Mes premières expériences à l'université - Partie 3

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Récit libertin : Mes premières expériences à l'université - Partie 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes premières expériences à l'université - Partie 3
Depuis quelques semaines, je ne me reconnais plus vraiment. Moi qui étais toujours une fille plongée dans mes études, j’ai de plus en plus de mal à me concentrer. Il m’arrive même de rater certains cours pour passer plus de temps avec mon copain Christophe ou mon amie Noémie. Je me demande même si je ne dois pas arrêter mes relations avec eux, pendant quelques jours, afin de revenir dans le droit chemin. Je leur ai même laissé croire que j’avais mes règles pour m’isoler un peu d’eux.

Un samedi matin, j’ai peine à sortir de mon lit. Cela fait deux jours que je n’ai pas invité Noémie ou Christophe dans ma chambre. Je ressens tout de même un léger manque. Alors que je suis sur le point de glisser une main sous mon string, j’entends quelqu’un frapper à ma porte. J’enfile rapidement un short et je me lève. J’imagine que c’est sans doute Noémie qui revient de soirée et qui a encore oublié ses clés.
J’ouvre la porte et je vois Christophe face à moi.
— Salut, ma chérie. Ça va mieux ?
— Bonjour, Christophe.
— Je peux entrer ? Tu me manques.
— Non, Christophe. Je suis encore indisposée.
— Je suis vraiment désolé pour toi. Je peux quand même entrer ?
— Je t’ai dit non ! Je ne peux pas au moins avoir droit à une pipe ?
— Je t’ai dit non.
Je lui dis non, mais mon cœur et mon bas-ventre aimeraient lui dire oui.

En entendant le raffut que l’on fait à l’entrée de la chambre, Noémie se lève. Elle ne porte qu’un string sur elle.
— C’est quoi ce bordel ? J’aimerais dormir, moi !
— Pardon, Noémie. Je ne savais que tu étais rentrée.
— Vous m’expliquez ?
— Christophe aimerait que je lui taille une pipe, mais je ne suis pas d’humeur.
— Fais-le entrer sinon tout l’immeuble va vous entendre !

Christophe entre dans la chambre. Il sourit en voyant la tenue très légère de Noémie.
— Toujours pas décidée, Lina ?
— Je t’ai dit non ! Je vais aller me recoucher !

Je reviens dans ma chambre et je claque la porte. Je glisse sous mes draps. Le simple fait d’avoir revu Christophe m’a fait mouiller.
— Les filles sont toujours comme ça quand elles ont leurs règles, Noémie ?
— Pour ma part, il est vrai qu’il m’arrive d’être un peu désagréable quelquefois, mais je ne refuserais jamais une pipe à mon mec même dans ce cas-là.

Christophe regarde avec envie les seins de Noémie. Elle s’en rend compte.
— Ce n’est pas la première fois que tu les vois, Christophe.
— C’est vrai. Et toi tu pourrais me soulager ?
— Avec Lina à côté ? Tu es sérieux ?

Noémie fait semblant d’être outrée, mais elle prend finalement la main de Christophe pour l’amener dans sa chambre. Comme j’ai mis mes écouteurs, je n’entends rien de leur discussion.
— Si tu restes discret, je peux te tailler une pipe, Christophe ! Je fais cela juste parce que nous sommes amis. Tu comprends ?
— Merci, Noémie.

Christophe s’assoit sur le lit de Noémie. Il baisse son short et son boxer. Noémie se met à genoux devant lui. Elle commence par lécher ses boules et son sexe avant de le masturber lentement afin de le rendre bien dur. Il ne lui faut que peu de temps avant de réagir aux caresses de Noémie.
— Tu peux me branler avec tes seins, Noémie ? J’avais vraiment apprécié la dernière fois !
— OK, mais tu finis dans ma bouche !
— Merci, Noémie !
— Pas un bruit, OK ?
— Oui, Noémie. Tu es une super amie.

Noémie serre ses seins autour du sexe de Christophe et elle commence à le masturber. Elle lui donne de petits coups de langue sur le bout de son gland. Elle le regarde droit dans les yeux. La respiration de Christophe devient de plus en plus fort au fur et à mesure que Noémie s’occupe de son sexe.
— Tu vas déjà jouir, Christophe ?
— Pas tout de suite, mais je sens que ça vient ! Continue encore un peu ! J’ai les couilles bien pleines.

Noémie ralentit ses mouvements jusqu’à ce qu’elle voie que Christophe est sur le point de jouir. Elle relâche l’emprise de ses seins sur son sexe et elle le masturbe énergiquement en glissant son gland dans sa bouche. Dans un râle étouffé de plaisir, Christophe crache sa liqueur dans sa bouche. Elle aspire son gland délicatement du bout des lèvres pour en extraire les dernières gouttes. Elle sort son sexe de sa bouche et lui montre tout le sperme qu’elle a récolté dans le creux de sa langue avant de l’avaler.
— Oh, merci, Noémie ! Tu ne sais pas à quel point ça me fait du bien.
— C’est toujours agréable de sucer un garçon de bon matin. Il est temps pour toi de partir. Il ne faudrait que Lina se rende compte tu étais là.
— Tu as raison, Noémie. Tu m’appelles si tu vois que Lina va mieux ?
— Je n’y manquerais pas. Allez, dehors !

Christophe se rhabille. Noémie lui fait un bisou sur la joue avant de le faire sortir de notre chambre.

Noémie est tout de même intriguée par ma réaction. Elle décide donc de pousser la porte de ma chambre. Elle sourit en voyant que j’ai ma main dans mon string et que j’ai mes écouteurs sur les oreilles. Je ne me rends pas compte de sa présence. Je continue à me doigter sans savoir que Noémie est en train de m’observer. Au moment où j’atteins mon orgasme, Noémie me retire mes écouteurs. Mon visage devient rouge. J’ai honte de m’être fait surprendre. Je reste sans mots en voyant Noémie.
— Je le savais, Lina ! Tu n’as pas tes règles !

Elle s’assoit sur le bord de mon lit. Elle est toujours seins nus.
— Pourquoi tu agis comme ça depuis quelques jours ? Je ne te reconnais plus. Tu n’aimes plus nos petits jeux ?
— Ce n’est pas ça, Noémie. Au contraire, j’y prends trop goût.
— Comment ça ?
— J’adore nos moments avec toi ou Christophe, mais j’ai peur de privilégier mon plaisir à mes études.
— Tout ce qu’on a fait des dernières semaines a été un vrai changement pour toi. Il faut juste que tu t’y habitues.
— Mais, j’ai peur de ne pas y arriver, Noémie... Et je n’ai pas envie de perdre ni Christophe ni toi.

Noémie se penche sur moi et elle me fait un tendre baiser sur la joue en posant une main sur mon t-shirt au niveau de ma poitrine.
— Tu as goûté au plaisir du sexe avec un garçon et une fille quasiment en même temps. C’est sans doute pour ça que tu n’arrives pas à gérer la situation.
— Tu ferais quoi à ma place, Noémie ?
— Soit tu passes plus de temps avec Christophe soit avec moi.
— Christophe croit que j’ai mes règles. Je me vois mal lui sauter dessus aujourd’hui.
— Je suis là, moi !

Elle se penche à nouveau sur moi, et on échange un tendre baiser.
— Je crois qu’on a besoin de prendre une douche toutes les deux. On va aller faire un tour en ville !
— OK, Noémie.

Noémie sort de ma chambre pour aller mettre un T-shirt. On se retrouve devant la porte de notre chambre avant de traverser le couloir pour prendre une douche ensemble. Noémie caresse ma fente et mes seins en toute délicatesse. On échange même un ou deux baisers. Après s’être rhabillées, on revient dans notre chambre pour se changer.
Elle enfile une robe blanche légèrement moulante qui fait bien ressortir sa peau noire. Elle ne met rien en dessous. Pour ma part, j’opte pour un croc top gris et un minishort en jean. Je ne mets rien en dessous non plus.
— Mmm, tu es très belle comme ça, Lina.
— Merci, Noémie. J’adore ta robe.
— Merci, Lina.

Noémie me met une petite claque sur les fesses.
— Tu n’as pas oublié quelque chose, Lina ?
— Non, je ne crois pas.
— Et ton plug ?
— Tu l’as mis ?
— Oui, je sors rarement sans, Lina.
— OK, je vais le mettre, mais je ne prends pas ma télécommande !
— Tu n’es pas joueuse, Lina !
— OK, pas de télécommande !

Je baisse mon minishort afin de pouvoir m’introduire mon plug. Noémie sourit en voyant que je n’ai pas mis de string.
— Petite coquine ! Moi non plus, je n’ai rien sous ma robe. Je crois qu’on est prêtes.

On récupère nos petits sacs et on sort de notre chambre. On va à l’arrêt de bus pour se rendre en ville.
— Cela te plairait d’aller voir mon amie, Julie ?
— Avec plaisir, Noémie. On pourra peut-être jouer toutes les trois.
— Mmm, je vois que tu te sens mieux, Lina.

On échange un baiser au milieu du bus. Certaines personnes semblent un peu choquées, mais on n’y fait pas franchement attention.
On descend du bus et on va à la boutique de lingerie où travaille Julie.
En entrant dans la boutique, Julie nous sourit en nous voyant. Elle est au comptoir en train d’encaisser les achats d’une couple d’une quarantaine d’années qui sort de la boutique. Julie fait le tour de sa caisse pour nous prendre dans ses bras chacune notre tour et nous fait un tendre bisou sur la joue.
— Je suis vraiment heureuse de vous revoir ! Surtout toi, Lina.

Je rougis légèrement.
— Vous voulez prendre quoi aujourd’hui ?
— On ne sait pas trop. Je pense que tu pourrais nous aider.
— Avec plaisir, les filles !

Un homme d’une quarantaine d’années sort de la réserve en souriant.
— Oh, salut, Noémie. Tu vas bien depuis la dernière fois ?
— Oui, Patrick. Laisse-moi te présenter mon amie Lina.
— Bonjour Lina. Je suis le patron de la boutique, mais aussi le père de Julie.
— Enchantée de faire votre connaissance, monsieur.
— Appelle-moi Patrick. Je préfère.
— OK. Patrick.

Julie regarde son père en souriant.
— Ça te dérange si tu restes derrière la caisse pendant que je vais boire un café de l’autre côté de la rue ?
— OK, mon ange. Ne tarde pas trop quand même ! Tu es ma meilleure vendeuse !
— Je sais, papa. Et si tu vois qu’on prend trop de temps, tu sais où me trouver. À tout à l’heure. Je t’aime, papa.
— Moi aussi, mon ange.

On sort donc toutes les trois de la boutique et on se pose à la terrasse du bar juste en face. Julie nous commande un thé auprès d’une serveuse.
— Je suis jalouse, Noémie !
— Pourquoi tu dis ça, Julie ?
— Tu as vraiment de la chance de sortir avec Lina.

Noémie et moi échangeons un regard de surprise et je me mets à rougir.
— Tu te méprends, Julie. Nous ne sommes que des amies.

Julie pose une main sur ma cuisse nue.
— Je dois t’avouer quelque chose, Lina. Je n’ai pas arrêté de penser à toi depuis notre première rencontre. Je suis vraiment heureuse que tu sois libre.
— Pas toute à fait, Julie. J’ai un mec.
— Oh ! Pardon, Lina.

Julie semble déçue de découvrir que j’ai un mec dans ma vie. Elle retire sa main.
— C’est un peu compliqué pour moi ces derniers temps.
— Comment ça ?
— J’ai l’impression de ne plus être la même personne depuis que j’ai découvert les plaisirs du sexe avec Noémie ou avec mon mec.
— C’est normal, Lina. Tu es toute nouvelle dans ce monde. Je peux comprendre que tu sois troublée. En tout cas, tu as énormément de chance que deux personnes aiment passer du temps avec toi.
— Je le sais bien, Julie. Mais si je suis à l’université, c’est avant tout pour étudier, mais pas forcément pour coucher.
— Arrête de te faire des nœuds au cerveau, Lina. Tu peux conjuguer les deux. Il faut juste que tu t’habitues.
— C’est ce que me dit Noémie aussi.
— Elle a bien raison.

Noémie et Julie s’échangent un clin d’œil complice.
— Je peux te poser une question indiscrète, Lina ?
— Oui, Julie.
— Tu préfères les filles ou les garçons ?
— Je n’ai pas encore vraiment choisi. J’aime les caresses que peut me procurer Noémie, mais j’ai quand même besoin du sexe d’un garçon pour me satisfaire.
— Avec une fille et un gode, tu peux avoir tout ça, Lina. Il y en a quelques godes qui pourraient te plaire dans ma boutique, tu sais.

Julie remet sa main sur ma cuisse.
— Tu pourrais en essayer quelques-uns, si tu veux.

Noémie nous regarde et je sens poindre un brin de jalousie dans son regard.
— Vous voulez que je vous laisse seules, les filles ?
— Non, reste Noémie ! Cela pourrait même être amusant.

Julie me fait un bisou sur la joue avant de déposer délicatement ses lèvres sur les miennes. Je sens mon cœur s’emballer et une vague de chaleur envahir mon bas-ventre.
— Il faut que j’arrête de te chauffer avant que je ne perde le contrôle.
— Je veux bien essayer un gode ou deux, Julie.
— Parfait, Lina !

On termine nos boissons. Julie nous invite. En quittant la table, Julie me prend la main. On croise une serveuse qui lance un léger regard noir à Julie.
— Ne t’en fais pas, Lina. C'est juste l’une de mes ex.

On traverse la route pour revenir dans sa boutique. Le père de Julie s’occupe d’une cliente qui doit avoir à peu près mon âge. Il l’aide à choisir une tenue sexy. Elle semble hésiter entre une tenue de soubrette et une tenue d’infirmière.
— Ça vous dérange si je vous demande votre avis, monsieur ?
— Non, mademoiselle. Je suis là pour ça. Vous devriez les essayer.
— Vous venez ?

Patrick sourit et il accompagne la jeune fille vers une cabine d’essayage. On les voit disparaître tous les deux derrière le rideau. Julie sourit.
— J’en connais un qui va passer du bon temps !

Je lance un regard d’étonnement à Julie.
— Tu n’as pas l’air étonnée, Julie ?
— Non, Lina.
— Cela ne sera pas la première fois qu’il passe du bon temps avec une cliente.
— Ta mère est au courant ?

Le visage de Julie s’assombrit.
— J’ai dit quelque chose de mal, Julie ?
— J’ai perdu ma mère à cause d’un cancer l’an dernier.
— Oh, pardon, Julie. Je ne savais pas. Excuse-moi.
— Tu n’as pas à t’excuser. Tu ne le savais pas.

Je viens lui faire un bisou sur la joue pour m’excuser en la serrant légèrement dans mes bras. Julie en profite pour poser une main sur mes fesses et elle se rend compte que j’ai un plug.
— Tu as un plug, ma coquine ?
— Oui, Julie. C’est Noémie qui me l’a offert.
— Tu en as un aussi, Noémie ?
— Oui, Julie.
— Cela ne m’étonne pas trop de toi, Noémie.

Julie se met derrière son comptoir.
— Tu peux aller faire un tour dans la boutique pour trouver un ou deux jouets pour Lina, Noémie ?
— Avec plaisir, Julie. J’espère juste que j’aurai droit un petit pourboire ?
— Tu sais bien que l’on peut toujours s’arranger, Noémie !

Noémie et moi, nous allons donc vers le rayon où se trouvent les godes. Je suis tout de même assez intimidée de voir autant d’objets intimes exposés au même endroit. Noémie se saisit d’un long gode à deux têtes.
— Il te plaît celui-là ?
— Euh...
— Tu peux l’utiliser avec une autre fille ou toute seule si tu le plies bien.
— C’est vrai qu’il a plutôt l’air sympa.
— Je le prends ?
— Oui, Noémie.

On continue à chercher et Noémie me présente un œuf vibrant, quelques vibromasseurs ainsi que plusieurs godes de tailles différentes.
— Je veux un gode, Noémie.
— Il t’en faut un pas trop gros et qui vibre si possible... Tiens, celui-là !
— Il me paraît pas mal. Il a l’air d’être aussi gros que le sexe de Christophe.
— Parfait !

On revient vers la caisse et on passe devant les cabines d’essayage. Le rideau est légèrement ouvert et on peut apercevoir le père de Julie en train de se faire faire une fallation par sa jeune cliente. Elle porte sa tenue de soubrette. Le fait de l’avoir aperçu se faire sucer nous émoustille toutes les deux. On finit par rejoindre Julie au comptoir.
— Je vois que tu as trouvé ton bonheur, Lina.
— Oui, Julie.
— Je vois qu’il faut quand même un truc long pour te faire du bien. Moi, je préfère tout ce qui vibre.

Julie glisse mes achats dans un sac et elle y rajoute un œuf vibrant.
— Tu me diras si cela te plaît, ma belle. C’est un cadeau de la maison.

On voit revenir la cliente avec le père de Julie. Elle semble avoir choisi la tenue de soubrette.
— Je vais vous encaisser, mademoiselle.
— Vous avez été d’une grande aide pour mon choix. J’espère que mon beau-père sera du même avis.
— Je n’en doute pas. Il vous faut quelque chose de plus ?
— Peut-être un petit tube de vaseline, si vous avez ça ?
— Bien sûr, mademoiselle. C’est cadeau.
— Merci.
— C’est la moindre des choses. Au plaisir de vous revoir, mademoiselle.
— À bientôt.

On se sourit tous les quatre en la voyant partir avec son petit sac sous le bras.
— Elle suce bien, Patrick ?
— Elle se débrouille très bien et elle a tout avalé en plus.

Julie regarde son père en souriant.
— Tu ne perds jamais une occasion, toi ! Tu es resté soft cette fois-ci au moins !
— Ne me juge pas, ma puce !... A moins que tu sois jalouse !
— Papa !
— Je te taquine ! On ne peut plus rigoler ?

Julie donne un coup de coude dans les côtes de son père en rigolant.
— Tu sais bien que je t’aime, mais pas à ce point-là !
— Je sais bien, ma puce. On n’a jamais rien fait tous les deux et je sais bien que tu es trop attirée par les filles.

Un jeune homme d’une vingtaine d’années entre à son tour dans la boutique. Il semble stressé. Il s’adresse au père de Julie et il nous salue.
— Pardon, monsieur. J’aimerais offrir un ensemble de lingerie à ma copine, mais je ne sais pas quoi choisir.
— Connaissez ses mensurations ?
— Il fait un 85B de tour de poitrine.
— Elle a une couleur préférée ?
— Euh... Elle aime bien le rose... Je crois.
— Vous n’en êtes pas sûr ?

Le visage du jeune homme vire au rouge.
— Cela me gêne d’en parler devant des filles.

Patrick nous fait signer de sortir un instant de la boutique.
— Je suis puceau, monsieur. Je n’ai jamais vu ses sous-vêtements.
— Je comprends.
— Le rayon lingerie ce n’est pas trop ma spécialité, mais je peux demander à l’une de mes vendeuses de s’occuper de vous.
— Euh...Je veux bien, monsieur. Merci.

Patrick nous fait signe d'entrer.
— Lina, tu pourrais t’occuper de ce jeune homme, s’il te plaît ?
— Euh... Oui, Patrick.

Noémie et Julie sourient en me voyant partir avec le jeune homme au rayon lingerie.
— J’ai entendu que votre copine faisait un 85B comme moi. Elle est plutôt string ou tanga ?
— Euh... String, je crois.
— Rose, c’est ça ?
— Euh... Oui.
— Je vois.

Je lui présente plusieurs modèles tous autant sexy les uns que les autres. Son visage est rouge. Il semble vraiment mal à l’aise. Il a du mal à choisir entre deux ensembles.
— Je ne sais vraiment pas lequel choisir.
— Je peux les essayer pour vous si voulez. Vous avez une préférence pour l’un ou pour l’autre ?
— Je ne sais pas, mademoiselle. Je ne voudrais pas abuser.
— Si je vous le propose, c’est que cela ne me gêne pas.
— Alors, d’accord.

Je prends les deux ensembles et on va en cabine d’essayage.
— Vous pouvez rester dehors pendant que je mets le premier ou vous pouvez me rejoindre.
— Je ne veux pas vous voir nue, mademoiselle !
— Comme vous voulez.

Il reste à l’extérieur de la cabine pendant que je me déshabille et que j’enfile un premier ensemble. Je le fais venir derrière le rideau. Je fais un tour sur moi-même.
— Vous en dites quoi ?

Il reste sans voix pendant quelques secondes. Je vois bien que son regard se porter partout sur moi. Son visage devient presque écarlate.
— Waouh. Magnifique !
— Vous voulez que j’essaie l’autre ?
— Euh... Oui mademoiselle.
— Laissez-moi deux secondes, alors !

Il sort de nouveau de la cabine et j’enfile le deuxième ensemble. Il est quasiment identique au premier, à l’exception qu’il est ouvert au niveau de mon sexe. Je le fais revenir dans la cabine. Je fais un nouveau tour sur moi-même.
— Vous en pensez quoi de celui-là ?
— Il est parfait !

Il marque un léger blanc avant de porter une main devant son sexe. De par son geste, je comprends qu’il vient d’éjaculer sur lui.
— Euh... Ça va ! Je vais prendre le second !
— D’accord.

J’enlève l’ensemble et je me rhabille. Je récupère les deux ensembles. Je vais chercher le bon ensemble en rayon. Je prends dans ma main les ensembles que j’ai portés et je lui donne un ensemble neuf qu’il compte offrir à sa copine. Je pose les deux ensembles portés derrière la caisse.

— Tu peux encaisser ce monsieur, Julie ?
— Oui, bien sûr, Lina. Il vous faut quelque chose de plus ?
— Vous n’auriez pas des préservatifs par hasard ?
— Si bien ûr. C’est offert par la maison.
— Merci.

Il paie et il sort de la boutique en souriant même si son visage est encore un peu rouge.
— Tu as fait quoi pour le mettre dans cet état, Lina ?
— Je n’ai fait que porter de la lingerie devant lui.
— Rien d’autre ?
— Non, je te promets, Julie !
— Je peux tout entendre. Je ne te jugerais pas s'il a eu droit à une petite gâterie.
— Il n’en a pas eu besoin pour éjaculer !
— Quoi ? Il a éjaculé sans que tu ne le touches ?
— Oui, Julie. Il devait être puceau. Je n’ai vraiment pas de chance avec les garçons.

Ils se mettent tous à rire.
— Ne vous moquez pas !
— On ne se moque pas, Lina ! C’est juste qu’il n’avait sans doute jamais vu une fille aussi belle que toi aussi peu vêtue.
— Tu me trouves jolie, Julie ?
— Pour être franche, j’ai envie de te sauter dessus. Tu me plais vraiment. Je suis même mouillée. Tu veux vérifier ?

Mon visage rougit légèrement. Je me laisse tenter par sa proposition, et je glisse une main sous sa jupe. Mes doigts effleurent sa légère toison avant d’atteindre sa fente humide. Je ne suis même pas étonnée du fait qu’elle ne porte rien dessous.
— Tu vois, Lina ! Je ne t’ai pas menti !

J’enlève ma main. Julie pose ses lèvres sur ma bouche.
— Je peux toucher aussi, Julie ?
— OK, Noémie.
— C’est vrai, tu es trempée.

Noémie porte ses doigts à sa bouche et elle les lèche délicatement du bout de sa langue.
— À ce petit jeu, vous allez me faire bander, les filles !
— Oh, pardon, papa !

Julie pose un léger baiser sur la joue de son père.
— J’ai effectué une vente, Patrick. Je n’aurais pas droit à quelque chose ?
— Un plug, ça te plairait ?
— Non, merci, Patrick. J’en porte déjà un.
— Vraiment ?

Je baisse rapidement mon minishort et je me penche en avant pour lui montrer le plug. Je remonte ensuite mon minishort.
— Ton cul est magnifique, Lina ! Tu m’étonnes que le mec n’ait pas pu résister ! Ton mec a bien de la chance !
— Je prends ça pour un compliment, Patrick.

Patrick a un peu de mal à se remettre de la vue rapide de mes fesses.
— Tu nous gardes le paquet, Julie ? J’aimerais aller marcher un peu avec Lina.
— D’accord, Noémie. Et ça vous dirait qu’on passe la soirée toutes les trois ?
— C’est une bonne idée, Julie. Tu habites toujours au-dessus de la boutique ?
— Oui, je n’ai pas déménagé depuis ta dernière visite.
— On se dit vers dix-neuf heures ? Tu peux venir manger avec nous si tu veux, Patrick ?
— Désolé de vous décevoir, mais j’ai déjà une soirée de prévue avec une amie.
— Tu ne me l’avais pas dit, papa ! Je la connais ? Ce n’est quand même pas une p...
— Non, Julie ! Je n’ai jamais eu recours à une fille de joie. La femme que je vais voir ce soir était ma témoin de mariage.
— Elle était la meilleure amie de maman. C’est ça ?
— Oui, ma puce. Je pense qu’elle ne m’en voudrait pas si je passe un moment agréable avec elle. D’ailleurs, je lui ai donné rendez-vous à l’heure de la fermeture.
— J’aimerais bien la rencontrer, papa !
— OK, ma puce. On pourrait manger ensemble et après on partira chacun de notre côté.
— Super, papa !

Julie fait un câlin à son père.
— À tout à l’heure !
— Je t’envoie l’adresse du restaurant par texto, Noémie !
— OK, Julie.

Je laisse mes emplettes derrière le comptoir. Noémie me prend la main pour sortir de la boutique. Julie y reste. Je passe ma journée avec Noémie. On se promène en ville avant de s’arrêter dans un restaurant près d’un grand parc. Après le repas, on se pose dans le parc juste à côté d’une marre aux canards.
— C’est plutôt paisible, Lina. Tu ne trouves pas ?
— Tu as raison, Noémie.
— Ta matinée a été plutôt mouvementée !
— Je ne vais pas dire le contraire.

On s’allonge sur l’herbe et on s’échange un tendre baiser. On se fait une petite sieste auprès d’un arbre. Quelques minutes plus tard, je sens la main de Noémie caresser ma poitrine.
— Tu n’aimerais pas qu’on s’amuse toutes les deux ?
— Tu ne veux pas attendre, ce soir, Noémie ?
— S’il te plaît, Lina !

Noémie me lance un regard coquin qui en dit beaucoup sur ses envies. On se lève et on cherche un endroit où l’on pourrait avoir un peu d’intimité.
— Tu as déjà fait ça dehors, Noémie ?
— Jamais dans ce parc, mais j’ai déjà fait l’amour avec un garçon au bord d’une plage et dans une forêt avec une fille.
— Oh, coquine ! Personne ne vous avait surpris ?
— Si une fois. C’était avec une de mes ex. Il y avait un vieux pêcheur qui se branlait en nous voyant nous amuser.
— Il n’avait fait que se masturber ? Il avait giclé ?
— Oui et oui.
— Dommage !
— Tu aurais voulu qu’il vienne s’occuper de nous, Lina ?
— Je ne sais pas. Mais comme je te connais, tu n’aurais sans doute pas dit non, Noémie !
— Il est vrai que j’aime le sexe et je ne m’en cache pas. Mais avec un vieux de soixante ans, non !
— Même avec un mec d’une quarantaine d’années comme... Patrick ?

Noémie baisse les yeux en entendant le prénom de Patrick. J’ai l’impression d’avoir touché une corde sensible.
— Tu me promets de ne pas en parler à Julie, OK ?
— Oui, je te le promets, Noémie.
— On ne l’a fait qu’une fois. C’est arrivé quelques jours après le décès de sa femme. J’ai voulu le réconforter et je n’ai pas besoin de te faire un dessin pour la suite.
— Oui, j’ai compris, Noémie.
— Je ne veux surtout pas que Julie le sache. J’ai peur de perdre son amitié.
— Je sais tenir ma langue.
— En parlant de langue... J’aimerais bien que tu joues avec !
— Tu ne perds jamais le nord, toi !

Après quelques minutes de marche, on se trouve un coin plutôt romantique et isolé auprès d’une cascade. On se pose dans l’herbe et nos mains ne restent pas longtemps sages. C’est Noémie qui déclenche les hostilités en glissant une main dans mon minishort. Après avoir traversé mon petit duvet, elle s’attaque à mon clitoris. Je gémis rapidement sous ses caresses. En guise de représailles, je passe une main sous sa robe et je titille frénétiquement son petit bouton de plaisir. Nos gémissements sont à peine couverts par les bruits de la cascade. Je soulève mes fesses et j’enlève mon minishort. J’écarte bien les cuisses pour lui donner un meilleur accès à ma chatte. Noémie baisse les bretelles de mon croc top et elle vient embrasser mes seins et pincer délicatement mes tétons. Après quelques minutes de préliminaires digitales, elle enlève sa robe et elle vient poser sa fente lisse sur ma bouche. Je me délecte rapidement de sa mouille. J’ai droit au même traitement de faveur de sa part. Nos langues sont rapidement remplacées par nos doigts pour explorer nos cavités humides.

Nos gémissements de plaisir deviennent de plus en plus forts. Mon bas-ventre devient brûlant de désir. Noémie me doigte de plus en plus vite et je finis par jouir. Elle passe plusieurs fois sa langue le long de ma fente pour savourer mon jus d’amour. De mon côté, je me donne à fond pour la faire jouir à son tour. Elle atteint l’orgasme peu après moi. Je me délecte de sa mouille et on suce nos doigts pour goûter à nos liqueurs. Noémie vient s’allonger près de moi.
— Tu te débrouilles de mieux en mieux, Lina.
— J’ai une bonne professeure.
— J’ai aussi une très bonne élève !

On reste l’une face à l’autre pour nous remettre de nos orgasmes tout en laissant nos mains parcourir nos corps.
— Tentée par un petit passage sous la cascade, Lina ?
— Pourquoi pas. Avec un peu de chance, on pourrait se faire surprendre par un pêcheur !
— Coquine ! Tu n’as jamais fantasmé sur un homme plus vieux, Lina ?
— Tu veux dire un homme de l’âge de Patrick ?
— Oui, par exemple.
— J’ai déjà du mal à contrôler mes envies avec les garçons de mon âge, donc je n’ai jamais pensé à regarder les hommes plus âgés.
— Même si je n’ai eu qu’une seule expérience avec Patrick, sache que je ne la regrette pas. Je pense qu’il pourrait te faire du bien.
— Tu veux me jeter dans ses bras, Noémie.
— Je ne prends Patrick que pour exemple. Tu pourrais avoir ta propre expérience avec un autre homme de son âge.
— Il faudrait que j’y réfléchisse. Mais pour l’instant, j’ai toi et Christophe.

On se lève après notre discussion et on entre nues dans l’eau avant de passer quelques instants sous la cascade. L’eau est plutôt fraîche. On revient sur la berge pour se sécher et prendre un bain de soleil.
Après quelques minutes de bronzage intégral, on entend des sifflements qui proviennent de l’autre côté de la rivière de la part d’un groupe de cyclistes. Ils ont tous plus d’une quarantaine d’années.
— On peut vous rejoindre les filles ?
— Non, merci ! Nous ne sommes pas fans de saucisses !
— Dommage.

Les cyclistes reprennent leur route. Noémie et moi, nous nous mettons à rire.
— S'ils avaient été moins nombreux, je leur aurais sans doute dit de nous rejoindre.
— Ils n’étaient pas si nombreux que ça, ils n’étaient que cinq !
— Cinq, c’est déjà trois de trop !
— Pas forcément.
— Tu as déjà été avec plusieurs hommes en même temps, Noémie ?
— Tu ne connais pas tout de moi, Lina.
— Tu l’as fait avec combien de mecs ?
— En une seule soirée, j’ai été le centre d’attention de quatre hommes et de trois femmes.
— Sept ? Ah, oui, quand même ! Tu as participé à une partouze ?
— Oui, Lina. Tu as l’air choquée ?
— C’est juste que je ne m’y attendais pas.
— Il faudrait que l’on se rhabille avant qu'on tombe sur d’autres voyeurs !
— Tu as raison, Noémie.

On se rhabille donc.
— Mince !
— Quoi, Lina ?
— J’espère que nos plugs sont étanches ?
— Oui, Lina.
— Je l’ai gardé toute la journée sans me rendre compte que je le portais ! Je repense au mec de tout à l’heure qui m’a vue avec mon plug dans le cul ! Il a dû me prendre pour une salope !
— Ça ne fait pas de toi une salope, Lina ! Ça fait de toi juste une jolie fille qui est à l’aise avec sa sexualité.

On quitte notre petit paradis et on reprend le chemin vers la ville. On se pose à la terrasse d’un café pour boire des jus de fruit. Vers dix-huit heures, Noémie reçoit un message de la part de Julie pour lui indiquer l’adresse du restaurant.
— On a encore le temps, Lina. On peut passer voir Patrick avant d'y aller.
— Je veux bien, Noémie. Je dois aller aux toilettes avant.
— OK. Je t’invite, Lina.
— Merci, Noémie.

On quitte le café, on va à la boutique de lingerie tenue par Patrick. Au loin, on l’aperçoit avec une femme d’une quarantaine d’années qui porte une jupe courte bleu ciel. On se dit qu’il doit s’agir de l’amie de Patrick.
— Salut les filles.
— Je veux vous présenter Audrey.
— Bonjour, madame.

Audrey nous fait la bise.

— Tu dois être Julie.
— Non, madame. Je m’appelle Lina.
— Oh excuse-moi, Lina. Patrick m’a dit que sa fille était blonde.
— Ce n’est pas grave.

Julie descend de son appartement en arborant une robe rouge moulante.
— Voici ma fille Julie.
— Enchantée de faire ta connaissance. Je m’appelle Audrey.
— De même.

Elles se font la bise.
— On se tutoie ?
— Avec plaisir, Julie. Tu ressembles énormément à ta mère, Julie.
— Merci, Audrey. Elle me manque, tu sais.
— Je n’en doute pas.

Patrick nous fait toutes sortir de sa boutique afin de la fermer. Il nous faut un petit quart d’heure pour arriver au restaurant. Une serveuse nous accueille et elle nous guide jusqu’à notre table au premier étage. Nous avons une vue imprenable sur la ville. Julie est plutôt curieuse d'en connaître plus sur sa potentielle belle-mère.
— Je ne t’ai jamais vue à la maison quand maman était encore là.
— Il est vrai que l’on s’est perdu de vue avec tes parents. J’ai vécu pendant plus de dix en Australie. Et je ne suis revenue en France avec mon fils, il y a à peine deux ans.
— Oh, tu as un fils ? Il a quel âge ?
— Il s’appelle Christophe et il a dix-huit ans. Il est d’ailleurs à l’université ici.

Je suis surprise d’apprendre qu’Audrey a un fils qui s’appelle comme mon mec. Je me dis que ce n’est qu’une simple coïncidence.
— Tu as une photo de ton fils, Audrey ?
— Oui, Julie.

Audrey lui passe son téléphone.
— Ah, oui ! Il est pas mal !

Julie passe le téléphone à Noémie qui se met à sourire en voyant la photo.
— Tu le connais, Noémie ?
— Oui, et Lina aussi.

Noémie me passe le téléphone et je n’en crois pas mes yeux en voyant la photo de mon copain. Je ne peux pas m’empêcher de rougir.
— Ça va, Lina ? Tu connais mon fils ?
— Euh... Oui, Audrey.
— Je suis vraiment heureuse qu’il ait des amies comme vous. Depuis notre retour d’Australie, il a du mal à se faire des amis.
— En fait, je ne suis pas qu’une simple amie pour lui, Audrey... Je suis sa copine.
— Vraiment ? Il ne m’a pas dit qu’il avait une copine ! Il est vrai qu’il est très discret concernant sa vie privée.

Tout le monde se met à rire autour de la table.
— Donc, tu pourrais devenir ma belle-sœur, Lina ?
— Euh...

Patrick vient à mon secours.
— Tu vois bien que cela gêne Lina, ma puce !
— Je ne fais que la taquiner, papa ! Mais, il est vrai que 9a pourrait être intéressant.

Julie prend ma main en affichant un grand sourire.
— Ce n’est quand même pas très banal que tu rencontres ta potentielle belle-fille avant que ton fils ne te la présente, Audrey !
— Tu as raison, Julie.

On continue à discuter. Julie frotte sa jambe contre la mienne. Patrick et Audrey semblent amoureux, mais ils n’osent pas s’embrasser devant Julie.
À la fin du repas, on profite du soleil couchant avant se séparer. On fait la bise à Patrick et Audrey avant de partir toutes les trois à l’appartement de Julie. Julie semble vraiment radieuse.
— Je suis vraiment heureuse que mon père soit de nouveau en couple.
— Il a l’air d’apprécier Audrey en tout cas.
— Toujours partante pour notre soirée entre filles ?
— Oui, Julie.

On monte toutes les trois à son appartement. Je suis encore un peu sous le choc d’avoir rencontré la mère de Christophe dans ces circonstances.
— On commence par quoi, les filles ? Nous ne sommes pas ici pour jouer aux cartes, après tout !

Noémie me prend dans ses bras et elle me roule une pelle majestueuse devant les yeux de Julie.
— Mmm, ça commence bien ! Je peux t’embrasser aussi, Lina ?

Julie nous rejoint et on s’échange des baisers toutes les trois. Nos mains ne restent pas longtemps très sages et on se trouve rapidement tous les trois nues. Je m’allonge sur le lit. Noémie se blottit derrière moi tandis que Julie me fait face. Noémie caresse délicatement ma poitrine et Julie s’occupe de mon sexe en effleurant délicatement mon clitoris. Je viens caresser les fentes de mes deux amies. Elles sont déjà légèrement mouillées.
Elles se penchent toutes les deux sur moi pour caresser et embrasser mes petits seins. Leurs doigts s’occupent de mon clitoris de mon puits d’amour. Je continue à jouer avec leur clitoris respectif. Après ces quelques minutes de doux préliminaires, Noémie vient poser sa chatte sur ma bouche et Julie écarte mes cuisses pour avoir accès à ma fente. Julie me doigte lentement tout en caressant mon petit bouton de plaisir. De mon côté, je me délecte de la mouille de Noémie. Julie se doigte tout en explorant ma fente avec ses doigts et sa langue. Nos gémissements résonnent peu à peu à l’intérieur de sa chambre.
Soudainement, Noémie se lève.
— Tu vas où, Noémie ?
— Je vais chercher tes emplettes pour qu'on se fasse du bien.
— Le sac de Lina est sur la table du salon.
— Merci, Julie.

Noémie apporte le sac. Elle sort le gode à deux têtes ainsi que l’œuf vibrant.
— Mets-toi à quatre pattes, Lina !
— Tu veux faire quoi ?
— Tu vas voir !

Noémie donne l’œuf à Julie qui s’empresse de le glisser dans son vagin humide. Noémie me glisse délicatement une des têtes du gode dans ma chatte.
— Julie ! Aide-moi à glisser l’autre bout en moi.
— Avec plaisir, Noémie.

Julie se saisit du gode et elle le glisse dans la chatte de Noémie. Julie sourit en voyant que l’on porte toujours nos plugs. Noémie et moi, on se tourne le dos. On commence doucement à bouger nos bassins pour se baiser l’une l’autre. Julie déclenche les vibrations de son œuf et elle vient me présenter sa chatte humide. Je titille son clitoris. Je sens les vibrations de son œuf. Julie gémit de plaisir en caressant ses seins et en suçant ses tétons. Peu à peu, mes fesses claquent contre celles de Noémie.
Julie change de place et c’est au tour de Noémie de jouer avec le clitoris de Julie. On prend toutes les trois énormément de plaisir. Nos gémissements se transforment peu à peu en des cris de plaisir. Nos orgasmes sont presque simultanés.
Julie nous retire le double gode et elle se délecte de nos mouilles en passant sa langue le long de nos fentes. Elle retire son œuf et elle le suce pour goûter à sa propre cyprine.
— Oh, c’était vraiment bon, les filles.
— Oui, Julie.

Comme notre journée a été plutôt intense, on s’allonge toutes les trois sur le lit de Julie pour se reposer. Je me retrouve entre elles.
— Lina, ça te plairait de passer un week-end tous les six ?
— Comment à six ?
— Toi et Christophe, papa et Audrey et enfin moi et Noémie.
— Pourquoi pas. Mais j’espère que ça ne finira pas en partouze !
— Non, Lina ! On pourra faire mieux connaissance. J’ai quand même hâte de connaître mon potentiel demi-frère Christophe. Je connais déjà très bien ma potentielle demi-sœur.

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