Nouvelles découvertes pour Karine - histoire érotique

Vêtue d'un t-shirt bien trop large, qui lui arrive à mi-cuisses, Karine est prête pour la nuit. Elle monte se coucher, mais pour rejoindre sa chambre, elle doit passer devant celle de sa maman. La lumière est encore allumée, Karine entrouvre la porte, passe la tête par l'ouverture et dit en souriant :

-Coucou maman, tu ne dors pas encore !


Mathilde, la maman, répond en souriant :

-Oh non, il fait bien trop chaud !


Karine pousse la porte et entre :

-Je peux te tenir compagnie un moment maman !


La maman souriante répond :

-Oui ma chérie, viens t'allonger à côte de moi !


Avant de monter sur le lit, elle regarde sa maman, qui est vêtue d'une nuisette transparente très courte, qui lui arrive à mi-cuisses. Sa maman est nue en dessous de la nuisette. Karine voit nettement la toison très fournie de sa maman. Ses yeux maintenant se posent sur sa poitrine. La pointe des seins appuient fortement sur le tissu comme pour le percer. Karine est en admiration devant le corps de sa maman que le tissu transparent peine à cacher.

Dès sur le lit, elle se plaque contre sa maman, les corps sont moites. Souvent lorsque son papa travaille de nuit, Karine va faire la conversation à sa maman. Les deux complices parlent de choses et d'autres, Mathilde ne cache rien à sa fille, elle répond à chacune de ses questions. Puis doucement la conversation dérape, les questions désormais sont plus dirigées vers le sexe.
Karine vient d'avoir dix-huit ans, étrangement pour une fille de son âge, elle est encore vierge. Bien sûr, elle se fait des petits plaisirs digitaux, mais veut en savoir plus sur le sexe. Les deux femmes sont très fusionnelles, Karine, sans honte, questionne sa maman :

-Maman, je t'entends fréquemment le soir gémir, qu'est-ce que papa te fait pour te faire geindre si fort, aller, raconte, donne des détails, je meurs de savoir !



Mathilde tourne la tête vers sa fille, les visages sont si près que les souffles se mêlent. La maman se racle la gorge et dit :

-Je dois avouer que ton papa est un amant exceptionnel, il est si doué, que ses caresses avec sa bouche et ses doigts sur mon corps deviennent de l'art, et sa verge puissante qui me fore le ventre me rend bestiale !


Karine impatiente demande :

-Comment il te touche papa, je veux tout savoir maman !


Mathilde, sans honte, entre dans les détails, les yeux de Karine se dilatent d'étonnement sous le récit qui devient très prenant. Karine, comme à trembler, elle serre les poings et dit :

-Maman, fais sur moi ce que papa te fait !



Mathilde sursaute, et prend appuie sur ses coudes et en regardant sa fille répond :

-Tu veux que je te caresse comme papa le fait sur moi, mais ma chérie, c'est immoral, tu es sérieuse là !


Karine répond un peu surexcitée :

-Oui maman, je le souhaite, fais-le, je t'en prie, ou alors, tu ne m'aimes pas !

Mathilde pousse un gros soupir et réplique :

-Mais cela n'a rien avoir avec l'amour que j'ai pour toi, c'est de l'inceste ma chérie, cela m'ai interdit !


En fronçant les sourcils, Karine continue son chantage :

-C'est bien ce que je dis, tu ne m'aimes pas, tous tes mots d'amour n'étaient que du pipeau, maintenant, j'en suis sûr !


La maman, complétement déstabilisée, opine de la tête négativement, et dit :

-Ma chérie, tu es folle, ne me torture pas, je t'en prie !


Karine insiste :

-Fais-le maman, fais-le !




Mathilde ne sait que faire, elle déglutit plusieurs fois. Puis en poussant soupir bruyant, pose sa main sur la cuisse de sa fille. Elle la caresse doucement sans dire un mot. Les yeux des deux femmes se croisent, ceux de la maman sont remplis de larmes, ceux de La fille brillent de mille éclats. Karine pose sa main sur celle de sa maman et lentement la pousse vers le haut de sa cuisse. Mathilde en poussant de nombreux soupirs se laisse diriger. Les deux mains soudées l'une à l'autre, passe sous le t-shirt, et se plaquent sur la fine toison duveteuse de la demandeuse. Karine fait faire aux mains quelques voyages sur sa fente. Puis lâche la main de sa maman, qui machinalement continue de caresser la jeune vulve presque imberbe. Lentement, Karine ouvre les jambes et remonte son t-shirt le plus possible en découvrant son ventre.


Les longs doigts fins de sa maman glissent sur ses grandes lèvres, les caressent avec douceur. Un doigt s'insère entre les fines lèvres, et remonte jusqu'à la petite protubérance de chair. Timidement, du bout du doigt, Mathilde caresse la petite boule, en faisant tourner délicatement son doigt dessus. Karine n'avait jamais connu un tel attouchement, elle geint doucement en cambrant légèrement son bassin. Plusieurs fois, le doigt de sa maman appuie sur la boule magique, qui rapidement prend du volume. Les petites pressions sur son clitoris font gémir Karine comme un animal. La jeune vulve, se met à suer. Les yeux de Mathilde ne quittent pas le petit ruisseau qui n'est pas près de se tarir.


Avec délicatesse, elle emprisonne le clito entre les grandes lèvres et commence un doux branlage. Karine défaille, elle-même, ne s'est jamais masturbée de cette façon. Le clito devient aussi gros qu'une noisette, la maman consciencieuse l'agite sans brusquerie, toujours au même rythme. Soudainement, Karine est prise de tremblements incontrôlables, sa peau frissonne, elle gémit fortement. Sa maman accélère la masturbation, la jouissance de Karine est terrible. Elle pousse de longs gémissements rauques, sa maman maintient la cadence, Karine semble se vider de sa cyprine. Mathilde lâche la boule magique, elle regarde sa fille et lui dit :

- Voilà, tu es satisfaite !

Karine répond avec des trémolos dans la voix :

-Maman, continue, fais tout ce qu'il te fait, avec ses doigts et sa bouche !

Mathilde pousse encore un gros soupir et dit :

-Je suis folle de t'écouter, je dois être une maman indigne, bon retire ton t-shirt !

D'un geste habile, Karine, fait tomber le t-shirt, elle est totalement nue. Elle se laisse retomber sur le lit en regardant sa maman amoureusement. Les mains moites de sa maman se posent sur son torse, le caresse un instant, avant de prendre délicatement entre ses doigts les petits seins bien fermes. Sans brusquerie, la maman malaxe les lobes, les pétrit en enfonçant doucement ses doigts dans la chair tendre et souple. Ses doigts tournent sur les aréoles brunes, ou les mamelons sont plantés. Avec art, elle les roule entre ses pouces et ses index. Comme par miracle, les bouts s'épaississent, en durcissants.

La bouche de Mathilde se pose dessus et se met à téter les bouts dressés un à un. Pour Karine, c'est le bonheur, elle souffle fortement. Tout en suçant, une main de sa maman descend sur son ventre, fait des petits cercles dessus, en s'approchant du puits d'amour. Deux doigts glissent sur le clito encore gonflé, le saisissent et avec un rythme bien dosé le branle. Karine agite son bassin en geignant. Maintenant Mathilde se laisse prendre au jeu, elle commence à embrasser le torse de sa fille, descend sur le ventre, et de la pointe de sa langue agace le nombril.


Elle se redresse, cesse la masturbation, puis prend place entre ses cuisses. Elle avance sa tête de l'abricot et commence à le lécher. Ses coups de langues font cabrer Karine, qui enfonce ses doigts dans la longue chevelure de sa maman. La langue agile s'enfonce dans la gaine brûlante et la fouille profondément, les gémissements de sa fille ressemblent à des gémissements de bêtes agonisantes. Mathilde aspire le clito et se met à le sucer comme un bonbon. C'est trop pour Karine, elle explose de jouissance en poussant un long râle.