Monica...Monica ! Quant ta culotte me tient...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Monica...Monica ! Quant ta culotte me tient... Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Monica...Monica ! Quant ta culotte me tient...
En cette fin d’après-midi, je me trouve parmi de nombreux collègues dans la salle de réunion pour le départ à la retraite de Jeannot. Un pot est installé. Une quête a fourni l’argent nécessaire pour acheter un magnétoscope au nouveau retraité. Jeannot se montre très ému, quand le directeur du service prononce son discours. Suite à cela le buffet fut pris d’assaut par les convives.
Je profite de l’instant pour me sauver. Mais je suis pris par la patrouille alors que j’allais franchir la porte d’entrée.
-Alain ! Lâche le sous-directeur. Cela vous ennuierez de déposer ma femme chez nous.
-Pas le moins du monde, Monsieur.
Son épouse Monica, la quarantaine passée est d'origine Italienne. Un visage large, pommette relevée, des yeux de biche marron foncé, une bouche épaisse sur des dents blanches. Elle est mère de deux grandes filles. Ce qui m'a plu chez elle, hormis ses formes généreuses, c’est sa voix grave et le fait aussi, qu'elle ne parle pas correctement le français. Bien coiffée, légèrement maquillée, vêtue de tailleur, aux pieds des escarpins à talons qui ont vécu, des collants des plus banales gainées ses jambes.
Me voilà donc à bord de ma BX en compagnie de Monica assise sur le siège passager, sur la route la menant jusque chez elle.
-Cela t’ennuie que je retire les chaussures. Me fit-elle, Je ne sais pourquoi mais aujourd’hui elles me font mal !
Dès notre première rencontre elle m’a tutoyé.
-Ne vous privez pas pour moi !
-Merci ! Lâche-t-elle en se les retirant.
Dès-lors, la vue de ses pieds gainés me fascine. Au point d’avoir du mal à me concentrer sur la route. Je suis pris d’une envie folle de les renifler, de les embrasser, de les lécher, mais aussi de les prendre en bouche, comme une bonne partie d’elle, d’ailleurs.
Mais je reste sur ma faim après avoir déposé Monica devant la porte de sa maison. Et tout en roulant je me mets à penser à elle. M’imaginant sans mal, qu’avec le mari con qu’elle a, elle doit sans aucun doute, se donner du plaisir en se masturbant comme une malade. Cette idée m’émoustille.
Deux jours plus tard, je suis surpris en sortant du boulot de voir Monica appuyée contre ma BX. Me voyant, un sourire se dessine sur ses lèvres.
-Bonjour Alain. Cela t’ennuie de me ramener à la maison ? Me lance-t-elle.
-Pas le moins du monde ! Installez-vous.
-Merci Alain c’est très gentil de votre part !
-Je vous en prie.
Et me voilà donc, pour la seconde fois dans la même semaine en train de ramener la femme du sous-directeur chez elle. Que va penser le voisinage ?
A la différence de la première fois, ce jour-là je n’ai pas eu l’agréable chance de pouvoir mater ses pieds. Il ne m’en faut pas plus pour me mettre à déraisonner. A un tel point, qu’il me faut trouver un endroit paisible pour satisfaire mon besoin de foutre. Une fois sur place, au milieu de nulle part, je ferme les yeux pour mieux me concentrer. Et aussitôt, les images de Monica inventés, se mettent à défiler dans mon subconscient. Toutes sortes d’images obscènes qui décuplent très vite mes sensations. Et peu à peu cela éveille en moi une pensée furtive. De savoir que cette gentille Monica me fait due rentre dedans ?
Oui, j’en suis alors certain. Putain que c’est bon d’être l’objet d’une femme qui se sert de vous sans scrupules, sans tabou, sans question inutile, pour arrivée à ses fins.
Après une nuit pas des plus reposantes. A cause de trop de réflexion, je me pointe au boulot, avec une envie folle d’être plus vieux de quelques heures. Le stress ainsi que l’adrénaline amplifient les palpitations qui agitent mon sexe impatient de savoir si Monica sera là, ou non à ma sortie.
La journée terminée, tremblant comme lors de mon premier rendez-vous amoureux, je presse le pas pour rejoindre le parking. Et là bingo, Monica, est fidèle au rendez-vous, m’observant durant un instant qui me parut une éternité. Je me sens alors comme soupesé. Il n’y a plus aucun doute dans ma tête, la coquine cherche une relation.
-Et oui, encore moi ! Me fit-elle. Tu vas commencer par te poser tes questions.
Elle ne croit pas si bien dire ! Mais ça je le garde pour moi.
Son regard capture le mien pour ne plus le lâcher, jusqu’à ce que je démarre le moteur et embraye pour quitter le parking. La discussion entre nous se fait alors plus amicale que les fois précédentes. Là encore, et pour mon plus grand regret, elle garde ses escarpins aux pieds. Je stoppe devant sa porte. Elle m’est un certain temps avant de se décider à quitter son siège. Comme si elle attend quelque chose. Alors j’ose, oui de lui demander l’impensable.
-Dîtes Monica ?
-Oui ! Fit-elle tournant sa tête pour me fixer.
-J’aurai une petite requête à vous demander, mais je ne sais pas si vous allez bien le prendre.
-Dit toujours.
-Vous êtes sûr que vous voulez l’entendre.
-Je t’écoute.
-Eh bien vous l’aurez voulu. Voilà cela vous ennuierez de me donner la culotte que vous portez ?
Elle hausse un sourcil pointilleux en me fixant. L’air d’une maîtresse d’école devant un élève récalcitrant. Elle garde le silence, accusant sans doute le coup. Cramoisie, elle baisse les paupières, évite mon regard narquois. Elle ouvre sa portière, puis elle hausse les épaules avant de mettre escarpins sur le trottoir. Elle claque la portière et s’éloigne sans même prendre la peine de se retourner.
Pour ma part je bande derrière mon volant. Pas mécontent de ma requête. Même si, cela allez m’attirer par la suite des ennuis. A savoir, si elle a l’intention de tout dévoiler à son con d’époux, celui même qui n’est qu’autre, je vous le rappelle mon sous-directeur. Fini mon avancement !
Mais par expérience, je sais très bien que ce genre de femme garde cela dans son jardin secret. Pas mécontente de plaire encore à son âge, surtout à des jeunots.
Le lendemain pas de Monica sur le parking. Je pense l’avoir intimidée avec ma demande farfelue. Elle aurait peut-être espéré mieux de ma part, qu’une seule demande de culotte portée. Il me faut attendre une dizaine de jours pour de nouveau avoir de nouvelle de Monica.
-Tu m'emmènes ? Laisse-t-elle tomber, comme si on c’était quitté la veille en bon therme.
-Avec plaisir !
Le trajet se fait normalement, tout en parlote, mais jamais, mais alors jamais elle revient sur le sujet de la brouille, hormis une fois arrêtée devant chez elle, où elle lâche :
-Et pourquoi ?
-Et pourquoi quoi ?
-Eh bien ce que tu voulais que je te donne l’autre jour.
-Un truc sexuel, quoi.
Elle a, comme un drôle de sourire aux lèvres. Elle s’efforce, tout de même, de ne pas montrer la curiosité qui s’éveille en elle, et laisse tomber un:
-Tu la veux toujours, laisse-t-elle tomber, avec ensuite un rire dépité.
-Plus que jamais.
-Eh bien attend-moi. Fit-elle avant de sortir de l’habitacle.
Elle m’apparaît quelques instants plus tard à la fenêtre de sa cuisine. Elle tient quelque chose de blanc dans sa main droite, qu’elle agite dans ma direction comme pour capturer mon attention. J’ai le sang qui se glace dans mes veines, en devinant ce qu’elle m’exhibe. Je crois même être dans un rêve tant que c’est irréel ce que mes yeux voient.
Sans attendre, je sors de la voiture et court jusqu’à Monica. Tout en me cédant son sous-vêtement, elle a un rire plein d’indulgence. Je file, avec le précieux sésame dans ma main, jusqu’à ma voiture. Je n’attends même pas d’être dans un endroit tranquille pour m’intéresser à la culotte blanche. Son entrejambe est encore mouillé. Là-bas, Monica a refermé sa fenêtre. J’en profite pour faire coulisser l’objet sous mon nez, d’un geste qui trahit une habitude, avant de lâcher pour moi-même, un, “Putain ça pue bien la moule”. La cochonne a été généreuse avec moi ! Quelle odeur de chatte, mais de cul aussi, putain, il faut que j’arrête de la sentir sinon je vais juter dans mon froc.
Trois jours passent sans que je n’aie de nouvelle de Monica. Au quatrième, je prends un coup de fil du sous-directeur, son époux qui m’invite au plus vite de passer à son bureau. Tout en me rendant dans le bureau, je me formalise à savoir le but de cette convocation. Monica a-t-elle vendu la mèche ?
Je ne vais pas attendre encore longtemps pour le savoir. Ce n’est pas en toute quiétude que je toque à la porte. Une voix familière m’invite à entrer. Je pousse la porte et là je vois Monica assise sur le siège visiteur, et face à elle son mari, tout sourire aux lèvres. Il ne m’en faut pas plus pour me réconforter. Elle n’a alors rien dit.
-Elle a assisté pour que vous la ramener à la maison. Lâche le mari. Je me demande s’il n’y a pas quelque chose entre vous ?
-Monsieur !
-Je plaisante Alain, j’ai parfaitement confiance en vous. C’est bien pour cela que je vous confis mon épouse.
-Merci Monsieur.
Monica se garde bien de dire quelque chose. Se contentant de sourire bêtement. Et nous voilà de nouveau dans la BX. Après seulement quelques tours de roues Monica lâche :
-S’il savait le bougre !
-Savoir quoi ? Il ne s’est rien passer entre nous à ce que je sache.
-Bien sûr, mais demander la culotte de son épouse est loin d’être commun ! Tu ne crois pas ?
-Je n’irais pas jusqu’ là !
-Ah oui, si on venait de demander la culotte de ta femme tu ne dirais rien ?
-Rien… je pense même que je serais très comblé par la demande !
J’arrête la voiture devant sa porte, et attends, comme elle attend elle aussi.
-Vous êtes arrivée Monica !
-Je le sais bien Alain, je ne suis pas encore grabataire !
Elle laisse quelques secondes avant de laisser tomber :
-Tu ne me demandes rien pour ton service, aujourd’hui ?
-J’ai peur de passer pour un pervers ?
-Ah oui, et je peux savoir pourquoi je penserai ça ? Tu sais, ajoute-t-elle, de toi à moi, je prends goût à ce petit jeu.
-C’est pour ça que pendant trois jours je n’ai rien eu ?
-Je réfléchissais !
-Ah oui, et cela serait indiscret de savoir à quoi ?
-A savoir qu’elle attitude tenir lors de notre prochaine rencontre.
-Et vous avez trouvé ?
-Bien sûr !
-Et alors ?
-Veux-tu ma culotte ?
Avant que je réponde, elle ajoute :
-Si oui, je veux que tu la prennes toi-même.
-Ici ?
-Ici, oui, cela pose problème ?
-C’est que nous sommes dans votre quartier. Vos voisins pourraient…
-Cela m’est bien égal, me coupe-t-elle. Tu ne peux pas savoir ce que je ressens ses derniers jours avec toi.
Je prends alors l’initiative de poser ma main au-dessus du genou le plus près de moi. Sa chair est chaude et élastique dont la douceur me donne des tremblements dans les doigts. Je soulève l’ourlet de sa jupe, assez haut pour apercevoir sa culotte, de couleur rose, qui moule le bas-ventre et dessine à la perfection le sillon du sexe au niveau duquel une large tache humide s’élargit. Elle affiche un air rêveur. Elle respire plus vite et le spectacle de ses seins qui se soulèvent sous son chemisier sous sa veste grande ouverte, m’attire autant que la vue de sa culotte. Elle écarte un peu plus les genoux et se cambre, en disant d’une voix rauque.
- Alors ! Qu’attends-tu pour te servir ?
La salope ! Je suis dans un état pas possible. Je rêve que d’une chose sur l’instant, de la baiser comme une chiennasse cette Monica. Mais je ne me sens pas capable de lui dire, le lui proposer. Peur sans doute de sa réponse. Alors je me satisfais de seulement lui extorquer la culotte. En prenant tout le temps qu’il me faut pour me rincer l’œil. Avec un petit sourire en coin, Monica lâche :
-Alain avant de partir, saurais-tu me raconter ce que tu fais avec mes culottes?
Au risque de me faire bander, je vais à confesse, et lui dévoile tout, absolument tout. C’est après cela qu’elle se décide à quitter son siège de passagère.
Quelques minutes plus tard, toujours dans ma voiture, et après avoir trouvé un endroit tranquille, je porte la culotte fraichement détourné, sous mon nez et le hume, les yeux fermés. Et ce que la petite lingerie m’offre est proche de l’extase. Le devant sent la moule à fond. Et plus bas, elle fleure bon le trou du cul. Je me branle en la reniflant à plein poumons. Et je prends là, un pied d’enfer. Cette Monica grâce à sa petite lingerie portée, a fait de moi, l’homme le plus heureux du monde.
J’enroule le sous-vêtement autour de ma bite et après quelques mouvements de branle, j’envoie la purée dedans.
Pourvoir craché dans la culotte de Monica, qui plus est, la femme du sous-directeur, c’est trop bon !
Le lendemain Monica est de nouveau au rendez-vous, toujours dans la même position, appuyé contre ma voiture attendant mon arrivée. Et nous voilà de nouveau sur le chemin la menant jusque chez elle. Comme la veille elle a insisté pour tout savoir. Que je me fais un plaisir à dévoiler. Au contraire des autres jours, je prends l’initiative de stopper ma BX un peu plus haut. Là, où personne ne peut nous voir. Là, je transgresse la morale en me jetant aux pieds de cette femme scandaleuse. Empruntant la voie qu’un garçon de bonne famille ne doit surtout pas suivre. Je m’autorise à retrousser la jupe qu’elle porte. Je ne rêve pas, il y a une belle auréole d’humidité sur le devant du nylon rose ! La sournoise mouille. Cela me fait tout drôle, j’en oublie toute prudence, et approche ma bouche de sa fourche, mais ce n’est sans compter sur elle, Monica me repousse.
-Non… non, Alain je t’en supplie, il ne faut pas!
-Mais, mais je croyais que…
-Je me dois de rester fidèle à mon époux!
-Je veux juste vous donnez du plaisir avec ma bouche.
-Je sais bien, mais je ne sais pas si c’est bien.
-Je ne vous comprends pas là!
-Donne-moi un peu de temps pour réfléchir! Fit-elle, en ouvrant la portière. Tu veux ma culotte?
-Oui, ce serait avec plaisir!
Elle fait disparaître ses mains sous sa jupe. Gesticule, et quand ses mains m’apparaissent s’est en tirant vers le long de ses jambes, de ses mollets et de ses escarpins, la culotte en nylon rose. Elle me la tend, et je m’en saisis. Avant de fermer sa portière après avoir mis pied à terre, elle me lance.
-Je compte sur tout pour tout me dire. Amuses-toi bien!
Et elle s’éloigne, en direction de la porte de chez elle. Incapable de me retenir, je porte alors la petite lingerie sous mon nez et c’est le déclic. Je ne sais ce qui me prend, et prenant mon courage à deux mains. Et aidé surtout d’une formidable érection, je sors de ma voiture avec la ferme intention de me rendre chez la cochonne. Qu’est-ce que je risque ? Pas grand-chose. Au pire une semaine de renvoie, au mieux un manifeste d’intérêt pour sa personne, ma candide Monica.
La porte d’entrée n’est pas fermée à clef. Je m’avance dans un long couloir nu. Je passe devant des portes ouvertes, et je suis surpris parce que je vois. Le décor n’est en rien, en rapport avec l’image que j’ai du couple. Est-ce lui qui l’a aménagé ? Il est rempli de couleurs froides, avec des tapis et du mobilier vintage et mais aussi avec des tonnes de livres et de revues partout. Je trouve Monica dans le salon.
-Qu’est-ce que tu veux ? Me fit-elle en me voyant.
-A votre avis ! Fis-je en la poussant jusqu’au divan.
-Mais tu es fou !
-Oui, peut-être, mais à cause de qui ?
-Sors d’ici immédiatement.
Mais il m’est difficile dans l’état où je me trouve d’être sage.
-Pas avant d’avoir eu ce que je veux.
-Et tu veux quoi ?
-Votre chatte.
-ça c’est moi qui décide.
-Et s’il me venait d’aller voir votre mari, et de tout lui dire.
-Lui dire quoi, puisqu’il ne sait rien passé entre nous.
-Et si je lui montre vos culottes.
-Tu ne feras pas !
-On fait le pari !
Je profite de ce qu’elle soit plongée dans sa réflexion pour poser mon cul sur le divan et l’invite à grimper ses deux pieds nus en appuie sur les coussins.
-Et pourquoi je ferais cela ? Me lâche-t-elle.
-Comme ça, pour la simple beauté de la vue ! Mais surtout, pour profiter encore du privilège qu’offre votre mari.
Il n’en faut pas plus pour être domptée, et alors s’exécuter. Lorsqu’elle prend position, je me glisse lentement directement sous sa jupe afin d’y voir sa chatte. Je me délecte de cette vision en notant au passage qu’elle respire de plus en plus rapidement. Je change de position, afin de pouvoir regarder son magnifique cul.
Je ne pense pas prendre grand risque en lui avouant que son odeur me fait plus que bander. Je lui demande ensuite si je peux en voir un peu plus et en guise de réponse, elle se penche un peu vers l’avant, ses mains en appui sur le haut du dossier du divan. Très lentement, je lui enlève sa jupe pour regarder ce cul et son mont de vénus. Une tache de mouille s’est formée sur ses lèvres intimes, on aurait dit qu’elle avait pissé.
-Alors ? Me fit-elle. Ça te plaît.
-Pas qu’un peu.
-Tu me donnes quelle note.
-Je ne sais pas !
-Et là ? Lâche-t-elle, en se passant la main entre ses cuisses, et par la suite m’offrir le spectacle d’une masturbation avec un déhanchement lascif du bassin. Je suis aux anges.
Ne pouvant plus me retenir, je sors ma queue de mon pantalon et me mets à me branler furieusement en regardant ce spectacle qui se déroule à quelques centimètres de mon visage. Constatant mes manœuvres, elle se penche un peu plus, assez pour me bloquer là ma main qui me branle.
-Garde tes forces pour plus tard garnement !
Elle tend le majeur d’une manière obscène et l’introduit dans la fente. Elle le fait aller et venir plusieurs fois jusqu’à ce qu’il s’enfonce au plus profond.
- Regarde comme elle mouille bien ma chatte.
Elle retire son doigt et me le passe sous le nez. Je sens la meilleure odeur que la vie puisse me donner. Je regarde Monica dans les yeux. Elle rougit plus encore et détourne le regard. Cette fois, c’est moi qui introduis mon doigt dans sa fente moite. Elle gémit. Je lape toute la surface des nymphes et ma langue rentre complètement dans le con de Monica. Je la frétille un moment avec un bruit de succion. Monica se mord les lèvres pour ne pas s’abandonner sous mon regard mais c’est peine perdue.
J’ai l’impression que chaque gémissement de Monica m’atteint au bas-ventre. Il lui enfonce ma langue dans le vagin, je l’entends gémir de bonheur. Je sursaute en entendant la voix rauque de la femme.
- Oui… oh oui, oui… encore… continue…
Je plaque ma bouche contre sa chatte et suce jusqu’à me faire mal aux lèvres. Elle roucoule, perverse dans l’abandon.
- Oui chéri j’aime que tu me manges le cul. Oui continu tes ravages.
Je sens que la folie est chez elle au rendez-vous. Alors que je suis pour ma part en transe.
- Une vraie salope ! T’aime ça. Je suis sûre que c’est une première pour toi. Bouffe-moi oui plus fort. Je vais jouir…
Depuis cet épisode, on était comme deux chiens en chaleur qui avaient plus ou moins ritualisé leurs relations. Dès qu’on se trouvait seuls, elle retroussait sa jupette et je la suçais fébrilement jusqu’à la mène à l’orgasme.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
jolie histoire de culotte, merci



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