Notre amie Hortense 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Notre amie Hortense 2
Le lendemain, Lise repense, à ce que lui a racontée son amie. Elle est encore sous le choc, elle se demande comment c'est possible de faire cela avec ses enfants. Toute la journée, elle y pense et cela la perturbe profondément.
Elle profite que Paul est au jardin pour s'étendre sur le canapé, ses sens sont en feu. Elle retrousse sa jupe et au travers de sa culotte, elle se caresse doucement la vulve qui est déjà noyée. Cela fait déjà plusieurs minutes qu'elle se caresse, que Paul entre. Il écarquille les yeux et dit :
-Oh là ma chérie, tu es en manque !
Elle redresse la tête et répond :
-Non, je pense à ce que nous a raconté Hortense.
Paul en ironisant demande :
-Ne me dis pas, que toi aussi, tu es intéressée par ses enfants !
Lise se cabre et sursaute et réplique :
-Oh que non, c'est elle qui m'excite, je l'imagine jouir, en agitant sa croupe, c'est ça qui me fait de l'effet, surtout pas ses enfants, j'aurai bien trop honte !
Paul sourit et ajoute :
- Oui, mais ce sont ses enfants, ils ne sont pas les nôtres. Ah, tu te branles pour elle alors. Eh bien moi m'a chéri, comme toi, depuis qu'elle nous a racontée son délire familial, elle m'intéresse de plus en plus, il faut que je la baise, elle doit être une chaude du cul Hortense !
Lise serre les dents, pousse un grognement et jouit sous le regard attendrit de son mari. Profitant que ses enfants sont à la fac et son mari au bureau, Hortense, invite ses amis à venir prendre un verre. Lise et Paul sont reçus comme à l’accoutumée chaleureusement. Ils prennent place dans le salon.
Hortense, porte une jupe très courte pour son âge. Mais elle a de si belles jambes qu'il serait dommage de les cacher. Son corsage, outrageusement dégrafé, laisse admirer le profond sillon de sa gorge. Les deux invités croisent leurs regards, ils pétillent comme du champagne. Lise dit en souriant :
-Tu es magnifique ma chérie !
Hortense se redresse et en se regardant répond :
-Oh, tu me flattes merci, je me suis faite belle pour vous mes amis, j'ai de grosses cuisses, tu ne trouves pas !
En disant cela, elle remonte légèrement sa jupe. Paul ne quitte pas des yeux les longues jambes, qu'Hortense dénude grandement. Lise répond en souriant :
-Oh que non, elles sont magnifiques, j'aimerais avoir les mêmes !
En se penchant pour prendre son verre sur la petite table, Paul peut apercevoir la culotte. Il se pince les lèvres, Hortense voit la réaction de Paul, elle rabaisse sa jupe et tire dessus comme pour l'allonger. Elle s'assoit en face du couple et trinque avec. Paul ne peut quitter des yeux les cuisses entrouvertes de leur Hôte.
Les verres dès qu'ils se vident se remplissent immédiatement, les esprits s'échauffent. Et comme à chaque fois, cela tourne autour du sexe. Lise très curieuse, en plus aidée par l'alcool demande :
-Tu as fait des folies de ton corps hier soir ma chérie !
En souriant, Hortense dit :
-Je crois que je n'ai jamais autant joui de ma vie, et je vais vous dire pourquoi, eh bien figurez-vous que je n'ai cessé de penser à vous, j'étais si excitée, que je me suis donnée comme une chienne, et ce matin, avant de partir à la fac mes chéris mon fait jouir encore, oh comme je les aime !
Lise demande :
-Tu as fait ça en pensant à nous, eh bien ma cochonne, comme dit Paul, tu dois être une chaude du cul. Cela serait mieux si on le faisait ensemble, tu ne crois pas !
Paul applaudit à la proposition de sa femme, et ajoute :
-Faisons-le immédiatement, battons le fer lorsqu'il est encore chaud !
Hortense resserre un verre, elle semble euphorique et dit :
-je vous aime mes amis autant que mon mari et mes enfants !
Sans plus attendre, elle fait glisser la fermeture éclaire de sa jupe et en se tortillant comme un ver m'a fait descendre sur ses longues jambes. Lise est admirative devant le corps qui se dévoile lentement sous ses yeux. Paul lui retire rapidement son pantalon et son slip, le bougre bande déjà. Lise est plus méthodique, elle s'effeuille comme une stripteaseuse. Hortense ouvre son corsage, ses seins emprisonnés dans un carcan de tissu sont rapidement libérés. Ses seins tombent sur son torse en s'étalant lourdement sur son torse.
Paul est fasciné par cette femme, qui le fait bander comme un poney. lentement Hortense baisse sa culotte, elle est un peu coincée entre ses fesses, ce que fait sourire Lise. Hortense force un peu, le tissu un peu élastique lui fouette les doigts lorsqu' s'échappe des deux lobes, ce qui fait rire Lise. Enfin, les trois sont nus, chacun regarde l'autre, la cible privilégiée, c'est Hortense. Elle sent sur son corps, les regards lourds des deux vautours, qui veulent la dévorer. Elle se laisse tomber sur le canapé. Rapidement, Paul et Lise, prennent place de chaque côté de leur proie.
La main de Lise se pose sur une cuisse d'Hortense, celle de Paul sur l'autre. En parfaite communion, les deux mains glissent doucement sur le galbe parfait des longues jambes de la femme mûre. Sa toison bien entretenue, taillée comme un ticket de métro, fait saliver les invités. C'est Lise Qui la première plaque sa main sur la vulve aux lèvres bien développées. Hortense ouvre largement les cuisses, en poussant un long soupir. Avec douceur, Lise fait glisser ses doigts sur le fruit bien mûr qui commence à rejeter son jus.
Un soupir plus fort que les autres sort de la gorge d'Hortense, lorsque Lise lui enfonce deux doigts dans le brasier. Le petit va-et-vient que pratique Lise, produit un petit clapotis bien distinct, qui fait sourire Paul. Hortense mouille abondamment, en agitant doucement son bassin. Paul s'empare de ses seins et les malaxe en profondeur avec ses doigts puissants. Les bouts larges et épais, ne cessent de prendre du volume. En serrant les dents, Hortense geint de plaisir. Lise en profite pour introduire dans la gaine brûlante un troisième visiteur.
Le ramonage devient plus rapide, Hortense se cambre en offrant plus volontiers son bas-ventre. Paul happe à tour de rôle les mamelons, il les suce, les tète avec de plus en plus de voracité. Les gémissements d'Hortense deviennent bruyants, elle se lâche totalement :
-Oh, mes chéris, vous me faites mourir de plaisir, n'arrêtez pas, je vous en supplie !
Les doigts qui fouillent, les mains qui palpent, pour Hortense, ce n'est que du bonheur. Lise se laisse tomber à genoux entre les jambes d'Hortense. Elle passe ses mains sous les cuisses et s'accroche aux fesses. Elle plaque sa bouche sur le fruit juteux et commence un broutage de chatte faramineux. Hortense se cabre, sa chatte est au bord de l'explosion, elle appuie sur la tête de Lise en criant :
-Oh oui, c'est bon encore, encore ma chérie, je viens, je viens, oh putain, je vais exploser !
Un long gémissement suivit d'un cabrage brutal du bassin, Hortense jouit comme une malade. Lise avale tout ce que lui offre la chatte d'Hortense. Paul lui dévore les mamelons comme un affamé, le corps d'Hortense n'est que jouissance.
Elle profite que Paul est au jardin pour s'étendre sur le canapé, ses sens sont en feu. Elle retrousse sa jupe et au travers de sa culotte, elle se caresse doucement la vulve qui est déjà noyée. Cela fait déjà plusieurs minutes qu'elle se caresse, que Paul entre. Il écarquille les yeux et dit :
-Oh là ma chérie, tu es en manque !
Elle redresse la tête et répond :
-Non, je pense à ce que nous a raconté Hortense.
Paul en ironisant demande :
-Ne me dis pas, que toi aussi, tu es intéressée par ses enfants !
Lise se cabre et sursaute et réplique :
-Oh que non, c'est elle qui m'excite, je l'imagine jouir, en agitant sa croupe, c'est ça qui me fait de l'effet, surtout pas ses enfants, j'aurai bien trop honte !
Paul sourit et ajoute :
- Oui, mais ce sont ses enfants, ils ne sont pas les nôtres. Ah, tu te branles pour elle alors. Eh bien moi m'a chéri, comme toi, depuis qu'elle nous a racontée son délire familial, elle m'intéresse de plus en plus, il faut que je la baise, elle doit être une chaude du cul Hortense !
Lise serre les dents, pousse un grognement et jouit sous le regard attendrit de son mari. Profitant que ses enfants sont à la fac et son mari au bureau, Hortense, invite ses amis à venir prendre un verre. Lise et Paul sont reçus comme à l’accoutumée chaleureusement. Ils prennent place dans le salon.
Hortense, porte une jupe très courte pour son âge. Mais elle a de si belles jambes qu'il serait dommage de les cacher. Son corsage, outrageusement dégrafé, laisse admirer le profond sillon de sa gorge. Les deux invités croisent leurs regards, ils pétillent comme du champagne. Lise dit en souriant :
-Tu es magnifique ma chérie !
Hortense se redresse et en se regardant répond :
-Oh, tu me flattes merci, je me suis faite belle pour vous mes amis, j'ai de grosses cuisses, tu ne trouves pas !
En disant cela, elle remonte légèrement sa jupe. Paul ne quitte pas des yeux les longues jambes, qu'Hortense dénude grandement. Lise répond en souriant :
-Oh que non, elles sont magnifiques, j'aimerais avoir les mêmes !
En se penchant pour prendre son verre sur la petite table, Paul peut apercevoir la culotte. Il se pince les lèvres, Hortense voit la réaction de Paul, elle rabaisse sa jupe et tire dessus comme pour l'allonger. Elle s'assoit en face du couple et trinque avec. Paul ne peut quitter des yeux les cuisses entrouvertes de leur Hôte.
Les verres dès qu'ils se vident se remplissent immédiatement, les esprits s'échauffent. Et comme à chaque fois, cela tourne autour du sexe. Lise très curieuse, en plus aidée par l'alcool demande :
-Tu as fait des folies de ton corps hier soir ma chérie !
En souriant, Hortense dit :
-Je crois que je n'ai jamais autant joui de ma vie, et je vais vous dire pourquoi, eh bien figurez-vous que je n'ai cessé de penser à vous, j'étais si excitée, que je me suis donnée comme une chienne, et ce matin, avant de partir à la fac mes chéris mon fait jouir encore, oh comme je les aime !
Lise demande :
-Tu as fait ça en pensant à nous, eh bien ma cochonne, comme dit Paul, tu dois être une chaude du cul. Cela serait mieux si on le faisait ensemble, tu ne crois pas !
Paul applaudit à la proposition de sa femme, et ajoute :
-Faisons-le immédiatement, battons le fer lorsqu'il est encore chaud !
Hortense resserre un verre, elle semble euphorique et dit :
-je vous aime mes amis autant que mon mari et mes enfants !
Sans plus attendre, elle fait glisser la fermeture éclaire de sa jupe et en se tortillant comme un ver m'a fait descendre sur ses longues jambes. Lise est admirative devant le corps qui se dévoile lentement sous ses yeux. Paul lui retire rapidement son pantalon et son slip, le bougre bande déjà. Lise est plus méthodique, elle s'effeuille comme une stripteaseuse. Hortense ouvre son corsage, ses seins emprisonnés dans un carcan de tissu sont rapidement libérés. Ses seins tombent sur son torse en s'étalant lourdement sur son torse.
Paul est fasciné par cette femme, qui le fait bander comme un poney. lentement Hortense baisse sa culotte, elle est un peu coincée entre ses fesses, ce que fait sourire Lise. Hortense force un peu, le tissu un peu élastique lui fouette les doigts lorsqu' s'échappe des deux lobes, ce qui fait rire Lise. Enfin, les trois sont nus, chacun regarde l'autre, la cible privilégiée, c'est Hortense. Elle sent sur son corps, les regards lourds des deux vautours, qui veulent la dévorer. Elle se laisse tomber sur le canapé. Rapidement, Paul et Lise, prennent place de chaque côté de leur proie.
La main de Lise se pose sur une cuisse d'Hortense, celle de Paul sur l'autre. En parfaite communion, les deux mains glissent doucement sur le galbe parfait des longues jambes de la femme mûre. Sa toison bien entretenue, taillée comme un ticket de métro, fait saliver les invités. C'est Lise Qui la première plaque sa main sur la vulve aux lèvres bien développées. Hortense ouvre largement les cuisses, en poussant un long soupir. Avec douceur, Lise fait glisser ses doigts sur le fruit bien mûr qui commence à rejeter son jus.
Un soupir plus fort que les autres sort de la gorge d'Hortense, lorsque Lise lui enfonce deux doigts dans le brasier. Le petit va-et-vient que pratique Lise, produit un petit clapotis bien distinct, qui fait sourire Paul. Hortense mouille abondamment, en agitant doucement son bassin. Paul s'empare de ses seins et les malaxe en profondeur avec ses doigts puissants. Les bouts larges et épais, ne cessent de prendre du volume. En serrant les dents, Hortense geint de plaisir. Lise en profite pour introduire dans la gaine brûlante un troisième visiteur.
Le ramonage devient plus rapide, Hortense se cambre en offrant plus volontiers son bas-ventre. Paul happe à tour de rôle les mamelons, il les suce, les tète avec de plus en plus de voracité. Les gémissements d'Hortense deviennent bruyants, elle se lâche totalement :
-Oh, mes chéris, vous me faites mourir de plaisir, n'arrêtez pas, je vous en supplie !
Les doigts qui fouillent, les mains qui palpent, pour Hortense, ce n'est que du bonheur. Lise se laisse tomber à genoux entre les jambes d'Hortense. Elle passe ses mains sous les cuisses et s'accroche aux fesses. Elle plaque sa bouche sur le fruit juteux et commence un broutage de chatte faramineux. Hortense se cabre, sa chatte est au bord de l'explosion, elle appuie sur la tête de Lise en criant :
-Oh oui, c'est bon encore, encore ma chérie, je viens, je viens, oh putain, je vais exploser !
Un long gémissement suivit d'un cabrage brutal du bassin, Hortense jouit comme une malade. Lise avale tout ce que lui offre la chatte d'Hortense. Paul lui dévore les mamelons comme un affamé, le corps d'Hortense n'est que jouissance.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La suite logique, ce serait qu'Hortense avoue avoir inventé ses parties de sexe avec ses enfants pour exciter ses voisins et les amener dans son lit !
Ainsi, on reviendrait à de l'histoire "convenable", sans ce climat incestueux pas franchement sain...
Ainsi, on reviendrait à de l'histoire "convenable", sans ce climat incestueux pas franchement sain...
Désolée, il n'y a pas de suite, merci pour vous commentaire
Voilà une histoire extrêmement excitante...
Cyrille
Cyrille
Belle histoire... pourquoi ne pas inventer une suite ???