Partie de plaisir.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Partie de plaisir.
Le côté agréable de mon boulot est de côtoyer pas mal de gens différents et de faire de nouvelles rencontres. Qui dans certains cas, me trouvant des plus sympathiques, n’hésite pas à prolonger notre rencontre. Il s’agit souvent de prendre un pot ou alors faire des petits travaux chez eux me sachant très bon bricoleur !
Et cette Nicole fait partie de cette catégorie. A la différence de son mari qui se montre peu aimable, elle par contre, a toujours le sourire aux lèvres et un petit mot gentil à offrir. Elle est petite, ronde, avec des seins lourds. Elle ne fait pas son âge avec son visage de poupée aux lèvres charnues et à dents éclatantes. Coupe au carrée court avec frange, elle farde ses yeux sous ses lunettes rondes, d’un long trait noir et porte toujours un chandail sur une jupe. Elle a deux grands enfants, avec eux-mêmes des enfants.
Elle fait partie des personnes avec lesquelles j’ai le plus d’affinités, il m’est même arrivé d’accepter des invitations chez elle, mais seulement quand elle était seule. Cela va s’en dire !
Mais jusqu’alors, aucune relation sexuelle n’entre nous ! Bien que j’ai très vite compris qu’elle était une mangeuse d’hommes. Une nymphomane sous une carapace de mamie. Vorace, implacable, pressée par le temps.
Mais rien, bien qu’elle fait partie de cette catégorie de femme que la chance nous fait nous rencontrer, qu’elles sont les meilleurs coups, les plus endurantes, les plus inventives, aussi.
Mais cet après-midi là, je pense qu’elle a voulu passer à une autre étape avec moi. Laissant de côté la gentille mamie qui avait besoin de compagnie alors que son mari était absent.
D’ailleurs, elle ne perd pas de temps. Comme si ce dernier lui était compté. Après m’avoir demandé si je désire un café, la voilà qui soulève sa jupe, avec les paumes, doucement jusqu’à la culotte.
- Mais alors Nicole en voilà des manières ? Lui fais-je, qu’est-ce qu’il vous arrive.
- Une envie pressante de te montrer ma culotte.
Une affriolante culotte noire, satinée, échancrée. Dont son pubis proéminent est bien mis en valeur sous le tissu soyeux.
- J’ai eu tort ou raison ? Ajoute-t-elle en se retournant, pour m’exposer cette fois ses fesses nues.
Où le cordon de derrière disparaît dans la raie. Évidemment, il y a les marques du temps, certaines grosseurs, certains affaissements, mais rien d’inquiétant. Mollets fins, cuisses grassouillettes. Son cul bien rond, bien bombé.
- Alors tu as avalé ta langue ?
- Sachez, que sexuellement, je n’ai aucun tabou. Je suis toujours à la recherche d’expériences nouvelles et imprévues.
- Tant mieux c’est la réponse que je désirais sortir de ta bouche. Tu ne sais pas à quel point je suis contente de ne pas m’être pas trompé sur ton compte.
- C’est-à-dire ?
- Tu sais à mon âge, c’est parfois très dur de trouver une bonne connexion sexuelle, si tu vois ce que je veux te faire comprendre ?
-Je pige, oui !
-Comme tu ne t’es pas encore sauvé, je devine que j’ai tout bon avec toi.
- Tu as effectivement tout bon !
- Alors montre-moi comme j’ai vus juste. Fait-elle se séparant de son chandail. J’exige de ta part que tu mettes les mains dans le dos. Enfin, si cela ne te dérange pas.
Je m’exécute, docile. Elle se tourne. Je retire les agrafes du soutien-gorge avec les dents. Un acte qui est dans mes cordes. Comme celui de faire glisser les bretelles le long de ses bras. J’ai devant mes yeux une paire de nichons agréable à regarder.
- Passant à autre chose, veux-tu ? Me fait-elle, impatiente. À plus, bas si tu vois ce que je veux dire ?
Je sens l’excitation me gagner vraiment, je bande ! Elle s’en aperçoit, sourit.
- Tu ne peux pas savoir comment tu me rends heureuse en cet instant ! Ma culotte, maintenant… Lâche-t-elle en retroussant l’ourlet de sa jupe.
L’ivresse brille dans son regard rieur. Les allusions osées la font même rire. Là, je m’agenouille, toujours les mains dans le dos. Dans cette posture, j’ai l’impression d’être son esclave. Et je sais parfaitement que cela plaît aux femmes. Faire ressortir leur côté dominateur !
Ma bouche se fait curieuse, et tente, à travers la soie, d’atteindre son bouton d’amour. Elle tressaille, sentant mon souffle puis ma langue humide glisser sur le devant de son slip. L’odeur qui s’en dégage est comme je les aime. Forte. Je dirais même très forte. Envoûtante. Je décide de la faire monter dans le plaisir.
Je la regarde. Mes yeux descendent sur son ventre. La transparence de sa culotte ne m’empêche pas de cacher sa forêt de poils. Il ne m’en faut pas plus pour me pencher. De saisir un côté de sa culotte entre mes dents, je tire un peu pour le descendre, même chose de l’autre côté, puis sur le devant. Pour autant, elle ne reste pas impassible, elle joue des hanches, passe ses doigts dans mes cheveux, accompagne mes mouvements par de profonds soupirs.
Cela m’incite à prendre mon temps. Répétant les gestes ainsi de suite jusqu’à ce que sa culotte soit à mi-cuisses. Peu à peu, je perçois alors une belle chatte comme je les affectionne, bien fournie, fourrure poivre et sel. En parfait chien de chasse, mes narines captent les odeurs fauves qui transpirent de son sexe échauffé. Un petit baiser dessus et il ne me reste plus qu’à tirer dessus pour qu’elle descende jusqu’aux chevilles. Elle s’en débarrasse en s’aidant des pieds, la ramasse et me la colle sur le nez, tout en rentrant la tête dans ses épaules en laissant échappés des mots enchantés.
- J’espère que tu fais partie des hommes qui aiment renifler les culottes portées de femmes ?
- Je n'aime pas, j’adore !
- Tu m’en vois ravie !
Elle me fait languir quelques instants avant de défaire le bouton qui retient la jupe à la taille. La jupe en corolle autour de ses pieds, elle m’expose sa touffe qui recouvre son sexe.
Impatiente, elle se jette sur moi alors que je suis toujours confortablement assis sur le divan. Je sens ses doigts s’occupaient de mon pantalon, qu’elle tire avec mon aide jusqu’à mes chevilles.
À genoux devant moi, elle se penche sur ma virilité. Je sens la chaude humidité de sa bouche enserrer mon sexe dur. Sa langue est active et dispense en moi une multitude de frissons qui me parcourent le corps. Ses va-et-vient, entrecoupés de petits coups de langue tout le long de ma verge bandée, m’accompagne vers un plaisir infini.
Je profite de l’instant pour humer sa petite lingerie. Et ce qui en dégage a pour effet d’amplifié mon appétence. La bouche de la fellatrice abandonne un instant ma verge, et presque aussitôt, je sens qu’elle l’enfonce dans une matière chaude un peu épais, crémeux enveloppant comme le serait un vagin. Mais terminé par un anneau élastique si serre que j’ai l’impression de rentrer dans un anus de jeune fille.
Elle pousse de petits cris au moment où je pousse pour m’enfoncer bien au fond en elle. Elle en devient folle et se tortille de plus en plus. Je m’écarte pour voir ma verge plantée au milieu de son anus. Elle en profite pour passer un de ses bras sous son ventre et se masturbe. Elle secoue la tête de droite à gauche, le souffle saccadé. J’en ai profité pour accélérer les mouvements de va-et-vient pendant qu’elle serre les fesses et se trémousse. Elle perd toute raison et m’abreuve de cris de râle et de suppliques. Je lui défonce le cul et m’agite longtemps en elle. J’agrippe ses seins que je malaxe sans douceur. Elle me contemple avec dans les yeux une lueur qui ne trompe pas. Un orgasme violent coupe sa respiration. Je suis effrayé, on aurait dit qu’elle avait une crise, elle couinait.
Ses râles de gorge s’interrompent, elle a joui. Je sens alors l’orgasme venir. Quelques coups de reins plus tard, ma verge se dilate à l’extrême, et je jouis tout en hurlant mon plaisir. Incapable de baisser le son, tant c'est formidable. Une jouissance qui me laisse essouffler. Jamais, sans doute, je n’ai pas joui aussi fort ces derniers temps.
- Tu m’as bien ramoné mon cul mon salaud. Je ne sais même pas après cela si je vais pouvoir marcher ?
Ses paroles exacerbent mon envie d’explorer son sexe. Pour cela, je la fais s’installer sur le divan. J’y découvre un plaisir inimaginable, avivé par le roulement de ses fesses entre mes mains. Ma tête se niche entre ses cuisses, rien ne peut m’en décoller à cet instant. Pas même la venue de son con de mari !
Elle se soulève pour que je vrille ma langue au fond de son orifice. Ses cuisses m’écrasent les oreilles, elle s’abandonne à ma bouche. Elle veut qu’à mon tour, je m’allonge sur le dos. Elle s’accroupit avec lenteur sur mon visage. Je vois son cul s’épanouir au-dessus de moi. Ses lèvres poisseuses se posent sur ma bouche. Mon nez se plante au centre de la couronne anale souillée de mon propre sperme. Cela ne m’empêche pas de fourrer ma langue dans le fourreau fiévreux, la faisant naviguer d’avant en arrière, comme avec ma queue, plus tôt. Le jus chaud me coule dans la bouche et sur mes joues. Je bois en faisant du bruit avec ma bouche, comme si je dévorais un fruit trop mûr.
Les ultimes gouttes sur ma langue que j’ingurgite comme un nectar précieux. La voilà qui éloigne sa vulve. J’en grogne de frustration.
- Gourmand ! Tu vas être ivre.
Pas le temps d’écouter ma réponse que voilà qu’elle écrase sa chatte sur mon visage. De tout son poids. Elle est si ouverte que le clitoris darde entre ses petites lèvres. Je le suce puis le mordille. Elle pousse un cri. Je la sens se raidir. Une giclée chaude me fouette le fond de la gorge. Au goût salé, je comprends qu’elle a lâché un jet de pisse en jouissant. C’est de son âge. C’est une sexagénaire !
Je respire tout en titillant le clitoris de l’index. Elle couine. Je sens ses chairs frémir. Un autre flot chaud me sature la bouche. Elle urine par petits jets pour me permettre de tout boire. La pisse a un goût aigre. L’anus se pose juste sur mon nez. La bordure anale est relâchée, des arômes poivrés s’en exhalaient, je continue à butiner le gros bouton. Chaque fois qu’une onde de jouissance l’irradie, elle me donne quelques gouttes d’urines.
Pas le temps de me reprendre mes esprits que déjà, elle me met dehors.
- Je ne voudrais pas que mon mari te surprenne avec moi !
C’est une bonne déduction !
Mais néanmoins, elle ne serait pas contre à donner une suite à cette expérience.
Je suis près de chez elle, une main dans la poche de mon blouson, je triture la culotte qu’elle venait de porter. Je savoure la douceur du tissu. J’imprègne ma main de sa senteur. Quand voilà, j’aperçois la voiture de son mari venir au loin.
L’immoralité chez moi, me pousse à aller à sa rencontre. Avec la main souillée du parfum intime de sa main, je vais même jusqu’à le saluer. Lui serrer la main, bien chaleureusement, même.
- Vous vous êtes perdu dans le quartier ? Me fait ce con là.
Je ne sais pas ce qui m’a retenu de lui dévoiler la raison de ma venue dans le quartier.
- Non, fais-je, je venais juste pour acheter une voiture, mais cela n’a pas marché.
-Ce n’est pas ton jour de chance, à ce que j’entends !
Et cette Nicole fait partie de cette catégorie. A la différence de son mari qui se montre peu aimable, elle par contre, a toujours le sourire aux lèvres et un petit mot gentil à offrir. Elle est petite, ronde, avec des seins lourds. Elle ne fait pas son âge avec son visage de poupée aux lèvres charnues et à dents éclatantes. Coupe au carrée court avec frange, elle farde ses yeux sous ses lunettes rondes, d’un long trait noir et porte toujours un chandail sur une jupe. Elle a deux grands enfants, avec eux-mêmes des enfants.
Elle fait partie des personnes avec lesquelles j’ai le plus d’affinités, il m’est même arrivé d’accepter des invitations chez elle, mais seulement quand elle était seule. Cela va s’en dire !
Mais jusqu’alors, aucune relation sexuelle n’entre nous ! Bien que j’ai très vite compris qu’elle était une mangeuse d’hommes. Une nymphomane sous une carapace de mamie. Vorace, implacable, pressée par le temps.
Mais rien, bien qu’elle fait partie de cette catégorie de femme que la chance nous fait nous rencontrer, qu’elles sont les meilleurs coups, les plus endurantes, les plus inventives, aussi.
Mais cet après-midi là, je pense qu’elle a voulu passer à une autre étape avec moi. Laissant de côté la gentille mamie qui avait besoin de compagnie alors que son mari était absent.
D’ailleurs, elle ne perd pas de temps. Comme si ce dernier lui était compté. Après m’avoir demandé si je désire un café, la voilà qui soulève sa jupe, avec les paumes, doucement jusqu’à la culotte.
- Mais alors Nicole en voilà des manières ? Lui fais-je, qu’est-ce qu’il vous arrive.
- Une envie pressante de te montrer ma culotte.
Une affriolante culotte noire, satinée, échancrée. Dont son pubis proéminent est bien mis en valeur sous le tissu soyeux.
- J’ai eu tort ou raison ? Ajoute-t-elle en se retournant, pour m’exposer cette fois ses fesses nues.
Où le cordon de derrière disparaît dans la raie. Évidemment, il y a les marques du temps, certaines grosseurs, certains affaissements, mais rien d’inquiétant. Mollets fins, cuisses grassouillettes. Son cul bien rond, bien bombé.
- Alors tu as avalé ta langue ?
- Sachez, que sexuellement, je n’ai aucun tabou. Je suis toujours à la recherche d’expériences nouvelles et imprévues.
- Tant mieux c’est la réponse que je désirais sortir de ta bouche. Tu ne sais pas à quel point je suis contente de ne pas m’être pas trompé sur ton compte.
- C’est-à-dire ?
- Tu sais à mon âge, c’est parfois très dur de trouver une bonne connexion sexuelle, si tu vois ce que je veux te faire comprendre ?
-Je pige, oui !
-Comme tu ne t’es pas encore sauvé, je devine que j’ai tout bon avec toi.
- Tu as effectivement tout bon !
- Alors montre-moi comme j’ai vus juste. Fait-elle se séparant de son chandail. J’exige de ta part que tu mettes les mains dans le dos. Enfin, si cela ne te dérange pas.
Je m’exécute, docile. Elle se tourne. Je retire les agrafes du soutien-gorge avec les dents. Un acte qui est dans mes cordes. Comme celui de faire glisser les bretelles le long de ses bras. J’ai devant mes yeux une paire de nichons agréable à regarder.
- Passant à autre chose, veux-tu ? Me fait-elle, impatiente. À plus, bas si tu vois ce que je veux dire ?
Je sens l’excitation me gagner vraiment, je bande ! Elle s’en aperçoit, sourit.
- Tu ne peux pas savoir comment tu me rends heureuse en cet instant ! Ma culotte, maintenant… Lâche-t-elle en retroussant l’ourlet de sa jupe.
L’ivresse brille dans son regard rieur. Les allusions osées la font même rire. Là, je m’agenouille, toujours les mains dans le dos. Dans cette posture, j’ai l’impression d’être son esclave. Et je sais parfaitement que cela plaît aux femmes. Faire ressortir leur côté dominateur !
Ma bouche se fait curieuse, et tente, à travers la soie, d’atteindre son bouton d’amour. Elle tressaille, sentant mon souffle puis ma langue humide glisser sur le devant de son slip. L’odeur qui s’en dégage est comme je les aime. Forte. Je dirais même très forte. Envoûtante. Je décide de la faire monter dans le plaisir.
Je la regarde. Mes yeux descendent sur son ventre. La transparence de sa culotte ne m’empêche pas de cacher sa forêt de poils. Il ne m’en faut pas plus pour me pencher. De saisir un côté de sa culotte entre mes dents, je tire un peu pour le descendre, même chose de l’autre côté, puis sur le devant. Pour autant, elle ne reste pas impassible, elle joue des hanches, passe ses doigts dans mes cheveux, accompagne mes mouvements par de profonds soupirs.
Cela m’incite à prendre mon temps. Répétant les gestes ainsi de suite jusqu’à ce que sa culotte soit à mi-cuisses. Peu à peu, je perçois alors une belle chatte comme je les affectionne, bien fournie, fourrure poivre et sel. En parfait chien de chasse, mes narines captent les odeurs fauves qui transpirent de son sexe échauffé. Un petit baiser dessus et il ne me reste plus qu’à tirer dessus pour qu’elle descende jusqu’aux chevilles. Elle s’en débarrasse en s’aidant des pieds, la ramasse et me la colle sur le nez, tout en rentrant la tête dans ses épaules en laissant échappés des mots enchantés.
- J’espère que tu fais partie des hommes qui aiment renifler les culottes portées de femmes ?
- Je n'aime pas, j’adore !
- Tu m’en vois ravie !
Elle me fait languir quelques instants avant de défaire le bouton qui retient la jupe à la taille. La jupe en corolle autour de ses pieds, elle m’expose sa touffe qui recouvre son sexe.
Impatiente, elle se jette sur moi alors que je suis toujours confortablement assis sur le divan. Je sens ses doigts s’occupaient de mon pantalon, qu’elle tire avec mon aide jusqu’à mes chevilles.
À genoux devant moi, elle se penche sur ma virilité. Je sens la chaude humidité de sa bouche enserrer mon sexe dur. Sa langue est active et dispense en moi une multitude de frissons qui me parcourent le corps. Ses va-et-vient, entrecoupés de petits coups de langue tout le long de ma verge bandée, m’accompagne vers un plaisir infini.
Je profite de l’instant pour humer sa petite lingerie. Et ce qui en dégage a pour effet d’amplifié mon appétence. La bouche de la fellatrice abandonne un instant ma verge, et presque aussitôt, je sens qu’elle l’enfonce dans une matière chaude un peu épais, crémeux enveloppant comme le serait un vagin. Mais terminé par un anneau élastique si serre que j’ai l’impression de rentrer dans un anus de jeune fille.
Elle pousse de petits cris au moment où je pousse pour m’enfoncer bien au fond en elle. Elle en devient folle et se tortille de plus en plus. Je m’écarte pour voir ma verge plantée au milieu de son anus. Elle en profite pour passer un de ses bras sous son ventre et se masturbe. Elle secoue la tête de droite à gauche, le souffle saccadé. J’en ai profité pour accélérer les mouvements de va-et-vient pendant qu’elle serre les fesses et se trémousse. Elle perd toute raison et m’abreuve de cris de râle et de suppliques. Je lui défonce le cul et m’agite longtemps en elle. J’agrippe ses seins que je malaxe sans douceur. Elle me contemple avec dans les yeux une lueur qui ne trompe pas. Un orgasme violent coupe sa respiration. Je suis effrayé, on aurait dit qu’elle avait une crise, elle couinait.
Ses râles de gorge s’interrompent, elle a joui. Je sens alors l’orgasme venir. Quelques coups de reins plus tard, ma verge se dilate à l’extrême, et je jouis tout en hurlant mon plaisir. Incapable de baisser le son, tant c'est formidable. Une jouissance qui me laisse essouffler. Jamais, sans doute, je n’ai pas joui aussi fort ces derniers temps.
- Tu m’as bien ramoné mon cul mon salaud. Je ne sais même pas après cela si je vais pouvoir marcher ?
Ses paroles exacerbent mon envie d’explorer son sexe. Pour cela, je la fais s’installer sur le divan. J’y découvre un plaisir inimaginable, avivé par le roulement de ses fesses entre mes mains. Ma tête se niche entre ses cuisses, rien ne peut m’en décoller à cet instant. Pas même la venue de son con de mari !
Elle se soulève pour que je vrille ma langue au fond de son orifice. Ses cuisses m’écrasent les oreilles, elle s’abandonne à ma bouche. Elle veut qu’à mon tour, je m’allonge sur le dos. Elle s’accroupit avec lenteur sur mon visage. Je vois son cul s’épanouir au-dessus de moi. Ses lèvres poisseuses se posent sur ma bouche. Mon nez se plante au centre de la couronne anale souillée de mon propre sperme. Cela ne m’empêche pas de fourrer ma langue dans le fourreau fiévreux, la faisant naviguer d’avant en arrière, comme avec ma queue, plus tôt. Le jus chaud me coule dans la bouche et sur mes joues. Je bois en faisant du bruit avec ma bouche, comme si je dévorais un fruit trop mûr.
Les ultimes gouttes sur ma langue que j’ingurgite comme un nectar précieux. La voilà qui éloigne sa vulve. J’en grogne de frustration.
- Gourmand ! Tu vas être ivre.
Pas le temps d’écouter ma réponse que voilà qu’elle écrase sa chatte sur mon visage. De tout son poids. Elle est si ouverte que le clitoris darde entre ses petites lèvres. Je le suce puis le mordille. Elle pousse un cri. Je la sens se raidir. Une giclée chaude me fouette le fond de la gorge. Au goût salé, je comprends qu’elle a lâché un jet de pisse en jouissant. C’est de son âge. C’est une sexagénaire !
Je respire tout en titillant le clitoris de l’index. Elle couine. Je sens ses chairs frémir. Un autre flot chaud me sature la bouche. Elle urine par petits jets pour me permettre de tout boire. La pisse a un goût aigre. L’anus se pose juste sur mon nez. La bordure anale est relâchée, des arômes poivrés s’en exhalaient, je continue à butiner le gros bouton. Chaque fois qu’une onde de jouissance l’irradie, elle me donne quelques gouttes d’urines.
Pas le temps de me reprendre mes esprits que déjà, elle me met dehors.
- Je ne voudrais pas que mon mari te surprenne avec moi !
C’est une bonne déduction !
Mais néanmoins, elle ne serait pas contre à donner une suite à cette expérience.
Je suis près de chez elle, une main dans la poche de mon blouson, je triture la culotte qu’elle venait de porter. Je savoure la douceur du tissu. J’imprègne ma main de sa senteur. Quand voilà, j’aperçois la voiture de son mari venir au loin.
L’immoralité chez moi, me pousse à aller à sa rencontre. Avec la main souillée du parfum intime de sa main, je vais même jusqu’à le saluer. Lui serrer la main, bien chaleureusement, même.
- Vous vous êtes perdu dans le quartier ? Me fait ce con là.
Je ne sais pas ce qui m’a retenu de lui dévoiler la raison de ma venue dans le quartier.
- Non, fais-je, je venais juste pour acheter une voiture, mais cela n’a pas marché.
-Ce n’est pas ton jour de chance, à ce que j’entends !
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