Passerelle entre générations.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Passerelle entre générations.
Comme prévus quelques heures plus tôt, je passe après le boulot chez Danièle. Une ancienne collègue avec qui je suis resté en bon terme, et qui est maintenant en retraite depuis peu. Je l’ai dans l’après-midi, croisé dans les couloirs de notre administration, et bien sûr nous avons papoté quelques minutes.
Elle ne manque pas de me signaler, pendant cette rencontre, qu’elle est en possession du fameux bouquin que j’ai à mainte reprise chercher de posséder.
- Ça te dirait de le voir ?
- Oui, pas qu’un peu. Tu la là ?
- Non ! Chez moi.
- Dommage j’aurais bien voulu le tenir en main.
Un sourire malicieux, elle lance :
- Qu’est-ce qu’il t’empêche de passer à la maison.
Comme je ne réponds pas, elle ajoute :
- Allô Alain, tu entends ce que je te dis ?
J’oblique mon regard vers elle.
- Oui… bien sûr.
Elle me fusille des yeux, et laisse tomber.
- Tiens, pourquoi pas ce soir… après le boulot.
Comme je suis très curieux de toucher ce fameux bouquin, j’accepte l’invite.
Quelques tours de cadran plus tard, me voilà chez elle, où elle m’invite à m’installer dans le salon.
- Je t’offre quoi à boire ?
- Tu as toujours ta filière d’importation de Porto.
- Oui, bien sûr !
- Alors va pour un porto.
Alors qu’elle s’absente, je me déplace jusqu’à la fenêtre. La pluie frappe les vitres.
- Qu’est-ce qu’il tombe ? fait Danièle, un plateau argenté en main.
Elle le pose sur la table basse.
- C’était à prévoir, il a fait gris toute la journée. Fais-je en reprenant ma place.
Après une gorgée de Porto, impatiens, je lui demande de me montrer le pourquoi de ma venue… le fameux livre. Sourire aux lèvres, elle pose son verre sur la table basse à côté de l’assiette de pop corn.
- Ah oui ! Je savais bien que je devais préparer quelque chose.
Sur ce, elle se lève et quitte une fois encore la pièce. Je l’entends dire :
- Ce n’est pas beau de vieillir, Alain… crois-moi.
Elle me revient avec un escabeau en main.
-Qu’est-ce que tu fais ?
-Et bien, le livre !
- Tu veux que je t’aide.
- Non, merci… mon choux. Je perds la tête mais je suis encore en état de monter sur un escabeau, qu’est-ce que tu crois.
Alors qu’elle le pose devant la haute armoire à étagères, où sont entreposé plusieurs dizaine de livre, elle me confie :
- Tu sais que je suis maintenant bénévole à la croix rouge ?
- Oui… j’ai appris ça…
- Une occupation comme une autre. Tiens je l’ai !
Elle lève le livre vers le plafond, en guise de victoire, et là, elle perd l’équilibre et chute. Je quitte ma place et cours à son secours.
- Danièle… Danièle, tu n’as rien ?
- Non… non, plus de peur que de mal… me lance-t-elle.
Je suis rassuré. Elle tient toujours en main, le livre. Elle me le tend.
- Tu vois, je l’ai toujours en main.
Je la prends par-dessous le bras et l’aide à prendre place sur le divan. Je constate alors qu’elle boite bas.
- Mais tu boites, Danièle ?
- Oui, je ressens une petite douleur au niveau de ma cheville.
Je m’agenouille à ses pieds, et prends dans ma main la cheville douloureuse. Je me mets à le masser. Seul le bruit de la pluie frappant les carreaux de la pièce brise le silence.
- Cela te fait du bien, Danièle ? Ou tu veux que…
En levant les yeux vers elle, j’ai là, la plus belle vision de la journée qui s’offre à moi. Affalée sur le divan ; Danièle a ses jambes négligemment écartées, dans un abondant la plus totale, m’exhibant involontairement ou pas son intimité. Je mets cela, bien sûr sur le compte de la douleur. Le fait est, que je ne peux m’empêcher de détacher mon regard, de sa fourrure. Un épais buisson de poils ondulés, plus clair que ses cheveux, qui lui recouvre tout le bas-ventre.
Quand je lève mon regard, Danièle me fixe. Sa poitrine se soulève de plus en plus vite et ses membres semblent parcourus d’un léger tremblement.
Les yeux clos, Danièle retrousse sa jupe au-dessus de ses reins, puis tend son bassin vers moi une invite muette. Elle pousse un petit grognement. Incapable de me contenir, je passe ma main entre ses cuisses, lentement, de bas en haut, démarrant entre l’arrondi des fesses, où quelques poils bordent la raie, puis sur la grosse vulve, en forçant les grandes lèvres, révélant l’orifice allongé et luisant du vagin entre les petites lèvres rouges.
Je relève ses genoux et ramène ses talons contre ses fesses. J’ai tout à portée de la bouche et de la main. Ça me donne un plaisir démentiel.
Je m’avance un peu, jusqu’à ce que mon visage soit au-dessus de son sexe, et je commence à lui donner du plaisir.
A souffler sur sa vulve offerte. Mon souffle agite les boucles rêches. Je lui écarquille la fente. Je respire les relents qui s’en émanent. Une odeur forte saline de femelle en rut. Je donne un coup de langue. Mordille un des morceaux qui dépassent. C’est brûlant !
-C’est bien bon ! fait-elle, alors qu’elle se tripote le bout des seins.
Je lui gobe son bouton. Je l’aspire. Il est tellement excité qu’il s’allonge comme ma queue quand elle est excitée. Je lui pince le bouton entre deux doigts. Lui enfourne la langue dans le vagin au goût acidulé. Pris très vite d’une drôle d’inspiration, je descend ma bouche plus bas, et pourlèche le trou de son cul. Elle pousse un cri de satisfaction, et soulève son popotin pour mieux me le donner.
-Oh, oui ! Qu’elle bonne idée que tu as là ! Oh le vilain garçon que tu es ! Je ne te connaissais pas aussi cochon ! Et sache que je ne m’en plains pas !
Elle pousse des gémissements, qui m’encouragent à poursuivre mon œuvre. J’active pour ça ma bouche avec des bruits obscènes de succion qui ne parvenant tout de même pas à couvrir les râles étouffés de l‘ancienne collègue.
Puis brusquement, j’arrête mon léchage. J’ai le visage luisant de salive, de mouille, et un poil torsadé sur la langue. Du pouce et de l’index, je cherche à le chasser. Danièle ouvre ses yeux et me fixe avec un sourire pervers qui m’excite autant que la fait sa chatte poilue.
- Fourre-la ! Fourre-la, nom de Dieu ! Viens, enfonce ta queue et défonce-moi la chatte!
Dans cette position, je vois sa chatte, mais aussi le sillon de ses fesses et la naissance de son cul.
- Vite, dépêche-toi, idiot ! J’ai une énorme envie !
Alors je me défais, et cela aussi vite que je le peux. Comme si mon temps m’est compté. Je plis les genoux pour présenter ma queue face à son sexe. Et là, je me projette en avant, je l’empale littéralement sur mon pieu de chair. Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.
- Allez, maintenant baise-moi, enfonce-toi loin !
Je commence à la pistonner. Faisant faire à ma queue, des allers et retours dans son con dégoulinant de plaisir. Qui l'aspire avec un bruit de ventouse. Je me régale du spectacle de ma queue entrant et sortant de son con. De ses lèvres épousant la forme de ma queue, ainsi que de son petit trou écartelé au-dessus. Très vite le désir extrême de la prendre par là, me submerge.
Je pose mon gland turgescent sur l’œillet brun, force délicatement la porte minuscule, m'introduis sans hâte ni empressement. Le petit orifice cède et fini par happer la hampe sous les gémissements de Danièle. Mes coups de boutoirs se succèdent. Tantôt lents, amples, tantôt offensifs, courts, mais jamais identiques. Encourager par des plaintes, des cris, de la part de Danièle.
J’éprouve un plaisir absolu à la prendre ainsi. J’ai bien sûr fini par jouir en braillant.
- Oui, ton jus, ton jus ! Oh, que c’est bon !
Elle reçoit une salve particulièrement nourrie. Ma verge ne débande point. Alors je garde ma posture. Je sentis que l’on m’écarte les fesses. Je tourne la tête. Et je tombe nez à nez avec la maman de Danièle. Je l’avais oublié celle-là. Elle a encore les bottines aux pieds.
Elle se penche pour avoir sa bouche à hauteur de mes fesses. Et je sens tout de suite après sa langue légèrement râpeuse me pourlécher la raie. Elle fait virevolte autour de ma rondelle et s’y enfonce comme pour une accolade profonde.
Il n’en faut pas plus à ma queue de reprendre de la vivacité. Et ainsi à aller et venir lentement entre ses fesses. Que je sens frémir sous moi. Je lui donne de grands coups de reins. Danièle passe une main sur son ventre, se pince les lèvres grasses de sa chatte. Fouille dans les poils collés de mouille. vision bestiale ! C’est du délire, j’encule la fille alors que la mère me suce le cul.
Mais pas pour longtemps puisque voilà que la vieille me force à m’étendre sur le divan. Mère et fille s’agenouillent devant moi et s’occupe de ma queue. Et en parfaitement harmonie, l’une prend le gland dans sa bouche et le caresse avec la langue tandis que l’autre lèche le corps de la verge et les bourses. Comme un ballet bien réglé, elles échangent même leur place régulièrement.
Comme vous le pensez très bien, je ne vais pas m’être longtemps à jouir. Surtout que leurs lèvres et leurs langues se mélangent autour de l’extrémité du sexe raide. Leur salive abondante coule sur la tige jusqu’aux bourses gonflées. Ma jouissance gicle, couvrant leurs visages de ma semence. Les deux femmes se lèchent mutuellement la figure pour récupérer mon plaisir puis, pendant que la mère me presse les couilles et aspire les dernières gouttes de semence, Danièle se lève et pose ses lèvres couvertes de jus encore tiède sur les miennes. Elle m’embrasse voluptueusement, enfonçant profondément sa langue dans ma bouche. Ce baiser aromatisé dure longtemps. J’avoue que je ne suis pas à ma première relation avec deux fellatrices, mais celle-là reste à tout jamais dans mes souvenirs.
Elle ne manque pas de me signaler, pendant cette rencontre, qu’elle est en possession du fameux bouquin que j’ai à mainte reprise chercher de posséder.
- Ça te dirait de le voir ?
- Oui, pas qu’un peu. Tu la là ?
- Non ! Chez moi.
- Dommage j’aurais bien voulu le tenir en main.
Un sourire malicieux, elle lance :
- Qu’est-ce qu’il t’empêche de passer à la maison.
Comme je ne réponds pas, elle ajoute :
- Allô Alain, tu entends ce que je te dis ?
J’oblique mon regard vers elle.
- Oui… bien sûr.
Elle me fusille des yeux, et laisse tomber.
- Tiens, pourquoi pas ce soir… après le boulot.
Comme je suis très curieux de toucher ce fameux bouquin, j’accepte l’invite.
Quelques tours de cadran plus tard, me voilà chez elle, où elle m’invite à m’installer dans le salon.
- Je t’offre quoi à boire ?
- Tu as toujours ta filière d’importation de Porto.
- Oui, bien sûr !
- Alors va pour un porto.
Alors qu’elle s’absente, je me déplace jusqu’à la fenêtre. La pluie frappe les vitres.
- Qu’est-ce qu’il tombe ? fait Danièle, un plateau argenté en main.
Elle le pose sur la table basse.
- C’était à prévoir, il a fait gris toute la journée. Fais-je en reprenant ma place.
Après une gorgée de Porto, impatiens, je lui demande de me montrer le pourquoi de ma venue… le fameux livre. Sourire aux lèvres, elle pose son verre sur la table basse à côté de l’assiette de pop corn.
- Ah oui ! Je savais bien que je devais préparer quelque chose.
Sur ce, elle se lève et quitte une fois encore la pièce. Je l’entends dire :
- Ce n’est pas beau de vieillir, Alain… crois-moi.
Elle me revient avec un escabeau en main.
-Qu’est-ce que tu fais ?
-Et bien, le livre !
- Tu veux que je t’aide.
- Non, merci… mon choux. Je perds la tête mais je suis encore en état de monter sur un escabeau, qu’est-ce que tu crois.
Alors qu’elle le pose devant la haute armoire à étagères, où sont entreposé plusieurs dizaine de livre, elle me confie :
- Tu sais que je suis maintenant bénévole à la croix rouge ?
- Oui… j’ai appris ça…
- Une occupation comme une autre. Tiens je l’ai !
Elle lève le livre vers le plafond, en guise de victoire, et là, elle perd l’équilibre et chute. Je quitte ma place et cours à son secours.
- Danièle… Danièle, tu n’as rien ?
- Non… non, plus de peur que de mal… me lance-t-elle.
Je suis rassuré. Elle tient toujours en main, le livre. Elle me le tend.
- Tu vois, je l’ai toujours en main.
Je la prends par-dessous le bras et l’aide à prendre place sur le divan. Je constate alors qu’elle boite bas.
- Mais tu boites, Danièle ?
- Oui, je ressens une petite douleur au niveau de ma cheville.
Je m’agenouille à ses pieds, et prends dans ma main la cheville douloureuse. Je me mets à le masser. Seul le bruit de la pluie frappant les carreaux de la pièce brise le silence.
- Cela te fait du bien, Danièle ? Ou tu veux que…
En levant les yeux vers elle, j’ai là, la plus belle vision de la journée qui s’offre à moi. Affalée sur le divan ; Danièle a ses jambes négligemment écartées, dans un abondant la plus totale, m’exhibant involontairement ou pas son intimité. Je mets cela, bien sûr sur le compte de la douleur. Le fait est, que je ne peux m’empêcher de détacher mon regard, de sa fourrure. Un épais buisson de poils ondulés, plus clair que ses cheveux, qui lui recouvre tout le bas-ventre.
Quand je lève mon regard, Danièle me fixe. Sa poitrine se soulève de plus en plus vite et ses membres semblent parcourus d’un léger tremblement.
Les yeux clos, Danièle retrousse sa jupe au-dessus de ses reins, puis tend son bassin vers moi une invite muette. Elle pousse un petit grognement. Incapable de me contenir, je passe ma main entre ses cuisses, lentement, de bas en haut, démarrant entre l’arrondi des fesses, où quelques poils bordent la raie, puis sur la grosse vulve, en forçant les grandes lèvres, révélant l’orifice allongé et luisant du vagin entre les petites lèvres rouges.
Je relève ses genoux et ramène ses talons contre ses fesses. J’ai tout à portée de la bouche et de la main. Ça me donne un plaisir démentiel.
Je m’avance un peu, jusqu’à ce que mon visage soit au-dessus de son sexe, et je commence à lui donner du plaisir.
A souffler sur sa vulve offerte. Mon souffle agite les boucles rêches. Je lui écarquille la fente. Je respire les relents qui s’en émanent. Une odeur forte saline de femelle en rut. Je donne un coup de langue. Mordille un des morceaux qui dépassent. C’est brûlant !
-C’est bien bon ! fait-elle, alors qu’elle se tripote le bout des seins.
Je lui gobe son bouton. Je l’aspire. Il est tellement excité qu’il s’allonge comme ma queue quand elle est excitée. Je lui pince le bouton entre deux doigts. Lui enfourne la langue dans le vagin au goût acidulé. Pris très vite d’une drôle d’inspiration, je descend ma bouche plus bas, et pourlèche le trou de son cul. Elle pousse un cri de satisfaction, et soulève son popotin pour mieux me le donner.
-Oh, oui ! Qu’elle bonne idée que tu as là ! Oh le vilain garçon que tu es ! Je ne te connaissais pas aussi cochon ! Et sache que je ne m’en plains pas !
Elle pousse des gémissements, qui m’encouragent à poursuivre mon œuvre. J’active pour ça ma bouche avec des bruits obscènes de succion qui ne parvenant tout de même pas à couvrir les râles étouffés de l‘ancienne collègue.
Puis brusquement, j’arrête mon léchage. J’ai le visage luisant de salive, de mouille, et un poil torsadé sur la langue. Du pouce et de l’index, je cherche à le chasser. Danièle ouvre ses yeux et me fixe avec un sourire pervers qui m’excite autant que la fait sa chatte poilue.
- Fourre-la ! Fourre-la, nom de Dieu ! Viens, enfonce ta queue et défonce-moi la chatte!
Dans cette position, je vois sa chatte, mais aussi le sillon de ses fesses et la naissance de son cul.
- Vite, dépêche-toi, idiot ! J’ai une énorme envie !
Alors je me défais, et cela aussi vite que je le peux. Comme si mon temps m’est compté. Je plis les genoux pour présenter ma queue face à son sexe. Et là, je me projette en avant, je l’empale littéralement sur mon pieu de chair. Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.
- Allez, maintenant baise-moi, enfonce-toi loin !
Je commence à la pistonner. Faisant faire à ma queue, des allers et retours dans son con dégoulinant de plaisir. Qui l'aspire avec un bruit de ventouse. Je me régale du spectacle de ma queue entrant et sortant de son con. De ses lèvres épousant la forme de ma queue, ainsi que de son petit trou écartelé au-dessus. Très vite le désir extrême de la prendre par là, me submerge.
Je pose mon gland turgescent sur l’œillet brun, force délicatement la porte minuscule, m'introduis sans hâte ni empressement. Le petit orifice cède et fini par happer la hampe sous les gémissements de Danièle. Mes coups de boutoirs se succèdent. Tantôt lents, amples, tantôt offensifs, courts, mais jamais identiques. Encourager par des plaintes, des cris, de la part de Danièle.
J’éprouve un plaisir absolu à la prendre ainsi. J’ai bien sûr fini par jouir en braillant.
- Oui, ton jus, ton jus ! Oh, que c’est bon !
Elle reçoit une salve particulièrement nourrie. Ma verge ne débande point. Alors je garde ma posture. Je sentis que l’on m’écarte les fesses. Je tourne la tête. Et je tombe nez à nez avec la maman de Danièle. Je l’avais oublié celle-là. Elle a encore les bottines aux pieds.
Elle se penche pour avoir sa bouche à hauteur de mes fesses. Et je sens tout de suite après sa langue légèrement râpeuse me pourlécher la raie. Elle fait virevolte autour de ma rondelle et s’y enfonce comme pour une accolade profonde.
Il n’en faut pas plus à ma queue de reprendre de la vivacité. Et ainsi à aller et venir lentement entre ses fesses. Que je sens frémir sous moi. Je lui donne de grands coups de reins. Danièle passe une main sur son ventre, se pince les lèvres grasses de sa chatte. Fouille dans les poils collés de mouille. vision bestiale ! C’est du délire, j’encule la fille alors que la mère me suce le cul.
Mais pas pour longtemps puisque voilà que la vieille me force à m’étendre sur le divan. Mère et fille s’agenouillent devant moi et s’occupe de ma queue. Et en parfaitement harmonie, l’une prend le gland dans sa bouche et le caresse avec la langue tandis que l’autre lèche le corps de la verge et les bourses. Comme un ballet bien réglé, elles échangent même leur place régulièrement.
Comme vous le pensez très bien, je ne vais pas m’être longtemps à jouir. Surtout que leurs lèvres et leurs langues se mélangent autour de l’extrémité du sexe raide. Leur salive abondante coule sur la tige jusqu’aux bourses gonflées. Ma jouissance gicle, couvrant leurs visages de ma semence. Les deux femmes se lèchent mutuellement la figure pour récupérer mon plaisir puis, pendant que la mère me presse les couilles et aspire les dernières gouttes de semence, Danièle se lève et pose ses lèvres couvertes de jus encore tiède sur les miennes. Elle m’embrasse voluptueusement, enfonçant profondément sa langue dans ma bouche. Ce baiser aromatisé dure longtemps. J’avoue que je ne suis pas à ma première relation avec deux fellatrices, mais celle-là reste à tout jamais dans mes souvenirs.
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Très excitante histoire