Nuit de folie

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Nuit de folie Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Nuit de folie
« Ah, putain, qu'est-ce qui ne va pas chez toi ? » grogna Clémentine, en plaçant son avant-bras devant ses yeux, pour les protéger des rayons du soleil. Sa sœur, debout à côté du lit, les poings sur les hanches, la dévisageait avec un sourire narquois sur les lèvres.

« On dirait que ta soirée entre filles était bien arrosée » a rigolé Bérengère. « Je savais qu'on ne pouvait pas faire confiance à tes amies. Si proche du mariage, avec tant de choses à faire, si ton chéri voyait dans quel état tu t’es mise »
« Merci pour ton aide » grogna Clémentine, en trébuchant jusqu’à la salle de bain. Elle se regarda dans le miroir, et fut effrayée par son image. Catastrophique. Mais une fulgurance illumina sa mémoire. Elle regarda vers ses jambes. Elle ne portait qu’un tee-shirt, tout le bas de son corps était nu. Et toutes ces traces de sperme séché qui avait coulé entre ses cuisses ...

« Oh, merde, qu'est-ce que j'ai fait ? » pensa-t-elle. Mais elle savait. Bribe par bribe, la mémoire lui revenait. Ce grand type, la nuit dernière. Elle s’était pratiquement jetée à son cou. Elle était ivre. Ses copines l’avaient mises au défi de le sucer. Mais quand elle avait vu la taille de l’engin ! Elle avait avait entraîné le mâle viril dans un salon privé, et l’avait chevauché, sans même penser à utiliser un préservatif !

« C’était bien ? » se renseignait Bérengère, debout dans l'embrasure de la porte de la salle de bain.

« Je ... Oh, putain, sœurette ! J'ai trompé Arthur cette nuit ! »
« Écoute, tu étais ivre et probablement excitée. Ne t’en fais pas une montagne. C’est juste une bêtise. Cela ne remets pas en cause tes noces, n’est-ce pas ? »
« Non, bien sûr que non. Je ne referai plus jamais ça, prendre une cuite et baiser n’importe qui ! » Mais le souvenir cuisant de cette grosse bite qui lui ramonait la chatte la faisait mouiller. Une bite si grosse, et beaucoup plus grande que celle de son fiancé. Elle se revoyait, clouée sur la banquette, agrippée aux épaules de l’homme qui la pilonnait, chavirée par des orgasmes à répétition ...

« Jamais ... plus jamais ça ! »
« C'était bien au moins ? » gloussa sa sœur, espiègle.

« Je ... Oh putain, il était incroyable ! Monstrueux ! Jamais vu un sexe pareil. Enfin, je suppose... Je ne me rappelle pas bien. Hum, je ferais mieux de prendre une douche. Je te rejoins en bas dans un instant... et, sœurette ? Merci pour ta compréhension, et ta discrétion. Je t'aime, Bérengère »
Bérengère sourit malicieusement en s’esquivant.

Bérengère était follement, passionnément, éperdument amoureuse de sa sœur, Clémentine. Elle ne pouvait pas s'en empêcher. Se réfréner. Clémentine la rendait folle de désir. Bérengère était bisexuelle, elle avait eu des amants autant que des maîtresses, au fil des ans... mais toutes les relations s'étaient interrompues parce qu'elle désirait Clémentine plus que tout.

Et maintenant, Clémentine allait épouser Arthur, son gentil fiancé. Elle ne pouvait pas accepter que ce bellâtre lui vole sa petite sœur, l’amour de sa vie. Elle savait comment ruiner ce mariage. Elle s’est précipitée dans sa chambre pour attraper son téléphone.

Clémentine sursauta lorsque son téléphone sonna près d’elle. Les bruits stridents n'étaient pas ses amis, ce matin. Elle se sentait moins misérable après sa douche, mais un cachet d’aspirine serait le bienvenu. Elle prit son téléphone. Un message. Expéditeur inconnu. Elle l’ouvrit et regretta aussitôt. Une photo d’elle ... Chevauchant l’inconnu de la nuit dernière. Le visage … Oh, putain ! Cette expression sur son visage ! Bouche grande ouverte, hurlant de plaisir en s’empalant sur la bite dressée.

« Merde ! Qu'est-ce que... qui a pris cette photo ? » Elle ne parvenait pas à réfléchir. Le téléphone vibra dans sa main. Nouveau message. Toujours expéditeur inconnu. Un texto cette fois.

« Bonjour, Clémentine. Quelle vilaine fille ! Et ton mariage ? Si proche ... Pauvre Arthur, s'il savait quelle salope tu es ! Je devrais peut-être l’informer ? Lui envoyer quelques photos de toi en pleine action ? Si tu veux garder cette histoire secrète, tu devras te conformer aux consignes suivantes »
Clémentine se tassa sur sa chaise. Chantage? Peut-être qu'il suffirait de dire la vérité à Arthur. Enfin, une vérité un peu arrangée … Il lui pardonnerait, non ? Sinon, s'il se fâchait, le mariage arrangé entre leurs deux familles ... Elle aimait Arthur, mais elle aimait aussi le confort matériel que ce mariage allait lui apporter. Et sa famille, proche de la banqueroute. La reprise de l’entreprise de son père par la famille de son fiancé. Son père qui prendra sa retraite, et Arthur qui lui succédera. Tout cela mis en péril par sa faute.

Tous ses efforts mis en péril par une indiscrétion ?

« Merde ! » hurla-t-elle. Elle était tentée de jeter son téléphone contre le mur, et elle se prit la tête à deux mains. Le téléphone vibra de nouveau. Encore un texto, qui lui conseillait de se rendre immédiatement à une adresse dans un quartier crasseux de la basse ville. Quelles options avait-elle ? Elle pouvait foutre en l'air son avenir, mais celui de son père dépendait d’elle. Elle devait suivre les instructions.

S'habillant de façon discrète, la capuche relevée pour protéger son identité, elle se rendit à l'endroit indiqué. Elle est passée lentement devant un immeuble assez sordide, pour aller se garer plus loin, sur une placette. C'était … Beurk ! L’allée sombre et crasseuse sentait la pisse. Dans l’escalier, elle n’a pas osé prendre appui ni sur le mur, ni sur la rampe. L’appartement était au dernier étage, sous les combles.

Sans s’arrêter pour reprendre son souffle, elle a toqué à la porte portant le numéro 16. Une voix grasse lui répondit : « Ramène ton cul par ici, connasse ! »
« Qu'est-ce que ... vous ne pouvez pas être poli ? » dit-elle machinalement.

La porte s'ouvrit à la volée, en claquant contre le mur, pour dévoiler un grand noir costaud, la quarantaine bedonnante. Vêtu d’un short crasseux et d’un tee-shirt troué.

« C’est toi, Clémentine ? »
Elle acquiesça.

« Rentre ici, salope, et admire ! » Il a prit un ton théâtral pour lui montrer l’écran de son téléphone. Encore une photo d’elle, baisée par son bel inconnu, la nuit dernière. Est-ce que toute la ville avait reçu des photos d’elle ?

« Tu veux que je l’envoie à ton fiancé, ou tu préfères être docile ? »
En soupirant, elle suivit l’inconnu dans un couloir sombre jusqu’à une chambrette en soupente. À l'intérieur se trouvait un deuxième homme, type nord-africain, vêtu de la même manière que le premier. Il se déplaça de manière à encadrer Clémentine. Personne ne disait un mot, les hommes tournaient autour d’elle, en la reluquant, Clémentine stressait, en proie à la plus grande anxiété.

« C’est toi, la pute qui baise un mec qu’elle ne connaît même pas, lors d’une soirée entre filles ? » lâcha méchamment l’arabe, la faisant tressaillir sous le coup de la surprise.

« Euh… ce n'était pas comme ça ! J’avais un peu trop bu, mes copines m’ont mise au défi, un pari idiot … Écoutez, je… »
« Un pari idiot, hein ? Donc, si j'envoie cette photo de toi en train de niquer, et d'aimer ça, en plus, si j’en crois ta gueule, ton mec dira juste "ah ouais, un pari idiot" et ça passerait comme ça ? »
« Pourquoi feriez-vous une telle chose ? Je ne vous ai causé aucun tort ! Pourquoi vous acharnez-vous contre moi ? Je ne comprends pas ce qui motive toute cette haine »
« Ce qui se passe ici, c'est que tu vas nous donner ce dont nous avons besoin. Alors, peut-être que nous serons gentils, et que nous n'enverrons pas cette photo à ton futur mari. Pour une pute comme toi, c’est pas grand-chose, et à nous, cela nous fera du bien. Alors, tu vas être gentille ? » demanda le noir.

« Je suppose que je n’ai pas le choix ... »
« OK, fais-nous voir tes nichons »
« Quoi ? Ce n’est pas sérieux » s’exclama Clémentine en reculant d'un pas. Ce faisant, elle a heurté l’arabe qui s’est offusqué :
« Je t’avais dit que cette putain ne voudrait pas nous faire plaisir. Tant pis, envoie la photo à son chéri » Le noir souleva son téléphone, montrant l’écran à Clémentine, et posa son doigt sur le bouton "Envoyer"
« Non ! » Clémentine a hurlé : « S'il vous plaît, soyez chics, je serai gentille. S'il vous plaît, ne soyez pas si pressés »
« Fais-nous voir tes nichons, putain, tu pleurnicheras plus tard, connasse » Clémentine s’est résignée, les larmes aux yeux, elle a ôté son cardigan, son chemisier et dégrafé son soutien-gorge.

« Ne cache pas tes seins avec tes mains, Blanchette » s’exclama le noir. Comme elle n’obtempérait pas assez vite, une claque sur l’avant-bras l’a faite obéir en poussant un cri de douleur.

« Elle a des gros seins, cette salope » a apprécié l’arabe en se penchant sur elle pour lui sucer les tétons.

Clémentine haleta lorsque le gars aspira l'un de ses mamelons, suçant et tétant goulûment, avant de s’acharner sur l'autre. Elle sentait sa chatte s’humidifier. Elle frissonnait de peur et de rage mêlées, et pourtant ce sale type parvenait à lui procurer une émotion sexuelle. Le type était un expert. Il savait quoi faire d’une jeune poulette. Il en avait dressé plus d’une. Le type la guidait, réagissait à ses désirs. Bientôt, son jeune corps l’a trahie, et elle a pressé la tête de son tourmenteur contre son sein, gémissante de plaisir.

Bouche ouverte, geignante d’enchantement, elle se souvenait de l'homme qui, la nuit précédente, l’avait faite hurler de plaisir en la chauffant de la même manière, avant de la baiser, et de la rendre folle. Merde, mais d’où sortaient ces mecs qui s’acharnaient sur elle ? Le gars, avec sa science et sa technique, la faisait gémir comme une pute bon marché. Puis, il rompit l’enchantement, en s’éloignant d’elle. Ils regardaient tous deux sa poitrine se soulever d’excitation, les tétons dressés, le souffle court de la belle surexcitée.

« Cette salope aime ça. Elle est faite pour la baise » commenta le noir. « Ça ferait une bonne recrue pour notre petit commerce »
« Attendez, non ! » Mais Clémentine était trop lente. L’arabe, vif comme l’éclair, avait déjà passé sa main sous sa jupe et dans sa culotte : « Je confirme, cette salope est trempée, et prête à baiser avec qui la voudra ! »
« Attendez, non ! Mais non, vous ne pouvez pas, je ne suis pas … ce que vous dites ! Non, ne fais pas ça, je ne … Non, oh, non … Aaaah, oui, là oui, là ... » L’arabe avait mis deux doigts dans sa chatte, et son pouce tournoyait sur son clitoris. Il la baisait debout, juste avec ses doigts, sa chatte ruisselait, ses jambes vacillaient, alors elle s’est accrochée au gars en le suppliant de la faire jouir.

« Putain, mais quelle salope ! » s’exclama le noir. « Je pensais que nous allions devoir la forcer, mais cette pute, quelle salope ! T’as déjà baisé plusieurs mecs en même temps, bébé ? »
« Hum, quoi ? » Marmonnait Clémentine, l'esprit encore brumeux après la violence de l’orgasme. Le noir venait de quitter son short, et son membre pendait. Au-delà de l’imaginable. Le type, cette nuit, était impressionnant. Mais le noir était encore plus grand, et il n’était pas en érection ! Elle le regardait fixement s’avancer, hypnotisée par le lourd balancement, tandis que l’arabe la doigtait minutieusement, favorisant ainsi le maintien de son excitation.

« Quoi ? Non ! Jamais ! Pas question ! Cette nuit, j’étais ivre. J’ai triché, OK, mais je ne recommencerai plus. Je serai gentille, mais pas ça. Non ! Oh, mon dieu ! » Clémentine venait de s’apercevoir que l’arabe avait lui aussi quitté son short, et qu’il était aussi bien équipé que le noir !

« C'est le contrat, fillette » a déclaré le noir. « Tu vas nous baiser, tous les deux, ici et maintenant. Ou ton chéri recevra les photos. Pigé ? »
Elle ne pouvait pas détacher ses pensées de ces magnifiques bites. Elle se souvenait de l’émotion que lui avait procuré l’autre type, cette nuit. Sa résistance flanchait, son corps la trahissait.

« Je ne peux pas faire une chose pareille, s'il vous plaît, mon fiancé ... »
« C’est bien le moment de penser à ce pauvre type ! T’arrête pas de reluquer ma bite ! T’en as déjà vu une comme ça ? Non ? Ton chéri, il en a une grosse comme nous, ou une toute petite ? »
« Non, il n'est pas comme vous » dit-elle sans réfléchir. Ce qui déclencha les rires des deux salopards. Mais elle poursuivait, s’accrochant à son idée : « J’étais ivre la nuit dernière. Il me pardonnera peut-être un moment de folie, d’ivresse, mais pas de coucher avec deux types comme vous, à jeun .. »
« Et les finances de ta famille, vous en êtes où ? »
« Comment savez-vous cela ? » ses yeux ne quittaient pas l'appendice que l'homme balançait doucement.

« On sait tout, poulette ! On sait aussi qu’on va te baiser. Pas le choix, ma petite pute, c’est le contrat. Nous serons doux … à moins que tu nous demandes de ne pas l’être ! »
Elle savait qu’elle était tombée dans un traquenard. Monté par qui ? Une de ses amies ? Une caméra cachée, où tout le monde sort de derrière un rideau, en éclatant de rire ? Mais elle trouvait que la blague n’était pas drôle, et qu’elle avait trop duré. Et puis ce type, avec ses doigts dans sa chatte, qui la faisait mouiller. Et l’autre enfoiré là, qui balançait sa bite lourdement …
« J'en ai marre d'attendre. Enlève tes frusques, salope, que je te baise » rugit le noir.

« Attendez, non, pas ça ! »
L’arabe roula sa jupe autour de ses hanches, et fit glisser sa culotte et ses collants jusque sous ses genoux. Elle tremblait de peur, essayait de reculer pour échapper à l’emprise des deux hommes, trébucha, empêtrée dans ses sous-vêtements, et tomba sur le lit.

Le noir se pencha sur elle, et ses sous-vêtements volèrent à travers la pièce. Un bras en travers de ses seins, une main couvrant sa chatte, elle essayait de leur résister.

« Nous n'allons pas te violer, Clémentine. On sait que tu es une putain de grosse salope. Donc... tu vas écarter les jambes pour nous ... ou nous enverrons ce message. Dernière chance… »
Elle regarda leurs visages déterminés, et vit qu'ils ne plaisantaient pas. Violée, ou consentante sous la contrainte, elle ne voyait pas la différence. Une larme roula sur sa joue tandis qu'elle hochait la tête.

« Bonne fille » lui murmura l'homme près elle à l'oreille. « Allez, bouge ton cul »
Elle rampa et s’allongea sur le lit, en se demandant si le drap était propre. Les deux hommes se tenaient debout de chaque côté du lit, et balançaient lentement leurs bites monstrueuses. Son regard était attiré par leurs sexes presque jumeaux. Elle savait qu’elle aurait dû être effrayée par tout cela, mais quelque chose en elle empêchait la répulsion naturelle qu'elle aurait dû ressentir. Quelque chose en elle espérait que ces deux bites viennent visiter l’intérieur de sa petite chatte.

« Ta bouche, salope ! Utilise tes mains et ta bouche. Maintenant » La voix du noir était impatiente.

Elle savait ce qu'ils attendaient d’elle. Avec lenteur, elle avança sa main pour caresser son pieu de chair. Son poing avait des difficultés à en faire le tour. Elle se hissa sur le coude pour lécher le gland. Une goutte perlait à l’orifice du méat. Elle la goba et frissonna. Une vague de quelque chose traversa son bas-ventre. Sans réfléchir, elle porta le gland à sa bouche et le goba.

« Quelle pute ! Et elle prétend ne pas aimer le sexe » commenta le noir. Sa main cajolait le pieu de chair, sa bouche et sa langue besognaient le gland avec ferveur. Des idées folles germaient dans sa tête. Elle sentit un contact dans ses cheveux et leva la main, les yeux fermés, pour trouver la verge de l’arabe sans peine.

Nul besoin d’encouragements, elle commença à prodiguer des caresses au membre épais. Elle enleva sa bouche du sexe du noir, pour goûter celui de l’arabe.

« Allez, fillette, crache bien sur ma bite, elle rentrera mieux dans ta chatte » rigolait l’arabe. Mais il piaffait d’impatience. Saisissant la tignasse de Clémentine à pleine main, il a tiré sa tête en arrière. Elle fut surprise autant que déçue, car elle se croyait experte en ce domaine. D’une main, il l’a clouée sur le lit, et s’est allongé entre ses jambes écartées. Les yeux écarquillés, elle fixait la monstrueuse bite que le gars voulait blottir dans sa petite chatte.

Le gars promenait le bout de sa bite dans sa fente, tapotait le clitoris, plongeait légèrement son pieu dans l’entrée de sa vulve, se retirait aussitôt, pour recommencer à frotter son membre dans la fente qui s’humidifiait.

« Tu sais quoi, mon frère, je crois qu'on ne devrait pas faire ça », a dit l’arabe, pensif, la bite à la main, en continuant son manège. « On devrait juste envoyer les photos à l’autre con, et rentrer chez nous, peinards, pour tringler nos gonzesses. Celle-là, elle veut pas baiser nos grosses queues, elle préfère la petite tige de son chéri »
Clémentine regardait entre ses jambes écartées, sentant le plaisir qui grandissait, en voyant la taille de la bite prête à entrer en elle : « Non... » supplia-t-elle doucement. « Non, ne t’arrête pas »
« Désolé, fillette, je n'ai pas compris. Tu veux que je parte ? »
« NON » Elle a crié, cette fois.

« Non, quoi ? Tu veux quoi ? Qu'on s’en aille ou .. » s'amusait l’arabe. « Dis-moi ce que tu veux, fort et clair »
La fille allongée sous lui, la poitrine palpitante, les tétons dressés, le vagin trempé, avait les yeux qui lui sortaient de la tête. Clairement excitée.

« Non » Elle l’a supplié. « Ne pars pas. Reste. Et baise-moi »
Les deux hommes se regardèrent, mais rien ne bougea. Tout ces discours sur la nécessité de la baiser, la chauffer comme ça, et puis plus rien ? L’arabe a recommencé sa caresse. Promener le bout de sa bite dans sa fente, tapoter le clitoris, juste pour taquiner Clémentine. Elle était extrêmement ardente maintenant, ses craintes et ses réticences étaient loin.

« S'il te plaît... baise-moi, je suis prête. Allez, mets ta putain de grosse bite en moi » Elle le suppliait, sans succès. Le noir a contourné le lit, s’est penché sur elle, pour sucer son mamelon. Elle sentait grossir un orgasme au fond de son ventre.

« Oh putain, je viens, je vais jouir »
Ils se sont arrêtés, se sont éloignés, attendant qu’elle se calme. Elle a crié de rage, à cause de son orgasme interrompu. Une fois calmée, ils ont recommencer à l’exciter, jusqu’à ce qu’elle s’emballe. Juste avant l’orgasme, ils ont stoppés. Attendre qu’elle se calme. Et recommencer à la chauffer en la tripotant. Encore et encore. L'amener au bord de l'extase, et l’abandonner cruellement. Ils lui ont mis le cerveau à l’envers, elle les suppliait, et ils jouaient les indifférents. Elle a essayé de se toucher, pour se faire jouir, mais ils l’ont empêchée.

« Dis-nous ce que tu veux, Clémentine, dis-le nous clairement, posément. Si tu veux qu’on te baise, on te baisera, jusqu’à ce que tu jouisses. Mais dis-le simplement »
« Ce que je veux, c’est que vous me baisiez tous les deux ! J'ai besoin de vos putains de grosses bites en moi, et de me faire jouir avec, s’il vous plaît »
« Mais, et ton fiancé ? Que lui dirais-tu maintenant, s'il était là ? »
« Je lui dirais d’aller se faire foutre avec sa petite bite, j’ai besoin de jouir ! »
« Mmm, mais tu ne jouis pas avec Arthur ? »
« Non. Arthur n’a pas un grosse bite. Je suis obligée de me soulager, après … S’il te plaît, je m’en fous d’Arthur, baise-moi, maintenant, s’il te plaît, baise-moi fort »
« Une dernière chose, bébé » l’arabe pressait sa bite entre ses lèvres, entrant à peine. Elle a essayé de l’attirer en elle, de se cambrer, de hausser son ventre, mais il se retirait autant qu’elle s’avançait. Elle le sentait si proche, mais n’arrivait pas à l’introduire. Elle s’énervait : « Oh, putain, oui, n'importe quoi, mais s'il te plaît, baise-moi »
« Je veux que tu me regardes dans les yeux et que tu dises que tu n'aimes plus Arthur. Je veux que tu me dises que tu n’aimes que les grosses bites. Que n’importe quel mec avec une grosse bite peut te baiser, où et quand il veut. Mais pas Arthur. Que tu ne veux plus de ce mec avec une si petite bite. Que tu es une salope qui n’aime que les grosses bites. Dis-le ! »
« Oui, oui, c’est ce que je veux. Des grosses bites, que des mecs qui me baisent avec des grosses bites. Et pas Arthur. Je ne veux plus que cette mauviette me baise. Je ne veux plus que des grosses bites. Allez, baise-moi maintenant »
Après cette déclaration, l’arabe a plongé sa bite dans le con de Clémentine, s’enfonçant de la moitié en une seule poussée. Il s’est retiré lentement, presque complètement puis, d’une forte poussée, l’a pénétrée presque entièrement. Se retirant doucement, puis la fouillant brutalement, il a élargi sa vulve sans ménagement, l’adaptant à la taille de son sexe monstrueux.

Elle a crié lorsqu'il s’est appuyé contre le col de l'utérus. Toute sa vulve était emplie, dilatée, bourrée de viande chaude, les bourses pressées contre sa chatte. 
Elle a joui à la seconde où il a heurté son col de l'utérus, une explosion jaillissant du fond de son antre martyrisée, déformée par l’énormité du monstre tapi en elle. L’onde de plaisir a parcouru à la vitesse de l’éclair chaque nerf. Tout son corps s’est tendu, arqué, ses membres ont tremblé, des spasmes successifs lui ont coupé le souffle, elle s’est sentie défaillir. Ses muscles intimes se sont contractés, enserrant fermement l’envahisseur, empêchant pour un bref instant l’arabe de la baiser sans pitié.

Profitant de sa pâmoison, alors qu’elle flottait encore dans les nimbes de l’extase, l’arabe a recommencé son pilonnage intensif, tandis que le noir remplissait sa bouche avec sa grosse bite, l’empêchant de crier son plaisir. Diviser son attention, occuper son esprit, l’affoler pour l’asservir, faire en sorte que cette jeune femme de bonne famille soit désormais leur chienne, avide de sexe et prête à tout pour jouir. Même la nuit précédente, cet acte sexuel qu'elle pensait être le meilleur du monde, n'était rien en comparaison de ce qu'elle vivait maintenant.

La chaleur de l’arabe qui la baisait abondamment, et il y avait l’autre noir, déjà prêt à la pénétrer, à la baiser avec autant de passion et d'intensité. Cette seule pensée déclencha un deuxième orgasme, aussi explosif et violent que le premier, et avec des rémanences encore plus fortes que le premier. Elle était proche de l'évanouissement, tant les sensations étaient brutales.

L’arabe s'est retiré, sans jouir, et le noir était déjà en elle, la baisant vicieusement avec de longs coups profonds. Elle a voulu crier, mais elle a été réduite au silence par la bite de l’arabe, trempée de ses jus, enfoncée profondément dans sa bouche. L’arabe, clairement embrasé par le frottement de sa chatte étroite, gémit lorsque la bouche de la fille se referma sur sa queue.

« Putain, bébé, suce-moi bien profond, tu vas tout prendre dans ta bouche »
Immédiatement, elle sentit la bite se figer dans sa bouche, le sperme jaillir abondamment. Elle ne pouvait pas gérer la trop grande quantité, juste une partie coulait dans sa gorge, la plupart éclaboussait son visage. Son réflexe immédiat a été de retirer sa tête, et de cracher le sperme. Mais sur sa langue, le goût âcre et un peu salé l’a étonnée. Au lieu de s’écarter, elle aspira plus fort, déterminée à éponger tout ce sperme gaspillé.

« Putain, ouais, avale tout, fillette » grogna l’arabe, en regardant la bouche aux lèvres pulpeuses lui donner la meilleure pipe qu’il pouvait espérer d’une jeune fille encore novice. Finalement, elle a réussi à le pomper jusqu’à ce qu’il se retire, la laissant haletante, la bouche poisseuse de foutre. Le noir qui la baisait n'avait pas réduit la cadence tout le temps qu'elle pompait son complice, et elle se polarisa sur lui, enroulant ses jambes autour de ses reins, l’attirant contre elle..

« Elle est déchaînée maintenant, mon pote ! Regarde-la prendre la bite ! Quelle petite salope ! Et elle est si étroite, cette chienne ! Putain, je ne vais pas tenir longtemps ! »
L'homme grogna et se dégagea de la prise serrée de sa chatte. À sa grande frustration, elle réalisa ce qui allait se passer. Elle a crié de rage lorsque son orgasme a été interrompu au dernier moment, mais le noir n'était pas affecté par sa déception. Il a saisit sa tignasse, forçant sa bite dans sa bouche. Quelques secondes, et il ajoutait son sperme à celui de l’autre, dans la gorge de la jeune femme.

Elle les regardait se rhabiller, languissante sur le lit, allongée sur le dos, jambes écartées, perturbée par un mélange de satisfaction et de frustration. Elle avait joui si fort à plusieurs reprises, mais cette dernière interruption, ce déni, l'avait rendue folle, et elle se sentait autant excitée qu'avant. Elle en voulait plus.

« Tiens » l'arabe lui a jeté ses affaires roulées en boule. Elle n'avait pas d’alternative, la récréation était finie.

Les gars sont sortis, mais elle les a arrêtés d’un cri : « Vous n'allez pas me dire de quoi il s'agit ? »
Mais ils lui ont rit au nez: « Tu le sauras bien assez tôt ! À plus tard, salope ! »
Elle resta sidérée, les regardant partir, le claquement de la porte d'entrée qui se refermait la tira de sa léthargie. Elle réalisa qu'elle ne voulait pas croupir dans cet endroit. Aussi vite qu'elle le put, Clémentine se rhabilla, dévala les escaliers, et courut jusqu’à sa voiture.

« Putain, qu'est-ce que je viens de faire ? » se dit-elle. Elle s'était volontairement offerte à de parfaits inconnus. Et pas des gens de sa condition. Des petits voyous, souteneurs ou maquereaux. D’accord, ils lui avaient un peu forcé la main, au début, mais après … Après qu’ils l’aient pénétrée, elle avait connu le meilleur putain de sexe de sa jeune vie ! Et elle avait encore faim ! Sa chatte la picotait, une langueur dans les reins et dans le ventre réclamaient une caresse. Elle résista à l’envie de se masturber en public. Même dans l’abri illusoire de sa voiture, pas question de se donner en spectacle.

Elle croisa ses jambes en les serrant fortement, mais cela n'a eu que peu d’incidence sur ses pensées lubriques. Qu'est-ce qui n'allait pas chez elle ? Elle ne s'était jamais sentie comme ça avant ! Elle avait besoin de trouver une solution avant son mariage !

Elle rentra chez elle, essayant de se concentrer sur des choses simples, mais ses pensées ne cessaient de la ramener dans cette chambrette mansardée, où deux hommes fortement membrés, l’avaient pénétrée en la fourrant, putain … Elle poussa un cri de frustration, fonça dans sa chambre, et se déshabilla pour se soulager avec son vibromasseur. Son clitoris palpitait et vibrait d’impatience, lorsque la sonnerie du téléphone l’interrompit.

« Merde ! Putain de merde ! » jura-t-elle en le prenant. Cette fois, c’était une vidéo. Elle sentit son estomac se nouer d’effroi. Une vidéo d’elle, allongée nue sur le lit, l’arabe couché sur elle, et qui lui disait :
« Je veux que tu me regardes dans les yeux et que tu dises que tu n'aimes plus Arthur. Je veux que tu me dises que tu n’aimes que les grosses bites. Que n’importe quel mec avec une grosse bite peut te baiser, où et quand il veut. Mais pas Arthur. Que tu ne veux plus de ce mec avec une si petite bite. Que tu es une salope qui n’aime que les grosses bites. Dis-le ! »
« Oui, oui, c’est ce que je veux. Des grosses bites, que des mecs qui me baisent avec des grosses bites. Et pas Arthur. Je ne veux plus que cette mauviette me baise. Je ne veux plus que des grosses bites. Allez, baise-moi maintenant »
Elle a failli tomber. Sa tête lui tournait. Ils l'avaient filmée à son insu ! Mais un deuxième message arrivait :
« T’as passé un bon moment, sale pute ? Pauvre Arthur, quand il verra la vidéo de tous ces mecs, en train de te baiser comme une salope ! Et toutes ces horreurs que tu as dites sur lui. Que va-t-il faire de toi ? »
Le troisième message suivit instantanément :
« Je sais ce que je vais faire de toi. Va à l'adresse suivante. Si tu n’y es pas dans 30 minutes, Arthur recevra la vidéo complète de tes exploits »
Clémentine gémit en réalisant l’ampleur du chantage. Plus elle se débattait pour s’en sortir, plus elle s’enfonçait. Comme dans des sables mouvants. Sans réfléchir, elle se rhabilla à toute vitesse et sprinta jusqu’à sa voiture. C’était ça ou sa relation avec Arthur, son mariage, sa situation et sa famille, elle devrait faire une croix dessus.

En plus, c’était l’heure d’affluence. La circulation était plus que dense, et Clémentine se traînait. Carrefour après carrefour, les feux rouges, les camions, les bus, tous se liguaient contre elle. Tous complices pour la ralentir et la faire arriver en retard au rendez-vous. Il ne restait que 10 minutes avant l’échéance, le maître-chanteur allait mettre ses menaces à exécution, Arthur allait recevoir la vidéo …
Mon Dieu, elle allait devenir folle. Elle s’enfonça dans son siège, essayant de garder son calme. Elle n'était pas si loin du but, il ne lui fallait qu’un petit coup de pouce du destin, que le bouchon saute pour qu’elle puisse arriver à temps. Se concentrant sur des pensées positives, son esprit dériva vers ce qui pouvait l’attendre là-bas. Serait-ce un autre duo d'hommes, prêts à la corrompre encore plus ? Ou verrait-elle enfin son maître-chanteur ? Peut-être même aurait-elle l’explication, la raison pour laquelle on la tourmentait ?

Elle pensa à Arthur, à leur avenir commun, si seulement elle pouvait faire cesser ce cauchemar. Elle essaya de s’imaginer, blottie contre Arthur, les yeux fermés, l’expression de contentement sur son visage. Le feu restait au rouge, le bus devant elle ne bougeait pas, elle repartit dans sa rêverie.

Elle s'imaginait levant les yeux, regardant l'amour de sa vie ... pour voir que l'homme contre lequel elle s’était blottie n'était pas Arthur. C'était l'arabe qui la regardait en souriant. Sa rêverie douce se déformait, le sourire de cet homme n’était pas amical, mais de la luxure ? De la méchanceté ? De l’envie ? Elle baissait les yeux pour voir l'énorme pénis de l’arabe se dresser fièrement. Elle l'attrapait, caressait sa hampe tendue, dure et épaisse. Elle se glissait pour être plus proche, ouvrait la bouche pour gober le gland, elle suçait, léchait amoureusement la tige jusqu’aux bourses. 
Elle l'entendit gémir ... puis les klaxons l'ont tirée de sa rêverie. Le feu était passé au vert, et elle restait scotchée là. Elle accéléra pour reprendre sa place dans la circulation. Putain, qu'est-ce qui n'allait pas chez elle ? C’était quoi, ce putain de rêve ? Quelque chose en elle, tout au fond d’elle, se détraquait. Que lui arrivait-il ? Elle ne devrait pas fantasmer sur des mecs avec des grosses bites. Elle aimait Arthur, devait l'épouser, et arrêter ses conneries ...

N'est-ce pas ? Elle réalisa qu'elle n'en était pas sûre. C'était vachement bandant, d’être pénétrée par une grosse bite, n'est-ce pas ? Naturellement, Arthur allait lui assurer la sécurité matérielle, la tendresse, et elle allait lui donner une descendance qui allait l’enchaîner un peu plus. Moins de temps pour le marivaudage, ni pour s’envoyer en l’air comme une folle avec des grosses bites qui lui retournaient le cerveau.

Mais les doutes l’assaillaient lorsqu'elle se gara devant l'adresse indiquée. C'était un bar quelconque, avec un panneau "fermé" sur la porte. Elle vérifia l’adresse sur son téléphone. Elle toqua aussi fort qu'elle put, mais il n'y eut pas de réponse. À ce moment-là, son téléphone sonna.

« Passez par le couloir, à côté »
Effectivement, il y avait une allée qu’elle suivit, anxieuse, redoutant ce qui pourrait arriver. Au bout, une porte. Elle frappa. Cette fois, la porte s'ouvrit rapidement, un grand et bel homme, très brun, le genre macho d’un étalon italien, élégamment vêtu, se tenait devant elle :
« Clémentine ? »
Elle hocha la tête affirmativement.

« La fille dévergondée qui baise avec toutes les grosses bites qu’elle rencontre ? »
« Euh... Enfin, quand même ... »
« Entre, salope »
Après un rapide coup d'œil circulaire, elle entra dans un couloir sombre, flanqué de plusieurs portes. Au bout, le couloir tournait à angle droit. La main ferme de l’homme se posa sur son épaule. Il la dirigea sans un mot vers la porte du fond. Elle entra dans une grande pièce, bien éclairée, mais très peu meublée. À part un grand lit double, au fond, et plusieurs caméras vidéos, toutes orientées vers le lit.

« Assieds-toi sur le lit » ordonna l'homme derrière elle.

« Mais... écoutez, je ne veux pas... »
« Tu refuses ? Tu préfères qu’Arthur soit informé de tes escapades coquines ? »
Elle soupira, obéit, se tourna pour s'asseoir en faisant face à son interlocuteur.

« Tu es libre de partir si tu le désires, n’importe quand et pour n’importe quel motif. Tu es libre de refuser de faire ce qu’on te demande si tu n’es pas d’accord. Tu as le droit de dire non. Bien entendu, il n’y aura pas de représailles. Nous nous contenterons de transmettre tous les documents te concernant, photos, vidéos, à ton chéri, Arthur. Bien compris ? »
« Oui, mais comment savez-vous...? »
« Aucune importance. Nous avons été engagés pour te briser, Clémentine »
« Me briser ? Mais ça va me faire mal ! »
« Non, pas dans ce sens. Pas physiquement. Moralement. Nous devons faire de toi une salope »
En parlant, il s’est déshabillé. Entièrement. Il était très beau, très grand, un véritable athlète, et une gravure de mode. Clémentine était séduite, enfin un beau garçon. Mais sa bite ! Mon dieu, ce morceau ! Presque plus grande et plus grosse que celles des deux cloches de ce matin ! Clémentine en était toute remuée, toute retournée !

« Je pense que tu es déjà une salope, Clémentine » dit-il. Sa queue s'épaississait et s’agitait devant ses yeux extasiés. « Je pense que cela ne sera pas trop difficile de te briser. En fait, peut-être es-tu déjà brisée »
« Non, je suis ... waouh ! Hum, je veux dire, fidèle, oui, c’est ça, fidèle à Arthur qui ...»
« Tu as passé la nuit à baiser avec un inconnu » gloussa-t-il. « Tu as baisé avec deux types ce matin. Un maghrébin et un nègre. N’importe qui avec une grosse bite peut te baiser, et tu acceptes »
« C'est... Hum, ce sont des erreurs » dit-elle faiblement.

« Des erreurs ? Dire que la petite bite de ton fiancé ne valait rien ? Supplier pour qu’on te baise ? »
« Je… Hum, le feu de l'action, tu sais. Juste une erreur… »
Mais ce n'était pas des erreurs, réalisait-elle. Quelque chose s’était déformée en elle, comme une révélation. Non, ce n'était pas mal. C'était étonnamment, complètement savoureux. Pourquoi se priver d’orgasmes aussi incroyables ? Elle méritait ce genre d’épanouissement, ce sentiment de plénitude.

« Tu penses qu’Arthur saura te faire jouir comme ça ? Penses-tu pouvoir être autant satisfaite avec Arthur qu’avec les deux chiens de ce matin ? Ou penses-tu que tu devras subir son petit pénis, et aller après te faire démonter par de vrais hommes et leurs grosses bites ? »
« Je l'aime… J’aime Arthur ! » Mais le ton de sa voix hésitante démentait ses paroles.

Elle réalisait que ce type soulevait un point crucial. Comment pourrait-elle trouver une satisfaction sexuelle avec un homme si pauvrement doté ? Combien de temps pourrait-elle le supporter sans aller voir ailleurs ? Si des hommes continuaient à la satisfaire sexuellement avec leurs grosses bites, elle n'aurait aucune chance de s'épanouir avec Arthur. Toute une vie à tricher ? À se cacher pour baiser ?

« Une salope ne se soucie de rien d'autre que de son propre plaisir. Tu es une salope, n'est-ce pas ? »
« NON » Elle a crié, pour mettre un terme à cette discussion qui la mettait mal à l’aise.

« Je peux le voir dans tes yeux, fillette » affirma l'homme. « Je peux lire ton désir de bite, de jouissance. J'ai déjà vu ce regard, chez beaucoup de femmes, toutes différentes. Mais toutes avec ce même regard avide, de femelles assoiffées de volupté. Et toi, tu es une chienne. Tu regardes ma bite, et tu la désires »
Ce gars était très beau, et sa bite était magnifique. À quoi bon le nier, elle en crevait d’envie. Ce désir qui lui tordait les entrailles l’infectait lentement, et le sentiment de culpabilité envers Arthur s’amenuisait. Elle ne pouvait penser qu’à une seule chose : si il plantait sa grosse bite en elle, qu’est-ce qu’elle éprouverait ?

« Est-ce qu'une femme pure, chaste, et fidèle souhaiterait qu'un inconnu la baise ? »
Elle cligna des yeux, comme si la réponse était difficile : « Non, bien sûr que non »
« Alors, es-tu chaste, pure et fidèle ? »
Elle baissa les yeux, vaincue : « Non, je suis une salope »
« Mais une vraie salope ne s’enchaîne pas à un seul pieu, poulette »
Clémentine haussa un sourcil, intriguée.

« Elle ne se contente pas d'un amant quand elle peut en avoir plusieurs »
Elle comprit ce qu'il voulait dire quand un deuxième gars entra dans la pièce. Aussi grand et aussi beau que le premier, aussi blond que le premier était brun, le type slave, complètement nu bien sûr, et arborant un prodigieux phallus presque tendu.

Elle n'avait pas beaucoup d’expérience, ces hommes équipés de mandrins de concours lui semblaient la norme, et elle s’étonnait de l’infortune d’Arthur. Mais la pensée d’avoir à sa disposition deux étalons aussi beaux et bien montés l’émoustillait, et elle commençait à avoir sa petite chatte qui la picotait. Cette pensée envoyait un frisson de plaisir dans ses ovaires. Dieu, qu’elle aimait être une salope !

« Est-ce que tu viens pour me baiser, toi aussi ? » dit-elle au nouvel arrivant, qui se contenta d'acquiescer.

« Et que dirait une vraie salope maintenant, à ton avis, Clémentine ? »
« Je ne sais pas ? »
Les hommes riaient : « Eh bien, réfléchis.Une vraie salope ... face à DEUX hommes ? »
Clémentine les regardait tour à tour, leurs pénis dressés, puis elle réalisa. Et sourit : « Une vraie salope dirait – mais où est le troisième ? »
Et ils furent rejoint pas un troisième, un asiate, lui aussi équipé d’un solide matériel, prêt à servir.

Puis une pensée lui vint : « Bon sang, serait-ce possible qu’il y en ait d’autres ? » murmura-t-elle
« Ha ha, je savais que tu étais une vraie salope, Clémentine ! Malheureusement non, nous ne sommes que trois aujourd'hui ! Mais à l'avenir, tu n’auras plus de limite. Tu pourras en baisez autant que tu voudras. Quatre, cinq, dix, cinquante, autant de bites que tu pourras satisfaire »
Un vertige lui fit tourner la tête. Cinquante ? Sa chatte devint liquide. Mais pour le moment, trois vont suffire. Prise d’un désir impatient, elle tendit la main pour caresser la bite la plus proche. Pensive, elle laissait courir ses doigts le long de la tige, avant d’envelopper le gland proéminent : « C'est vraiment gros, et saillant ! Je vais le sentir passer ! Il va m’éclater avec ce machin-là ! » songeait-elle.

« Imagine ce que tu vas ressentir quand tu en auras deux dans ta petite chatte, gamine » lui dit le blond.

« Deux ? Ensemble ? Non, c'est impossible ! »
« Une salope comme toi va bientôt pouvoir en prendre deux dans chaque orifice » assura-t-il en haussant les épaules.

« Putain, deux monstres en moi ! Oh merde, je suis tellement excitée ! »
Elle ne pouvait plus attendre, sa chatte réclamait avec insistance d’être baisée. Elle ôta ses vêtements à toute allure et s’allongea sur le lit, jambes écartées.

Clémentine sentit un homme s'allonger sur elle, le gland bulbeux écartait ses lèvres et s'enfonçait dans son vagin trempé. Elle écarta plus largement les jambes sans qu'on le lui demande, ravie d’être pénétrée. La bite glissait en elle, écartant les chairs tendres. Sa chatte devait s’écarter et s’ouvrir pour l’accepter, mais cette délicieuse sensation d'être complètement remplie la rendait euphorique.

Elle ne pouvait pas croire à quel point elle était survoltée. Les lèvres de sa chatte s'accrochaient à l'envahisseur pendant qu'il pénétrait de plus en plus profond dans sa vulve et, comme ce matin, elle était étonnée de la facilité avec laquelle son corps semblait s'adapter pour recevoir cette bite massive en elle. En sentant les grosses bourses de l'homme se presser contre elle, elle ne pu retenir un soupir de satisfaction.

« Oh, putain, ouais ! Si profond, si remplie, c’est si bon, ouais ! »
L'homme commençait à retirer sa bite complètement, puis à l’enfoncer lentement, subjuguant totalement Clémentine avec toute la longueur de cet outil épais.

« Merveilleux » ronronna-t-elle, les yeux fermés, savourant chaque sensation que l'envahisseur lui procurait. « J'adore être prise comme ça, lentement, à la paresseuse, c’est tellement bon. Mais je ne suis pas là pour faire l'amour. Je veux me faire baiser ! »
L'homme accéléra brutalement l’allure, et Clémentine ne put retenir un petit cri de surprise. Instantanément, il était passé de caresses lentes et douces à des pénétrations sauvages, les chairs claquaient, et le sommier martyrisé protestait en grinçant en cadence.

« Oh putain oui, c'est ça, oui, oui ! Putain là ! C’est tellement bon ! » 
Clémentine enroula ses jambes autour des reins de son amant, l'attirant contre d'elle, bouche ouverte pour l'embrasser passionnément. L'homme s’écarta, la regarda droit dans les yeux, pour constater que son regard était de plus en plus assombri par le plaisir. Il était clair que son premier orgasme était proche.

« Je vais jouir dans ta chatte, salope » haleta-t-il.

« Quoi ? Non » protesta Clémentine, mais elle ne l'arrêta pas. Elle se laissait baiser, séduite et exaltée par cette monstrueuse bite qui lui retournait le cerveau, en heurtant en cadence le col de l’utérus. Elle aurait voulu lui dire de se retirer, mais elle ne pouvait pas. Elle était trop proche de l’orgasme pour lui demander de se retirer, elle voulait qu’il termine dans son vagin, elle voulait qu’ils jouissent ensemble, et tant pis pour les conséquences. Un dernier coup, un râle profond, et l’homme éjaculait en elle, déclenchant son propre orgasme, accompagné d’un torrent de cris et de tremblements.

Elle resta allongée sur le dos, haletante, un sourire ravi sur le visage. De sa chatte martyrisée suintait un long filet de sperme blanchâtre. Elle savait ce qui allait suivre. Elle n'a pas frémi lorsque le deuxième homme s’est installé entre ses cuisses ouvertes, enfonçant sans ménagement son pénis gigantesque dans sa chatte baveuse. Rapidement, grâce aux violentes secousses que lui infligeait son partenaire, elle reconnut la sensation désormais familière d’un orgasme qui s’éveille au fond de son ventre. Sa chatte étirée, distendue, martyrisée s'adaptait comme un gant autour de la queue épaisse. Sa vulve bien adaptée maintenant, elle releva et replia ses jambes bien haut, pour permettre à l'homme de s'enfoncer plus profondément en elle. Lorsque l’homme se mit à grogner, un râle profond, son apogée étant proche, elle n’a même pas pensé à lui demander de se retirer. Cela lui semblait meilleur, maintenant, de profiter de l’émotion que lui procurait ce jaillissement au fond de son ventre.

Clémentine n’a pas eu le temps de se languir, le troisième prenant immédiatement la place du deuxième. Elle s’étonna de la facilité avec laquelle il la pénétrait. Curieuse, elle se demandait comment Arthur se sentirait s’il devait passer après ces gars et leurs grosses bites. Mais le troisième gars voulait une variante. Il s’est retiré pour lui demander de s’agenouiller, afin de la prendre en levrette.

Cette position plaisait beaucoup à Clémentine. En arquant le dos, elle pouvait voir en ses jambes l’immense pieu de chair s’enfoncer en elle. Elle regardait, émerveillée, sa petite chatte étirée, distendue par l’énorme tige qui la taraudait. Elle voyait aussi les bourses de balancer et venir heurter la zone du clitoris.

Elle réalisa qu'elle préférait vraiment se faire baiser dans cette position en sentant un orgasme grossir en elle. Si proche du précédent. Autrefois, avec Arthur, elle ignorait qu’il était possible d’obtenir des orgasmes simultanés. Maintenant, elle n’avait pas le temps de finir de redescendre, qu’elle remontait aussitôt vers le firmament. C'était cela qu'elle voulait expérimenter encore et encore, les yeux maintenant ouverts sur un monde de plaisir charnel.

Clémentine s’imaginait baisée devant Arthur. Elle s’imaginait son visage, son regard, alors qu’elle passait de main en main, baisée plus profond, plus rude. L’image s’est effacée devant la violence de l’orgasme. Elle a cru défaillir lorsque le taureau rugissant a jailli dans sa chatte. Clémentine pantelait sur le lit, le troisième homme s’était retiré, et un flot de sperme s’écoulait de sa chatte. Elle attendait … Elle a pivoté sur le côté, pour les dévisager l’un après l’autre. Elle semblait leur demander : « À qui le tour ? »
Mais il ne s'est rien passé. Ils restaient plantés là, les bras croisés, la bite au garde-à-vous.

« Que se passe-t-il ? »
« Tu veux baiser, fillette ? » Elle acquiesça. « Je n'ai pas entendu ta réponse »
Elle répéta plus fort : « Oui, s'il vous plaît, je voudrais encore baiser »
« Bof, ce n’est pas très convaincant. Je te propose un truc. Si tu veux vraiment ma bite, tu viens ici et tu colles ta putain de chatte dessus. En fait, j’ai pas envie de me fatiguer pour une pétasse comme toi. Je ne bougerai pas le petit doigt. Si t’en veux, tu viens ici, tu te retournes et tu recules. Tu peux baiser ma bite. Montre-nous à quel point tu veux vraiment une bite, pétasse »
Elle restait bouche bée. Elle n’avait pas besoin de baiser. Les deux, ce matin, et les trois, cet après-midi, c’était bien suffisant. Ils l’avaient utilisée selon leur bon vouloir, elle avait bien joui, mais il y avait quelque chose qu’elle découvrait, quelque chose dissimulée tout au fond de son esprit. La luxure, la luxure pure !

Elle n'avait pas besoin de baiser. Non, pas besoin. Mais elle voulait baiser. Parce qu’elle prenait conscience de ce qu’elle était. Une salope, une incorrigible salope, insatiable et toujours en manque de sa drogue, les grosses bites.

Alors elle obtempéra, fit ce qu'il exigeait, descendit du lit et marcha lentement vers le gars. Elle a touché sa bite du bout des doigts, l’a caressée, souriante et attendrie. Quel bel outil ! Avant de se retourner, de se pencher, et de reculer pour poser sa chatte sur son énorme bâton. Elle écarta ses chairs avec ses doigts, s’empala jusqu’à ce que toute cette viande épaisse soit entrée entièrement en elle.

« On dirait que la pute en veut encore » a dit l’un des gars.

« Oh, oui, j’en veux ! »
« Salope » a rigolé son partenaire en lui giflant le cul. 
Elle gloussa et hocha la tête : « Oui, oui, je suis une salope » criait-elle en se frottant contre l'homme, tambourinant son cul sur la bite dressée, dans un twerk endiablé.

L'un des gars l'a attrapée pendant qu'elle se démenait, l’a saisie par la tignasse pour mettre sa bite dans la bouche de Clémentine. L’homme qu’elle baisait l’a prise par les hanches, et s’est mis à faire le contraire de ce qu’il avait promis. Il a baisé Clémentine à grands coups de reins, pendant que l’autre compère la maintenait en place, pour lui baiser la bouche. Ils se sont agités ainsi jusqu’à ce que chacun atteigne sa propre apogée, l’orgasme libérateur et dévastateur.

Les hommes relâchèrent doucement Clémentine et elle chancela, puis s’allongea sur le dos, pour reprendre son souffle. Elle était épuisée, n'ayant jamais connu d’extases aussi violentes en si peu de temps. Elle était alanguie, mais repue et ravie.

« C'est déjà fini ? » demanda-t-elle taquine, en remarquant que les hommes étaient tous rhabillés. Ses propres vêtements avaient été soigneusement placés à côté d'elle : « Je commençais juste à m’amuser »
« Tu auras beaucoup d’opportunités à l'avenir. Pour l'instant, rentre chez toi ... et garde ton téléphone à portée de main, d'accord ? »
Sa vie était chamboulée, il fallait qu’elle se réorganise. Elle pouvait peut-être espérer revoir certains de ces hommes. Même après son mariage, elle pourrait peut-être assouvir ses désirs avec eux. Elle aimerait toujours Arthur, elle en était sûre. Ce qu'elle avait dit à ces gars n'était qu'un jeu, n'est-ce pas ? Elle savait que ce n'était pas vrai, même lorsqu’elle le disait. Un soupçon de culpabilité l’écorcha, mais elle le chassa d’un haussement d’épaule. Merde, elle s'était bien amusée, et elle n'était pas mariée avec Arthur. Elle rentra chez elle le cœur léger. Son mariage n’était pas compromis, car elle avait bien géré la situation.

Son téléphone sonna à la seconde où elle franchissait la porte de son logis. Elle n'a pas été étonnée de voir défiler sur son écran, une succession d’image d'elle, s’accouplant avec les trois hommes. Le message suivant contenait un lien, l'informant que la totalité des images avait été téléchargée sur un service de streaming porno. Si elle ne se rendait pas à l’adresse indiquée dans le temps imparti, ces images seraient rendues publiques, et les personnes concernées seraient informées.

Elle était crevée, littéralement, mais une émotion dans sa chatte lui indiqua qu’elle était destinée à faire des rencontres, et qu’elle avait une bonne constitution, n'est-ce pas ? Elle était juste fascinée par le fait qu'elle puisse en désirer plus. Alors elle s’est rendue à l’adresse, la réticence et l’appréhension des expéditions précédentes en moins. Elle était même un peu impatiente, preuve de sa dépravation.

Arrivée sur les lieux, en pénétrant dans un appartement somptueux, elle reçut un premier choc. Aucun homme ne l’attendait. C’était une femme qui la recevait. Une matrone noire : « Bonjour » La voix était chaude, la silhouette haute et imposante. Les cheveux épais cascadaient sur les épaules :
« Tu dois être Clémentine. Heureuse de te connaître. Je suis Victoria, la maîtresse des lieux »
« Ravie de faire votre connaissance, Victoria » a minaudé Clémentine, les yeux observant tour à tour la tenancière et son environnement : « Désolée, je m'attendais à rencontrer des ...»
« Des étalons ? Oui, j’ai eu connaissance de tes talents ! Tu as eu une journée chargée » Elle montra l’écran de son téléphone, en faisant défiler des photos de Clémentine en situation : « J'en ai regardé quelques-unes, tu es très sexy. Et merveilleuse en pleine action ! »
« Merci, mais je pensais… Bon, je ne sais pas ce qui se passe aujourd'hui. J'ai passé des moments incroyables, je ne vais pas vous mentir, et je n'oublierai pas de sitôt cette aventure. Mais j’aimerais comprendre. D’où viens toute cette mise en scène ? Et pourquoi ? Pouvez-vous m’éclairer ? »
« Patience, ma jolie » tempéra Victoria, en caressant tendrement la joue de Clémentine : « Je n'ai pas la réponse, mais je puis t’assurer que tu en sauras plus d'ici la fin de la journée. À toi de décider. Je ne te forcerai pas. Viens, je vais te présenter le reste de l’équipe »
« Le reste de l’équipe ? »
Victoria l'a guidée vers un luxueux salon : « Est-ce que tu aimes la décoration ? Voici le reste de l’équipe, ce sont mes amies. J'espère que tu les aimeras aussi » Vautrées, presque dévêtues, quatre déesses se relaxaient dans des canapés profonds. Une collection de beautés féminines aussi variée que l’on pourrait l'imaginer. Une par une, Victoria les a présentées :
Une charmante et délicate jeune femme asiatique (Kim) était vêtue d'une tenue diaphane, les jambes sagement croisées. À ses côtés, une très grande femme de type scandinave (Ingrid), de longs cheveux blonds tombant en cascade dans son dos, des seins comme des obus, et une cambrure de reins à donner le vertige. Un peu plus loin, il y avait Daphné, une beauté andalouse aux traits sévères, aux cheveux couleur charbon, dans un harnachement composé essentiellement de cuir. La plus belle du groupe se tenait un peu à l’écart, une anglaise hautaine (Jennifer) dans une tenue plus classique, mais qui cachait très peu de son anatomie fabuleuse.

Clémentine rougit lorsque les quatre paires d’yeux se concentrèrent intensément sur elle. Elle regardait dans le vide, les joues rougissantes, pendant qu'on la dévorait des yeux. C’était gênant. Elle savait que les hommes avaient ce genre de regard envers les jeunes femmes. Mais des femmes ? Elle n'avait pas l'habitude d'être regardée par d'autres femmes comme ça. C'était salace, et cette situation augmentait son trouble. Qu’attendait-on d’elle ?

Kim s’approcha, ronronnante comme une jeune chatte énamourée : « Clémentine, délicieuse Clémentine » Ses mains parcouraient le corps de Clémentine, l’effleurant à peine, et ses vêtements tombaient au sol l’un après l’autre. Sa main sous le menton de Clémentine, elle la força à relever le menton, pour plonger son regard perçant dans le regard perdu de la demoiselle.

« As-tu déjà embrassé une fille ? » susurrait Kim en approchant ses lèvres. « Et le sexe avec une fille ? »
« S'il te plaît ! Je ne suis pas... »
« ..Lesbienne ? » sourit Kim. « Pas besoin d’être aussi exclusive ! Chaque femme a une part de … Il suffit de laisser parler la nature. Je vois bien que tu es émue. Je peux t’apprendre, ma chérie. J'ai entendu dire que tu avais été très coquine aujourd'hui, multipliant les expériences avec tout ces machos virils. Tu es faite pour ça, tu as les capacités pour trouver du plaisir dans toutes les situations, tu es une salope »
Elle entrecoupait son discours de petits baisers du bout des lèvres sur les lèvres de Clémentine, qui laissait faire, éberluée. Ça ne voulait pas vraiment dire grand-chose. Mais elle avait laissé des inconnus utiliser son corps comme ils le voulaient, et ce ne sont pas ces femmes qui pouvaient lui faire grand mal. Même si elle ne voyait pas d’intérêt à se donner à ces femmes, elle ne se défendait pas.

Victoria s’était glissée derrière Clémentine, caressant ses épaules nues : « Peut-être avons-nous assez discuté comme ça, pourrions-nous commencer à nous donner un peu de plaisir ? »
Clémentine gémit lorsque Victoria laissa glisser ses mains sur ses seins, ses doigts pinçant, roulant en tirant sur les tétons dressés : « Il n’y a pas d'hommes ici, Clémentine chérie, mais tu vas quand même te faire baiser »
« Mais, je n'aime pas les filles, et je vois pas l’intérêt... »
« Vraiment ? Il faut d’abord essayer, pour savoir si tu aimes ou pas ! Avec les hommes, tu as d’abord prétendu que tu n’aimais pas, avant de reconnaître que tu es une salope ! Et une salope, elle baise avec tout ce qui se présente. Et puis, tu connais les conditions. En cas de refus de ta part, Arthur sera informé »
Clémentine se pétrifia lorsque Victoria enleva sa main de son sein, et que la bouche de Kim prit sa place. La main de Victoria glissait, légère et coquine, vers la fourche des cuisses de Clémentine. Pendant ce temps, la bouche experte et vorace de Kim tourmentait son mamelon, lui arrachant ses premiers gémissements.

Les soins experts de Kim envoyaient des frissons de plaisir dans tout son corps. La main de Victoria avait atteint son but, et ses doigts agiles s’insinuaient entre les grandes lèvres humides. Pour plus de commodité, Clémentine préféra écarter un peu plus les cuisses.

« Seules les femmes connaissent les secrets du corps de la femme, fillette. Faire plaisir à une fille autrement qu’avec une grosse bite bien dure. Le toucher délicat d’une femme qui taquine et excite. Parfois, nous avons besoin des soins d’une femme experte. Et toi aussi, après la journée que tu as vécu »
Victoria murmurait à l’oreille de Clémentine, et ses lèvres se pressaient dans son cou, la faisant frissonner. Ces deux femmes lui procuraient des sensations nouvelles, inconnues, et elle se laissait aller, la tête en arrière, appuyée sur l’épaule de Victoria. Les yeux fermés, savourant la montée du plaisir, elle entendit le bruissement des autres femmes qui s’approchaient d’elle
Une nouvelle bouche tourmentait son autre sein, des mains douces commençaient à explorer et caresser tout son corps. Des doigts fins et délicats s’infiltraient dans sa chatte, agaçaient son clitoris, d'autres exploraient son cul, et tourmentaient son anus.

C'était trop pour elle, tant de stimulations simultanées. Elle cria sa jouissance, les doigts se faisant plus impérieux, les langues s’agitant plus vite, et les bouches suçant plus passionnément, tandis que tout son corps se contractait dans une extase pantelante. Soudain, elles s’écartèrent, la laissant seule, sans aucun contact charnel. Son orgasme s’étiolait, elle ouvrit les yeux pour regarder les femmes qui l'entouraient. Pour la plupart, elles avaient ôté leurs vêtements, dévoilant des corps parfaits, une vision du paradis terrestre.

« Va t’agenouiller sur le divan » lui dicta Victoria d’une voix sèche. Clémentine a obéi sans réfléchir, comme avec les hommes plus tôt dans la journée. Elle s'agenouilla, le dos tourné aux femmes, la poitrine pressée contre le dossier. Ainsi cambrée, son cul et sa chatte étaient exposés à la vue de toutes, l’humidité de sa chatte clairement perceptible.

Quelqu'un derrière elle écarta ses fesses, puis une langue s’insinua dans sa fente, glissant du clitoris jusqu’à son cul. Elle gémit de luxure tandis que la femme la lapait, sondant sa chatte juteuse et son trou du cul avec autant de ferveur. Puis la langue est partie ... remplacée par une autre. Une après l’autre, chaque femme goûta le sexe de Clémentine, la perversion de ces caresses provocant un émoi orgasmique.

« Pas si vite, fillette » décréta Victoria « Tu jouiras plus tard »
Clémentine, brutalement spoliée d’un orgasme qui s’annonçait prometteur, exprima sa frustration : « Je veux jouir encore, s’il vous plaît »
« Pas encore, tu dois d'abord me lécher ! »
Kim s'assit sur le dossier du divan, face à elle, jambes écartées, la chatte luisante d’émotion. Elle saisit à pleine main la tignasse de Clémentine pour presser sa bouche sur sa chatte rasée.

« Broute-la, et donne-lui du plaisir, salope, et alors tu auras le droit de jouir » a décrété Victoria.

Spontanément, la langue agile de Clémentine se glissa entre les grandes lèvres de la chatte mouillée de la beauté orientale, et elle goûta pour la première fois le berlingot fondant d'une femme. Surprise, elle fut galvanisée par le goût enivrant des liqueurs de Kim, la passion augmentant son empressement au fur à mesure.

« Je pense qu'elle aime lécher la chatte » a déclaré la scandinave, attrapant les cheveux de Clémentine pour lui tirer brutalement sa tête en arrière. La moitié inférieure de son visage était couverte des liqueurs de Kim. « Tu aimes la chatte, hein ? »
« Oh, oui! J'aime ça ! » soupira Clémentine. « C'est si bon, si doux... »
« Demande pour lui brouter la chatte, salope » rigola Ingrid en claquant sensuellement le cul de Clémentine.

« S'il vous plaît, laissez-moi la satisfaire » glapit Clémentine tandis qu'une pluie de gifles rougissait sa croupe. Ingrid repoussa la bouche de Clémentine contre la chatte de la beauté orientale. Kim gémit lorsque la langue de Clémentine s’acharna sur son clitoris, le taquinant et le lapant avec une ferveur accrue.

« Elle n'est pas experte » soupira Kim en guidant la bouche de Clémentine sur sa chatte « Mais elle est pleine de bonne volonté. Oui, mets ta langue en moi, lape mes jus. J'adore quand les salopes me font ça ! »
Clémentine a continué de brouter avec vigueur les zones les plus sensibles de l’asiate, pressée de la faire exulter, pour que ce soit enfin son tour. Il ne fallut pas longtemps avant que les railleries de Kim ne soient remplacées par des soupirs et des gémissements, indiquant son trouble :
« Oh, oui, putain ! Oh merde, oui ! »
Les deux mains de Kim immobilisèrent la tête de Clémentine avec force contre sa chatte, pendant qu’un liquide clair jaillissait dans sa bouche, la suffoquant sans qu'elle ne puisse réagir. La surprise passée, elle s’est révoltée :
« Putain de merde ! Tu aurais pu me prévenir que tu allais faire ça ! »
« Et gâcher la surprise ? Maintenant, comme promis, c'est ton tour. »
Clémentine soupirait lorsqu’elle fut agenouillée par-terre, la tête maintenue au sol, les bras tirés derrière son dos, et maintenus fermement. Son cul et sa chatte étaient relevés, exposés à tous. Elle sentit des doigts commencer à la sonder. Elle haleta lorsque deux, puis trois doigts fouillèrent son intérieur. L’humidité du lieu permettait toutes les audaces. Puis un quatrième doigt se glissa à l'intérieur, et elle gémit. Ses plaintes devinrent plus aiguës quand elle sentit les doigts s’enfoncer plus profondément. Et le pouce rentra, lui aussi. Celle à qui appartenait cette main voulait fister sa chatte !

Elle a crié lorsque sa chatte étirée enveloppa la main de la femme, puis le poignet. Clémentine a hurlé lorsqu'un orgasme phénoménal a explosé en elle de manière inattendue. D’autres doigts ont joué avec son clitoris, pendant qu’une autre main massait son trou du cul. Le poing à l'intérieur de sa vulve a commencé à glisser, à aller et venir en elle, jusqu'à ce la femme enfonce la moitié de son avant-bras là-dedans !

L'orgasme suivant s’annonça juste au moment où le premier s’achevait, la clouant littéralement au sol. Plus puissant que le précédent, le corps tremblant, le souffle coupé, elle n’était plus qu’un pantin de chair entre les mains expertes. Elle s'est effondrée sur le ventre, un long gémissement guttural jailli du fond de ses entrailles, les yeux blancs, privée de toute pensée rationnelle.

Le poing ressortit brutalement. On la releva sans ménagement. Clémentine était languide. Des doigts gluants de mouille ont été poussés dans sa bouche, et elle les a sucés machinalement, sans réaliser que ces mêmes doigts sortaient de sa chatte.

« T’aime ça, hein, salope ? Maintenant c’est à ton tour de bouffer nos chattes ! Allez, au travail ! Putain de lesbienne salope ! »
Clémentine n'était encore totalement consciente lorsqu'elle sentit la chair nue d’une chatte se presser contre sa bouche. Elle fit ce qu’elles attendaient d’une salope, elle se mit à la dévorer comme si c'était naturel. Les doigts crispés dans les cheveux de Clémentine, la femme la guidait selon ses désirs, et elle obéissait docilement, léchant et sondant le cul de la femme sans nul besoin de plus d'instructions. Elle savait naturellement se soumettre pour plaire à son initiatrice. Jennifer frottait frénétiquement son clitoris pendant que Clémentine lapait son trou du cul, l’anglaise cria lorsque son orgasme jaillit sur le visage de Clémentine, poissant ses cheveux d’éjaculat féminin.

« À mon tour ! » Victoria décréta et Clémentine se retrouva de nouveau sur le ventre, l'avant-bras de la noire enfoui dans sa chatte. Clémentine, éreintée par un orgasme vicieusement puissant, fut basculée sur le dos et une chatte énervée fut posée sur son visage. Bientôt, les poings l'avaient tellement relâchée, qu'elle n'avait plus aucune difficulté à les prendre en elle. Alors, Clémentine a senti que les deux petites mains de Kim se joignaient dans sa chatte !

Les doigts se joignaient, s’entrelaçaient, formant un poing énorme en elle. Clémentine était distendue au-delà du raisonnable. Elle hurlait sans discontinuer, et d’autres doigts ont été glissés dans son trou du cul. C’en était trop pour son intellect gavé d’emballements successifs, et elle perdit conscience. Quand elle s'est réveillée, elle était allongée sur le sol, seule.

Ses yeux distinguèrent ses vêtements et, lentement, elle rampa vers eux. Elle remarqua que son téléphone, près d’elle, clignotait, annonçant des messages en attente.

« C’était pas si mal pour une première fois. Dommage que tu te sois évanouie comme une petite nature. La prochaine fois, tâche de faire mieux »
La prochaine fois ?

« Maintenant, rentre chez toi et repose-toi un peu. D’autres grosses bites vont venir s’occuper de ton petit trou du cul. Nous t’avons un peu préparée, mais nous n’avons pas pu terminer, car que tu t’es évanouie »
« Oui, bien sûr, tout a été filmé. Mais tu le savais déjà, n'est-ce pas ? »
Le dernier message était juste une photo d'elle, les avant-bras de Kim enfouis dans sa chatte.

Clémentine avait les yeux vitreux ... et un visage de pure lascivité. 
Elle savait qu'ils ne cesseraient plus de la tourmenter, et qu’elle leur appartenait, maintenant. Elle devait rentrer chez elle, et attendre les prochaines instructions. Elle sentit son trou du cul frissonner de plaisir en prévision de la suite.

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