NATACHA

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : NATACHA Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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NATACHA
En ce samedi matin, le soleil est au rendez-vous, enfin ! Cela va être plus agréable pour moi, malgré que je sois de permanence. C’est alors que j’entends la porte d’entrée de la salle grincer sur ses gonds. Je pense tout de suite aux locataires. Ceux qui ont pris la salle pour toute la journée. Mais non c’est Natacha. Une fille qui fait partie de mon groupe de serveuse. Elle ondule des hanches exagérément pour venir jusqu’à moi. Son visage juvénile tranche avec son corps.
Elle prend l’initiative de tirer une chaise jusqu’à mon bureau et sitôt, elle y cale les fesses. Là, elle glisse ses lèvres au creux de mon oreille, pour me murmurer un :
-J’ai rêvé de toi !
-C’est bien ! Fais-je.
-Et cela toute la nuit !
-J’espère que c’était en bien ?
-Plus que ça, si tu veux savoir. A un tel point qu’au réveil je me suis caressée…
-Je suis content de l’apprendre !
-Tu ne me crois pas ? Me fait-elle en me défiant du regard.
-Et pour quelle raison tu me mentirais !
-Je préfère cela ! D’ailleurs, vise, je t’ai rapporté une preuve.
Et elle plonge la main dans son sac et en sort une boule de textile noir qu’elle porte à son nez avant de la glisser sous le mien.
-Renifle comme elle sent bon, ma mouille. Je sais que tu aimes ça sentir les culottes portées.
Je me saisis du sous-vêtement et le porte à mes narines. L’odeur musquée et suave qui s’en dégage me monte immédiatement à la tête.
-Tu aimes ? Me fait-elle, convaincue de m’avoir fait plaisir par ce geste.
Après quelque secondes de silence elle me sourit, et d’une voix gourmande laisse tomber :
-Et toi… qu’as-tu à m’offrir ?
-Là maintenant, eh bien rien !
-Ce n’est gentil ça…
Avant que la charmante Natacha vienne grandir mon groupe de travail, j’avais auparavant eu le plaisir de la croisée dans le quartier où nous vivions. Où toute petite, elle gambadait sous la surveillance de sa sœur ainée. Alors que toute mon attention se portait sur sa mère. Une belle brune aux formes généreuses. Qui avait tendance à ne pas beaucoup sortir de son appartement. Mais cela ne m’empêchait pas de poser mon dévolu sur elle. Et pas que moi, puisque Manu mon pote était dans le même cas que moi. A croire les dires de ma mère, son mari la tromper avec sa propre sœur. Qu’elle avait accueillit les bras ouvert après la mort de leur mère. Mais cela ne l’empêché pas, en bonne femme qu’elle était, d’encore la tolérer chez elle. Et cela malgré sa trahissant.
Au fil des jours, je cherchais un procédé pour pouvoir approcher une de ses culottes, et ainsi être fier de l’exposer à mon pote. Un vrai défit. J’avais bien pensé aux filles. Mais elles étaient trop jeunes. L’ainée dix ans Natacha à peine trois ans. Et puis un jour une idée me vint. Mais pour la réalisé je devais établir une astuce qui tienne la route. Pas question de tuer l’œuf dans sa coquille ! Donc j’ai espionné ses faits et gestes de la brune. Surtout qu’ils n’étaient pas légion chez elle. Et par ce petit jeu là le me suis aperçu que tous les jours elle désertait quelques instants son foyer pour se rendre à sa boite à lettre. Et cela sans prendre la peine de verrouiller sa porte d’entrée. Une aubaine pour moi !
Pour préparer mon coup je me suis posté un matin sur le palier au-dessus de son appartement. Je voulais mettre tous les atouts de mon côté. Et à l’heure dite je la vois quitter son appartement, et bien sûr, sans prendre la peine de verrouiller la porte. Cette belle brune aux cheveux bouclés m’excitait au plus haut point, le spectre de sa petite chatte noire dansait devant mes yeux lors de mes nombreuses branlettes.
Je n’étais pas mécontent d’avoir perdu autant de temps pour étudier la chose. La nuit suivante j’ai eu grand mal à trouver le sommeil, tant j’étais impatient de me retrouver enfin devant son panier de linge sale.
Le lendemain au lieu de prendre le chemin du lycée, je pris cela me menant sur le palier au-dessus de son appartement. Je la vis une première fois sortir accompagner de ses filles, pour déposer la grande à l’école. Je priais grand Dieu pour qu’elle oublie de verrouiller sa porte. Mais mille fois hélas cela ne se fit pas !
Puis elle est revenue, tenant en main Natacha. J’ai patienté bien deux heures avant qu’elle déserte le lieu pour se rendre aux boites à lettres. J’ai le cœur qui bat la chamade. Et que dire, quand je l’ai entendu dévaler les marches, sans avoir verrouillé sa porte. Il était temps pour moi de passer à l’action. J’ai quitté ma planque, j’ai sauté trois à trois les marches et j’ai foncé jusqu’à la porte d’entrée à la voler. Connaissant l’appartement comme ma poche étant le même que Manu, je me suis orienté tout de suite dans la salle de bains. J’ai allumé le lieu. Une odeur d’eau de Cologne avait empli mes narines. Je me suis avancé jusqu’à la corbeille. Elle débordait de linge porté, et cela pour mon plus grand bonheur. J’ai fouillé le contenu, jusqu’à ce que je trouve une culotte élémentaire qui vue la taille appartenait à Evelyne, une autre plus petite, plus troublante, sans doute à sa sœur et pour finir un collant en boule. La pêche a été concluante, Il était temps pour moi de quitter les lieux.
Je suis sortie de la pièce. J’ai éteins la lumière et alors que je refermais la porte, là, je suis tombé sur Natacha qui me fixait avec ses petits yeux noir. Pas le temps de m’attarder j’ai foncé sur la porte d’entrée. Après avoir pris la peine de refermer la porte derrière moi, j’ai grimpé comme un fou les marches me menant sur le palier supérieur et là, assis sur une marche froide j’ai attendus. J’avais le cœur qui battait à tout rompre. Plus bas j’ai reconnu la voix d’Evelyne, en train de discuter avec sans doute, le facteur.
Pour patienter, je n’ai pas pu résister à plonger mon visage dans la culotte. Le contact avec le textile a été un vrai délice sur ma peau rasée de frais.
J’ai humé l’étoffe pour en reconnaître toutes les senteurs. L’odeur forte de sa mouille inondée tout. Une odeur qui se mariait à la perfection à celle de sa sueur, et de la pisse. J’ai fermé les yeux et là, je me suis laissé téléporter entre les cuisses de la brune. Où j’ai enfouie mon visage contre sa fourche. Je me suis inventé qu’elle avait joui et rejoui dans le tissu. Qu’il était devenu un concentré de son intimité.
Le parfum et le goût qui s’en dégagé, semblaient assortis à sa peau diaphane et son corps velouté. Tout en courbes.
Avec tout ça j’ai oublié de surveiller Evelyne. Etait-elle entrée, oui ou non ? Je ne sus le dire ! Alors j’ai pris le risque de quitter ma planque. Et heureusement pour moi, je n’ai pas eu le désagrément de la rencontrer dans l’escalier. J’ai quitté le hall avec la sensation de devoir accomplie. Je n’ai pas manqué les minutes suivantes, d’exhiber mon trophée à Manu. Croyez-moi, nous avons passé un bon moment. Mais revenant à nos moutons !
-C’est que je suis un homme fidèle ! Je dis à Natacha.
Elle pose alors son index sur mes lèvres pour me faire taire.
-Tu sais la nature doit s’exprimer ! Entonne-t-elle avant de poser son regard sur ma proéminence.
- Et bien voyez-vous ça ! Elle s’exprime plutôt pas mal… surenchérit-elle en me faisant un beau clin d’œil avec son si beau sourire.
-Natacha, il serait bien que tu partes !
-Pas question. Je ne t’apprends rien ne te disant que tu me plais ! fait-elle en posant sa main sur ma protubérance.
Son regard sonde le mien, une chose est sûre. Nous sommes allés trop loin pour en rester là. Sa main se resserre autour de mon intimité à travers l’étoffe de mon jean. Mon cœur cogne fort, un flux d’hormones se déverse dans mes artères. Lentement, Natacha me déboutonne le pantalon, avant d’ouvrir complètement la fermeture Éclair. Je me retrouve en quelques secondes bite affichée, sa main se refermant autour de mon sexe.
-Je suis la femme la plus heureuse du monde, là ! Dit-elle en le manipulant tendrement.
Mon cœur bat la chamade, tout se bouscule dans ma tête.
-J’ai trop envie de la sucer, dit-elle d’une voix sucrée.
Et sans attendre une réponse de ma part, elle s’incline, jusqu’à ce que ses lèvres s’entrouvrent sur mon gland. Cela me provoque un spasme. Chaude et humide, sa bouche enveloppe mon bout gorgé de désir.
Je n’en reviens encore pas. La gentille Natacha faire ça, je rêve. Sa longue chevelure bouge au rythme de sa succion. Son délicieux jeu de langue me procure des sensations incroyables. En quelques minutes de ce traitement, je gémis d’aise. Elle ponctue sa fellation par de longs coups de langue, dépose des baisers sur mes couilles en gloussant de désir, puis me suce de nouveau avec une envie manifeste que je me rappel de ce moment jusqu’à la fin de ma vie.
Sa bouche se démène à un rythme soutenu le long de mon membre, tant et si bien qu’en quelques minutes à peine, une agréable sensation parcourt le bas de mes reins. Ma verge frissonne pour déloger mon plaisir, des flashs et des étoiles plein la tête.
Des soubresauts me secouent le ventre de longues minutes encore sans pour autant qu’elle n’arrête de me cajoler entre ses lèvres. Ma queue n’a d’ailleurs pratiquement pas débandé.
-Pour la seconde fois, qu’as-tu à m’offrir ?
Le temps est arrêté, plus rien ne compte, que de lui donner du plaisir, et en prendre aussi !
Elle prend place sur mon bureau, avant de se dévoiler. Sa toison brune est soignée, assez fournie, comme j’aime, je n’en reviens toujours pas de la chance qui s’offre à moi. Elle entraîne ma main entre ses cuisses toutes chaudes. J’y découvre la moiteur de son sexe, la douceur de ses lèvres alors que mon majeur découvre l’entrée de son vagin. Elle me guide en m’encourageant. Son clitoris très proéminent frotte contre la paume de ma main à chacune de ses ondulations.
-Ohhhhh oui, rends-moi folle. Tu veux bien ? Tu en as envie ?
Sa voix est sensuelle. Elle pose chacun de ses pieds sur les deux accoudoirs de mon fauteuil, et cela malgré les bottes qu’elle porte. En se cramponnant à moi, elle chevauche mon visage pour délicatement poser son sexe sur ma bouche. Outre cette chaleur, c’est son goût âcre qui me surprend le plus. Cette flagrance emplit instantanément ma bouche avant même que je ne lui prodigue le moindre coup de langue.
Je suis dans mon univers là. Alors je me mets à laper la chatte juteuse et dégoulinante. Ses ondulations promènent son sexe contre mes lèvres alors qu’elle pose ses mains sur ma tête. Je ressens les soubresauts de ma queue raide et douloureuse.
Elle positionne son clito juste entre mes lèvres et m’implore de l’aspirer, de le mordiller, tandis que mon nez, lui, est presque dans son vagin maintenant ruisselant. Natacha me hurle que c’est bon, que je lui fais beaucoup de bien. Mes mains contournent maintenant ses hanches pour venir pétrir son cul. Et il est là ! L’anus tout fripé, étoilé, brunâtre. Il palpite comme un cœur qui bat. Je suis en transe, je colle mon nez contre sa rosette à l’odeur envoûtante.
Elle glousse, j’ouvre grand ma bouche pour aspirer toute sa chatte, ce qui provoque un véritable raz-de-marée dans son bassin. Je passe de nombreuses minutes à naviguer entre ses lèvres, m’efforçant de bien la lécher, espérant être à la hauteur de ses attentes. Soudain, ses fesses se contractent, son vagin enserre ma langue, ses sécrétions s’intensifient alors qu’elle pousse un long feulement en écrasant sa vulve contre ma bouche, je crains de lui avoir fait mal, mais en fait je viens de dédicacer son premier orgasme.
Elle reste sur moi un long moment, puis avance doucement son bassin pour venir offrir son petit anus à la caresse de ma langue. D’instinct, j’écarte ses fesses et lape son œillet de ma langue bien humide, l’effet est immédiat, il s’ouvre comme une fleur. Natacha émet un petit râle d’appréciation qui m’encourage à darder plus avant cette zone.
-Oui, j’adore, je ne savais que c’était si bon de se faire sucer le cul !
Je m’enhardis, et enfonce la pointe de la langue, lui déguste la raie de sa vulve jusqu’au-dessus de l’anus pour mieux y revenir, de plus en plus à l’aise avec son intimité. Sa chatte coule sur mon menton, ma queue bande à déchirer le ciel.
Elle redescend, et viens me chevaucher. Plaque sa vulve sur mon sexe en m’embrassant à pleine bouche, follement excitée, me remerciant du plaisir que je viens de lui donner. La chaleur torride de nos sexes collés en dit long sur l’intensité de nos sens. Sa croupe ondule pour que ses grandes lèvres puissent parcourir ma hampe, je place mes mains sur ses hanches.
-J’en avais vraiment trop envie… me souffle-t-elle.
Elle glisse sa vulve sur ma verge jusqu’à ce qu’elle arrive à placer mon gland à son entrée, et toujours par petites ondulations, ses lèvres commencent à s’ouvrir pour accueillir mon membre en elle. Je sens la douceur et la chaleur de Natacha serrée autour de mon membre, mes mains se crispent sur ses hanches.
Elle effectue de petits va-et-vient qui lentement l’empalent sur ma queue. Tous mes récepteurs captent la multitude de sensations nouvelles, comme sa toison frottant de temps à autre contre mon ventre, ou la vue de nos sexes s’emboîtant, de sa vulve écartelée d’où son clitoris émerge. Je suis divinement bien.
Mes doigts agrippent ses fesses en se plaçant presque dans sa raie, et mes reins ondulent timidement pour venir à sa rencontre. Je sens tout son vagin me comprimer la verge avec une douceur jusque-là inconnue, insoupçonnée. Elle se déhanche, à la recherche de notre plaisir.
-Hummmm que c’est bon… tu es bien ? Parle-moi, bouge en moi. Oui, comme ça. Encore, oh ouiiii.
Son souffle est court, le mien s’accélère aussi, des frissons parcourent nos corps alors que je commence à m’animer en elle. Et comme ça jusqu’à la jouissance.
Avant qu’elle de me quitter, elle m’invite à passer chez elle.
-C’est que je ne sais pas à quelle heure je vais finir ?
-Je t’attendrais ! Fut sa réponse.
Le même jour. Alors que je me suis enfermé dans mon bureau pour mieux déjeuner tranquille, j’entends des bruits de talons s’approché de ma porte d’entrée. Les bruits cessent et très vite je vois la poignet bouger. On essaye d’entrer ! Ne pouvant se réaliser, la personne, une femme sans aucun doute, toque à la porte. Comme j’ai fini je me décide d’aller ouvrir et là surprise, je tombe nez à nez avec Christine.
Sans que je l’invite, la voilà qui force le passage et pénètre le lieu.
-J’ai à te parler me fait-elle avant de poser son beau postérieur sur la chaise que Natacha plus tôt s’était assise.
-Je t’écoute ?
-J’ai un service à te demander.
-Je t’écoute.
-Je veux que tu me rase la chatte.
C’est très rare que cela m’arrive, mais là, elle me cloue sur place. Me laissant sans réaction.
-Alors quoi ? Me fait-elle, cela t’ennuie de me rendre ce service ?
-Voyant Christine, tu veux plaisanter là.
-J’en es l’air ? A part toi je ne vois personne pour me rendre ce genre de service.
-Eh pourquoi moi ?
-Je viens de te le dire. Je n’ai confiance à personne d’autre.
-Aller Christine tu as gagné, tu m’as eu, là.
-Sache que je ne blague pas. J’ai vraiment besoin d’être rasée.
-Mais pourquoi cette idée ?
-Un besoin !
Je l’allonge cul nue sur une serviette-éponge que j’ai étalé sur le bureau. Je glisse un coussin sous son bassin pour surélever son ventre. je commence par élaguer sa toison aux ciseaux. Je tire entre mes doigts les poils qui recouvrent sa chatte. Puis les coupe. Bientôt, son pubis et les abords de sa fente sont débroussaillés.
Je vais jusqu’à le lavabo et reviens avec un seau d’eau chaude que je dépose entre ses cuisses. je lui savonne son pubis, lui passe sur le sexe une mousse. Je fais aller et venir les poils du blaireau dans la fente qui s’ouvre.
La fente de son sexe est encadrée par la mousse blanche, qui s’ouvre de façon avide. Je prends ses grandes lèvres, les étire pour faire disparaître l’espace de chair entre sa chatte et son anus. Elle gémit sourdement tout en suivant mes mouvements.
Je couvre son périnée de mousse jusqu’à l’anus. Reprenant le blaireau enduit de savon à barbe. Je le fais tourner doucement auteur de son petit trou. Je lui titille l’anus avec le bout des poils. Excitée, elle soulève son cul pour m’inciter à continuer. Je fais tourner le blaireau à l’entrée de son anus. Son cul s’ouvre. Je presse le blaireau sur son anus dilaté, écrasant les poils sur son entre fesse. Elle émet une plainte sonore quand j’introduis le manche jusqu’à ce que le blaireau disparaisse dans son orifice élargi.
Je me saisis de son rasoir. Je commence par le bas-ventre. Après chaque passage, je trempe la lame dans le bol d’eau chaude. Les lames crissent sur sa peau. En fin d’opération, il ne reste plus un poil. Cela me fait tout drôle d’apercevoir un pubis de jeune fille.
Je prends ensuite ses grandes lèvres, je les étire pour passer la lame jusqu’à ce que la chatte apparaisse rose et fraîche. Je repasse le savon sur le sexe, l’anus, à l’intérieur des cuisses, à l’entrée de son petit trou. Son cul se referme.
Elle se lève et se rend jusqu’à la salle d’eau. Je bande comme un taureau. Je ne prends même pas la peine de cacher mon érection au retour de Christine. Je veux qu’elle voie dans l’état où je me trouve. Et pourquoi pas, que cela lui donne des envies. Par ce que pour ma part j’ai très envie et cela malgré ma dépense sexuelle avec Natacha de remettre le couvert.
Mais cela ne se fera pas. Et pourquoi ? Tout simplement parce que Christine en a décidé autrement. Elle se rajuste et quitte les lieux pas sans m’avoir remercié.

Les avis des lecteurs

Tu es de permanence ok, mais quel est ton taff ? comment des femmes viennent te voir pour te sucer, ou pour se faire raser la moule ? qu'est-ce que c'est ? Un salon de massage ? d'esthétique ? je vois mal une femme aller voir le concierge d'un immeuble pour se faire raser.



Texte coquin : NATACHA
Histoire sexe : Une rose rouge
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