Paul, le retour 1
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Paul, le retour 1
Après notre rencontre en bord de mer, le souvenir de Paul me hante.
J'ai sa carte de visite, mais je n'ose pas le contacter.
Cela fait plusieurs jours que je repense à lui.
Un soir, je ne résiste pas à la tentation de me branler en pensant à notre échange de plaisir.
C'est trop dur, je prends sa carte et je l'appelle en matinée, à son bureau.
"Allo ?".
"Oui, que puis-je pour vous ! Vous êtes ?".
"Euh, je m'appelle Pascal ! On se connait, mais... pas par nos prénoms !".
"Ah bon ?".
"Oui, la semaine dernière, tu étais avec quatre copains à toi, sur la corniche du bord de mer, et tu m'as... euh... comment dire... tu m'as enculé !".
"Oh ! Oui ! C'était super d'ailleurs ! Tu veux qu'on se revoit ?".
"Ben, j'aimerais bien ! J'en ai même très envie !".
"Hummm, moi aussi ! On se voit quand ?".
Je le renseigne sur mon adresse et lui révèle que je vis seul, mais qu'il doit attendre 19 h pour me baiser à cause de ma relation avec ma copine.
Il tient à venir le soir même.
Toute l'après-midi, je suis ailleurs, Corinne le remarque, et j'ai du mal à la rassurer, même après lui avoir fait l'amour.
Je la raccompagne enfin à son bus, puis je regagne mon appartement.
Je fais les cents pas en attendant son coup de sonnette, je me sens prêt analement.
J'ai pratiqué un lavement vers 13 h, de plus, je viens de préparer une serviette et le gel lubrifiant que j'ai posé près de mon lit.
La sonnerie me fait sursauter, je n'ai jamais attendu un homme avec autant d'impatience.
Je lui ouvre en lui précisant l'étage.
Il frappe enfin à ma porte.
En entrant, il m'attrape par les hanches.
"Humm, j'avais trop envie de te revoir !".
Il me tend le visage, je lui offre mes lèvres.
Pendant notre baiser, il me serre puissamment contre lui.
Je me sens déjà dominé, il dégage tellement de force.
"Putain ! Pascal, tu me fais déjà bander ! Je crois que je vais déjà te baiser une fois, on recommencera après !".
Je le tire en reculant vers mon lit, je m'assoie dessus pendant qu'il déballe sa queue énorme.
"Ouh, j'avais déjà oublié comme elle était grosse et longue!".
"Oui, mais tu as le cul parfait pour elle !".
"Ca, je sais pas, mais j'ai adoré l'autre jour !".
"Moi aussi !".
Je saisis sa base, son membre fait un arc de cercle, à cause de sa taille et de son poids.
Je soulève sa grosse et longue tige pour porter son gland à mes lèvres.
Ma langue explore chaque centimètre de ce merveilleux membre.
Je me déforme la bouche de nombreuses fois, à la limite de l'étouffement.
Il gémit de plaisir, puis il me redresse au bout d'une dizaine de minutes de fellation.
"Je veux te voir nu !".
Il se masturbe en me regardant offrir mon corps à son regard, avant qu'il ne le possède avec sa grosse queue.
"Putain, t'es un beau mec ! Tu sais ! tu dois plaire autant aux filles qu'aux hommes!".
"Ca m'arrange plutôt bien ! Mais je ne sais pas dire non aux hommes !".
"Tant mieux pour moi ! Viens-là !".
Il s'est dévêtit lui aussi, arborant sa musculature et sa carrure imposante.
Il me couche sur le dos et me relève les cuisses pour me dévorer le cul.
Ses caresses buccales me détendent l'anus, puis il me relâche et vient placer son énorme gland contre mon œillet.
"Attends ! Mets moi un peu de gel, il est là, à coté !".
"Oh ! Super ! Tu penses à tout !".
Il revient à sa place, entre mes fesses. Sa poussée est forte, mais retenue.
Il me laisse m'ouvrir patiemment.
Son membre progresse très lentement, bien aidé par le lubrifiant.
Il regarde mon écartèlement progressif, à chaque fois qu'il recule sa bite.
"Putain ! J'adore ton cul Pascal ! Il est déjà bien ouvert !".
"Oui, mais pas encore assez ! Continues !".
Je ressens chaque retour en moi comme une victoire, puis enfin, il entre plus profondément.
"Ahhh ! Paul ! Maintenant ! Enfonces-toi !".
Il exerce une forte poussée et me remplit d'une traite en me faisant presque hurler dans ma main.
"Arggggggggggghhhhhhhhhh ! Ne bouges plus ! Attends un peu ! C'est gros !".
"Bien sur, je te laisse t'habituer !".
"Oh, tu es gros, mais c'est tellement bon !".
"Pour moi aussi, c'est bon ! Pascal !".
Moins d'une minute après, je lui donne le feu vert pour bouger en moi.
Il entame une série d'assauts lents et profonds, me faisant hurler de plaisir.
Puis il s'excite en voyant sa bite se couvrir de mon jus anal.
"Putain, qu'est-ce que tu mouilles du cul ! Ca m'excite !".
Son rythme devient plus fort et rapide, il constate que je m'ouvre de plus en plus.
Sa grosse bite progresse en moi, et finit par me pénétrer sur toute sa longueur, aidée par mes sécrétions anales.
"Oh Pascal, j'adore t'enculer ! Ohhhhh ! T'as un cul de rêve !".
Je ne peux pas répondre, je vis un orgasme constant.
Par moment, un petit écoulement de liquide me pollue le ventre en sortant de ma queue.
Paul ne se retient plus, il cherche la jouissance, il aime me voir orgasmer grâce à sa bite.
"Arhhhhhhhhh ! Pascal, ça y est ! Je vais cracher ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je le serre par les hanches en l'attirant à moi, pour qu'il me féconde le plus profondément possible.
Il m'insémine en mêlant sa bouche à la mienne, j'aime ressentir son plaisir ainsi.
Notre communion est intense, on a pas envie de la terminer.
Il reste enfoncé en moi, très longtemps, en bougeant doucement.
Ce moment d'échange de plaisir est énorme, nous sommes si bien, l'un dans l'autre.
"Qu'est-ce que je suis bien dans ton cul ! Pascal !".
"Ouh ! Je le vois, mais c'est réciproque ! C'est dur au début, mais après, c'est tellement bon ! J'aimerai que tu sois toujours en moi !".
On rit en s'imaginant collés ainsi, à vie, c'est ce qu'il fallait pour nous sortir de cet étrange besoin d'être l'un dans l'autre.
On s'allonge ensemble en parlant de nos vies.
Je regarde souvent sa queue, il s'en étonne.
"J'arrive pas à réaliser que tu m'as mis tout ça !".
"Quand je te dis que t'es fait pour moi !".
"On dirait ! Dommage que je ne sois pas gay uniquement !".
"Ca ne me dérange pas ! tant que je peux venir te baiser comme je veux !".
"C'est vrai, tu reviendras ?".
"Bien sur, j'aime trop baiser avec toi !".
"Super !".
Cet intérêt, à mon égard, me flatte, il y a tellement d'hommes qui ne se contentent que d'un coup vite fait.
Je lui propose de sortir prendre des sandwichs au kiosque le plus proche, puis nous revenons à mon appartement.
On se déshabille encore et reprenons notre discussion, mais avec une tendance plus sexuelle.
Il me dirige ensuite vers son énorme bite que je dévore comme je peux, très, très longuement.
J'aime entendre ses gémissements, ainsi que ses mots, parfois tendres et crus aussi.
Je le désire trop à ce moment là, je ne résiste plus et me place au dessus de lui.
Il me couvre de gel par dessous.
Mes fesses sont à une hauteur de bras, quand son gros gland touche mon anus.
Je me laisse tomber sur lui, l'écartèlement est énorme encore.
Mais comme c'est la seconde fois, mon anus reprend vite son élargissement et je m'empale sur lui en râlant comme une bête.
Il m'accompagne de ses bras puissants, le fond de mon cul cogne un long moment contre son gland, puis je m'enfonce complètement sur lui.
Je joui déjà, c'est tellement fort que, dépassé par les sensations, j'ai envie de lui dire que je l'aime, mais je reste réaliste et sais que c'est faux, c'est ce plaisir que j'aime !
Mais je suis loin d'imaginer ce que je vais vivre ! Je m'habitue à sa présence et le baise comme un forcené.
Mon anus couvre sa bite de jus anal, il coule entre ses cuisses pour tacher mon drap.
Puis, il me tourne pour me défoncer sur le coté.
Les orgasmes s'enchainent déjà.
Il me place sur le ventre et me plante sa bite jusqu'aux couilles avec acharnement pendant un temps interminable.
Je gémis en haletant à chaque enfoncement de son corps sur moi.
Cette fois, c'est entre mes cuisses que le jus d'anus tâche le drap.
Il me tire au bord du lit et m'encule contre mon matelas, sans fin, je le supplie d'arrêter de me faire jouir du cul.
Il me besogne en s'accrochant à mes épaules, alors que mes genoux touchent le sol et que mes cuisses s'écrasent contre le coté de mon lit, sous ses assauts.
Puis, il me replace sur le lit, sur le dos, il me tient par les cuisses, relevées, et m'encule en me montrant son énorme bite qui s'enfonce en moi.
Je suis vouté, presque replié sur moi-même, toujours pris par l'énorme plaisir qu'il me donne.
A force de pénétration, rapide et profonde, il constate que je me met à bander en orgasmant du cul.
"Eh, mais tu bandes ! Salope ! Elle te fait du bien ma bite !".
"Arhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiii ! J'arrête plus de jouir ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Ma queue devient très ferme et un autre plaisir s'ajoute à mon orgasme anal.
Je crache de nombreux écoulements de sperme sur mon torse et mon visage.
Je me macule tout seul, au rythme de ses assauts profonds.
"Arhhhhhhhh ! Paul ! C'est trop bon, tu m'encules trop bien ! Arhhhhhhhhhhhh !".
En parlant, j'ai laissé la possibilité à mon jus, de me tomber dans la gorge.
"Ahhhhhhhh! J'adore te faire gicler pendant que je te défonces le cul ! Arhhhhhh Tiens ! Arhhhhhhhhhhh!".
Comme cela a l'air de l'exciter, je garde ma bouche ouverte pour avaler ce que je reçois encore de mon foutre.
Je n'en attendais pas autant, il éjacule quasiment en même temps que moi.
La puissance de ce plaisir commun me fait toujours peur, elle me fait craindre de devenir gay, pour connaitre encore ce moment.
On se contorsionne longuement, l'un d'ans l'autre, pour profiter ensemble de chaque dernière parcelle de plaisir.
Puis il s'écroule comme une masse sur moi.
"Putain, Pascal ! C'était trop bon !".
Il voit mon visage couvert de mon propre sperme.
Il vient de me posséder, pendant plus d'une heure.
Il se lève et me donne une serviette de bain, déjà prête, à coté du gel.
""Merci Paul ! Pour moi, aussi, c'était trop bon ! Tu reviens quand tu veux !".
"Tu attends quelqu'un, demain matin ?".
"Non ! Mais Je dois bosser à l'Arsenal, à 8 h ! Pourquoi ?".
"Allez ? Moi aussi, je bosse la bas ! Je peux dormir ici, j'irai en partant de chez toi !".
"Avec plaisir !".
Il m'a encore possédé, une heure plus tard, avant de sombrer avec sa bite plantée en moi.
J'ai eu du mal à assurer ma journée de travail et mes autres relations relations avec Roger et Sébastien, sur le bateau ou nous bossions ensemble.
J'ai pensé qu'en leur révélant que j'avais déjà baisé plusieurs fois, la nuit suivante, ils me laisseraient tranquille.
Mais au lieu de comprendre, ils m'ont défoncé en double anale, encore plus sauvagement, en me traitant de salope.
Avant de partir, Paul a pris mon numéro pour me prévenir de ses futures visites.
Nos rapports se sont normalisés, il ne m'enculait plus qu'une à deux fois dans la soirée, mais c'était toujours aussi intense et épuisant pour moi.
Il m'a poussé à reculer mes limites buccales en pratiquant de nombreuses gorges profondes.
A la fin, je parvenais à le recevoir sur vingt centimètres, au fond de la gorge.
Puis comme il était militaire, il a été muté a Brest, notre relation a duré presque un an.
J'ai sa carte de visite, mais je n'ose pas le contacter.
Cela fait plusieurs jours que je repense à lui.
Un soir, je ne résiste pas à la tentation de me branler en pensant à notre échange de plaisir.
C'est trop dur, je prends sa carte et je l'appelle en matinée, à son bureau.
"Allo ?".
"Oui, que puis-je pour vous ! Vous êtes ?".
"Euh, je m'appelle Pascal ! On se connait, mais... pas par nos prénoms !".
"Ah bon ?".
"Oui, la semaine dernière, tu étais avec quatre copains à toi, sur la corniche du bord de mer, et tu m'as... euh... comment dire... tu m'as enculé !".
"Oh ! Oui ! C'était super d'ailleurs ! Tu veux qu'on se revoit ?".
"Ben, j'aimerais bien ! J'en ai même très envie !".
"Hummm, moi aussi ! On se voit quand ?".
Je le renseigne sur mon adresse et lui révèle que je vis seul, mais qu'il doit attendre 19 h pour me baiser à cause de ma relation avec ma copine.
Il tient à venir le soir même.
Toute l'après-midi, je suis ailleurs, Corinne le remarque, et j'ai du mal à la rassurer, même après lui avoir fait l'amour.
Je la raccompagne enfin à son bus, puis je regagne mon appartement.
Je fais les cents pas en attendant son coup de sonnette, je me sens prêt analement.
J'ai pratiqué un lavement vers 13 h, de plus, je viens de préparer une serviette et le gel lubrifiant que j'ai posé près de mon lit.
La sonnerie me fait sursauter, je n'ai jamais attendu un homme avec autant d'impatience.
Je lui ouvre en lui précisant l'étage.
Il frappe enfin à ma porte.
En entrant, il m'attrape par les hanches.
"Humm, j'avais trop envie de te revoir !".
Il me tend le visage, je lui offre mes lèvres.
Pendant notre baiser, il me serre puissamment contre lui.
Je me sens déjà dominé, il dégage tellement de force.
"Putain ! Pascal, tu me fais déjà bander ! Je crois que je vais déjà te baiser une fois, on recommencera après !".
Je le tire en reculant vers mon lit, je m'assoie dessus pendant qu'il déballe sa queue énorme.
"Ouh, j'avais déjà oublié comme elle était grosse et longue!".
"Oui, mais tu as le cul parfait pour elle !".
"Ca, je sais pas, mais j'ai adoré l'autre jour !".
"Moi aussi !".
Je saisis sa base, son membre fait un arc de cercle, à cause de sa taille et de son poids.
Je soulève sa grosse et longue tige pour porter son gland à mes lèvres.
Ma langue explore chaque centimètre de ce merveilleux membre.
Je me déforme la bouche de nombreuses fois, à la limite de l'étouffement.
Il gémit de plaisir, puis il me redresse au bout d'une dizaine de minutes de fellation.
"Je veux te voir nu !".
Il se masturbe en me regardant offrir mon corps à son regard, avant qu'il ne le possède avec sa grosse queue.
"Putain, t'es un beau mec ! Tu sais ! tu dois plaire autant aux filles qu'aux hommes!".
"Ca m'arrange plutôt bien ! Mais je ne sais pas dire non aux hommes !".
"Tant mieux pour moi ! Viens-là !".
Il s'est dévêtit lui aussi, arborant sa musculature et sa carrure imposante.
Il me couche sur le dos et me relève les cuisses pour me dévorer le cul.
Ses caresses buccales me détendent l'anus, puis il me relâche et vient placer son énorme gland contre mon œillet.
"Attends ! Mets moi un peu de gel, il est là, à coté !".
"Oh ! Super ! Tu penses à tout !".
Il revient à sa place, entre mes fesses. Sa poussée est forte, mais retenue.
Il me laisse m'ouvrir patiemment.
Son membre progresse très lentement, bien aidé par le lubrifiant.
Il regarde mon écartèlement progressif, à chaque fois qu'il recule sa bite.
"Putain ! J'adore ton cul Pascal ! Il est déjà bien ouvert !".
"Oui, mais pas encore assez ! Continues !".
Je ressens chaque retour en moi comme une victoire, puis enfin, il entre plus profondément.
"Ahhh ! Paul ! Maintenant ! Enfonces-toi !".
Il exerce une forte poussée et me remplit d'une traite en me faisant presque hurler dans ma main.
"Arggggggggggghhhhhhhhhh ! Ne bouges plus ! Attends un peu ! C'est gros !".
"Bien sur, je te laisse t'habituer !".
"Oh, tu es gros, mais c'est tellement bon !".
"Pour moi aussi, c'est bon ! Pascal !".
Moins d'une minute après, je lui donne le feu vert pour bouger en moi.
Il entame une série d'assauts lents et profonds, me faisant hurler de plaisir.
Puis il s'excite en voyant sa bite se couvrir de mon jus anal.
"Putain, qu'est-ce que tu mouilles du cul ! Ca m'excite !".
Son rythme devient plus fort et rapide, il constate que je m'ouvre de plus en plus.
Sa grosse bite progresse en moi, et finit par me pénétrer sur toute sa longueur, aidée par mes sécrétions anales.
"Oh Pascal, j'adore t'enculer ! Ohhhhh ! T'as un cul de rêve !".
Je ne peux pas répondre, je vis un orgasme constant.
Par moment, un petit écoulement de liquide me pollue le ventre en sortant de ma queue.
Paul ne se retient plus, il cherche la jouissance, il aime me voir orgasmer grâce à sa bite.
"Arhhhhhhhhh ! Pascal, ça y est ! Je vais cracher ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je le serre par les hanches en l'attirant à moi, pour qu'il me féconde le plus profondément possible.
Il m'insémine en mêlant sa bouche à la mienne, j'aime ressentir son plaisir ainsi.
Notre communion est intense, on a pas envie de la terminer.
Il reste enfoncé en moi, très longtemps, en bougeant doucement.
Ce moment d'échange de plaisir est énorme, nous sommes si bien, l'un dans l'autre.
"Qu'est-ce que je suis bien dans ton cul ! Pascal !".
"Ouh ! Je le vois, mais c'est réciproque ! C'est dur au début, mais après, c'est tellement bon ! J'aimerai que tu sois toujours en moi !".
On rit en s'imaginant collés ainsi, à vie, c'est ce qu'il fallait pour nous sortir de cet étrange besoin d'être l'un dans l'autre.
On s'allonge ensemble en parlant de nos vies.
Je regarde souvent sa queue, il s'en étonne.
"J'arrive pas à réaliser que tu m'as mis tout ça !".
"Quand je te dis que t'es fait pour moi !".
"On dirait ! Dommage que je ne sois pas gay uniquement !".
"Ca ne me dérange pas ! tant que je peux venir te baiser comme je veux !".
"C'est vrai, tu reviendras ?".
"Bien sur, j'aime trop baiser avec toi !".
"Super !".
Cet intérêt, à mon égard, me flatte, il y a tellement d'hommes qui ne se contentent que d'un coup vite fait.
Je lui propose de sortir prendre des sandwichs au kiosque le plus proche, puis nous revenons à mon appartement.
On se déshabille encore et reprenons notre discussion, mais avec une tendance plus sexuelle.
Il me dirige ensuite vers son énorme bite que je dévore comme je peux, très, très longuement.
J'aime entendre ses gémissements, ainsi que ses mots, parfois tendres et crus aussi.
Je le désire trop à ce moment là, je ne résiste plus et me place au dessus de lui.
Il me couvre de gel par dessous.
Mes fesses sont à une hauteur de bras, quand son gros gland touche mon anus.
Je me laisse tomber sur lui, l'écartèlement est énorme encore.
Mais comme c'est la seconde fois, mon anus reprend vite son élargissement et je m'empale sur lui en râlant comme une bête.
Il m'accompagne de ses bras puissants, le fond de mon cul cogne un long moment contre son gland, puis je m'enfonce complètement sur lui.
Je joui déjà, c'est tellement fort que, dépassé par les sensations, j'ai envie de lui dire que je l'aime, mais je reste réaliste et sais que c'est faux, c'est ce plaisir que j'aime !
Mais je suis loin d'imaginer ce que je vais vivre ! Je m'habitue à sa présence et le baise comme un forcené.
Mon anus couvre sa bite de jus anal, il coule entre ses cuisses pour tacher mon drap.
Puis, il me tourne pour me défoncer sur le coté.
Les orgasmes s'enchainent déjà.
Il me place sur le ventre et me plante sa bite jusqu'aux couilles avec acharnement pendant un temps interminable.
Je gémis en haletant à chaque enfoncement de son corps sur moi.
Cette fois, c'est entre mes cuisses que le jus d'anus tâche le drap.
Il me tire au bord du lit et m'encule contre mon matelas, sans fin, je le supplie d'arrêter de me faire jouir du cul.
Il me besogne en s'accrochant à mes épaules, alors que mes genoux touchent le sol et que mes cuisses s'écrasent contre le coté de mon lit, sous ses assauts.
Puis, il me replace sur le lit, sur le dos, il me tient par les cuisses, relevées, et m'encule en me montrant son énorme bite qui s'enfonce en moi.
Je suis vouté, presque replié sur moi-même, toujours pris par l'énorme plaisir qu'il me donne.
A force de pénétration, rapide et profonde, il constate que je me met à bander en orgasmant du cul.
"Eh, mais tu bandes ! Salope ! Elle te fait du bien ma bite !".
"Arhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiii ! J'arrête plus de jouir ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Ma queue devient très ferme et un autre plaisir s'ajoute à mon orgasme anal.
Je crache de nombreux écoulements de sperme sur mon torse et mon visage.
Je me macule tout seul, au rythme de ses assauts profonds.
"Arhhhhhhhh ! Paul ! C'est trop bon, tu m'encules trop bien ! Arhhhhhhhhhhhh !".
En parlant, j'ai laissé la possibilité à mon jus, de me tomber dans la gorge.
"Ahhhhhhhh! J'adore te faire gicler pendant que je te défonces le cul ! Arhhhhhh Tiens ! Arhhhhhhhhhhh!".
Comme cela a l'air de l'exciter, je garde ma bouche ouverte pour avaler ce que je reçois encore de mon foutre.
Je n'en attendais pas autant, il éjacule quasiment en même temps que moi.
La puissance de ce plaisir commun me fait toujours peur, elle me fait craindre de devenir gay, pour connaitre encore ce moment.
On se contorsionne longuement, l'un d'ans l'autre, pour profiter ensemble de chaque dernière parcelle de plaisir.
Puis il s'écroule comme une masse sur moi.
"Putain, Pascal ! C'était trop bon !".
Il voit mon visage couvert de mon propre sperme.
Il vient de me posséder, pendant plus d'une heure.
Il se lève et me donne une serviette de bain, déjà prête, à coté du gel.
""Merci Paul ! Pour moi, aussi, c'était trop bon ! Tu reviens quand tu veux !".
"Tu attends quelqu'un, demain matin ?".
"Non ! Mais Je dois bosser à l'Arsenal, à 8 h ! Pourquoi ?".
"Allez ? Moi aussi, je bosse la bas ! Je peux dormir ici, j'irai en partant de chez toi !".
"Avec plaisir !".
Il m'a encore possédé, une heure plus tard, avant de sombrer avec sa bite plantée en moi.
J'ai eu du mal à assurer ma journée de travail et mes autres relations relations avec Roger et Sébastien, sur le bateau ou nous bossions ensemble.
J'ai pensé qu'en leur révélant que j'avais déjà baisé plusieurs fois, la nuit suivante, ils me laisseraient tranquille.
Mais au lieu de comprendre, ils m'ont défoncé en double anale, encore plus sauvagement, en me traitant de salope.
Avant de partir, Paul a pris mon numéro pour me prévenir de ses futures visites.
Nos rapports se sont normalisés, il ne m'enculait plus qu'une à deux fois dans la soirée, mais c'était toujours aussi intense et épuisant pour moi.
Il m'a poussé à reculer mes limites buccales en pratiquant de nombreuses gorges profondes.
A la fin, je parvenais à le recevoir sur vingt centimètres, au fond de la gorge.
Puis comme il était militaire, il a été muté a Brest, notre relation a duré presque un an.
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