Monsieur, et Madame !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2024 dans la catégorie A dormir debout
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Monsieur, et Madame !
"Bonjour, Monsieur, Bonjour, Madame ! C'est moi qui vient pour la cuisine ! Je viens de la part de l'entreprise M... !".
"Ah ! Enfin ! Entrez jeune homme !".
"Merci Madame !".
Le mari me sert la main, son regard est gênant, et me trouble un peu.
Je trouve mes aises pour effectuer ma tâche, mais toutefois, les "messes basses" de mes clients m'intriguent un peu.
"Vous en avez pour longtemps, jeune homme ?".
"Euh, vous pouvez m'appeler Pascal ! Ce sera plus simple ! Ohh ! Je pense avoir fini demain soir ! Ca vous va ?".
Le couple d'une cinquantaine d'années, se regarde et me répond:
"C'est parfait !".
Le temps passe et midi approche, je leur dis que je vais aller manger chez moi, et serait de retour pour 14 h.
"Si vous voulez, on vous invite ! Ce sera simple comme repas, mais vous gagnerez du temps !".
"J'ose pas vous déranger !".
"Pascal ! Voyons ! Faut pas te gêner !". Me dit le mari !
"Bon, OK ! C'est gentil !".
Au cours du repas, je vois les regards insistants de la femme sur moi, qui scrutent aussi la réaction de son mari.
Le stratagème dure toute l'après-midi, il me semble bien aussi, avoir reconnu une grosse érection chez le mari, qui me regardait.
Bref ! tout ça n'est pas clair !
18 h arrive, je les préviens que je m'arrête là, afin de reprendre le lendemain.
"On t'offre un café avant de partir ? On t'attend chez toi ?".
"Non, personne ne m'attend, ce soir, je veux bien ! Merci !".
Nous sommes autour de la table de salon, une gêne envahit la pièce. Mais je ne m'attends pas à ce qui va suivre ! je vais de choc en choc !
"Pascal ?".
"Oui, Madame ?".
"On vous a déjà dit que vous étiez très mignon ? Vous plaisez beaucoup à mon mari ! Et lui, il vous plait ?".
Je blêmis.
"Euh, Madame ! c'est bizarre comme question ! Surtout venant d'une femme !".
"J'essaie de gagner du temps ! Mon homme adore les jeunes garçons de votre âge, et surtout quand ils sont mignons comme vous ! Et moi, j'aime le regarder faire ! Vous en pensez quoi ?".
Je suis tétanisé, sans réaction ! je parviens à répondre timidement:
"Euh... je... je sais pas ! Et Monsieur ! Il en pense quoi ?".
"Moi, je veux te baiser devant ma femme ! Donc, c'est toi qui décide maintenant !".
"A... Ah, je ne m'attendais pas à ça !".
"Tu m'as pas répondu, il te plait mon mec, ou pas ? Regardes ce qu'il a pour toi !".
Elle ouvre sa braguette, pour délivrer sa grosse verge en érection.
"Tu sais que t'as de la chance, même moi, je le fais pas bander comme ça !".
"Euh, c'est nouveau tout ça, pour moi ! J'ai pas l'habitude, Madame !".
Son mari prend les choses en main et me baisse sur sa verge.
"Voilà ! Comme ça, hummmm ! Finalement, il te fallait juste un p'tit coup de pouce ! Hummm ! Chérie, il me suce trop bien !".
"Hummm ! J'ai l'impression aussi ! Putain ! Vous m'excitez ! Attends ! Je vais le déshabiller !".
Rapidement, je me retrouve dénudé devant le couple, suçant le mari, pendant qu'il embrasse sa femme, puis lui dévore les nichons.
"T'as vu le cul qu'il a, chéri ! Tu vas te régaler ! Pas vrai ?".
"Hummmm ! Oui, j'ai hâte de lui enfoncer ma queue !".
Ils se dénudent ensemble, puis m'entourent avec leurs membres et leurs corps.
La femme s'allonge sur le canapé, puis m'ordonne de lui faire un cunnilingus.
"Orhhh ! Cheri ! il est doué pour ça aussi ! Orghhhhhhhhh ! C'est bon !".
Je suis excité et fier de la faire jouir, même si elle ne me plait guère.
Mais je dois me cambrer pour râler mon plaisir, pendant que le mari se plante en moi.
Ensuite, il entame une possession puissante de mon anus, en me disant:
"Allez continues de lui bouffer la chatte ! Fais la jouir !".
Il n'y pas qu'elle qui joui ! Moi aussi ! Il me défonce bien le bougre !
Le moment le plus intense, est lorsqu'elle gicle sa cyprine dans ma gorge, en hurlant, grâce à mes doigts dans son vagin, et mes lèvres collées à sa vulve.
Elle recule ensuite pour assister à ma défonce anale.
Son mari en profite pour me tourner et me transpercer dans une autre position, en échangeant parfois des baisers avec sa femme.
"Si tu savais, comme il est bon, ma chérie !".
"Je vois ! Tu te régales ! Il encaisse bien ta grosse queue, on dirait !".
Elle s'approche de mon visage.
"Alors ? Elle est bonne la bite de mon mec ?".
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Oui ! Mais comment, vous avez deviné que... Arghhhhhhhh !".
"Que t'aimais ça ? C'est lui qui l'a deviné ! Il a bien fait non ?".
"Ouiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! ...".
L'homme me fait orgasmer plusieurs fois, à la fin, je suis sur lui, qui m'empale par dessous.
On offre un spectacle parfait à son épouse, qui se masturbe.
Elle voit ma verge gonflée à bloc, qui est secouée par les assauts de son mari, dans mon anus poisseux.
"Chéri, j'hallucine ! Il bande pendant que tu l'encules ! Il aime ce que tu lui fait ! C'est trop beau !".
J'en peux plus, le plaisir est trop immense, j'éjacule sans discontinuer.
"Putain ! J'y crois pas ! Tu le fait gicler sans se toucher ! Putain ! J'adore Arhhhhhhhhhhhh !".
Elle vit son orgasme masturbatoire de son coté, le mari ne résiste pas plus longtemps et m'insémine profondément.
Je ne retiens plus mon corps, sa verge s'enfonce encore davantage, pour finir de se vider en moi.
"Orhhh ! Putain ! Vous m'avez bien enculé Monsieur ! Ouffff ! Je sens plus mon p'tit trou !".
"Merci ! Pascal ! Je me suis régalé, moi aussi ! On recommencera demain, si t'es d'accord !".
"Après le boulot, je veux bien ! Si Madame est d'accord, aussi !".
Sa femme est vidée de plaisir sur le fauteuil face à nous.
"Vu dans l'état ou elle se trouve, elle dira pas non ! Bon, lèves ton p'tit cul ! Il faut que je me lève !".
Je serre les fesses en quittant sa belle verge.
Puis, je me rhabille devant eux.
La situation me semble toujours étrange, mais je m'y habitue aussi !
Chez moi, j'éprouve un plaisir énorme quand mon anus m'oblige à rejeter le sperme du mari.
Cela me rappelle ce que j'ai vécu, et donc je me masturbe !
Le lendemain, ils m'ont reçu en m'embrassant tous les deux, puis m'ont laissé faire mon job.
Ensuite, repas, boulot.
Au café, on avait plus besoin de se parler, le mari est venu me présenter sa verge, pour que je le suce.
La femme me déshabille, et fait de même pour elle.
Elle libère la petite table de salon, pour que je m'y étale.
Ensuite, elle s'accroupi sur ma bouche, et me caresse la verge.
Son homme se dévêt, puis vient entre mes cuisses.
Elle tient mes jambes, sans quitter des yeux, le gros sexe de son homme, qui se colle à mon anus.
"Vas y ! Chéri, baises le ! Casses lui le cul !".
Elle voit qu'il doit saliver sa verge, elle se crache dans la main et ajoute sa salive contre mon œillet anal.
"Merci, mon amour !". Lui dit son mari.
Le gros gland vient plusieurs fois me forcer l'anus.
Puis, dans une ultime poussée, il me transperce d'une traite !
"Mmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmm !".
Je râle en m'étouffant sous la chatte de la femme, qui ondule sur moi.
Je prends des coups de bite énormes, par le mari qui se fait motiver par sa femme.
Je joui en essayant de sucer comme je peux, Madame.
Elle soulève un peu son bassin, pour se branler la chatte, lentement d'abord, puis avec frénésie.
Ca me permet de jouir plus bruyamment, mon plaisir anal.
Mes orgasmes s'enchainent, puis Madame gicle encore sa cyprine sur ma face.
Les deux amoureux s'embrassent vicieusement, au dessus de moi.
"Arghhhhhhhhhh ! Chéri ! J'adore gicler sur lui, pendant que tu l'encules ! C'est excitant !".
"On s'est trouvé une bonne salope, cette fois ! J'adore sa chatte, chérie !".
Elle va se remettre de son orgasme sur le fauteuil, et nous admire.
L'homme me place en chienne soumise devant son épouse et m'encule encore avec puissance et domination.
Elle a une vue imprenable sur "ma chatte" défoncée et béante.
Il s'amuse avec mon trou, il se recule en écartant ma rosette ruisselante.
"Regardes chérie, comme il est bien ouvert et bien mouillé ! Il est fait pour se prendre des bites ! Tu vois que j'avais raison ! Dis à ma femme, que t'aimes ça ! Te faire enculer !".
"Oui, j'adore ça !".
"Je suis sur que tu vas dans des endroits pour te faire enculer ! Pas vrai ?".
"Ouiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ...".
"Chéri ! Ca y est ! Il bande ! Continues ! Tu vas le faire éjaculer encore ! Comme hier ! Vas y !".
"C'est vrai ? Il bande cette salope ? Tiens, prends ça alors ! Tiens ! Tiens ! ..."
"Arghhhhhhhhhh ! Je vais jouir encore ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ...".
"Ca y est ! Il gicle, mon amour ! Il en met partout sur le parquet !".
Son mari ne répond plus, il s'applique à me soutirer toute ma jouissance, anale et pénienne.
Après cet orgasme parfait, je me laisse enculer en me cambrant.
Je devine que mon anus est ruisselant de jus anal, qui rejoint le parquet, comme mon sperme.
Mais le mari, me place sous lui, m'écarte les cuisses, et me pilonne en soulevant mon cul.
J'ai une vue parfaite sur ce qu'il m'enfonce dans le cul, sans discontinuer.
"Putain, il faut que je jouisse ! Je suis trop excité !". Dit le mari.
Derrière, on entend Madame qui s'envoie encore en l'air, avec ses doigts.
"Orhhhhhhhh ! Orhhhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !".
"T'entends comme elle aime nous voir, ma femme ?".
"Ouiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! J'en peux plus !".
"Ca y est ! Ca vient ! Prépares toi ma p'tite salope !".
Il sort de mon orifice en me laissant tomber sous lui.
Des jets de sperme m'arrosent dans une complète anarchie.
J'en reçois sur le ventre, le torse, le visage !
"Arghhhhhhhhhh ! Vite ! Prends moi dans ta bouche, salope !".
Je réagis aussitôt, afin qu'il jouisse pleinement dans ma gorge.
Sa femme nous rejoint, et accompagne mes caresses buccales, avec sa main sur ma nuque.
"Oui, avales tout, il aime quand on lui fait ça !".
Le couple s'embrasse pendant que je finis d'ingurgiter son jus gluant.
"C'était bon, chéri ?".
"Hummm ! Excellent ! Il est parfait ! Même ça ! Il le fait bien !".
Après tout ça, ils plaisantent, pour détendre cette atmosphère trop sexe.
Nous discutons une bonne heure.
J'apprend qu'ils forment un couple libertin, très ouvert sexuellement.
Madame à de rares amants, mais surtout des amantes, et Monsieur préfère les jeunes garçons, en dehors de sa femme.
J'ose alors poser une question qui me torture:
"Monsieur, ça se voit tant que ça, que j'aime les hommes ? Pourtant, je pense pas être efféminé !".
"Oui, ça se voit comme le nez au milieu de la figure ! Mais rassures toi ! Y a que les hommes comme moi qui le voient ! Demandes à ma femme, elle voulait pas me croire, quand je lui ai dit que t'étais surement un homo soumis, une salope, en fait !".
"C'est vrai ! Moi, je l'ai pas vu ! Mais, il avait raison ! Et tant mieux ! J'ai bien fait de te dire qu'il voulait te baiser ! Non ?".
"Euh, oui !".
Ils me donnent une enveloppe, avec le cheque de fin de travaux, pour mon patron, puis me glisse trois billets de 500 Francs dans la main (en 1982, c'est une fortune à l'époque !).
"Ca c'est pour toi ! Tu reviens quand tu veux, passes en début soirée, comme hier et aujourd'hui !".
"M... Merci ! Mais c'est trop !".
"Non ! T'as fait un excellent travail ! Et en plus, on a bien joui ! Changes rien ! T'es parfait ! Au fait, t'as quel âge pour connaitre ton métier comme ça ?".
"Je vais avoir 22 ans !".
"Putain, je t'en donnais 18 ou 19 ! Tu fais moins ! T'as de la chance !".
"Merci ! Bon, j'y vais ! Merci Monsieur ! et Madame ! Et au passage ! Moi aussi, j'ai bien joui !".
"Tu peux nous appeler par nos prénoms, tu sais !".
"Non ! C'est mieux comme ça, surtout que ça m'aide à mieux accepter notre relation !".
"Ok, je comprends ! Alors reviens vite !".
Il me voit galérer avec mes outils.
"Tu rentres comment ?".
"En bus !".
"Chéri ! Ramènes le en voiture ! Il aura plus vite fait !".
"Mais, non ! J'ai l'habitude ! Ne vous dérangez pas pour moi !".
Le mari prend une petite caisse et ajoute:
"Allez Pascal ! On y va ! Tu me montres ou tu habites !".
"C'est pas loin ! Je suis dans le quartier de S... !".
Il m'accompagne jusqu'à l'intérieur de mon appart.
"C'est coquet ! Ca doit être pratique pour baiser ! Tu fais venir des mecs ?".
"Euh, oui, c'est vrai ! Des filles aussi !".
"Ca ! J'en doute pas, t'as le physique idéal pour ça !".
Il s'approche de moi, et m'embrasse langoureusement.
Je devine qu'il libère sa grosse verge.
"Mmmmm... Monsieur ! Vous croyez qu'on peut ? Votre femme vous attend !".
"Bien sur, rappelles toi, on est un couple libre ! Regardes ! Tu me fais encore bander ! Si on en profitait ? Allez baisses- toi, et suces moi un peu ! Hummmmmm ! Voilà ! Mmmm ! Orhhhh ! Oui, comme ça !".
J'adore avoir son sexe dans la bouche, et comme j'ai eu ma dose de sexe pur, je prend mon temps en le suçant avec passion.
"Orhhhhhhhh ! Putain ! C'est différent de tout à l'heure ! Tu me suces divinement bien ! Oufffffffffff !".
"Mmmm ! Vous aimez Monsieur ? Mmmmm ! Gllllrp ! Mmmmmmmmmm !".
"Orhhhhhhhh ! Là ! Là ! Oui, Pascal ! J'adore, continues !".
Son plaisir me motive de plus belle ! Je lui offre tout mon savoir buccal.
"Orhhhhhhhhh ! Putain ! On m'a jamais bouffé la bite comme ça ! Ahhhhh !".
Il cambre son dos, en posant ses mains sur ma tête, ses yeux sont fermés, il apprécie pleinement le plaisir qu'il vit avec ma bouche gourmande.
Je dois trop bien le sucer, puisqu'au bout de dix-minutes, il me dit:
"Stop ! Laisses-moi me calmer ! J'arrive plus à me contrôler ! Je veux pas jouir aussi vite !".
Il me regarde, mes lèvres sont encore humides de ma fellation.
"Ou est-ce que tu veux que je t'encules ?".
"Ou vous voulez Monsieur !".
"Ca me fait bizarre que tu m'appelles comme ça !".
"Moi, j'aime bien, ça conserve le coté soumis pour moi !".
"Ok ! Donc, je te fais ce que je veux !".
"Oui, Monsieur ! Vous êtes mon client ! N'oubliez pas !".
"C'est vrai ! Alors, allonges toi sur la table, avec le cul en bombe, je vais te saillir comme une putain !".
Lentement, je me dénude, puis lui présente mes fesses, encore rougies par sa précédente défonce anale.
Il se baisse et m'honore d'un crachat de salive conséquent sur l'anus.
Il me masturbe la rosette, avec son gros gland, je gémis, je sais ce qui va suivre !
Mon œillet est bien stimulé, il s'ouvre et rejette un afflux de jus anal sur sa grosse verge.
Il s'enfonce d'une traite, grâce à ce lubrifiant naturel.
"Orhhhhhhhhhh ! Putain ! Ca c'est bon ! T'es encore prêt ! Ma salope !".
Mes parois anales sont hyper sensibilisées, par sa défonce trop récente.
Ca me provoque une montée d'orgasme instantanée sur sa bite.
Sa simple présence dans mon cul, me fait jouir analement, sans bouger.
Il m'entend râler.
"Putain ! On dirait que tu jouis déjà !".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! C'est ça ! C'est parce que je suis encore plus sensible, avec ce que vous m'avez fait tout à l'heure ! Aargggggggggggggggghhhhhhhhhhh !".
"Hummm ! C'est bon ! Ca ! Et si je bouge ? Ca te fais quoi ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Je joui ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...".
Ca devient un jeu pour lui, me faire gueuler de plaisir.
Mais j'ai des voisins et je fais tout mon possible pour étouffer mes râles.
Il me sailli sans discontinuer, jusqu'à son explosion dans "ma chatte de chienne!" comme il l'appelle.
Je suis vanné, quand il sort de mon anus éclaté et poisseux de jus, avec du sperme en plus, cette fois !
Il se range la queue, puis me tapote sur les fesses, en ajoutant:
"Bien, c'était bon encore ! t'as bien bossé ! Passes chez nous, dès que tu peux ! Et je passerai te voir moi aussi ! Bisous !".
"Au revoir, Monsieur !".
Après cinq bonnes minutes, je me suis relevé, puis dirigé vers mon lit et me suis effondré dessus, en travers, sans remonter mon pantalon.
Une heure plus tard, je sors de mon court sommeil, je vais sur les toilettes, m'essuie l'anus, qui a presque retrouvé sa taille habituelle, et vais m'acheter un sandwich.
Pas la force de faire à manger ! Désolé !
Paradoxalement, cette relation n'a pas duré ! Après quelques soirées en trio bisexuel, ils m'ont persuadés de les appeler par leurs prénoms, Hélène et François.
Hélène me demandait parfois de la baiser en attendant son mari, mais j'avais pas envie d'elle ! (trop âgée ! Les milfs, c'est pas mon truc !)
François me trouvait souvent entrain de lui dévorer la chatte, et je me faisais enculer comme ça ! C'était meilleur pour moi !
Je préférai quand il venait chez moi ! On se laissait aller plus facilement, et de plus en plus souvent, on partageait de la sensualité.
On allait trop loin, c'est sûr !
Je pense qu'on a développé une passion sexuelle, et c'est sa femme qui a pris peur, puis demandé qu'on arrête de se voir !
C'était plus raisonnable en effet !
François a craqué quelques fois, quand Hélène s'amusait avec une autre femme.
Mais notre relation avait changé, il s'attachait à moi, ce qui n'était pas réciproque.
Il a compris aussi, que c'était dangereux pour lui ! Et après deux mois de plus, je ne l'ai plus revu !
"Ah ! Enfin ! Entrez jeune homme !".
"Merci Madame !".
Le mari me sert la main, son regard est gênant, et me trouble un peu.
Je trouve mes aises pour effectuer ma tâche, mais toutefois, les "messes basses" de mes clients m'intriguent un peu.
"Vous en avez pour longtemps, jeune homme ?".
"Euh, vous pouvez m'appeler Pascal ! Ce sera plus simple ! Ohh ! Je pense avoir fini demain soir ! Ca vous va ?".
Le couple d'une cinquantaine d'années, se regarde et me répond:
"C'est parfait !".
Le temps passe et midi approche, je leur dis que je vais aller manger chez moi, et serait de retour pour 14 h.
"Si vous voulez, on vous invite ! Ce sera simple comme repas, mais vous gagnerez du temps !".
"J'ose pas vous déranger !".
"Pascal ! Voyons ! Faut pas te gêner !". Me dit le mari !
"Bon, OK ! C'est gentil !".
Au cours du repas, je vois les regards insistants de la femme sur moi, qui scrutent aussi la réaction de son mari.
Le stratagème dure toute l'après-midi, il me semble bien aussi, avoir reconnu une grosse érection chez le mari, qui me regardait.
Bref ! tout ça n'est pas clair !
18 h arrive, je les préviens que je m'arrête là, afin de reprendre le lendemain.
"On t'offre un café avant de partir ? On t'attend chez toi ?".
"Non, personne ne m'attend, ce soir, je veux bien ! Merci !".
Nous sommes autour de la table de salon, une gêne envahit la pièce. Mais je ne m'attends pas à ce qui va suivre ! je vais de choc en choc !
"Pascal ?".
"Oui, Madame ?".
"On vous a déjà dit que vous étiez très mignon ? Vous plaisez beaucoup à mon mari ! Et lui, il vous plait ?".
Je blêmis.
"Euh, Madame ! c'est bizarre comme question ! Surtout venant d'une femme !".
"J'essaie de gagner du temps ! Mon homme adore les jeunes garçons de votre âge, et surtout quand ils sont mignons comme vous ! Et moi, j'aime le regarder faire ! Vous en pensez quoi ?".
Je suis tétanisé, sans réaction ! je parviens à répondre timidement:
"Euh... je... je sais pas ! Et Monsieur ! Il en pense quoi ?".
"Moi, je veux te baiser devant ma femme ! Donc, c'est toi qui décide maintenant !".
"A... Ah, je ne m'attendais pas à ça !".
"Tu m'as pas répondu, il te plait mon mec, ou pas ? Regardes ce qu'il a pour toi !".
Elle ouvre sa braguette, pour délivrer sa grosse verge en érection.
"Tu sais que t'as de la chance, même moi, je le fais pas bander comme ça !".
"Euh, c'est nouveau tout ça, pour moi ! J'ai pas l'habitude, Madame !".
Son mari prend les choses en main et me baisse sur sa verge.
"Voilà ! Comme ça, hummmm ! Finalement, il te fallait juste un p'tit coup de pouce ! Hummm ! Chérie, il me suce trop bien !".
"Hummm ! J'ai l'impression aussi ! Putain ! Vous m'excitez ! Attends ! Je vais le déshabiller !".
Rapidement, je me retrouve dénudé devant le couple, suçant le mari, pendant qu'il embrasse sa femme, puis lui dévore les nichons.
"T'as vu le cul qu'il a, chéri ! Tu vas te régaler ! Pas vrai ?".
"Hummmm ! Oui, j'ai hâte de lui enfoncer ma queue !".
Ils se dénudent ensemble, puis m'entourent avec leurs membres et leurs corps.
La femme s'allonge sur le canapé, puis m'ordonne de lui faire un cunnilingus.
"Orhhh ! Cheri ! il est doué pour ça aussi ! Orghhhhhhhhh ! C'est bon !".
Je suis excité et fier de la faire jouir, même si elle ne me plait guère.
Mais je dois me cambrer pour râler mon plaisir, pendant que le mari se plante en moi.
Ensuite, il entame une possession puissante de mon anus, en me disant:
"Allez continues de lui bouffer la chatte ! Fais la jouir !".
Il n'y pas qu'elle qui joui ! Moi aussi ! Il me défonce bien le bougre !
Le moment le plus intense, est lorsqu'elle gicle sa cyprine dans ma gorge, en hurlant, grâce à mes doigts dans son vagin, et mes lèvres collées à sa vulve.
Elle recule ensuite pour assister à ma défonce anale.
Son mari en profite pour me tourner et me transpercer dans une autre position, en échangeant parfois des baisers avec sa femme.
"Si tu savais, comme il est bon, ma chérie !".
"Je vois ! Tu te régales ! Il encaisse bien ta grosse queue, on dirait !".
Elle s'approche de mon visage.
"Alors ? Elle est bonne la bite de mon mec ?".
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Oui ! Mais comment, vous avez deviné que... Arghhhhhhhh !".
"Que t'aimais ça ? C'est lui qui l'a deviné ! Il a bien fait non ?".
"Ouiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! ...".
L'homme me fait orgasmer plusieurs fois, à la fin, je suis sur lui, qui m'empale par dessous.
On offre un spectacle parfait à son épouse, qui se masturbe.
Elle voit ma verge gonflée à bloc, qui est secouée par les assauts de son mari, dans mon anus poisseux.
"Chéri, j'hallucine ! Il bande pendant que tu l'encules ! Il aime ce que tu lui fait ! C'est trop beau !".
J'en peux plus, le plaisir est trop immense, j'éjacule sans discontinuer.
"Putain ! J'y crois pas ! Tu le fait gicler sans se toucher ! Putain ! J'adore Arhhhhhhhhhhhh !".
Elle vit son orgasme masturbatoire de son coté, le mari ne résiste pas plus longtemps et m'insémine profondément.
Je ne retiens plus mon corps, sa verge s'enfonce encore davantage, pour finir de se vider en moi.
"Orhhh ! Putain ! Vous m'avez bien enculé Monsieur ! Ouffff ! Je sens plus mon p'tit trou !".
"Merci ! Pascal ! Je me suis régalé, moi aussi ! On recommencera demain, si t'es d'accord !".
"Après le boulot, je veux bien ! Si Madame est d'accord, aussi !".
Sa femme est vidée de plaisir sur le fauteuil face à nous.
"Vu dans l'état ou elle se trouve, elle dira pas non ! Bon, lèves ton p'tit cul ! Il faut que je me lève !".
Je serre les fesses en quittant sa belle verge.
Puis, je me rhabille devant eux.
La situation me semble toujours étrange, mais je m'y habitue aussi !
Chez moi, j'éprouve un plaisir énorme quand mon anus m'oblige à rejeter le sperme du mari.
Cela me rappelle ce que j'ai vécu, et donc je me masturbe !
Le lendemain, ils m'ont reçu en m'embrassant tous les deux, puis m'ont laissé faire mon job.
Ensuite, repas, boulot.
Au café, on avait plus besoin de se parler, le mari est venu me présenter sa verge, pour que je le suce.
La femme me déshabille, et fait de même pour elle.
Elle libère la petite table de salon, pour que je m'y étale.
Ensuite, elle s'accroupi sur ma bouche, et me caresse la verge.
Son homme se dévêt, puis vient entre mes cuisses.
Elle tient mes jambes, sans quitter des yeux, le gros sexe de son homme, qui se colle à mon anus.
"Vas y ! Chéri, baises le ! Casses lui le cul !".
Elle voit qu'il doit saliver sa verge, elle se crache dans la main et ajoute sa salive contre mon œillet anal.
"Merci, mon amour !". Lui dit son mari.
Le gros gland vient plusieurs fois me forcer l'anus.
Puis, dans une ultime poussée, il me transperce d'une traite !
"Mmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmm !".
Je râle en m'étouffant sous la chatte de la femme, qui ondule sur moi.
Je prends des coups de bite énormes, par le mari qui se fait motiver par sa femme.
Je joui en essayant de sucer comme je peux, Madame.
Elle soulève un peu son bassin, pour se branler la chatte, lentement d'abord, puis avec frénésie.
Ca me permet de jouir plus bruyamment, mon plaisir anal.
Mes orgasmes s'enchainent, puis Madame gicle encore sa cyprine sur ma face.
Les deux amoureux s'embrassent vicieusement, au dessus de moi.
"Arghhhhhhhhhh ! Chéri ! J'adore gicler sur lui, pendant que tu l'encules ! C'est excitant !".
"On s'est trouvé une bonne salope, cette fois ! J'adore sa chatte, chérie !".
Elle va se remettre de son orgasme sur le fauteuil, et nous admire.
L'homme me place en chienne soumise devant son épouse et m'encule encore avec puissance et domination.
Elle a une vue imprenable sur "ma chatte" défoncée et béante.
Il s'amuse avec mon trou, il se recule en écartant ma rosette ruisselante.
"Regardes chérie, comme il est bien ouvert et bien mouillé ! Il est fait pour se prendre des bites ! Tu vois que j'avais raison ! Dis à ma femme, que t'aimes ça ! Te faire enculer !".
"Oui, j'adore ça !".
"Je suis sur que tu vas dans des endroits pour te faire enculer ! Pas vrai ?".
"Ouiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ...".
"Chéri ! Ca y est ! Il bande ! Continues ! Tu vas le faire éjaculer encore ! Comme hier ! Vas y !".
"C'est vrai ? Il bande cette salope ? Tiens, prends ça alors ! Tiens ! Tiens ! ..."
"Arghhhhhhhhhh ! Je vais jouir encore ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! ...".
"Ca y est ! Il gicle, mon amour ! Il en met partout sur le parquet !".
Son mari ne répond plus, il s'applique à me soutirer toute ma jouissance, anale et pénienne.
Après cet orgasme parfait, je me laisse enculer en me cambrant.
Je devine que mon anus est ruisselant de jus anal, qui rejoint le parquet, comme mon sperme.
Mais le mari, me place sous lui, m'écarte les cuisses, et me pilonne en soulevant mon cul.
J'ai une vue parfaite sur ce qu'il m'enfonce dans le cul, sans discontinuer.
"Putain, il faut que je jouisse ! Je suis trop excité !". Dit le mari.
Derrière, on entend Madame qui s'envoie encore en l'air, avec ses doigts.
"Orhhhhhhhh ! Orhhhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !".
"T'entends comme elle aime nous voir, ma femme ?".
"Ouiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! J'en peux plus !".
"Ca y est ! Ca vient ! Prépares toi ma p'tite salope !".
Il sort de mon orifice en me laissant tomber sous lui.
Des jets de sperme m'arrosent dans une complète anarchie.
J'en reçois sur le ventre, le torse, le visage !
"Arghhhhhhhhhh ! Vite ! Prends moi dans ta bouche, salope !".
Je réagis aussitôt, afin qu'il jouisse pleinement dans ma gorge.
Sa femme nous rejoint, et accompagne mes caresses buccales, avec sa main sur ma nuque.
"Oui, avales tout, il aime quand on lui fait ça !".
Le couple s'embrasse pendant que je finis d'ingurgiter son jus gluant.
"C'était bon, chéri ?".
"Hummm ! Excellent ! Il est parfait ! Même ça ! Il le fait bien !".
Après tout ça, ils plaisantent, pour détendre cette atmosphère trop sexe.
Nous discutons une bonne heure.
J'apprend qu'ils forment un couple libertin, très ouvert sexuellement.
Madame à de rares amants, mais surtout des amantes, et Monsieur préfère les jeunes garçons, en dehors de sa femme.
J'ose alors poser une question qui me torture:
"Monsieur, ça se voit tant que ça, que j'aime les hommes ? Pourtant, je pense pas être efféminé !".
"Oui, ça se voit comme le nez au milieu de la figure ! Mais rassures toi ! Y a que les hommes comme moi qui le voient ! Demandes à ma femme, elle voulait pas me croire, quand je lui ai dit que t'étais surement un homo soumis, une salope, en fait !".
"C'est vrai ! Moi, je l'ai pas vu ! Mais, il avait raison ! Et tant mieux ! J'ai bien fait de te dire qu'il voulait te baiser ! Non ?".
"Euh, oui !".
Ils me donnent une enveloppe, avec le cheque de fin de travaux, pour mon patron, puis me glisse trois billets de 500 Francs dans la main (en 1982, c'est une fortune à l'époque !).
"Ca c'est pour toi ! Tu reviens quand tu veux, passes en début soirée, comme hier et aujourd'hui !".
"M... Merci ! Mais c'est trop !".
"Non ! T'as fait un excellent travail ! Et en plus, on a bien joui ! Changes rien ! T'es parfait ! Au fait, t'as quel âge pour connaitre ton métier comme ça ?".
"Je vais avoir 22 ans !".
"Putain, je t'en donnais 18 ou 19 ! Tu fais moins ! T'as de la chance !".
"Merci ! Bon, j'y vais ! Merci Monsieur ! et Madame ! Et au passage ! Moi aussi, j'ai bien joui !".
"Tu peux nous appeler par nos prénoms, tu sais !".
"Non ! C'est mieux comme ça, surtout que ça m'aide à mieux accepter notre relation !".
"Ok, je comprends ! Alors reviens vite !".
Il me voit galérer avec mes outils.
"Tu rentres comment ?".
"En bus !".
"Chéri ! Ramènes le en voiture ! Il aura plus vite fait !".
"Mais, non ! J'ai l'habitude ! Ne vous dérangez pas pour moi !".
Le mari prend une petite caisse et ajoute:
"Allez Pascal ! On y va ! Tu me montres ou tu habites !".
"C'est pas loin ! Je suis dans le quartier de S... !".
Il m'accompagne jusqu'à l'intérieur de mon appart.
"C'est coquet ! Ca doit être pratique pour baiser ! Tu fais venir des mecs ?".
"Euh, oui, c'est vrai ! Des filles aussi !".
"Ca ! J'en doute pas, t'as le physique idéal pour ça !".
Il s'approche de moi, et m'embrasse langoureusement.
Je devine qu'il libère sa grosse verge.
"Mmmmm... Monsieur ! Vous croyez qu'on peut ? Votre femme vous attend !".
"Bien sur, rappelles toi, on est un couple libre ! Regardes ! Tu me fais encore bander ! Si on en profitait ? Allez baisses- toi, et suces moi un peu ! Hummmmmm ! Voilà ! Mmmm ! Orhhhh ! Oui, comme ça !".
J'adore avoir son sexe dans la bouche, et comme j'ai eu ma dose de sexe pur, je prend mon temps en le suçant avec passion.
"Orhhhhhhhh ! Putain ! C'est différent de tout à l'heure ! Tu me suces divinement bien ! Oufffffffffff !".
"Mmmm ! Vous aimez Monsieur ? Mmmmm ! Gllllrp ! Mmmmmmmmmm !".
"Orhhhhhhhh ! Là ! Là ! Oui, Pascal ! J'adore, continues !".
Son plaisir me motive de plus belle ! Je lui offre tout mon savoir buccal.
"Orhhhhhhhhh ! Putain ! On m'a jamais bouffé la bite comme ça ! Ahhhhh !".
Il cambre son dos, en posant ses mains sur ma tête, ses yeux sont fermés, il apprécie pleinement le plaisir qu'il vit avec ma bouche gourmande.
Je dois trop bien le sucer, puisqu'au bout de dix-minutes, il me dit:
"Stop ! Laisses-moi me calmer ! J'arrive plus à me contrôler ! Je veux pas jouir aussi vite !".
Il me regarde, mes lèvres sont encore humides de ma fellation.
"Ou est-ce que tu veux que je t'encules ?".
"Ou vous voulez Monsieur !".
"Ca me fait bizarre que tu m'appelles comme ça !".
"Moi, j'aime bien, ça conserve le coté soumis pour moi !".
"Ok ! Donc, je te fais ce que je veux !".
"Oui, Monsieur ! Vous êtes mon client ! N'oubliez pas !".
"C'est vrai ! Alors, allonges toi sur la table, avec le cul en bombe, je vais te saillir comme une putain !".
Lentement, je me dénude, puis lui présente mes fesses, encore rougies par sa précédente défonce anale.
Il se baisse et m'honore d'un crachat de salive conséquent sur l'anus.
Il me masturbe la rosette, avec son gros gland, je gémis, je sais ce qui va suivre !
Mon œillet est bien stimulé, il s'ouvre et rejette un afflux de jus anal sur sa grosse verge.
Il s'enfonce d'une traite, grâce à ce lubrifiant naturel.
"Orhhhhhhhhhh ! Putain ! Ca c'est bon ! T'es encore prêt ! Ma salope !".
Mes parois anales sont hyper sensibilisées, par sa défonce trop récente.
Ca me provoque une montée d'orgasme instantanée sur sa bite.
Sa simple présence dans mon cul, me fait jouir analement, sans bouger.
Il m'entend râler.
"Putain ! On dirait que tu jouis déjà !".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! C'est ça ! C'est parce que je suis encore plus sensible, avec ce que vous m'avez fait tout à l'heure ! Aargggggggggggggggghhhhhhhhhhh !".
"Hummm ! C'est bon ! Ca ! Et si je bouge ? Ca te fais quoi ?".
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Je joui ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...".
Ca devient un jeu pour lui, me faire gueuler de plaisir.
Mais j'ai des voisins et je fais tout mon possible pour étouffer mes râles.
Il me sailli sans discontinuer, jusqu'à son explosion dans "ma chatte de chienne!" comme il l'appelle.
Je suis vanné, quand il sort de mon anus éclaté et poisseux de jus, avec du sperme en plus, cette fois !
Il se range la queue, puis me tapote sur les fesses, en ajoutant:
"Bien, c'était bon encore ! t'as bien bossé ! Passes chez nous, dès que tu peux ! Et je passerai te voir moi aussi ! Bisous !".
"Au revoir, Monsieur !".
Après cinq bonnes minutes, je me suis relevé, puis dirigé vers mon lit et me suis effondré dessus, en travers, sans remonter mon pantalon.
Une heure plus tard, je sors de mon court sommeil, je vais sur les toilettes, m'essuie l'anus, qui a presque retrouvé sa taille habituelle, et vais m'acheter un sandwich.
Pas la force de faire à manger ! Désolé !
Paradoxalement, cette relation n'a pas duré ! Après quelques soirées en trio bisexuel, ils m'ont persuadés de les appeler par leurs prénoms, Hélène et François.
Hélène me demandait parfois de la baiser en attendant son mari, mais j'avais pas envie d'elle ! (trop âgée ! Les milfs, c'est pas mon truc !)
François me trouvait souvent entrain de lui dévorer la chatte, et je me faisais enculer comme ça ! C'était meilleur pour moi !
Je préférai quand il venait chez moi ! On se laissait aller plus facilement, et de plus en plus souvent, on partageait de la sensualité.
On allait trop loin, c'est sûr !
Je pense qu'on a développé une passion sexuelle, et c'est sa femme qui a pris peur, puis demandé qu'on arrête de se voir !
C'était plus raisonnable en effet !
François a craqué quelques fois, quand Hélène s'amusait avec une autre femme.
Mais notre relation avait changé, il s'attachait à moi, ce qui n'était pas réciproque.
Il a compris aussi, que c'était dangereux pour lui ! Et après deux mois de plus, je ne l'ai plus revu !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bonne histoire bien écrite
Mathieu du 74
Mathieu du 74