MESSAGE SURPRISE

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : MESSAGE SURPRISE Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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MESSAGE SURPRISE
Robert Gaillard vérifiait ses messages, dans la boîte de réception de son téléphone, pendant la réunion du comité de direction, tranquillement et silencieusement, mais ce qu'il y a trouvé l’a fait s'étouffer avec son café.

Plusieurs personnes présentes se sont tournées pour regarder dans sa direction. Les dossiers empilés devant lui sur la table de conférence cachaient son téléphone. Dieu merci, il était en bout de table, à l'opposé de l’orateur, et quiconque aurait voulu le regarder devait tourner le dos à l’orateur. Un mouvement très peu recommandé.

Seul au bout de la table, il pouvait baisser les yeux discrètement, sans se faire remarquer.

Il regardait anxieusement l'écran de son téléphone. C'était une vidéo, pas un message texte. C'était flou au début.

Une forme claire qui va et vient, de haut en bas. Quelque chose de nébuleux. Peu à peu, la mise au point éclaircissait les contours sur l'écran, et la silhouette devenait discernable.

L’élément se déplaçait lentement, de haut en bas, et la mise au point de l'image révélait une tête de femme. Une tête de femme filmée par dessus, montrant le sommet du crâne. La femme avait les cheveux clairs avec une raie au milieu. 
Au début, la tête de la femme remplissait tout l'écran. Elle bougeait lentement, ce qui permettait à la caméra de suivre son mouvement. Mais le champ de la caméra s’est agrandi pour augmenter la largeur de la zone filmée, et il était possible de voir un peu plus que le simple gros plan de la tête d'une femme.

Au fur et à mesure que la perspective de la caméra changeait, il était maintenant possible de voir partiellement le visage de la femme, voir son nez, sa bouche ... de voir aussi ses lèvres rouges, ce qu'elles suçaient, et pourquoi sa tête allait et venait lentement ... ou montait et descendait lentement, selon le point de vue ...

Il pouvait en voir suffisamment maintenant pour savoir qu’il s’agissait d’une femme blanche qui suçait un énorme pénis noir. Sa bouche se déplaçait lentement, tout au long de la colonne de chair brune, jusqu’à ressortir totalement, révélant la pleine longueur. La bite du mec noir était fabuleuse, gigantesque, Robert voyait les veines saillantes, le gland circoncis violacé. Difficile de croire qu’une femme puisse avaler la totalité de cette colonne de chair.

La femme a titillé le gland du bout de sa langue pointue puis, lentement, savoureusement, elle est redescendue dessus, gobant toute la longueur, jusqu’à ce que son nez vienne heurter le pubis noir aux poils frisés. Puis, elle a repris son mouvement rythmique de va-et-vient langoureux.

L'éclairage était bon, la distance de la caméra était parfaite, et la netteté des couleurs était à vous couper le souffle. Le sexe noir était incroyable, gigantesque. Il respirait le pouvoir, la puissance. L'image de ce sexe noir était à elle seule impressionnante, mais la vue de la bouche de cette femme blanche absorbant la totalité du monstre était hallucinante.

Robert se tortillait sur sa chaise, mal à l’aise, à l’étroit dans son pantalon.

L'angle de la prise de vue a changé. L'homme noir, qui tenait apparemment la caméra, se pencha en arrière, donnant une vue plus large, lui permettant de voir le visage de la femme, et une partie de la pièce où ils se trouvaient.

La femme c’était ... sa femme. La pièce, c’était son bureau, à la maison. L’homme noir était assis dans son propre fauteuil, dans son bureau. Il se penchait en arrière pour filmer commodément sa femme blanche suçant sa bite. 
Elle glissa de nouveau sa bouche tout le long de la colonne de chair brune, lentement, jusqu’à ressortir complètement. Elle lui sourit, lui dit quelque chose, et une bave mousseuse s’agglutinait aux commissures de ses lèvres. Puis elle redescendit sur lui, plongeant toute la longueur dans sa bouche agrandie par le volume de l’engin. Et elle recommença à le pomper en redoublant d'efforts.

La bite de cet homme noir était largement plus grosse que la sienne. Incroyablement plus grosse et plus grande.

La caméra s'est déplacée, continuant son mouvement de travelling arrière, balayant la pièce, en montrant leur reflet dans le miroir fixé au mur. Il pouvait voir sa femme de dos, agenouillée entre les jambes écartées de son amant noir. Ils étaient tous les deux entièrement nus.

Toujours dans le miroir, il pouvait voir l’amant noir de sa femme assis dans son fauteuil. Il a reconnu l'homme noir. C'était son patron. L’homme noir, c'était son supérieur. Cela expliquait son absence à la réunion du comité directeur, ce matin.
Cela expliquait aussi pourquoi il devait, lui, Robert Gaillard, être absolument présent à cette importante réunion.

Son patron l’avait appelé personnellement, pour lui expliquer qu’il ne pouvait être présent à cette réunion de la plus haute importance stratégique, et qu’il devait le représenter en personne. Il l’avait assuré de son entière confiance, sachant que son directeur blanc saurait le substituer parfaitement.


Maintenant, il comprenait pourquoi son patron noir était absent. Il était chez lui, avec sa femme qui lui suçait la bite.

Mais pourquoi cette vidéo avait-elle été envoyée sur son téléphone ? Était-ce une provocation délibérée, ou était-ce une erreur ? Une fausse manœuvre, ou une erreur de destinataire, peut-être ?

La caméra se recentra sur le visage de sa femme qui suçait la bite de son amant noir de façon plus énergique. 
Soudain, son patron a éjaculé. Il pouvait le voir. Sa femme s'arrêta au milieu de son mouvement, les yeux mi-clos. Il en était certain, sa façon de le tenir dans sa bouche, sa bite qui pulsait son foutre dans sa bouche, et la main qui tenait la caméra tremblait légèrement.

Elle se recula, ouvrant la bouche, révélant une énorme quantité de crème blanche sur sa langue. Puis elle ferma la bouche, déglutit et rouvrit la bouche. Sa cargaison blanche avait disparu dans la gorge de sa femme.

La vidéo s'est arrêtée. Il a regardé l'heure. Il avait reçu ce message dans sa boîte il y a plus d'une heure.

Un froid glacial l’envahi, accompagné par un sentiment de désespoir et de défaite. Il ne pourrait jamais rivaliser. Il en était conscient. Sa femme était une femme sensuelle, passionnée. Ce qu’il venait de voir, cette attitude de soumission volontaire, d’une femme amoureuse de l’homme qu’elle suce, et son regard empli d’adoration.

C’était foutu, et les jours de leur mariage étaient comptés. Pas étonnant qu'elle ait refusé et résisté à son désir d’enfant. Elle voulait se faire engrosser par son amant noir. Celui qu'elle suçait pendant l’absence de son mari, dans sa maison. C'était évident. Pas besoin de mots pour lui expliquer. Il avait vu son regard enamouré sur son amant noir. Il était fondamentalement incapable de rivaliser avec l’attrait qu’exerçait son patron noir sur sa femme. 
Cette vidéo avait-elle été enregistrée ce matin ? Si oui, qu'avaient-ils fait pendant l'heure écoulée ? Étaient-ils encore au lit ? Était-elle déjà enceinte ... enceinte de son bâtard métis ?

Il baissait la tête, envahi par une rage impuissante. Que pouvait-il faire ? S’il rentrait chez lui maintenant, il lui faudrait au moins une heure de trajet, sans compter les ralentissements.

Son patron noir serait-il toujours là quand il arriverait chez lui ? Au lit, avec sa femme ? En train de la baiser, encore et encore ? Ou s’étaient-ils enfuis ensemble, laissant la maison vide ?

Ou allait-il apparaître ici brusquement, en pleine réunion, s’excusant à peine pour son retard ? Faisant comme si tout était normal, lui imposant d’un regard son autorité et sa puissance. Exigeant sa soumission.

Cette vidéo a-t-elle été envoyée par inadvertance, ou intentionnellement, pour se moquer de lui, pour l’humilier, pour le rabaisser et lui révéler son impuissance ?

Il a regardé de nouveau sa montre. Rentrer chez lui, plus de deux heures après les faits ? Qu'est-ce que cela voudrait dire? Avait-il encore un chez soi ?

Voici le début d’une histoire. Voyons si elle peut intéresser les auteurs, et si quelqu’un relèvera le défit d’écrire une suite.

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