Oups ! La suite ! - histoire érotique

Bruno m'a fait franchir une limite, celle de baiser avec un ami.

Cela s'est passé une semaine plus tôt, j'ai peur de le revoir.
Ce qui me fait peur surtout, c'est qu'il change de comportement vis à vis de moi.

Il m'a quand même enculé !
Cela peut détruire le respect et l'image qu'il avait de moi !

Je m'en veux d'avoir cédé, mon amitié pour lui, m'a joué des tours.
Je me suis senti obligé de soulager son désir de sexe et son nouvel attrait pour l'homosexualité.

C'est mon défaut, j'ai toujours le besoin de protéger ou satisfaire les caprices des gens que j'aime.

Des bruits résonnent, j'entends frapper à ma porte.
J'ouvre et vois Bruno devant moi.
Il brise la gêne qui nous lie, en disant:

"Salut Pascal ! Ca va ?".
"Oui, et toi ?".

On se fait la bise comme d'habitude.
Je lui offre un café, comme si rien ne s'était passé entre nous.
Depuis quelques semaines, c'est un rituel, il profite de mon jour de repos pour venir me voir.
Je lui demande:

"Tu vas mieux, tu penses moins à ton ex ?".
"Oui, on s'est appelé, elle m'a encore saoulé ! Finalement, c'est bien qu'on se sépare ! Mais pour tout t'avouer, je pense aussi, beaucoup, à ce qu'on a fait !".
"Ah ! Il faut pas, on aurait pas du !".
"Moi, j'ai aimé ! Je regrette pas ! Ca me déçoit que tu regrettes !".
"C'est pas parce que j'ai pas aimé, c'est parce que c'est toi ! T'es mon ami !".
"On s'en fout ! Moi je veux encore recommencer ! J'adore ça ! Et j'imaginais pas débuter avec un autre que toi !".
"Putain ! Bruno ! ça va causer des problèmes !".
"C'est quoi qui te gênes ?".

"J'ai peur qu'on se déçoivent, je veux que ce soit que sexuel, sans pour autant, que tu ne me respecte plus, c'est compliqué ! J'ai envie que tu me baises en me défonçant, mais sans vulgarité, alors que j'adore me faire insulter par les autres, c'est étrange !".
"On fera comme tu veux ! C'est toi qui gères ! Ok ? Qu'est-ce que tu ne veux pas ?".

"Ok ! Bon, je veux pas qu'on s'embrasse ! Ce serait trop bizarre pour moi !".
"Je pense pareil ! Autre chose ?".

"Je veux bien un peu de sensualité, mais pas de tendresse ! Je veux que ça reste un besoin de sexe !".
"Ok, j'ai compris ! Mais avec les autres, tu aimes quoi ?".

"Qu'on me domine ! J'aime me faire défoncer avec des insultes, des mots vulgaires ! Mais comme c'est des inconnus, je le vis bien ! Avec toi, ce serait pas possible !".
"Je comprends, que des actes !".
"Voilà ! Rien de plus !".

On sirote notre café, je met un bon moment à remarquer sa main sous la table.
Il se dégage la bite, son érection le gêne.

"Ca va pas, Bruno ?".
"Je bande ! Je revis notre baise de la dernière fois ! Tu veux pas qu'on aille dans le salon ?".
"Bruno, t'es pas sérieux ! Tu es conscient que tu deviens accroc à l'homosexualité ?".
"Je m'en fous ! Ca m'a plu, c'est tout ce que je retiens !".

On termine notre boisson chaude.
On s'assoit ensemble sur mon canapé, il s'est baissé le jean pour libérer sa large bite.

"S'il te plait Pascal ! Donne moi du plaisir !".

Lentement, je descends mes lèvres vers sa verge épaisse.
Dès mes premiers coups de langue, il gémit et me remercie.

"Ahhhhhhhhhhh ! Oui, merci, Pascal ! Tu suces trop bien ! J'adore ta bouche !".

Je me prend au jeu et je chasse mes scrupules.
Plus je coulisse sur sa verge, et plus j'y prend plaisir.
Ses gémissements me rassurent sur le bonheur buccal qu'il ressent.

"Ohhhh ! Pascal ! C'est trop bon ! T'es le seul avec qui j'ose faire ça ! Putain, j'aime me faire sucer par un mec ! J'hallucine encore !".

Il découvre qu'il adore aussi que je lui dévore les testicules, puis il m'accompagne des mains sur la nuque, lorsque je me baise la bouche en gorge profonde.
Après de longues minutes de pompage tantôt pervers, sensuel et goulu, il me supplie d'arrêter:

"Arhhhh ! Stop Pascal, tu vas me faire jouir !".
"Gllllrp ! Mmmmmm ! Laisses toi aller ! On recommencera après, si tu en a encore envie !".

Je reprend ma fellation avide, moins de trente secondes, plus tard, il me rempli la gorge d'un premier jet de sperme brulant.

"Arghhhhhhhhhhh ! Putain, Pascal, J'adoooorrrrrrrre ! Arghhhhhhhhhhhh !".

J'avale au fur et à mesure qu'il envahit ma gorge de son plaisir salé, gluant et poisseux.

Comme à chaque fois qu'il jouit, son bassin est secoué de nombreux spasmes.
Sa bite cogne plusieurs fois contre ma glotte, en se déversant dans ma bouche.

Je ressens chaque passage de foutre dans son canal urinaire, ça m'excite énormément.
Je termine d'avaler son plaisir sous ses mots de remerciement.
C'est presque gênant, tant il a l'air soucieux de me remercier.

Je passe un peu de temps à lui lécher le sexe, en ayant pour but de lui soutirer chaque dernière goutte de sperme.

"Je sais pas, si on te l'a déjà dit, mais tu suces trop bien ! J'ai rarement joui comme ça !".
"Ta femme devait assurer, non ?".
"Oui, mais, plus on le faisait, et moins elle me suçait jusqu'au bout, elle aimait pas avaler !".
"Ah ! Moi, je comprends pas qu'on aime pas ça ! Perso, je dis à Corinne que c'est comme si je m'arrêtais de la baiser avant qu'elle jouisse !".
"C'est vrai ! Mais les femmes ont du mal à le comprendre !".
"Il faut qu'elle comprennent que le sperme est relié directement à notre plaisir, il n'y a pas de décalage, c'est simultané ! Et en ce qui me concerne, j'adore tous les spermes !".

"J'ai vu ! T'adore sucer une queue aussi, non ?".
"Oui ! Je pensais pas que j'aimerai autant ça ! Dès ma première fellation à 20 ans, j'ai adoré ça ! Et pourtant, je me pensais hétéro !".

Il me pose des questions sur mon parcours homosexuel, ma première fois, etc.
Il hallucine en apprenant que je n'ai baisé qu'avec des hommes pendant un an, tout en étant puceau, du point de vue hétérosexuel.

"C'est fou ! Je te connais depuis notre adolescence ! Et je comprend maintenant, que t'as une vie sexuelle bien plus riche que la mienne ! Tu baises avec des hommes, des femmes, vous pratiquez le libertinage avec Corinne ! Putain, pour un ancien ado timide et puceau, tu t'es bien rattrapé !".
"Oui, je suis content de mon parcours ! Je profite bien de ma vie !".

Je me lève pour boire un verre de jus d'orange, il me rejoint après avoir rangé sa verge dégonflée.
Il m'accompagne en buvant un jus, lui aussi.

Il me parle du club libertin ou il a vu deux hommes baiser pour la première fois.

"Ce qui m'a étonné, c'est que le mec qui se faisait enculer, c'était le mari de la femme qui se faisait défoncer à coté de lui, elle avait l'air excitée de le voir !".
"Corinne aussi, elle adore ça, moi ça me bloque !".

"Du coup, vous avez quel arrangement ?".
"Ben, je la laisse baiser avec qui elle veut, tout en voulant voir quelque fois, en vidéo, et moi, elle me permet de baiser avec des mecs quand j'en ai besoin ! Mais tu sais que je déroge à mes habitudes avec toi !".
"Ah bon ?".

"Ben, déjà, t'es mon ami ! Et en général, j'aime les hommes plus âgés ! Je me sens plus soumis !".
"Ca me fait drôle de savoir que t'es pédé ! Même si j'avais des doutes, je n'en étais pas sûr ! Et tu refuses jamais des mecs ?".

"Si, quand ils sont pas assez membrés !".
"Ah ouais ? J'aurais pensé le contraire ! C'est pour ça que j'arrive à t'enculer facilement, alors ! T'as jamais mal ?".
"Rarement ! Plus c'est gros et plus je prend du plaisir ! D'ailleurs, en ce moment, je me fais baiser par un homme de 50 ans qui à une queue énorme !".

"Putain, j'adorerai te voir !".
"C'est pas possible, parce que tu le connais, indirectement !".
"Non ! Dis-moi ! S'il te plait !".

"Il faut savoir que j'avais déjà baisé avec lui au Sex-Shop, quand je l'ai reconnu, des mois plus tard !".
"Dis-moi qui c'est !".

"C'est le père de B... !".
"J'y crois pas, mais il est marié !".

"Oui, mais je peux te dire qu'il préfère mon cul, à celui de sa femme ! Il me tue à chaque fois ! C'est un gros vicieux, mais ça me plait !".
"T'as pas peur que B... l'apprenne !".

"On fait attention, mais ça excite beaucoup Gilles, de baiser un copain de son fils ! Tu te souviens du jour de l'anniversaire de B... ? Quand vous me cherchiez partout ?".
"Oui !".
"Et ben, il m'enculait dans sa salle de bain ! Je peux te dire que j'ai eu du mal à retenir mes cris !".
"Putain, j'aurai aimé voir ça ! Mais, après, il t'a accompagné chez toi, non ?".
"Oui, et il m'a remis la même chose, mais plus longtemps ! J'avais le cul éclaté !".

La conversation dure un moment, toujours sur le sexe, il m'avoue qu'il essaiera de baiser avec d'autres hommes, plus tard.
Je l'informe sur les endroits chauds de la ville.
Il me confirme savoir ce qui se passe dans les cinémas pornos, entre hommes mariés.

"J'ai toujours eu envie d'essayer, mais j'ai peur de devoir me faire baiser, je me sens pas de faire ça !".
"On fait ce qu'on veut, on t'oblige à rien ! Par contre, il y a beaucoup de vieilles salopes, les jeunes sont rares !".
"J'essaierai peut-être, alors ! Mais j'adore le faire avec toi ! C'est sûr !".

Je souris, ce compliment me touche.
Entre temps, on s'est déplacé vers le salon.

Je me suis levé pour poser un vinyle sur ma platine, je sens qu'il s'approche de moi.
Ses mains caressent mes fesses, je résiste un peu, puis me laisse dévêtir au niveau des fesses.

Il me cale contre le dossier du canapé, son gros sexe cherche déjà le chemin de ce nouveau plaisir qu'il adore depuis peu.

"Arghhhhhhhh ! Bruno ! T'es pas raisonnable ! Arhhhhhhhhhh !".
"J'en ai trop envie, Pascal ! C'est trop bon de t'enculer ! Tu encaisses plus longtemps que mon ex ! J'adore !".
"Alors, profites-en, défonces-moi ! Arghhhhhhhhhh !".

Très rapidement, sa large bite est couverte de lubrification, il s'amuse avec mon écartèlement anal.
Je constate qu'il respecte mes consignes, il m'encule sans vergogne, avec force et profondeur, je joui plusieurs fois.

"T'as bien fait de me faire jouir dans ta bouche ! Je vais t'enculer plus longtemps, grâce à ça ! Je m'éclate Pascal !".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! ...".

"Je pensais pas te dire ça, un jour, mais t'as un beau cul ! Ca m'excite de le baiser !".

C'est vrai qu'il est plus endurant, mon anus laisse échapper un long filet de jus anal, tout au long de sa longue sodomie, génératrice de plusieurs orgasmes successifs.

Comme il est plus grand que moi, sa large queue très dure me pénètre en raclant fortement ma prostate.
Mes couilles se serrent dans leur fourreau de peau, ma bite gonfle inexorablement.
Pris par mon plaisir anal, je ne m'en rend compte que lorsque le plaisir pénien est très proche.

"Bruno ! Tu m'encules trop bien, je vais gicler !".
"Ohhhh ! Putain, ça m'excite ! Tu vas me faire jouir ! Comme l'autre jour, Oui ! Viens ! Tiens ! Tiens ! Prends toi ça dans le cul, encore !".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiii !".

Mon sperme s'éjecte en jets saccadés et incontrôlés, suite à ses assauts sauvages.

"Moi aussi, je joui ! Pascal ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! C'est boooonnnnnnnnn !".

Il éjacule en moi en se déchainant comme un forcené, il me branle au même rythme qu'il me défonce.

La simultanéité des plaisirs me rend dingue.
Je me met à râler longuement, il me secoue avec ses spasmes d'éjaculation continus.

Je prend encore ses derniers assauts, puis ils ralentissent, peu à peu.

"Annhhhhhhhh, je me suis vidé, c'était trop bon, encore ! T'as aimé toi ?".
"Oui, sinon, j'aurai pas éjaculé !".
"C'est excitant de faire éjaculer un mec en l'enculant ! Ca doit être fort comme sensation pour toi !".
"En effet, C'est différent et puissant !".

Il fait durer le plaisir en me pénétrant encore, lentement, avec sa queue vidée de sperme.
Ce qui m'oblige à laisser couler son foutre, hors de mon cul.

Ca ne le choque pas du tout, il me dit aimer ça.
Son sperme va tacher le sol.

Puis, il me demande de m'allonger avec lui sur le canapé, il me rempli l'anus et nous finissons notre conversation sexuelle.
On se sépare sexuellement, quelques minutes plus tard.

Je nettoie les traces de sperme, il m'aide, puis, nous nous rhabillons.

"Ca t'ennuie, si je viens pour ça ?".
"Franchement, j'aimerai que tu trouves quelqu'un d'autre, mais je ne te le refuserai jamais ! Par contre, je n'irai jamais vers toi pour baiser ! Même si j'y prend du plaisir !".
"Ok, ça me va ! Merci Pascal !".

"Mais, pourquoi tu apprécies autant, de me prendre ?".
"J'adore la sodomie ! Et avec mon ex, ça durait pas longtemps ! C'était pas son truc, je pense ! Mais avec toi, c'est naturel, ça passe tout seul ! J'adore ! Je peux y aller à fond ! C'est excitant, et c'est tellement bon de se laisser aller !".

"Merci ! Mais tu dois quand même compter sur quelqu'un d'autre, pour être mieux !".
"Je vais mieux ! Ne t'inquiètes pas ! Gères mon nouveau besoin de sexe ! Le reste, j'en fais mon affaire !".

Une heure plus tard, Corinne arrive à l'appartement.
Elle dit à Bruno:

"T'as l'air d'aller mieux ! Ca fait plaisir !".
Bruno me sourit, elle ne se doute de rien, c'est mieux comme ça !
Il nous a quitté prématurément, en emportant avec lui, notre secret.