Paul, le retour 2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Paul, le retour 2
Paul aimait venir chez moi, une fois par semaine.
Il trouvait pratique de pouvoir aller bosser directement, le lendemain, après m'avoir enculé la veille.
J'avoue que, même si j'aimais plus que tout baiser avec lui, cette seule visite hebdomadaire me suffisait.
Notre relation s'ajoutait à celles que j'entretenais déjà avec ma copine, mais aussi Roger, Sébastien et parfois Mohammed le magrébin, quand il tombait sur moi.
Il y a des jours, ou je faisait une overdose de sexe anal, j'avais tendance à faire durer mes fellations, en espérant que cela les ferait éjaculer avant une éventuelle sodomie, cela marchait parfois.
Cette semaine là, ne déroge pas à nos habitudes.
Il vient sonner chez moi après 20 h.
Il me laisse me régaler de sa grosse bite pendant presque 10 minutes, puis il me coince le visage et reprend son petit jeu pervers de gorge profonde.
Il fait coulisser son énorme gland au fond de ma gorge.
Mon reflux de salive déborde de ma lèvre inférieure.
Il sort sa bite et me frappe le visage avec.
"T'aimes ça salope ! T'es ma pute ! Tu le sais ça ?".
"Grlllllll, Pfahhh ! Oui, je sais ! Grlllllll !".
Il replonge dans mon gosier en repoussant mes limites, encore et encore.
Puis il m'ordonne:
"Mets toi en position ! Je vais te casser le cul !".
Je me place contre mon lit, je suis nu. J'écarte mes fesses pendant qu'il me lubrifie l'anus de gel.
"Voilà, c'est bien, t'es prêt à tout, je vois ! N'est-ce pas ?".
"Pour toi, oui !".
Il commence alors son entreprise de destruction anale.
Il me fait jouir sans fin pendant plus d'une heure, il se retient de jouir en se retirant dès qu'il sent qu'il va éjaculer.
Lorsque je m'encule sur lui, face à mon miroir, je remarque que mon anus se retourne sur sa bite et fait presque une rose anale, tant il me défonce longtemps.
Je vois aussi que mon cul dégouline de jus, il me dit qu'il adore ça !
C'est dans cette position qu'il se déverse en moi.
Il m'impose de me regarder dans le reflet, tout en me soulevant de sa queue.
"Vas-y ! Fais couler mon foutre !".
Comme sa bite est beaucoup longue que la moyenne, il me faut attendre plusieurs poussées pour voir son jus sortir de mon trou béant.
"Ohhhh, putain, Paul ! Ca m'excites ! Tu m'as mis une grosse dose dans le cul ! Tu me l'as éclaté aussi, je l'ai jamais vu aussi ouvert !".
"Humm, ouais ! J'adore !".
Il saisit sa grosse bite et me la plante de nouveau dans le cul, en me défonçant comme un bourrin, en profitant de son état de dureté, toujours là.
Cela dure quelques dizaines de secondes, puis il s'arrête, et sa bite ramollit doucement.
Je m'étale sur mon lit, épuisé de trop avoir baisé.
Je suis sur le ventre, il se colle à moi en me caressant.
"Tu sais que je m'éclates avec toi ? Pascal !".
"Ben, je le vois ! Tu m'éclates le cul aussi ! Mais, je vais pas me plaindre, c'est bon !".
Comme toujours, on échange de nombreux baisers et petites caresses.
Puis il me demande:
"Tu es vraiment prêt à tout pour me faire plaisir ?".
"Oui, je pense, pourquoi ?".
"Je vais te prendre au jeu, j'aimerai faire quelque chose avec toi, mais il faut que tu viennes chez moi !".
"Pas de souci, passes me prendre un soir !".
"Ok demain alors !".
"Déjà ? Plutôt dans 2 jours, laisses-moi me remettre de ce soir !".
"OK !".
Donc, le soir venu, il sonne et c'est moi qui le rejoint.
Lorsque j'entre dans son petit appart, je vois qu'il a préparé quelques boissons.
C'est lui qui commence par m'embrasser et me déshabiller complètement.
Puis il reprend son jeu pervers de gorge très profonde.
Après 20 minutes, je suis excité comme un fou.
Il me demande:
"Tu vas me faire plaisir, salope ?".
"Oui, Paul ! Tout ce que tu veux !".
"Alors, suis-moi !".
Il m'attire vers sa chambre, je vois des vêtements féminins et une perruque sur son lit.
"C'est quoi ?".
"Des fringues piqués à ma sœur ! Sauf la perruque et les bas, que j'ai acheté ! Essaies les !".
"Je m'attendais pas à ça !".
"Tu m'as promis !".
"D'accord !".
Je me pare de la paire de bas, d'un porte jarretelle, d'un string et d'une jupe, pendant qu'il bourre le soutien-gorge avec des chaussettes et me l'enfile en le fermant dans mon dos.
Il vient poser ensuite la perruque sur ma tête, en l'arrangeant au mieux.
"Voilà nickel !".
"Paul ! Je dois être ridicule !".
"Pas du tout, tu m'excites beaucoup comme ça ! Suces-moi encore !".
Il retrouve le fond de ma gorge en me faisant saliver sur mon torse, inondant le creux du soutien gorge.
Il me balance des tas de mots crus.
Puis, il me baisse en levrette et commence à m'écarteler l'anus, sans lubrifiant.
Il vient se lubrifier plusieurs fois dans ma gorge, jusqu'à ce qu'il s'enfonce enfin entièrement dans mon cul.
Il remonte la jupe pour voir mes fesses décorées du porte-jarretelle et du string qu'il a écarté pour m'enculer.
"Putain, j'adore t'enculer comme ça ! T'es ma pute, Pascal !".
"Arhhhh ! Salaud, tu me fais faire n'importe quoi ! Arhhhhhhhhhhh !".
"J'ai toujours fantasmé sur les travs ! Je vais te défoncer comme une pute ! Tu le sais?".
"Arhhhhhhh ! Oui ! Vas-y !".
Il s'acharne en me frappant le cul à de nombreuses reprises.
Puis, il se retire en m'ordonnant de l'attendre à quatre pattes.
Il revient et me coince un billet de 500 francs dans le soutien gorge.
"T'as intérêt à bien les gagner salope !".
Il a repris sa défonce en me faisant inonder son carrelage avec mon jus anal.
Je jouissais sans fin, mais je sentais que cette fois, il s'autorisait tout.
Il me remplissait la gorge et l'anus à tour de rôle.
Je ne l'ai jamais vu aussi excité.
Alors qu'il me défonçait sur son tapis, face à moi, il s'est retiré et est venu me frapper le visage plusieurs fois avec sa bite avant de m'étouffer encore, en gorge profonde.
Il me pénètre encore profondément l'anus, puis se dresse au dessus de moi et éjacule une dose énorme de foutre sur mon corps travesti.
Il m'humilie avec des mots vulgaires, en me souillant de sperme.
Je reçois sa semence, épuisé de plaisir et aussi troublé, qu'excité par ce qu'il m'a imposé.
Il revient à la raison, et me demande:
"Tu m'en veux ? Je suis allé trop loin ?".
"Non, ça va ! Ca ne m'a pas déplu ! J'ai bien joui en tout cas !".
Il essuie tout le foutre qu'il a giclé sur moi.
"C'est dommage ! j'aurai aimé l'avaler !".
"Salope !".
"J'assumes !".
On se serre l'un contre l'autre en s'embrassant, il ne veut pas que j'enlève mon accoutrement.
Il m'impose de garder l'argent en précisant:
"Sinon, tu vas briser mon fantasme ! J'ai toujours voulu baiser un trav prostitué, mais j'ose pas ! C'est un bon début, je trouve, et t'es pas cher !".
C'est affublé ainsi que je le suce avidement jusqu'à l'éjaculation au fond de ma gorge, qui rejette ses effluves à cause de la présence de sa bite, trop enfoncée en moi.
Il m'a demandé d'emporter les vêtements chez moi, pour recommencer, quand son besoin deviendrait trop fort.
C'est devenu de plus en plus fréquent.
Désormais, je l'attendais déjà travesti, avec le visage maquillé, pour apporter plus de réalisme.
Cette évolution de notre relation m'a perturbé, j'y prenais du plaisir, c'est évident.
Mais, comme cela ne faisait pas partie de mes fantasmes, je ne savais pas quoi en penser.
la fin de notre relation m'a aidé a tirer un trait sur tout ça.
Bien sur, je me suis encore travesti en cachette, mais si lui me trouvait désirable ainsi, ce n'est pas mon cas, je me trouve ridicule !
Il trouvait pratique de pouvoir aller bosser directement, le lendemain, après m'avoir enculé la veille.
J'avoue que, même si j'aimais plus que tout baiser avec lui, cette seule visite hebdomadaire me suffisait.
Notre relation s'ajoutait à celles que j'entretenais déjà avec ma copine, mais aussi Roger, Sébastien et parfois Mohammed le magrébin, quand il tombait sur moi.
Il y a des jours, ou je faisait une overdose de sexe anal, j'avais tendance à faire durer mes fellations, en espérant que cela les ferait éjaculer avant une éventuelle sodomie, cela marchait parfois.
Cette semaine là, ne déroge pas à nos habitudes.
Il vient sonner chez moi après 20 h.
Il me laisse me régaler de sa grosse bite pendant presque 10 minutes, puis il me coince le visage et reprend son petit jeu pervers de gorge profonde.
Il fait coulisser son énorme gland au fond de ma gorge.
Mon reflux de salive déborde de ma lèvre inférieure.
Il sort sa bite et me frappe le visage avec.
"T'aimes ça salope ! T'es ma pute ! Tu le sais ça ?".
"Grlllllll, Pfahhh ! Oui, je sais ! Grlllllll !".
Il replonge dans mon gosier en repoussant mes limites, encore et encore.
Puis il m'ordonne:
"Mets toi en position ! Je vais te casser le cul !".
Je me place contre mon lit, je suis nu. J'écarte mes fesses pendant qu'il me lubrifie l'anus de gel.
"Voilà, c'est bien, t'es prêt à tout, je vois ! N'est-ce pas ?".
"Pour toi, oui !".
Il commence alors son entreprise de destruction anale.
Il me fait jouir sans fin pendant plus d'une heure, il se retient de jouir en se retirant dès qu'il sent qu'il va éjaculer.
Lorsque je m'encule sur lui, face à mon miroir, je remarque que mon anus se retourne sur sa bite et fait presque une rose anale, tant il me défonce longtemps.
Je vois aussi que mon cul dégouline de jus, il me dit qu'il adore ça !
C'est dans cette position qu'il se déverse en moi.
Il m'impose de me regarder dans le reflet, tout en me soulevant de sa queue.
"Vas-y ! Fais couler mon foutre !".
Comme sa bite est beaucoup longue que la moyenne, il me faut attendre plusieurs poussées pour voir son jus sortir de mon trou béant.
"Ohhhh, putain, Paul ! Ca m'excites ! Tu m'as mis une grosse dose dans le cul ! Tu me l'as éclaté aussi, je l'ai jamais vu aussi ouvert !".
"Humm, ouais ! J'adore !".
Il saisit sa grosse bite et me la plante de nouveau dans le cul, en me défonçant comme un bourrin, en profitant de son état de dureté, toujours là.
Cela dure quelques dizaines de secondes, puis il s'arrête, et sa bite ramollit doucement.
Je m'étale sur mon lit, épuisé de trop avoir baisé.
Je suis sur le ventre, il se colle à moi en me caressant.
"Tu sais que je m'éclates avec toi ? Pascal !".
"Ben, je le vois ! Tu m'éclates le cul aussi ! Mais, je vais pas me plaindre, c'est bon !".
Comme toujours, on échange de nombreux baisers et petites caresses.
Puis il me demande:
"Tu es vraiment prêt à tout pour me faire plaisir ?".
"Oui, je pense, pourquoi ?".
"Je vais te prendre au jeu, j'aimerai faire quelque chose avec toi, mais il faut que tu viennes chez moi !".
"Pas de souci, passes me prendre un soir !".
"Ok demain alors !".
"Déjà ? Plutôt dans 2 jours, laisses-moi me remettre de ce soir !".
"OK !".
Donc, le soir venu, il sonne et c'est moi qui le rejoint.
Lorsque j'entre dans son petit appart, je vois qu'il a préparé quelques boissons.
C'est lui qui commence par m'embrasser et me déshabiller complètement.
Puis il reprend son jeu pervers de gorge très profonde.
Après 20 minutes, je suis excité comme un fou.
Il me demande:
"Tu vas me faire plaisir, salope ?".
"Oui, Paul ! Tout ce que tu veux !".
"Alors, suis-moi !".
Il m'attire vers sa chambre, je vois des vêtements féminins et une perruque sur son lit.
"C'est quoi ?".
"Des fringues piqués à ma sœur ! Sauf la perruque et les bas, que j'ai acheté ! Essaies les !".
"Je m'attendais pas à ça !".
"Tu m'as promis !".
"D'accord !".
Je me pare de la paire de bas, d'un porte jarretelle, d'un string et d'une jupe, pendant qu'il bourre le soutien-gorge avec des chaussettes et me l'enfile en le fermant dans mon dos.
Il vient poser ensuite la perruque sur ma tête, en l'arrangeant au mieux.
"Voilà nickel !".
"Paul ! Je dois être ridicule !".
"Pas du tout, tu m'excites beaucoup comme ça ! Suces-moi encore !".
Il retrouve le fond de ma gorge en me faisant saliver sur mon torse, inondant le creux du soutien gorge.
Il me balance des tas de mots crus.
Puis, il me baisse en levrette et commence à m'écarteler l'anus, sans lubrifiant.
Il vient se lubrifier plusieurs fois dans ma gorge, jusqu'à ce qu'il s'enfonce enfin entièrement dans mon cul.
Il remonte la jupe pour voir mes fesses décorées du porte-jarretelle et du string qu'il a écarté pour m'enculer.
"Putain, j'adore t'enculer comme ça ! T'es ma pute, Pascal !".
"Arhhhh ! Salaud, tu me fais faire n'importe quoi ! Arhhhhhhhhhhh !".
"J'ai toujours fantasmé sur les travs ! Je vais te défoncer comme une pute ! Tu le sais?".
"Arhhhhhhh ! Oui ! Vas-y !".
Il s'acharne en me frappant le cul à de nombreuses reprises.
Puis, il se retire en m'ordonnant de l'attendre à quatre pattes.
Il revient et me coince un billet de 500 francs dans le soutien gorge.
"T'as intérêt à bien les gagner salope !".
Il a repris sa défonce en me faisant inonder son carrelage avec mon jus anal.
Je jouissais sans fin, mais je sentais que cette fois, il s'autorisait tout.
Il me remplissait la gorge et l'anus à tour de rôle.
Je ne l'ai jamais vu aussi excité.
Alors qu'il me défonçait sur son tapis, face à moi, il s'est retiré et est venu me frapper le visage plusieurs fois avec sa bite avant de m'étouffer encore, en gorge profonde.
Il me pénètre encore profondément l'anus, puis se dresse au dessus de moi et éjacule une dose énorme de foutre sur mon corps travesti.
Il m'humilie avec des mots vulgaires, en me souillant de sperme.
Je reçois sa semence, épuisé de plaisir et aussi troublé, qu'excité par ce qu'il m'a imposé.
Il revient à la raison, et me demande:
"Tu m'en veux ? Je suis allé trop loin ?".
"Non, ça va ! Ca ne m'a pas déplu ! J'ai bien joui en tout cas !".
Il essuie tout le foutre qu'il a giclé sur moi.
"C'est dommage ! j'aurai aimé l'avaler !".
"Salope !".
"J'assumes !".
On se serre l'un contre l'autre en s'embrassant, il ne veut pas que j'enlève mon accoutrement.
Il m'impose de garder l'argent en précisant:
"Sinon, tu vas briser mon fantasme ! J'ai toujours voulu baiser un trav prostitué, mais j'ose pas ! C'est un bon début, je trouve, et t'es pas cher !".
C'est affublé ainsi que je le suce avidement jusqu'à l'éjaculation au fond de ma gorge, qui rejette ses effluves à cause de la présence de sa bite, trop enfoncée en moi.
Il m'a demandé d'emporter les vêtements chez moi, pour recommencer, quand son besoin deviendrait trop fort.
C'est devenu de plus en plus fréquent.
Désormais, je l'attendais déjà travesti, avec le visage maquillé, pour apporter plus de réalisme.
Cette évolution de notre relation m'a perturbé, j'y prenais du plaisir, c'est évident.
Mais, comme cela ne faisait pas partie de mes fantasmes, je ne savais pas quoi en penser.
la fin de notre relation m'a aidé a tirer un trait sur tout ça.
Bien sur, je me suis encore travesti en cachette, mais si lui me trouvait désirable ainsi, ce n'est pas mon cas, je me trouve ridicule !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Contrairement au premier lecteur, je ne me sens bien qu'en petite jupe et jolis dessous féminins, maquillé(e), coiffé(e) en chignon compensé et bien sûr chaussé(e) de talons aiguilles mais malheureusement je suis obligé(e) de me travestir en homme pour aller au travail
Merci pour ce commentaire, on est tous différents. J'aimais bien Paul, et j'ai fais ce petit effort pour lui faire plaisir. cela m'a peu couté, ce n'était pas si désagréable, sans être un besoin. De mon coté, je suis trop sensible pour qu'on touche à mes couilles ! En général, je n'aime pas avoir mal en baisant. Chacun, ses limites !
J'apprécie pouvoir rester moi-même durant la sodomie. Se travestir, c'est changer de nature. Mon cul d'homme doit rester d'homme. Que je bande ou pas, peut importe. Mais couilles restent là, parfois écrasées donc sensibles ou douloureuses, ce qui crée une jouissance particulièrement agréable. Je ne suis pas une trans mais un homme qui aime être enculé