Monique se révèle 2 - De l'amitié à la confidence

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Monique se révèle 2 - De l'amitié à la confidence Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Monique se révèle 2 - De l'amitié à la confidence
Monique, la mère de John, avance à petits pas sur le chemin du dévergondage : aimer n'est plus pécher, le nu est beau, le sexe n'est plus tabou.
Si Nadine, "l'Audacieuse", lui fait découvrir les plaisirs de l'amour au féminin, c'est elle,"la Timide", qui fixe le tempo.

...ooOoo...

Pendant le mois qui a suivi l'après-midi à la piscine, je me suis contentée d'accompagner Monique, en promenade, dans les boutiques ou les expositions.

Dans les parcs et jardins nous cherchions des coins tranquilles pour nous asseoir et parler. A l'abri des regards nous échangions de tendres baisers dans le cou ou sur les lèvres. Elle était intriguée par mon passé, ma vie de couple, ma sexualité. Je m'amusais à l'émoustiller en lui racontant certaines anecdotes coquines. Notre complicité se renforçait de jour en jour , j'avais l'impression que ses sentiments amicaux devenaient presque amoureux.

Ce jeudi nous devions nous rencontrer au parc Monceau mais la pluie était annoncée alors je lui ai proposé de venir prendre le café à la maison et de décider sur le moment.

Lorsqu'on sonne à la maison il pleut comme "vache-qui-pisse". C'est Monique, elle arrive ruisselante, malgré la proximité de la station de métro :
— Ma pauvre Chérie, entre vite, tu es toute trempée, quitte ton imper... Donne, je m'en occupe.

L'impatience l'emporte, l'habit tombe au sol et nous dans les bras de l'autre. Nous nous étreignons et nos lèvres se joignent en un baiser intense. Le premier émoi des retrouvailles passé, nous reprenons notre respiration en éclatant de rire :
— Oh là, là, même ta jupe est mouillée, viens, tu vas passer un peignoir et on va faire sécher tout ça !

Je la conduis au fond de l'appartement dans la salle de bains
— Quitte-moi ta blouse aussi et enfile-moi ce peignoir.

Juste avec sa culotte de coton et son soutif de satin rose, elle s'habille du peignoir. Je lui frictionne le dos pour la réchauffer. Après un bisou du bout des lèvres je la prends par la taille et nous retournons dans le séjour. Il donne directement sur le parc, la pluie s'est calmée, la fenêtre grande ouverte on entend les oiseaux et les cris des enfants.

— Assieds-toi, je vais nous faire un café.

Je la retrouve souriante, enfoncée dans un coin du canapé serrant sur elle le peignoir. Je m'assieds tout contre elle, elle se pelotonne comme un enfant dans mon bras, sa tête sur mon épaule. « Je suis bien avec toi ! »
Nous parlons tranquillement de la pluie, de la famille, des enfants... Je profite qu'un pan du peignoir s'ouvre pour poser ma main sur son genou nu en même temps que j'engage la conversation sur notre dernier après-midi à la piscine.

— Tu sais Nadine, tu me conduis dans un monde interdit, un monde de perdition, un monde de damnation... J'ai peur mais je ne me sens pas capable de résister.
— Mais non ! Ma Chérie, que je rétorque en douceur tout en la serrant un peu plus contre moi. Je te conduis dans un monde d'amour, un monde de partage, un monde d'exaltation. Laisse-moi te guider. Je te l'ai dit, le sexe est le centre du monde, notre raison d'être est le maintien de notre lignée, le sexe est source de vie et de bonheur.
— Oui... Et source de plaisir... de péché.
— Mais NON ! que je m'exclame. Être heureuse n'est pas pécher, la vie est belle en se faisant du bien, pas du mal, on parle bien de jouir de la vie !
— Tu me parles d'un truc que je ne connais pas. Je ne sais pas ce qu'est jouir !
— QUOI !!! Olivier ne t'a jamais fait jouir ?
— Je ne sais pas.... Je ne crois pas.
— Tu ne crois pas !!! Tu ne sais pas ce qu'est jouir ?... Sidérée de la nouvelle, je la fixe droit dans les yeux. Je vais te faire découvrir le plaisir, te faire découvrir la jouissance. Je vais te transformer encore. Tu es devenue belle, très belle, je vais te rendre séduisante, sexy, très sexy.
— Tu veux faire de moi UNE PUTE ??? crie-t-elle énervée.
— Mais Nooon ma Chérie ! Je veux simplement te rendre heureuse, te rendre désirable... Comme je te désire ! N'aimes-tu pas mes baisers ? Mes caresses ?
— Si bien sûr....Mais entre femmes... ce n'est pas bien, c'est interdit, gémit-elle en se serrant contre moi, sa figure plongée dans ma chevelure
— Balivernes ! Tout ça ma chérie. L'amour n'a pas de limites, entre hommes, entre femmes, en couple... Oublie tes préjugés, et découvre la jouissance avec moi... Entre femmes.

Nous restons enlacées un moment sur le canapé, silencieuses, peu à peu elle se calme. Nous nous observons avec sérieux, elle apeurée, moi confiante, elle en négligé, moi en robe. Mon doigt dessine des arabesques sur son genou, un timide sourire apparaît sur ses lèvres, ma main remonte sur la cuisse, le peignoir s'ouvre jusqu'à la jonction des jambes protégée d'un coton côtelé. Elle se laisse faire, ma main glisse entre ses cuisses qui s'ouvrent lentement et m'invitent à avancer. Le pouce relevé, mes quatre doigts se plaquent sur l'entrejambe.

Sa respiration s'accélère, devient haletante, fixe le rythme à mes doigts qui en saccade excitent son sexe cachée sous le tissus. Le loup sait que l'agneau s'abandonne. Sans précipitation, je défais la ceinture du peignoir, écarte les côtés, dégage le sein du tissus. Je l'embrasse délicatement avant de le téter en douceur, de le réveiller. Ma main continue d'exciter les chairs intimes, le coton s'humidifie.

Dans le canapé Monique s'abandonne, totalement inerte, la tête en arrière, les yeux mi-clos, les bras allongés contre elle, les cuisses entrouvertes au repos.

Sans cesser de la bécoter, je déboutonne ma robe d'une main. Elle presse ma tête contre sa poitrine, mon suçon s'intensifie, son téton grossit, s'allonge. Je la couvre de bisous et lentement change de position pour m'asseoir à califourchon sur ses cuisses. Nos positions font que ma poitrine est à hauteur de son visage. A deux mains je lui prends l'arrière de la tête et plaque sa bouche sur mon sein nu.

Il y a 6 mois, jamais la "Grenouille de bénitier" n'aurait imaginé en arriver à ce point d'abandon.

Sans difficulté, comme un bébé elle me tète, pas très bien :
— Tète plus fort ma chérie, aspire mieux... Oui comme ça... Mords-le... Plus fort, n'ait pas peur !

La coquine apprend vite, s'attaque à l'autre mamelon en gardant en main le premier qu'avec deux doigts elle triture.

— Hummmm ! C'est bon, viens ma chérie dans la chambre.

Avec un petit sourire je lui retire son peignoir tout en nous levant. Nous traversons calmement le couloir à moitié nues pour rejoindre ma pièce. Je la tiens serrée contre moi par l'épaule, elle me regarde les yeux dans le vague, elle se laisse conduire, sans précipitation, je la mène vers la couche. J'abandonne ma robe et reste en string et soutif. Assises au bord du lit, on ne cesse de se biser du bout des lèvres. Mais elle se fait lourde dans mon bras et tout naturellement nous partons en arrière, elle sur le dos, moi penchée sur elle. On se sourit, on s'embrasse alors à pleine bouche, un vrai baiser d'amour, ses yeux se ferment, son bras repose sur mon dos, sa respirations s'accélère.

Je dégrafe avec son aide son soutien-gorge et dégage sa poitrine en le remontant au cou. Ses seins s'étalent à peine sur les côtés. Après un bisou sur chaque pointe rosée, j'aspire ses tétons. Je palpe, pétris les deux beaux fruits, je lèche, titille, suce à nouveau, les mamelons grossissent, alors j'ose tirer la pointe, la pincer, tortiller la chair... lui faire mal, la faire geindre.

Monique paisible jusqu'à maintenant, se transforme, le visage se crispe, après une longue inspiration bruyante la respiration se bloque. J'embrasse longuement la chair endolorie, elle me regarde toujours silencieuse, me sourit. Je me décide à faire le pas décisif.

— Mets-toi mieux que ça au milieu de lit.

Elle rampe, pose ses pieds, se pousse, s'allonge en retirant son soutien-gorge devenu gênant. Je ne la quitte plus du regard, je l'hypnotise. A califourchon au dessus de ses genoux, à deux mains j'abaisse la culotte de coton. Comme une biche aux abois, elle accepte l'inévitable, soulève les reins et laisse filer la protection sur ses cuisses. Je découvre son ventre plat, son buisson blond cendré, je les caresse avec une infinie douceur, me penche, embrasse le nombril, le titille de la pointe de la langue puis descends en ligne droite sur le buisson. Il est naturel, une forêt dense, épaisse, odorante. Ma langue ouvre le chemin dans la broussaille, comme un socle de charrue dans les labours, et atteint la chair secrète, sensible, délicate. Mes doigts écartent la canopée de poils clairs, découvrent le lieu mystérieux, une crête de chair rose, fragile.

D'un baiser je demande la permission, suivi d'un autre plus mouillé. Ma langue glisse sur la crête, s'infiltre, pénètre la faille, fouille, trouve le clito bien protégé... Je le suçote, tente de le décapuchonner. Le sexe coule, les jambes s'agitent sous mes fesses. Elle se débarrasse de sa culotte, ses cuisses pivotent sur les côtés, s'écartent, le bassin vient à ma rencontre, le fruit s'ouvre, libère son élixir à la saveur salée, légèrement acre.

Ma langue s'enfonce aussi loin que possible, ma bouche le suce avec plus de force, revient sur le clitoris, insiste sans vraiment dégager le bouton, j'écarte les chairs, j'ai l'impression de le déflorer. Monique s'agite, respire fort, à deux mains elle veut me contrôler mais plus rien ne m'arrête, je pince le clito entre mes dents, deux doigts plongent dans le vagin, trouvent, excitent le point G. Enfin elle se libère totalement, sa respiration s'accélère, ses miaulements étouffés deviennent gémissements, râles... elle crie :

— ARRÊTE ! ARRÊTE !... puis reprenant sa respiration, bien après elle ajoute, jamais, jamais je n'ai connu ça !
— ...Tu viens de jouir ma chérie ! Touche comme tu es trempée. Sa main se colle à la mienne
— Que c'était bon, que c'était fort.


Je n'arrive pas à y croire... C'est bien vrai, je viens de lui faire découvrir la jouissance, son clito, son point G. Je m'allonge sur le dos à côté d'elle, lui prends la main et la pose sur mon sexe épilé alors que je retrouve sa toison trempée de salive et de cyprine.
Pour Monique, ma nudité crue est une autre révélation. D'abord immobile, son doigt découvre ma fente, glisse entre mes lèvres, frôle mon vagin, le pénètre à peine remonte sur le clito, rencontre le bourgeon qui se décapuchonne au moindre touché, revient sur le vagin s'y enfonce, elle apprend vite. Son doigt s'agite sur ma vulve à l'exemple du mien sur la mienne, je l'encourage « Hummm... Oui c'est bon comme ça, continue » Elle s'agite à nouveau, son bassin accompagne ma branlette. Sa main s'habitue à ma peau lisse :

— Tu te rases ?
— Je m'épile... Tu n'aimes pas ?
— C'est tout drôle, ça fait petite fille !
— C'est vrai, les hommes aiment bien, je me sens toute nue et j'aime ça ! L'avantage de ta fourrure est de garder les odeurs. Certains disent que ça pue, moi je trouve que c'est au contraire excitant ces effluves. Ton odeur est très délicate mais ce soir ton mari va la trouver plus sauvage...
— Ce soir mon mari ne va rien chercher, ne va rien trouver... Pas plus qu'hier ou les autres soirs !
— Vous ne faites pas l'amour ?
— Rarement, une ou deux fois par mois. Ça ne m'intéresse pas plus que lui... Olivier préfère sortir avec ses copains comme il dit
— Oh mon dieu !!!... Ce n'est pas possible, je comprends ta frustration.

Je viens sur elle entre ses jambes. Face à elle, nos corps glissent l'un sur l'autre, je m'amuse à balayer sa poitrine de mes seins, à sentir ses poils sur mon pubis, mes genoux entre ses cuisses les écartent je tente de mette nos clitos en contact, on s'excite l'une l'autre mais pour aujourd'hui je préfère calmer le jeu.

— Tu sais Monique, un joli gazon comme le tien, il faut l'entretenir sinon ça fait négligé.
— C'est à dire ?
— Couper les herbes folles sur les côtés, le tailler... Tu veux que je sois ton jardinier ?
— Si tu veux !

Décomplexée elle s'abandonne à mes ciseaux et mon rasoir. En même temps je repensais aux dires de John : « Ma mère est une grenouille de bénitier » et au sien « Olivier préfère les garçons et se faire fouetter ». J'en conclue que c'est vraiment une pauvre fille, une mal baisée, tout sauf frigide. Après son éducation à la con aujourd'hui elle a un connard de mari, elle n'a pas de vie sexuelle. En fait c'est une sorte de femme "vierge" qui ne connaît rien de l'amour et qui s'abandonne avec prudence.

Quand je pense, il y a six mois, on se vouvoyait, on se faisait la bise sur la joue et aujourd'hui je l'ai dans mon lit ! Après une demie-heure de soin, comme chez le coiffeur à l'aide d'une glace je fais voir le résultat, peut-être que c'est la première fois qu'elle va regarder son sexe, il est magnifique, sous un triangle de poils dorés bien ordonnés apparaît une crête rose. Admirative Monique demande en riant :

— Je ne mettais jamais vue, C'est ce qu'on appelle sexy ?
— Oui ma chérie, que je réponds en souriant.

J'embrasse longuement son ventre en pensant aux prochaines fois. On reste un moment ainsi, moi la tête sur son ventre à respirer sa fragrance, elle me massant le cuir chevelu. Après un bon moment on se sépare et on se rhabille. Je me moque d'elle quand je la vois remettre sa culotte de coton
— Par contre ça ma chérie, ce n'est pas très sexy ! La prochaine fois nous irons faire quelques achats.

On se quitte après un tendre baiser. Peu après Yanis arrive à la maison, il a probablement rencontré Monique dans l'escalier.

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