y en a tous les Week-end ! Mais, intéressante pour moi, c'est dans un mois environ !".
"Bon ! Je t'emmène, tu le sais maintenant ! T'as plus besoin de chercher !".
"Oui, mais si Corinne veut m'accompagner ?".
"Elle va pas me faire ça ? Non ! Je la connais maintenant, elle va me laisser t'emmener ! Elle adore savoir que je te baise !".
"Tu la connais bien, en effet !".
La suite est une autre histoire, vous vous doutez bien !
Depuis, longtemps, notre relation sexuelle s'est transformé en forte amitié, basée sur le sexe, le respect et l'humour !
On s'est perdu de vue, un moment, mais nos retrouvailles furent très chaudes !
Chacun fait rire l'autre ! De plus, si, il me domine puissamment, quand il me baise, il est très protecteur et respectueux avec moi, quand on ne baise pas !
A chaque fois que je me baisse, je sais qu'il regarde mes fesses.
Dès la première fois, il me dit:
"Ne restes pas comme ça, trop longtemps, sinon, je ne réponds pas, de moi !".
Je ris, en lui disant de rester discret, mais j'aime être désiré comme ça !
Pendant le "Casse-Croute", il me fait part du plaisir qu'il ressent à m'accompagner dans mon travail.
"Je passe un super moment ! Et j'ai hâte de rentrer à l'hôtel, aussi !".
"Moi aussi, finalement ! Je pensais pas à toi pour m'accompagner, mais j'adore joindre le plaisir au travail !".
L'après-midi est encore plus fructueuse que la matinée.
On couvre notre stand, un peu avant 20 h.
Je lui offre un petit resto, avant de rentrer à l'hôtel.
Encore un moment très agréable !
Dès qu'on passe la porte de notre chambre, il pose sa main sur ma hanche.
Je pivote aussitôt, pour lui donner mes lèvres.
Ses mains frottent mon corps avec puissance, je ressens fortement son désir.
Il libère ma bouche.
"Arhhhhhh ! Gilles ! C'était dur d'attendre ! J'ai envie que tu me prennes !".
"Pour moi aussi, c'était dur ! Comme ma bite ! Touches la ! Tu vois comme j'ai envie de toi ?".
Je passe ma main sur sa braguette déformée par son énorme érection.
"Ohhhh ! Putain Gilles ! J'ai tellement de chance que tu aimes me baiser ! Tu as une bite exceptionnelle ! C'est un trésor pour moi !".
"Ben, pour moi, c'est ta chatte, le trésor ! Mon chéri !".
Il me porte sur le bord du lit, je me redresse pour l'aider à se libérer de ses vêtements.
Il fait pareil avec moi.
Je suis toujours autant excité par sa présence.
Sa grande taille, imposante me fait fondre de désir.
Son énorme sexe qui forme un arc sous son propre poids, est une vision irréelle pour moi.
Je connais déjà la multitude de plaisirs que je vais ressentir, mais je ne m'en lasse pas.
"Gilles ! Tu m'excites ! J'ai envie d'être à toi, encore !".
"Hummm ! Je t'adore Pascal ! T'es toujours partant pour le plaisir ! On va encore passer une super moment !".
Il s'allonge sur le lit, et me tend les bras.
"Viens mon bébé ! Montres-moi comme tu as envie de moi !".
Je l'embrasse longuement, parfois avec tendresse, et à d'autres moments, avec perversité.
Je me glisse entre ses cuisses ensuite, pour aimer sa grosse verge avec mes lèvres, ma langue, ma gorge.
Ses doigts salivés qui me titillent l'anus me font savoir, qu'il me désire ainsi.
Je l'enfourche enfin, au bout de longues minutes buccales.
Je profite d'un excès de salive dans ma bouche pour lui lubrifier le sexe et me couvrir l'œillet anal.
Ses mains puissantes autour de mes hanches, me gardent bien placé pour être transpercé par sa grosse queue.
Je continue de mêler ma langue à la sienne, en poussant mon corps sur son gros sexe.
Très lentement, dans un plaisir énorme, je m'écartèle sur son gros pieu.
Je gémis mon plaisir dans sa bouche, il me fait glisser sur sa bite, me faisant renouveler mes gémissements.
Je surmonte mon plaisir, et prend appui sur son torse.
"Arhhhhhhhhhh ! C'est trop bon de t'avoir dans le cul ! Laisse-moi te montrer comme j'aime ta queue !".
"Hummm ! Oufff ! Ohh ! C'est bon ! Mon bébé ! Tu sais que, même si on s'aime pas, tu es un peu l'homme de ma vie ! J'ai jamais baisé quelqu'un, aussi longtemps ! A part ma femme !".
"Et on va encore le faire longtemps ! Arhhhhhhhhhh ! Putain, je vais déjà prendre mon pied !".
Ce n'est que le premier orgasme d'une longue liste.
Face au fait que mon anus dégouline sur sa bite, je vais prendre une serviette pour la mettre sous mon ventre.
J'ai envie qu'il vienne sur moi, couché sur le ventre, pour me pilonner le cul profondément.
Il me détruit analement, excité par ma cavalcade sur sa bite.
Mon plaisir augmente en intensité, je reconnais le moment que je préfère.
C'est l'orgasme anal complet, je le vis sous ses yeux, en lâchant un très long râle, interminable.
"Putain ! Ce que j'aime te faire jouir ! Ma p'tite salope !".
Je me laisse détruire analement, seul compte pour moi, cet instant magique et intense.
Il nous fait pivoter et me baise encore par dessous.
J'ai mis mes pieds autour de ses cuisses, pour me soulever les fesses, en équilibre, au dessus de sa bite, qui coulisse amplement dans mon anus, trempé de jus.
Il m'épuise encore de plaisir anal, sans discontinuer, puis annonce enfin son désir de jouir en moi.
Je l'accompagne de mes enfoncements, sur sa grosse queue.
Son corps pris de spasmes, jusque dans sa verge, me confirme son éjaculation profonde.
Les secousses dans sa très large bite, se transmettent à mes parois anales.
J'adore reconnaitre ce moment, je sais qu'il m'insémine profondément.
"Arhhhhhhhhhhggggghhhhh ! Putain ! Gilles ! J'adore quand tu me remplis la chatte !".
Il ne peut pas me répondre, il grogne son orgasme pénien, sans fin.
Il m'aide à rester enfoncé sur sa grosse verge, en m'appuyant sur les hanches, de ses mains puissantes.
Je reconnais la fin de son déversement, lorsqu'il relâche sa pression avec ses mains.
"Orhhhhhhh ! Pfhhhhhhhhh ! C'était géant encore ! J'ai super bien joui ! Ca valait le coup d'attendre !".
Il me caresse la queue et les couilles.
"T'as pas éjaculé ! T'es pas gentil ! Tu sais que j'aime quand tu gicles, pendant que je t'encule !".
"Désolé ! Mais il n'est pas trop tard ! Continue de bouger ta queue, je vais te donner ce que tu veux !".
Il coulisse amplement, sans s'emporter, le plaisir est énorme, encore !
Ma queue gonfle entre mes doigts, je prend son bras pour le guider vers mon sexe en érection.
Il me remplace en me masturbant au rythme de sa possession, je me laisse emporter par le double orgasme qui monte inexorablement.
Je suis enfin envahit de contorsions de plaisir, mon foutre macule ses doigts et mon ventre, pendant que je cherche à m'empaler plus profondément sur sa grosse bite.
"Arghhhhhhhhhh ! Putain, qu'est-ce que j'aime baiser avec toi ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Mon bassin ressent ses derniers spasmes de plaisir, il dirige ses doigts vers ma bouche.
Je me délecte de mon jus, en ressentant la fin de mon plaisir anal.
J'aime ce moment pervers et tendre, il fait durer l'instant, en allant chercher mon jus, sur mon ventre.
"Tiens ! Mon Bébé ! Il en reste encore !".
On se tourne, sans se séparer sexuellement, un long moment de caresses sur mon corps, finit de parfaire notre échange de plaisir.
C'est lui qui se décide en premier, à rompre ce moment de communion sexuelle.
"Bon, je t'attends sous la douche !".
Je le suis, il me pousse à me cambrer devant lui, et me titille l'anus, encore béant.
Je pollue ses doigts, et le fond du bac, avec sa grosse dose de sperme, en accompagnant tout ça de flatulences.
"Hummm ! Elle a encore bien reçu, ta chatte ! Pas vrai ? Bébé ?".
"Comme toujours avec toi ! Salaud ! Mais tu sais que c'est comme ça, que j'aime me faire enculer !".
"Oui, on s'est bien trouvé tous les deux !".
On se lave mutuellement, il adore se faire laver la bite sous mes doigts savonnés.
Je me laisse aussi longuement savonner l'anus et les fesses, avant un rinçage et un délicieux anulingus.
On retourne dans les draps, en visionnant la télé, en agrémentant le film, de caresses tendres.
Puis, sa main me fait glisser vers sa verge.
Je fais l'amour à sa grosse bite, sans me lasser de la dévorer.
Ma patience atteint son but, il m'abreuve de son jus, en me disant qu'il aime le faire.
"Oui ! Bois moi ! Arhhhhhhhhhhh ! Tu m'a bien bouffé la bite encore ! Arhhhhhhhhh !".
"Mmmmm ! Gllllllllllrp ! Mmmmmmmmm ! Oui ! Donne moi ton jus, j'adore te boire ! Encore ! Mmmmm ! Gllllllllllrp ! Mmmmm !".
Après avoir vidé ses couilles, il m'attire vers sa bouche pour partager encore un baiser.
"Hummm ! Je crois qu'on va bien dormir après ça !".
En effet, la nuit fut sans accroc, on est tombé tous les deux, dans un sommeil profond !
Le dimanche fut à l'image du samedi.
J'ai pris un plaisir immense à lui offrir un deuxième restaurant, le soir venu.
J'avais besoin de le remercier d'être là, pour m'aider et me donner autant de plaisir.
On s'est encore adonné à de nombreux plaisirs pervers ensemble.
Comme la veille, il me sollicite encore après le sexe et la douche, pendant qu'on regarde la télé.
Cette fois, après une longue fellation, je le chevauche encore, puis me soulève pour l'avaler, quand il m'annonce sa deuxième éjaculation.
"Oh ! Putain ! J'adore baiser avec toi, bébé ! Je commence à penser, que j'aurai du assumer mon coté pédé ! J'ai adoré vivre ces deux jours avec toi ! Finalement, c'est possible de vivre avec un homme !".
"Hummm ! Moi aussi ! Je me régale ! Mais le souci, c'est qu'on a des enfants, et on peut pas regretter ça !".
"Non, t'as raison, si un mec pouvait être enceinte , ça changerai les choses !".
Je ris gentiment.
"Tu m'aurais fais des gosses, alors ?".
"Des tas !".
"Ca ! C'est sûr ! Avec tout ce que tu m'as mis ! Je serais encore en cloque, là !".
Il me serre contre lui, en riant.
Décidément, mon entente est parfaite avec lui, du sexe, de la sensualité, du rire, de la complicité, il ne me manque rien !
Le lendemain matin est plus chahuté, il nous faut reprendre la route !
Il me dit sans cesse, qu'il aimerai renouveler l'expérience, ce qui est possible, puisqu'il a quitté sa femme !
Pendant qu'il conduit, je lui donne l'équivalent de 300 euros en Francs.
Il me crie de les garder.
"Bébé ! Tu les gardes ! Sinon, je vais me fâcher ! J'ai eu assez de plaisirs comme ça, ne gâches pas tout avec l'argent, j'en ai pas besoin ! Tu m'as offert deux restos ! Je t'ai baisé autant de fois que j'en avais envie ! Tu peux pas savoir comme tu m'as rendu heureux !".
"Mais Gilles ! C'est normal que je te paie ! Quand même !".
"Tu m'as payé déjà ! Par contre, je dis pas non, à recommencer dans les chiottes d'une aire d'autoroute !".
"Ca, ce sera avec plaisir ! Et on sortira avant de manger, pour se faire un resto sur la nationale !".
"D'accord ! je m'arrête à la prochaine aire, sans station essence !".
Cette fois, nous n'avons pas été dérangés, j'ai encore connu plusieurs orgasmes anaux.
Il m'a demandé la faveur perverse de pouvoir m'arroser de foutre sur le visage et le corps.
Comment pouvais-je lui refuser ce vice ?
Je suis remonté dans l'utilitaire couvert de sperme, après m'être rincé le visage aux toilettes.
J'ai profité de la route pour changer le haut de mes vêtements.
L'odeur de foutre régnait dans la cabine, on adorait ça !
A mon arrivée à l'appartement, Corinne me reçoit.
Les enfants sont chez la nounou, elle me demande:
"Alors ! T'as bien travaillé ?".
"Oui, super bien ! Ca valait le déplacement ! Et toi, tu as fais quoi ?".
Elle vient se coller contre moi, comme une chatte, et me révèle:
"Hummm ! Moi, j'ai pas été sage ! J'ai dis à S... que j'étais seule ! On a baisé samedi soir et hier après-midi ! Je m'en veux, un petit peu ! Tu dois être en manque de sexe, de ton coté !".
"Oh, non ! J'ai pas arrêté pendant trois jours !".
"Arrêtes de me taquiner, tu sais que je suis jalouse ! Tu me fais marcher !".
"Ben, oui, et non ! Mais c'est pas une fille ! C'est avec Gilles que je suis parti !".
Elle reste bouche bée, elle comprend qu'il a du m'enculer, dès qu'il pouvait.
"Putain, ça veut dire que...".
"Oui, encore ce matin, sur l'autoroute, dans les chiottes !".
"Et t'en as pas eu marre ?".
"Non, je sais pas pourquoi, je me lasse pas de ce mec ! Je dois t'embrasser de sa part, d'ailleurs, il te remercie pour lui avoir prêté "mon p'tit cul", ou plutôt "ma chatte" comme il aime l'appeler, aussi !".
"Et, il te reste de l'énergie pour moi ?".
"Toi, tu sais que c'est différent ! Je dois te prendre ! Avec lui, je me donne !".
Dès les premiers baisers, le ton est donné, nous allons faire l'amour, pendant deux heures.
Elle jouit à plusieurs reprises, dont une fois en m'introduisant ses doigts dans l'anus et disant:
"Il t'as bien défoncé encore, mon amour ! Pas vrai ?".
"Oui ! Tu sais que j'adore sa grosse bite ! J'adore me faire enculer par Gilles !".
Elle est aussitôt emportée par son orgasme cérébral ! Elle adore penser que je me fais baiser par un autre homme !
Mon éjaculation, la seconde de la journée, est une explosion de sensations, ma prostate est encore sensible, c'est indéniable !
Après l'amour, on se raconte nos écarts sexuels.
J'apprend qu'elle a dormi, les deux nuits, chez son amant, pour plus de discrétion.
Les enfants était chez sa mère.
Elle me précise qu'il l'a faite giclé en fontaine, plusieurs fois ! Dont deux fois, en longue sodomie.
Les quelques autres fois, ou je partirai avec Gilles, elle s'amusera à me dire, lors de mon départ:
"Bon, alors ! Bonne baise ! Tu lui feras un gros bisou sur la queue ! Je compte sur toi !".
Quand à moi, je m'étais rassuré, la masculinité de mon amant, empêchait toute ambiguïté, quand à notre véritable relation, c'est pour cela, que j'ai toujours préféré les hétéros !
Mais, on faisait quand même attention, de pas être dans une chambre, proche d'un autre commerçant ! Si c'était le cas, on faisait moins de bruit !
Grâce à lui, j'ai pu me passer des lieux de rencontres pendant très longtemps !
Lui aussi, appréciait ma masculinité, même s'il adorait mon coté fragile et doux, ce qui n'a rien à voir avec l'exubérance des gays assumés !
Lors de nos premières retrouvailles à la boutique, Gilles est euphorique, il me parle sans cesse de notre Week-end !
"Ca fait plaisir que tu ai autant aimé ça ! Moi aussi ! Tu sais ! J'ai adoré ces trois jours !".
"C'est quand qu'il y a une autre foire intéressante ?".
"Ben, des foires, il y en a tous les Week-end ! Mais, intéressante pour moi, c'est dans un mois environ !".
"Bon ! Je t'emmène, tu le sais maintenant ! T'as plus besoin de chercher !".
"Oui, mais si Corinne veut m'accompagner ?".
"Elle va pas me faire ça ? Non ! Je la connais maintenant, elle va me laisser t'emmener ! Elle adore savoir que je te baise !".
"Tu la connais bien, en effet !".
La suite est une autre histoire, vous vous doutez bien !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres belle histoire