Overdose imprévue

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Overdose imprévue Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Overdose imprévue
Corinne et moi étions sur un petit nuage, on vivait un moment de désir intense l'un envers l'autre.
On faisait l'amour très souvent, trop souvent, à la limite de la fatigue physique.

J'étais arrivé en fin de mission intérim. Je ne me faisais aucun souci pour le travail, puisque je savais qu'on allait me rappeler bientôt.

Corinne est au travail, ce vendredi-là.
Comme je m'ennuie, je me promène en ville vers 14 h.
J'empreinte une rue que j'utilise quelquefois pour aller au Sex-shop XXL, un de mes lieux de rencontres préférés.
Mais je n'ai aucune envie, ni homo, ni hétéro, je ne fais que passer.

En arrivant à 5 mètres de l'entrée, je reconnais le caissier métis qui sort pour prendre l'air.
Il fait partie de mes amants occasionnels.

Il me sourit, puis me demande:
"Salut ! comment tu vas ?".

J'avoue que discuter avec lui, devant cet endroit, me gêne un peu.
"Je vais bien, merci !".

Il voit que je regarde les alentours, inquiet qu'on me voie avec lui.
"Entres un peu, je comprends que tu aies peur de parler ici !".

A l'intérieur, il me dit:
"Ça fait un petit moment que t'es pas venu!".
"Oui, c'est vrai ! Ça m'arrive d'avoir des périodes creuses comme ça !".
"Il y a beaucoup de monde aujourd'hui, dommage pour toi, et eux, aussi du coup !".
"J'ai pas trop envie de ça, en ce moment !".
"Même avec moi ? Une petite gâterie ? Vite fait !".

Il sait que j'adore sa queue épaisse et foncée, le simple fait de m'imaginer avec sa bite dans la gorge m'excite comme un dingue, mais, je lui réponds:
"Euh ! J'étais pas venu là pour ça, et j'ai pas l'argent pour l'entrée, Comment tu fais, si ton patron arrive !".
"Ne t'en fais pas pour ça, je mets un film dans une cabine et tu m'attends ! On fera vite ! N'oublies pas ta promesse !".

En effet, au début, pendant qu'il me baisait, à sa demande, je lui ai promis qu'il pourrai m'enculer, quand il le désirait.
"Bon, Ok, mais pas longtemps !".

Je passe la porte pour entrer dans le dédale et je l'attend dans la cabine N° 6.

Il arrive très peu de temps après, il baisse son pantalon tout de suite, et me dit:
"Vas-y, bouffes-moi la bite ! Elle m'a manqué ta petite bouche de pute !".

J'aime sa perversité, il augmente mon désir de le sucer avec avidité.
En posant ma main sur sa queue épaisse et très dure, je repense au fait que je n'en avais aucun besoin, mais devant cette bite, je perds toute résistance.

Je m'agenouille devant lui et recouvre son membre de ma gorge humide et chaude.
Il est très dominateur et me baise la gorge en me faisant saliver abondamment.

La fellation dure et j'ai hâte qu'il éjacule enfin.

Il me redresse, et m'embrasse, tout en me caressant le dos, puis les fesses, il parvient à me défaire ma ceinture et baisser mon pantalon.
"Qu'est-ce que tu fais ? C'est pas ce qu'on avait prévu !".
"Chuuut ! Laisses-moi t'enculer, t'aimes ça, toi aussi !".

Il est beaucoup plus grand et musclé que moi, il me tourne, et me plie en deux, je reste quelques secondes ainsi, puis je sens le contact froid du gel lubrifiant sur mon anus.

Ensuite, c'est au tour de son gland qui vient pousser contre mon cul.
Ses mains me tiennent fermement collé contre sa bite.
J'ai un long râle, quand son gros sexe m'écartèle les parois anales.

Son gros pieu glisse lentement en moi jusqu'à toucher le fond de mon cul.

Puis, il entre dans une possession de plus en plus puissante et profonde de mon petit corps de jeune homme.
"Arhhhhhhhhhhh ! salaud, tu... tu vas me faire jouir du cul, déjà ! Arrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhh!".
"Tu vois que t'adore ça ! Tu l'aimes ma queue ! Pas vrai ?".
"Ohhhh ! Oui, je l'aime ! Putain, ce que j'aime, quand tu m'encules ! Ahhhhhhhhhhh !".

Il me défonce sans retenue pendant plusieurs minutes, ce qui ne me surprend pas, puisqu'il est toujours très endurant.
Il m'annonce son éjaculation en me disant qu'il va "remplir mon cul de salope".
Il se déverse dans mon anus jusqu'au bout, puis lentement, il se retire et me laisse me relever.

En me tournant, je vois plusieurs hommes qui nous regardent, ils ont tout vu de ma sodomie.
Le caissier a ouvert le rideau coulissant de la cabine pendant qu'il m'enculait.

Il retourne à son poste pendant que les inconnus m'entourent en me couvrant de compliments sur mon corps.
Ils m'entrainent vers la salle de projection, la plus proche, et me déshabillent entièrement.

J'ai des queues dans chaque main, des mains inconnues qui me caressent, le torse, le dos, les fesses, le sexe.

Des doigts fouillent mon anus, une main me force à me baisser sur un sexe en érection.
Puis un autre se présente devant ma bouche.

Au moment où ma langue lèche deux glands en même temps, je suis pénétré par un sexe très long, qui n'attend pas pour prendre du plaisir avec mon cul frénétiquement.

Je suis pris par un afflux de sensations multiples, des queues qui se suivent dans ma gorge, les assauts dans mon cul, les sexes que je dois masturber, et toutes ces mains inconnues partout sur mon corps.

L'homme qui m'encule cogne fort au fond de mon anus, je ne peux plus retenir mon orgasme anal, et je le crie.

Mes gémissements bruyants excitent mes assaillants.

L'inconnu sort de mon cul, il a joui sans que je le devine, pris par ma jouissance.

Je suis aussitôt investi par un autre homme, plus épais et moins long, mais aussi excité.
Il me défonce comme un pute, le son du film porno qui passe dans la salle, ajoute à l'ambiance de surexcitation sexuelle.

Je subis un nouvel orgasme anal, au moment où je reçois une décharge de sperme dans la gorge.
L'homme me tient enfoncé sur sa bite pour se vider complètement, il craint que je refuse d'avaler.
J'ingurgite tout son jus chaud, encore secoué par celui qui me sodomise.

Les mots crus n'arrêtent pas d'être prononcés, l'ambiance est perverse, l'effet de groupe entraine les plus timides à copier les plus vicieux.

A partir de ce moment, je ne ferai que répéter encore et encore les faits, je me fais enculer à la chaine, défoncer la bouche sans fin, on éjacule sur moi, plusieurs fois.

On me tournera sur le dos, en me soulevant pour me tenir à portée de queue.

Deux hommes se succèdent dans mon cul, le dernier éjacule sur ma bite et mes couilles, alors que j'ai le visage retourné rempli par la bite large d'un magrébin surexcité.

On me repose ensuite sur un fauteuil de jardin avec le cul accessible à tous ceux qui veulent se vider les couilles.

J'avale une quantité innommable de sperme, autant que j'en reçois dans l'anus.
Je jouis, je ne sais, combien de fois, mon corps est couvert de foutre chaud et collant.

Lorsque les derniers hommes se sont vidés avec mon cul et ma gorge, je suis surpris par le calme et le silence, hormis le son du film.

J'ai une impression de salle déserte autour de moi, je saisi mes vêtements du bout des doigts pour ne pas les tâcher, et je déambule pour trouver la douche, puis je me souviens, en retrouvant un éclair de lucidité de l'endroit où elle se trouve.

Je suis épuisé, je m'assoie au fond du bac, trop fatigué pour tenir debout, pendant que l'eau efface les traces de ces assauts pervers.

Une fois lavé et rhabillé, je sors et m'arrête devant le caissier.
"Je m'attendais pas à vivre ça aujourd'hui ! Ils m'ont tué".
"T'as assuré ma salope ! Tu sais combien, ils étaient ?".
"Franchement, non ! J'étais trop occupé pour compter !".
"Moi j'ai compté ! 27 ! Je le sais, je leur demandais, s'ils avaient aimé, en sortant !".
J'ai un léger recul en réalisant le chiffre.
"Avec toi ?".
"Ben non ! 28 du coup ! Et certains ont joui deux fois !".
"Euh, je dois encaisser le coup ! Là ! Quand je pense que, quand j'en ai envie, il y a pas tout ce monde ! Et aujourd'hui, je me fais enculer à la chaine ! Ouhhh, j'aime pas quand ça me fait ça !".
"Quoi?".
"Mon anus ne se ferme plus !".
"C'est normal, il a encaissé des bites pendant presque 4 heures !".
"Quoi ? C'est pas vrai, je dois y aller ! Ma copine va se demander ce que je fais !".
"Ah, non ! Moi je bande encore, tu vas assurer encore un peu, ma petite salope ! Souviens-toi de ce que tu m'a promis ! Je peux te baiser quand je veux !".
"Mais tu m'a déjà enculé ! s'il te plait !".

Il m'entraine vers la première cabine et n'a aucun mal à me pénétrer, tant mon anus est ouvert et lubrifié par mes muqueuses anales.

Après quelques assauts, il me demande vicieusement:
"Alors, tu veux que je m'arrêtes ?".
"Arhhhh! Non, encules-moi, j'adore ta bite, Arhhhhhhhhhhhhhh! Je vais encore jouir ! Casses-moi encore le cul !".

Il me procure plusieurs autres orgasmes, étant plus endurant, suite à sa première éjaculation.
Au bout d'une demi-heure, il me remplit l'anus en me serrant et me relevant contre son torse, complètement planté en moi.

Je quitte le Sex-shop, en marchant avec le sentiment que les gens savent ce que je viens de vivre.
Ma démarche n'est pas naturelle, je serre mon muscle anal pour empêcher le sperme du caissier de couler.

Lorsque j'arrive chez moi, inévitablement, Corinne est déjà là.
Je n'ose pas lui parler de ce que j'ai subi, je prétexte un état fébrile pour faire passer mon incommodité.
Par chance, on ne fait pas l'amour.
C'est horrible de penser ça !

Le lendemain, je passe la journée avec mon meilleur ami, sans ma belle.
De son coté, comme on est samedi, ma femme pense passer la journée simplement. Mais son nouvel amant libertin lui demande de venir le voir chez lui.

D'abord réticente, il arrive à la persuader. Elle est surprise en entrant chez son amant, de voir qu'il a invité d'autres libertins.
"Ça fait un moment qu'on a pas fait de gang bang !".

Comme moi, elle n'en avait pas vraiment envie, mais devant toutes ces queues en érection, elle a assumé son rôle et n'est rentrée que vers 17h30.

Nous n'avons eu aucun rapport sexuel pendant presque dix jours, après notre dernier orgasme commun, je lui fait remarquer:
"Ca fait plus d'une semaine, tu m'en veux pas ?".
"Ah, non, pas du tout, je crois que j'ai fait une overdose de sexe ! Surtout après samedi !".

Elle me raconte son gang bang, je comprends son sentiment d'excès, ayant vécu un quasi viol collectif, la veille.
Mais je n'ose pas lui faire peur avec mon aventure au Sex-shop et je la garde pour moi.
Le besoin sexuel est revenu doucement ensuite.

Les avis des lecteurs

Ce n'est pas un fantasme, puisque je l'ai vécu, mais je conviens que ce n'arrive pas souvent, et pas n'importe ou !
J'ai habité une ville portuaire avec un grand brassage de population, et ce Sex-shop était idéal pour la baise entre hommes !
Il s'inspirait des darkrooms parisiens, avec son grand dédale de couloirs, et plusieurs étages.
C'était mon lieu préféré !
Il faut admettre aussi, que plus on est jeune, et plus on plait !
Les hommes mûrs se jetaient sur moi, et j'en prenais plein le cul et la bouche, de 14 h à 23 h, voire plus !

Histoire Erotique
Histoire qui fait rêver…. J’adore ! Bisexuel depuis peu, ce type de scénario me fascine et me tente énormément.J’ai déjà donné du plaisir à deux hommes en même temps, mais un groupe de 10 ou plus reste un fantasme.

Fantasme d'une tournante directe dans un sex-shop (?) on peut toujours rêver... J'adore ! J'aime bien lire les commentaires qui commencent par : "Bonjour , je ne suis pas homo, mais je dois avouer que j’ai parfois envie de connaître le plaisir d’avoir une queue en bouche, etc." Ben faut essayer, ça ne manque d'endroits pour...

Fantasme d'une tournante directe dans un sex-shop (?) on peut toujours rêver...

Très excitant et bandant

J'ai adoré votre récit qui m'a fortement excité. Je ne suis pas homo, mais je dois avouer que j'aurais aimé connaître une telle aventure !!!

Histoire Erotique
Bonjour , je ne suis pas homo, mais je dois avouer que j’ai parfois envie de connaître le plaisir d’avoir une queue en bouche et d’avoir le pouvoir de la faire exploser…..moi même adorant les fellations ….. sentir le moment de non retour et la jouissance de l’autre ☺️…..
Votre texte m’a énormément excité 😊👍

Histoire Libertine
Allez jeter 1 oeil chez Bob 65 , j'apprecie cet auteur et la relation qu'il a avec sa femme.

Histoire Libertine
Vous avez surtout pris des risques inconsidéré .



Texte coquin : Overdose imprévue
Histoire sexe : Une rose rouge
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