Patricia est de retour!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Patricia est de retour! Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Patricia est de retour!
Quand ma femme m’annonce la venue de sa sœur avant les fêtes de fin d’année, tout de suite mon cerveau est ensevelit par des tonnes de souvenirs jouissifs, passés en la compagnie.
Une fois devant moi, je trouve Patricia belle, rayonnante, plus vivante que jamais. Même en imagination, je ne l’ai jamais imaginé comme ça. Est-ce le fait de me voir qui la transforme ainsi ? Où l’excitation?
Elle a toujours son regard qui déclenche en moi une réaction de viol. Ses pupilles me fixent sans ciller. Ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’à chaque fois, juste avant que je jouisse, son visage surgit en surimpression de scènes obscènes.
Même après tant d’années, elle reste présente dans mes fantasmes. C’est elle qui déclenche mon orgasme contre mon gré. Je suis à l’affût de chacun de ses mouvements. Comme le ferait un chasseur d’images. Images que je garde en mémoire pour m’en servir plus tard, seul dans mon lit.
J’ouvre mes narines dès qu’elle me passe devant. Je fais le nécessaire pour qu’à table elle soit installée à mon côté. Et l’idée des chandelles est de moi-aussi. Je souris à mon audace, et me dis que c’est de l’imprévu que naissent les meilleurs moments. Je trouve la situation très plaisante.
Toujours est-il que mes sens tactiles se décuplent quand pousser à bout, je sens que ma main est délicatement transportée jusqu’à sa cuisse, à la lisière de sa jupe. Une main, l’air de rien, une main coupable.
Je glisse donc ma main sur sa cuisse, et commence à caresser sa chair si chaude et tendre. Personne ne se doute que je suis en train de caresser son intimité sous la table. Il y a quelque chose d’intensément érotique dans cet acte si osé.
Ma main vient très vite de se poser sur sa culotte que je sens être en en dentelle.
Autour de nous la discussion s’établie, alors que sous la table ma main caresse nonchalamment sa petite chatte brûlante et humide par-dessus sa culotte. A voir l’expression du visage de Patricia, mes doigts agiles doivent la comblés intensément.
Je passe ma main sous la culotte et commence à caresser sa vulve. Elle est absolument trempée. Je masse ses petites lèvres de façon exquise. Puis m’attarde sur son bouton. Expérimenté comme je suis dans ce genre de caresse, je sens que je vais l’amener au 7e ciel.
Je me dis qu’un peu plus ou un peu moins, ils n’y verront toujours que du feu. Surtout que Patricia écarte un peu plus ses jambes. J’enfonce un doigt dans son vagin et le fais aller et venir tout en caressant son bouton avec mon index.
Elle laisse échapper un feulement, étouffé par les conversions. Elle jouit sur ma main. Un orgasme sous le nez des convives. Je retire ma main de sous la table. Je la regarde avec un petit sourie tout en léchant discrètement mon doigt recouvert de son jus.
-As-tu apprécié cette gâterie Patricia ?
-Ai-je besoin de te dire que oui, j’ai bien aimé…
Avant de nous quitter, Patricia ne manque pas de me remettre discrètement sa culotte. Plus tard, seul dans les toilettes, je détaille la dentelle, la tête pleine d’étoiles. Je la porte à mes narines. Il s’en dégage une forte senteur de transpiration et de pisse qui me fait tourner la tête. Je prends le temps de survoler chaque arôme avec un léger frémissement de narines. L’odeur persistante de son cul m’excite davantage. Je place la culotte souillée à l’extrême sur mes lèvres et de la butiner de la langue avant d’en faire autant sur l’endroit où son cul s’est posé.
Si bien, que plus tard, dans mon lit je bande toujours aussi dur.
-Eh bien, fais ma femme, qu’est-ce qu’il t’arrive ? C’est ma soeur qui t’a mis dans cet état ?
-Où vas-tu chercher ça ?
-Je ne sais pas, je constate !
-Il n’y avait pas que ta sœur autour à la table, à ce que je sache.
-Alors c’est ma mère ?
-Va savoir…
-Compte sur moi pour lui dire, mais pour l’instant il faut que je m’occupe de toi !
J’ai attendu d’être dans le noir pour ressortir la culotte de sœurette, de dessous l’oreiller et de l’encagouler. Et de faire contribuer la bouche de ma femme pour m’emmener à la jouissance, alors que j’humais la culotte.
Comme prévu, le lendemain je prends un coup de téléphone de Patricia. Seul à la maison, je l’invite à venir me rejoindre.
-Je ne dis pas non !
-Tu veux que je vienne te chercher.
-Pas la peine j’ai mon chauffeur.
Je profite de l’attente pour appeler mon responsable. Je suis dans une euphorie comme j’en ai rarement connue. Je suis même saisi par une érection incontrôlable.
Comme à son habitude, elle est maquillée. Du rouge aux lèvres, du bleu aux paupières. Ses talons tapent sur le carrelage. Elle est tellement bandante dans sa jupe ample qui met en valeur sa démarche, son bassin.
Sa poitrine me saute à la figure. Je les devine bien sous son chemisier. Marqué par la dentelle du soutien-gorge. Elle rayonne. Son sourire est sans équivoque.
-Tu as pensé à moi ?
-Oui, parfois !
-Tu t’es touché ?
Je fais signe que oui.
-Moi aussi
Il ne me faut que très peu de temps pour me mettre nu, face à elle, la queue en l’air. Elle m’exhibe alors, les dessous qu’elle porte. Complètement transparent, hallucinants. Je vois son corps. Des coutures subtiles lui donnent des formes superbes. Elle est ravie de l’effet qu’elle me donne. Elle se fait admirer, me tourne le dos, se penche, me montre ses fesses écartées. Je distingue une tache humide dans le fond.
-Tu vois dans quel état tu me mets !
Elle baisse sa culotte aux genoux pour me montrer la large auréole luisante à l’empiècement.
Je m'approche pour la toucher. Je respire ses seins, son ventre, son sexe. Je me laisse tomber à genoux devant sa culotte. Je me prends pour un chien. Prêt à tout donner pour son plaisir.

Et cela décuple mon excitation. Je passe ma langue sur le liquide visqueux, je la goûte.
Je lape le jus de sa chatte jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. Ma langue essuie le fond rugueux au fond de sa culotte. Savoir sa chatte au-dessus de ma tête, respirer son odeur m’excite. Je nage dans une nébuleuse de plaisir.
Mais pas le temps de m’attarder, la voilà après s’être débarrasser de sa culotte, qu’elle m’entraîne jusqu’à ma chambre. La coquine s’est souvenue où ma chambre était située lors de la visite accompagnée.
-Ça te dérange ? Me fait-elle.
-Pas le moins du monde.
Elle m’invite à me coucher sur le dos, sur le matelas, alors qu’elle s’assoit sur moi, à l’envers. Elle m’écrase le visage avec sa chatte et ses fesses. Je n’en peux plus et pourtant j’ai envie de la sucer. J’ouvre ma bouche et je mets la totalité de ses grandes lèvres. J’aspire doucement pour me rassasier de son goût, de son odeur. J’ai le nez collé contre son anus et je respire la senteur musquée. Elle remue sur moi, comme si elle faisait du cheval. Je n’arrive plus à attraper ses lèvres avec ma bouche.
Elle passe sa vulve sur mon visage comme une grosse éponge trempée qui glissait sur mes joues, mon nez, mon menton, ma bouche. Elle me tient à ma queue et me branle, tout en me chevauchant. Nous sommes en pleine folie. Elle jouit avec force, tremblant de partout.
Au bout d’un moment, je me dégage, ma belle-sœur tombe sur le côté. Morte de plaisir.
- Je suis excitée comme une pute, j'ai vraiment envie de ta bite en moi. Allez, viens, viens sur moi !
Je m’exécute. Me penchant à son oreille, je lui demande si elle ne préférerait pas venir sur moi. Elle glousse.
- Oh, tu es vraiment un sacré vicieux, toi… j’en connais une qui doit être contente de t’avoir !
Avant de t’ajouter.
- Avec mon nouveau mec, tu sais... surtout, les derniers temps... je te laisse deviner… lâche-t-elle en m’enjambant avec maladresse.
Je mets cela sur le compte de l’excitation. Elle me chuchote dans un rire léger.
- Mon petit chéri, tu ne peux pas savoir comment tu m’as manqué….
Quand elle retombe à cheval sur mon ventre, je sens sa chatte gluante adhérer à ma peau comme une ventouse. Les mains posées sur mes épaules, les cuisses très écartées, Patricia fait aller et venir son bassin.
- Je me branle sur ton ventre, j'ai envie d’être cochonne avec toi, comme jadis ! Tu t’en rappelles ?
-Et comment je m’en rappelle !
Quand elle se recule, ma queue pénètre entre ses fesses. Elle sursaute.
- Dis-donc, ta cochonne de queue veut m'enculer, la coquine !
Passant la main derrière elle, elle redresse la verge, se la passe dans le sillon des fesses. Elle insiste sur son oignon puis, se soulevant, ajuste le gland à l'entrée de son vagin.
- Ah, quelle cochonne je suis, avec le mari de ma sœur adorée… enfin pas tant adorée que ça !
En faisant pénétrer le gland dans son vagin, elle pousse un gémissement de femme excitée. Tenant la base de ma verge dressée en la serrant à deux doigts par la base, elle se l'enfonce à petits coups en abaissant son bassin.
- Oh, tu es gros... j'ai perdu l’habitude, mon copain n'est pas très porté sur la chose, tandis que moi… enfin tu sais, je n'en ai jamais assez !
Pesant de tout son poids, elle s'introduit ma bite jusqu’à la racine. Son vagin se contracte autour de ma queue, mouille sur mes couilles. Ses yeux brouillés me font peur, une jouissance bestiale se lit sur son visage, elle me parle d’une voix méconnaissable.
- Putain que c’est bon…
Soulevant son bassin, puis se laissant retomber, elle s’agite sur moi. De son vagin montent des chuintements mouillés. Me prenant les mains, elle se les plaque sur ses seins.
- Oui, continue, je te sens bien, tu me remplis. Oh, avec toi, je sens que je peux tout oser !
Enfin, la chanson de l’orgasme finit par s’élever en moi. D’abord, c’est une chaleur. Puis une brûlure. Ça grimpe, et brusquement, un torrent me secoue. Patricia agonise. Je me soulage en beuglant. Elle colle son sexe au mien, au maximum pour encaisser mes jets. Je suis collé à elle par l’orgasme. Je tremble en jouissant. Patricia grogne comme une maman qui accouche.
Elle tombe sur son dos, et glisse de moi avec un gémissement d’enfant. Une lamentation qui restera à tout jamais gravée dans ma mémoire. Puisque je ne le savais pas encore mais Patricia et moi c’était notre dernière relation.
Dommage ! Puisque caresser la sœur de ma femme, la dominer par le plaisir, comme être soumis à tout ce qu’elle désire de moi est dès plus jouissif.
Et je sais de quoi je parle, chers lecteur.

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