Oups ! - histoire érotique

Un ami (Bruno) se trouvait dans une mauvaise passe, il se séparait de sa compagne dans de mauvaises conditions.

J'étais toujours là pour l'écouter.
Il me confiait qu'il contait profiter de la vie à présent, et m'a rapporté ceci:

"Je suis allé plusieurs fois dans des boites pour libertins, c'est sympa ! Ca m'a fait évoluer ! Je vous comprends avec Corinne !".
"Merci ! Ca peut te faire du bien, mais ça remplacera pas l'amour, pour toi !".
"J'en ai pas vraiment besoin ! En ce moment ! Mais ça fait longtemps que j'y suis plus allé ! J'ai une grosse envie d'y retourner, il faut que je baise!".
"Je peux rien pour toi !".
"Justement, tu sais que j'ai vu des mecs baiser ensemble, c'est pas si dégoutant que l'on pourrait penser !".

Il ne sait pas que je suis bisexuel, et je n'ai pas envie qu'il le sache.

"Ah bon ?".

La discussion change d'orientation, puis comme souvent, il se laisse emporter par le manque de son ex-femme.
Ses pleurs me font mal, je le réconforte en le laissant fondre contre mon épaule.

Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais je lui propose de se changer les idées en lui mettant un film porno, afin qu'il repense au club libertin.

Je le laisse seul quelques minutes, puis je reviens m'assoir près de lui.

"Ca te déranges, si je me branle ?".
"Non, on est entre nous Bruno !".
"Merci, y a qu'avec toi que j'ose faire ça !".

Comme je m'en doutais, il déballe sa bite, de taille normale, mais très large.
Il est un peu gêné et me demande de l'imiter.

"Je vais pas me branler tout seul !".

Ensuite, il aborde le sujet de l'homosexualité:

"Je peux te dire un truc ?".
"Oui, bien sur, t'es mon ami ! Tu peux tout me dire !".
"Je suis sûr que tu aimes baiser avec des mecs ! Je sais pas pourquoi, mais ça se voit !".
"Qu... Quoi ? Non, pourquoi ?".
"Tu peux avoir confiance en moi ! Moi, je l'ai jamais fait, mais ça me tente ! J'aimerai bien le faire avec toi !".
"Bruno, je peux pas le faire avec quelqu'un que je connais !".
"Donc, j'ai raison !".

Je viens de faire une erreur grossière, il sait à présent !

"Oui ! J'avoue !".
"Depuis longtemps ?".
"Avant les filles ! Mais ça me gênes que tu saches !".
"Moi, je te respecte toujours autant ! Montres-moi, s'il te plait ! Je veux connaitre ça !".
"Mais tu dois savoir que je ne cherche qu'une chose avec les hommes ! Je suis passif !".
"Tu fais "la femme", c'est ça ?".
"Oui ! Dit comme ça, c'est bizarre, mais c'est ça !".
"C'est exactement ce que je cherche, je pense que je préfère être actif ! Commences ! S'il te plait !".

Je me laisse convaincre et je me penche doucement, au dessus de sa grosse verge.
Il gémit au contact de ma langue, puis réitère ses râles au gré de mes mouvements buccaux.

"Ahhhh ! Pascal ! C'est trop bon, je pensais pas que j'aimerai la bouche d'un mec ! Ohhhh ! Encore !".

Je me relève et lui demande:

"Tu me vois pas autrement ? J'ai un peu honte de te faire ça !".
"Non, pas du tout ! Continues, ca fait tellement longtemps que j'ai pas eu de sexe ! Et j'aime trop ce que tu me fais !".

Je me pénètre à nouveau la gorge, en lui suçant la queue avec sensualité.

Sur l'écran, la femme se fait enculer depuis 2 minutes, il me demande alors:

"Toi aussi, tu te fais prendre comme ça ?".
"Oui ! Mmmmm ! Gllllrp !".
"Tu aimes ça ?".
"Mmmm, oui, bien sûr !".
"J'ai envie de te le faire ! Je peux ?".
"Bruno, on pourra plus revenir en arrière ! J'ai peur que ça change nos rapports amicaux !".
"S'il te plait !".

Je me redresse et il entreprend de me défaire le pantalon.
Sur son impulsion, je me place en levrette, il me lubrifie avec de la salive et commence à me pénétrer.

En quelques incursions, il s'introduit entièrement dans mon anus, je me cambre de plaisir.

Il commence une possession sensuelle de mon corps et mon cul.
Sa bite se lubrifie assez rapidement, de mes sécrétions anales.
Il amplifie ses mouvements et s'excite de mes gémissements.

"Putain ! Pascal, je suis trop bien dans ton cul ! Ca m'excite de t'entendre aussi ! C'est bon !".

Il me caresse longuement en m'enculant, notre amitié conditionne sa façon de me prendre.
J'ai peur des conséquences, mais j'ai envie qu'il se lâche avec moi.

"Arhhhhhhh ! Bruno, t'es pas obligé de me faire l'amour ! Tu peux te lâcher, baises-moi !".
"C'est vrai ? Je peux ? J'osais pas, j'ai trop envie de jouir en te baisant !".

Il se lâche, petit à petit et m'encule assez vite, comme une salope.

"Puatin, Pascal, j'aime t'enculer, j'adore ton cul ! Putain, pourquoi, on l'a pas fait avant !".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Je joui ! Arghhhhhhh !".
"Tu jouis ? Et moi, j'ai pas encore joui, je fais quoi ?".
"Continues ! Fais-moi encore jouir !".

Il est rassuré, et fait monter son plaisir progressivement en me défonçant profondément et puissamment.

Il se retire et s'assoit sur le canapé, je m'empale sur lui et le baise avec fougue.
Après quelques minutes d'enfoncements profonds, il se lâche dans mon anus en criant qu'il aime ce plaisir.

Je ressens une satisfaction énorme en le voyant se secouer le corps pendant qu'il se déverse en moi.
Ses spasmes m'excitent, lentement, je remonte mon corps en serrant les fesses.

"Putain Pascal ! C'était trop bon ! J'y crois pas, j'ai aimé enculer un mec !".
"Tu regrettes pas ?".
"Ah non ! Pourquoi, toi oui ?".
"Je sais pas, j'ai peur que ça brise notre amitié !".
"Ca change rien pour moi, en tout cas !".
"Bon, ça me rassure !".
"Mais, t'as pas éjaculé ! T'en as pas envie ?".
"Non, pas besoin ! T'es gentil !".

J'éteins le film porno, puis on reparle de notre "faux pas", je vais me vider de son sperme aux toilettes, puis commence à me rhabiller devant lui.
Il me remercie de l'avoir "soulagé" d'un besoin de sexe irrésistible et de lui avoir fait connaitre ce nouveau plaisir par l'occasion.

"Tu le gardes pour toi, je veux pas qu'on saches que je suis attiré par le sexe entre hommes !".
"Promis ! Tu peux me faire confiance ! Mais Corinne le sait ?".
"Oui ! J'avais besoin de lui dire pour pouvoir rencontrer des hommes quand je voulais !".
"T'as de la chance qu'elle accepte ! J'envie votre couple !".
"Ne lui dis pas pour nous deux !".
"Comme tu veux !".

On a passé l'après midi tranquillement, puis je l'ai raccompagné à son appartement.
J'allais partir, quand il m'a pris par le bras.

"J'en ai encore envie, tu veux bien ?".
"Bruno ! T'es fou !".
"Allez viens !".

Il m'attire vers lui, et sort aussitôt sa grosse verge en érection.

"Je comprend pas pourquoi ça m'excite autant ! J'ai encore envie de t'enculer !".

Il me fait reculer jusque sa table de salon, pour me pencher au dessus.
Mon Jeans tombe sur mes pieds, puis très rapidement, il m'investit l'anus.

"Arghhhhhhh ! Pascal, c'est trop bon ! J'adore ton cul !".
"Bruno, Ouff, dépèches toi, encules moi encore ! A fond, comme tout à l'heure !".
"Ohhhh ! Oui, comme tout à l'heure, J'ai adoré te défoncer !".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! ...".

Je prend mes premiers nouveaux orgasmes, je suis entre le plaisir et la honte que ce soit mon ami qui me les procurent.
Il est bien plus endurant que la première fois, il aime m'entendre crier et adore se faire tremper la bite en m'enculant.

Cette très longue sodomie atteint l'effet que je préfère, il me fait bander sans me toucher.
Je me redresse sur sa bite, qui va et vient sans discontinuer dans mon cul.
Il me serre contre son torse sans cesser sa défonce anale, il me dit qu'il aime m'enculer, sans cesse.

Puis, arrive le moment suprême ou j'éjacule au rythme de ses assauts.
Il le remarque et amplifie plus puissamment ses enfoncements.

"Oui, Pascal ! Jouis ! Viens ! Tiens ! Tiens ! Tiens ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh !...".

Il me rejoint dans l'éjaculation, me couvre de compliments en me disant qu'il aime jouir dans mon cul.
Il me masturbe énergiquement en accompagnant ses allers retours sur mon sexe, de coups de queues profonds.

Je crie mon plaisir, heureux et honteux de jouir ainsi, avec mon ami.

Il sors lentement de mon corps, en fixant son sexe embué de sperme et de jus anal.
Cette fois, je ne peux retenir sa semence, vu la béance de mon anus.
Il s'éloigne et me tend un morceau d'essuie-tout, puis me regarde m'essuyer.
Je sens une certaine fierté chez lui, surtout quand je m'essuie la queue, pour terminer.
Ensuite, l'ambiance est emplie de gêne, on se sourit sans se parler.
Il me prend le papier des mains et nettoie le sol entre nous.

Je le quitte en lui disant:

"Bye Bruno !".
"Bye Pascal !".

Je ne l'ai jamais cherché, je le laissai venir vers moi, nous avons cédé plusieurs fois à la tentation.
Puis, il retrouvé une compagne, nous ne parlions alors, plus de cela.
Sauf quelques fois, lors de causerie à deux, autour d'un verre.

Nous avons eu une période de quelques années sans nous voir, cela m'arrangeai !
Nos "écarts" se sont espacés, il m'a avoué avoir tenté l'expérience avec d'autres hommes, mais il préférai notre échange.

"C'est pas pareil avec les autres !".

A sa demande, j'ai cédé à son désir de jouir avec ma bouche plusieurs fois, en extérieur et chez lui, ou chez moi, il adorait ça !

Corinne n'a jamais su, et c'est bien comme ça.
Si j'avais décelé un changement dans son comportement amical, j'aurai cessé toute relation sexuelle avec lui.
Notre amitié était trop importante !

Il garde le secret de notre relation, et moi le secret de sa nouvelle attirance pour les hommes.