Mes premières expériences à l'université - Partie 4 - histoire érotique

Cela fait une semaine que j’ai fait la rencontre inattendue d'Audrey, la mère de Christophe, qui ne sait pas encore que maintenant je la connais.

Après une nuit agréable avec Christophe, on se réveille dans les bras l’un de l’autre. Il est encore endormi quand j’ouvre les yeux. Presque par réflexe, ma main effleure son sexe mou. Je me mets en tête de lui rendre de la vigueur afin de le réveiller en douceur. Je le masturbe d'abord lentement avant de poser mes lèvres sur son gland. Je suis un peu surprise de voir qu’il ne réagit pas. J'en fais plusieurs fois le tour avec ma langue avant de prendre en bouche son sexe qui durcit petit à petit. Je vois Christophe me sourire.
— Mmm, Lina ! Continue. Je ne veux pas t’interrompre.

Je le masturbe lentement tout en aspirant son gland entre mes lèvres. Il gémit sous mes coups de langue. Il pose une main sur ma tête et m’incite à lui faire une gorge profonde. Son gland vient littéralement se blottir au fond de ma gorge. J’ai l’impression de m’étouffer. Je ressors subitement son sexe afin de pouvoir respirer. Un filet de salive se forme entre mes lèvres et son gland. Je prends une grande inspiration avant de refaire glisser son sexe dans ma bouche. Ma salive coule le long de sa tige bien dure. Malgré mes maladresses, Christophe gémit encore. Je m’applique au mieux pour lui donner du plaisir. Je reprends de temps en temps ma respiration. Il gémit de plus en plus fort. Alors que j’ai son gland tout près des amygdales, Christophe appuie sur ma tête en poussant un long râle de plaisir. Il se laisse aller à éjaculer directement au fond de ma gorge ; je n’ai pas besoin d’avaler son sperme. Puis je sors son sexe de ma bouche. Un filet de salive coule sur mon menton et quelques larmes coulent le long de mes joues. J'essuie tout avec le revers de ma main.
— J’ai failli m’étouffer, Christophe !
— Désolé, mais c’était vraiment trop bon, Lina. C’est la première gorge profonde que tu me fais, ma chérie. J’ai vraiment adoré.
— C’est le plus important, mais je ne referais pas ça tous les jours !

Je me blottis dans ses bras et on échange un long baiser.
— Bonjour, Lina et merci.
— Bonjour, Chris.

Il vient caresser mon doux duvet avant d’atteindre mon clitoris.
— On n’a pas le temps, Chris ! On va être en retard en cours !
— Tu es chiante, Lina !
— Quoi ? Je te demande pardon ?
— Ce n’est pas ce que je voulais dire, ma chérie. Je voulais juste qu'on passe encore un peu de temps tous les deux.
— Tu devrais faire attention à ton langage, Chris !

Je me lève. Je mets son t-shirt sur moi et passe un string. Chris enfile uniquement son jean pour qu'on aille prendre une douche rapide ensemble. En sortant de la salle d'eau, on voit Noémie dans le couloir, qui se dirige vers notre chambre. On reste là, à moitié nus.
— C’est maintenant que tu rentres, Noémie ?
— Oui, Lina. J’ai passé la nuit chez Julie.
— Ah, oui, j’avais oublié.

Christophe regarde Noémie avec un air dubitatif.
— Je peux savoir qui est cette Julie ? C'est ta nouvelle copine ?
— Oui et non. C’est un peu compliqué. Je suis juste venue récupérer mon sac pour aller en cours. On se revoit à midi pour en discuter ?
— OK, Noémie.

Noémie entre en coup de vent dans sa chambre pour prendre son sac. Chris et moi, on va dans la mienne pour s’habiller plus correctement.
— Tu connais cette Julie, Lina ?
— Oui.
— Et ?
— Comme Noémie te l’a dit, ce serait trop longtemps à t’expliquer.

Je retire son t-shirt et je passe une robe courte à fleurs. J'ôte mon string. Christophe me regarde un peu bizarrement.
— Mon t-shirt est mouillé, Lina !
— Tu n’as qu’à mettre ton sweat par-dessus.
— Tu me trompes avec cette Julie, c’est ça ?
— Non, Chris ! C'est juste une amie.

Je récupère mon sac de cours et on descend au pied de l’immeuble. Christophe ne semble pas tout à fait convaincu par ma brève explication. Il est vrai qu’il n’a pas tort, car j’ai couché avec elle et Noémie.
— On se revoit à midi, alors ?
— Oui, Chris ! Je dois y aller maintenant !

On échange un simple smack avant de partir chacun dans sa direction. Comme convenu, on se retrouve tous les trois au restaurant universitaire.
— Noémie, je peux en savoir plus sur cette fameuse Julie ?
— OK, Chris. Ça va être un peu long à t’expliquer.
— Je suis tout ouïe, Noémie.
— Voilà. Julie est une copine que je connais depuis quelques semaines. Je l’ai présentée à Lina et on est vite devenues amies toutes les trois. Julie nous a ensuite présenté son père et...
— Et quoi, Noémie ?
— C’est là que ça devient un peu gênant.
— Comment ça ?
— Vous avez couché avec lui ?
— Quoi ?!? Tu es fou ! Je ne vais y aller par quatre chemins ! Ta mère sort avec le père de Julie ! Voilà, c’est dit !

Christophe est sous le choc de l’annonce un peu brutale de Noémie.
— Sérieusement ?
— Oui, Chris. On a même mangé avec eux.
— Quoi ? Tu connais ma mère, Lina ?
— Oui, Chris. Elle a l’air d’être une gentille femme.
— Et il s’appelle comment son mec ?
— Il s’appelle Patrick et il a à peu près l’âge de ta mère.

Christophe pousse un soupir de soulagement.
— Si c’est la vérité, je suis soulagé. J’ai cru vraiment que tu m’avais fait cocu avec cette Julie ou avec un autre mec.

Noémie et moi échangeons un regard. Elle voit bien que je n’ose pas lui raconter la relation particulière que j’ai nouée avec Julie.
— Je t’aime, Lina.
— Moi aussi, je t’aime, Chris.

Noémie prend la main de Christophe.
— Donc tu ne sais pas que ta mère sort avec un mec ?
— Eh bien, non, Noémie !
— Je crois qu’il faudrait que tu parles à ta mère.
— Pourquoi ?
— En fait, on avait pensé à passer un week-end avec eux.
— Il y aurait qui ?
— Toi, Lina, Julie, ta mère, Patrick et moi.
— Tous les six ?
— Oui, Chris.
— Il faut que j’appelle ma mère.

Pour ça Christophe sort du restaurant. Je regarde Noémie et je vois bien qu’elle me cache quelque chose.
— Vas-y, crache le morceau, Noémie !
— De quoi tu parles, Lina ?
— Je vois bien que tu me caches un truc !
— OK, j’avoue. Mais promets-moi de ne pas en parler à Chris ou à Julie.
— Je t’écoute !
— En fait, je n’ai pas passé ma soirée avec Julie. J’étais avec ... Patrick et Audrey.

J’ai l’impression que tout le poids du monde tombe sur moi.
— Tu as couché avec eux ?
— Euh... oui, Lina. Le lendemain de notre rencontre, Patrick m’a invitée chez lui et on a passé la nuit tous les trois.
— Vous faites vos plans à trois depuis longtemps ?
— Hier soir, c’était la troisième fois.
— Mais, tu es une sal... !
— Dis-le, Lina. Cela va te faire du bien !
— Tu es une salope, Noémie. Tu mériterais que je te gifle ! Je n’y crois pas !

Je prends ma tête dans mes mains. Je suis furieuse de rage.
— Calme-toi, Lina ! Il ne faut pas que Chris te voie dans cet état !
— J’ai besoin de prendre l’air !

Je sors du restaurant et je bouscule presque Christophe. Il va voir Noémie pour savoir pourquoi je pars aussi vite.
— Pourquoi Lina est sortie comme une furie ?
— Euh... elle avait oublié de rendre un devoir.
— Ah, d’accord. Il faudrait qu’elle apprenne à se détendre un peu quand même. Il n’y a pas que les cours dans la vie.
— Tu la connais, non ? Tu as pu discuter avec ta mère ?
— Oui, Noémie. Elle m’a raconté à peu près la même histoire que toi et elle voudrait nous inviter afin que l’on fasse plus ample connaissance.
— C’est parfait, alors !
— Elle veut nous inviter dans un restaurant dans le centre-ville ce soir à 20 heures.
— OK, c’est cool ! Je le dirai à Lina quand je la verrai.
— D’accord, Noémie.

Christophe prend la main de Noémie.
— Tu as tenu ta promesse, Noémie ?
— Oui, Chris. Elle ne sait pas que je t’ai sucé la dernière fois.
— Ça te plairait de renouveler l’expérience ?
— Tu veux que je te suce ?
— Pas ici, bien sûr ! On pourrait aller derrière un des amphithéâtres.
— La bouche de Lina ne te suffit pas ?
— Si, elle suce bien, mais j’ai besoin de me détendre après ce coup de stress que je viens de subir.
— OK, mais juste une pipe. Pas de branlette espagnole comme la dernière fois, OK ?
— Merci, Noémie.

Chris et Noémie sortent du restaurant universitaire. Alors que j’essaie de me calmer sur un banc, je les vois partir en direction d’un des amphithéâtres. Je décide de les suivre discrètement. Je sens bien qu’il se prépare quelque chose d’anormal.
Alors que je marche dans leur direction, je bouscule un professeur et il fait tomber un livre au sol. On s’accroupit tous les deux pour le ramasser. Je vois bien son regard se porter sur mes cuisses écartées.
— Pardon, monsieur.
— Faites attention la prochaine fois. Et mettez une tenue plus décente ! On voit tout sous votre robe !

Il récupère son livre et je me lève. Je suis rouge de honte. Le professeur continue sa route.
La bousculade interpelle Christophe et Noémie :
— Je crois que tu peux oublier ta pipe, Chris ! C’est trop risqué !
— C’est clair. On se voit quand même ce soir ?
— Oui, mais pas de blague, OK ?
— OK, Noémie. Je vais aller me branler dans ma chambre.
— Bonne branlette, alors !

Christophe prend donc la direction de l’immeuble où il réside et Noémie vient à ma rencontre.
— Ça va, Lina ? Tu es toute rouge !
— Le professeur que j’ai bousculé a vu ma chatte !
— Oh !
— Tu partais où avec Chris ?
— Euh... on ne faisait que marcher, Lina. Il avait besoin de marcher pour encaisser tout ce que je lui ai raconté au sujet de Julie et Patrick.
— Et à propos de ton histoire avec sa mère et Patrick, il est au courant ?
— Non, Lina.
— Je ne sais pas ce qui me retient de lui dire, Noémie !
— Tu vas foutre la merde entre lui et Audrey !
— Pour l’instant, c’est toi qui nous as mis dans cette situation !
— OK, j’ai fait une grosse connerie ! Je m’en excuse.
— Si je te vois traîner un peu trop près d’Audrey ou de Patrick, je raconterai tout à Chris et Julie ! Tu me déçois, Noémie !

Je me rends à mon prochain cours en étant furieuse.
Dans l’après-midi, je croise le professeur que j’ai bousculé un peu plus tôt. Il se saisit de mon bras et il me fait entrer dans une salle vide.
— Tu n’as toujours pas de string, Lina ?
— Toujours pas, Éric.
— Dis-moi que tu as fait exprès de me bousculer tout à l’heure ?
— Pas vraiment.
— Je peux te prendre la chatte comme avant-hier ?
— Oui, mais tu ne gicles pas sur mes seins cette fois-ci ! Je préférerais que tu gicles dans ma bouche.
— Suce-moi, Lina !
— OK, Éric.

Je me mets donc à genoux devant lui et je me saisis de son sexe pour le porter à ma bouche. On est trop occupés pour se rendre compte que nous ne sommes pas seuls dans la salle. Noémie se trouve dans un coin sombre et elle peut tout voir. Elle prend ton téléphone pour tout filmer.

Après avoir fait bien durcir le sexe d’Éric, je me relève. Je m’allonge sur une table. Je pose mes pieds sur ses épaules et il se met à me dévorer la chatte tout en glissant deux doigts dedans. Je ne peux contenir un long gémissement de plaisir. Éric se relève après m’avoir bien excitée et il présente son sexe dur à l’entrée du mien. D’un coup sec, il me pénètre. Je mets ma main devant ma bouche pour atténuer mon cri de plaisir. Il commence à me limer.
— Oh que c’est bon d’être dans toi, Lina ! Tu es tellement serrée ! Mmm montre-moi tes seins !

Je baisse les bretelles de ma robe et il se saisit de mes seins pour les caresser. Il pose ses deux mains dessus et accélère ses coups de reins. Je sens son gland taper au fond de mon vagin. Son sexe est bien plus gros que celui de Christophe.
— J’adore tes petits seins, Lina ! Tu me rappelles ceux de ma voisine ! Oh que c’est bon ! Putaiiin !

Éric se donne à fond. Malgré la brutalité de ses coups de reins, je ressens énormément de plaisir. Je viens caresser mon clitoris pour l’accentuer.
— Oui, caresse-toi, Lina ! Tu m’excites tellement !

Je garde ma main sur ma bouche pour retenir mes cris de bonheur. Une vague de chaleur immense irradie mon bas-ventre. Je sens mon orgasme monter. Je me cambre au moment d’atteindre l'orgasme.
— J’adore quand tu jouis, Lina ! Oh, oui, ça vient ! Aaah.
En sentant mes contractions autour de son sexe, il ne peut s’empêcher de jouir. Alors son sperme inonde mon vagin chaud et humide.
— Je n’ai pas pu me retenir, Lina ! Suce-moi, maintenant !

Éric sort son sexe de ma chatte. Un long filet de sperme s’écoule de ma cavité qu’il vient de remplir. Il présente son sexe devant ma bouche puis je le suce en léchant ses dernières gouttes.
— Tu baises comme une vraie salope et en plus tu suces bien, Lina. Merci !

Il range son sexe dans son pantalon puis prend un mouchoir pour nettoyer le sperme qui s’écoule de ma chatte. Il le jette à la poubelle. Je remonte les bretelles de ma robe et je me remets debout.
— On est d’accord, Éric ! Tu remonteras mes notes au prochain partiel, OK ?
— Oui, Lina. Elles seront encore plus hautes si j’ai une nouvelle chance de te baiser.

Éric sort de la salle. Je me recoiffe rapidement.
— Alors comme ça, mademoiselle Lina se fait baiser par un professeur pour avoir de meilleures notes ! Et c’est moi que tu oses traiter de salope !
— Qu’est ce que tu fais là, Noémie ?
— J’étais venue m’isoler pour pleurer après notre dispute.
— Il est vrai que j’y suis allée vraiment fort tout à l’heure.
— On fait quoi maintenant, Lina ?

Voyant l’état dans lequel est Noémie, je me mets à pleurer. Noémie me prend dans ses bras pour me cajoler avant de poser ses lèvres sur ma joue.
— On fait la paix, Lina ?
— OK, mais à condition que tu ne refasses pas de nouvelles conneries !
— Je te le promets, Lina.

On sort de la salle et on rejoint notre chambre pour se préparer pour notre soirée.

Noémie s’installe dans le salon et elle appelle Patrick afin de clarifier les choses, annonçant qu’elle souhaite mettre fin à sa relation avec lui et Audrey. Elle lui confirme tout de même qu’elle sera présente avec moi.