PERVER!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PERVER!
Sylvie est une jeune brunette aux yeux rieurs, que j’ai engagé pour faire du service. Elle est vêtue pour la circonstance d’un chemisier qui moule une jolie poitrine et d’une minijupe de cuir noir. A un moment, comme elle me tourne le dos et se baisse pour se saisir de verres dans les casiers sous la table. Je devine un slip de dentelle noire sur la peau blanche des fesses. Je me persuade qu’elle a fait exprès de se baisser ainsi pour m’exposer ses dessous alors qu’elle aurait très bien pu s’accroupir.
-Tu portes une belle culotte ! Lui fais-je.
Elle me contemple quelques secondes avec stupéfaction et répond seulement :
-C’est gentil, merci !
Je prends cette réponse pour un encouragement pour poursuivre :
-J’aimerais bien la voir un peu mieux.
Et là, pour ma plus grande consternation la voilà qui se fâche.
-Dites donc, toi, ça va pas ? Chuchote-t-elle pour ne pas qu’en l’entende.
Il ne m’en faut pas plus, pour la suite de la réception, de rester à ma place.
Ce jour là, à défaut de pouvoir compter sur une serveuse de mon équipe, non disponible, je me suis contenté d’une débutante, donc Sylvie.
Il faut aussi avouer que Sylviane directrice d’un autre service que le mien, c’était prise à la dernière minute. Et qui compté sur mes compétences professionnelles pour organiser dans son jardin une petite réception entre amis. J’avais tout de suite accepté. J’ai toujours adoré les challenges, surtout qu’en sa payer bien !
Suite à mon petit accrochage avec Sylvie je me suis donc contenté de rester à ma place, et cela jusqu’à ce que je juge que je n’avais plus besoin d’elle, et que je lui donné congé. Préférant achever le service seul, pour les quelques retardataires. Qui un après l’autre quittait le lieu. Mais alors que je débarrasse mon matériel, il se trouve que j’aperçois Sylviane, la maitresse des lieux, inconsciente, étendue à même l’herbe. L’alcool avait eu raison d’elle, pensais-je. Il faut avouer qu’elle n’avait pas arrêté de venir à la charge ! Je m’avance jusqu’à elle pour prendre de ses nouvelles, en l’interpelant. Mais comme elle ne répond à aucun de mes appels, j’essaye de la redresser, pas sans mal.
-Ah c’est vous ! me fait-elle, en ouvrant un œil.
-Qui voulez-vous que ce soit d’autre ?
-Qu’est-ce… que vous me voulez ? Bafouille-t-elle.
-Rien ! J’étais seulement très inquiet de vous trouvez allongée au sol.
-Ça fait longtemps que je suis comme cela ? Fait-elle en essayant de se redresser.
-Je ne peux vous le dire, Sylviane. Je fais, alors qu’elle me tombe dans les bras.
Incapable qu’elle est, de se maintenir sur ses pieds. Je l’emmène jusqu’à l’intérieur. Elle insiste pour que je l’emmène jusqu’à sa chambre. Je suis surpris par le fouillis indescriptible qui y règne et qui contraste singulièrement avec le salon soigneusement rangé. Il y a même des sous-vêtements qui traînent sur le lit en désordre. Je l’abandonne sur son lit avec la certitude d’avoir fait ma B.A. Mais c’est sans compter sur Sylviane, qui me demande :
-J’ai envie de faire pipi !
-Pardon !
-Je dis que j’ai envie de faire pipi !
-Et vous ne pouvez pas y aller seule ?
-Je suis incapable de faire un pas sans tomber… s’il vous plaît Alain !
Je me laisse attendrir par sa demande et la porte sur mon dos, et l’emmène jusqu’à la pièce souhaité. Une salle d’eau comportant un W.C. La pièce est propre et bien rangé, à défaut de la chambre. Quand je la lâche, elle tombe assise sur la lunette.
-Vous m’appelez quand vous aurez fini !
-Non… partez pas, on ne sait jamais…
Très vite je suis submergé par une drôle d’envie. Un désir de profiter de l’occasion qu’elle me donne. La vision plus tôt de la culotte de Sylvie n’est pas étrangère à cette convoitise.
D’ailleurs il y a longtemps qu’elle m’excite cette Sylviane. Avec ses belles paroles et ses grosses fesses. Qu’on ne voit jamais et qu’on n’a pas le droit de toucher.
Elle parait dormir sur les toilettes. Sans qu’elle réagisse, je saisi le bas de sa jupe. Que je relève sur ses cuisses.
-Que faites-vous Alain ?
-Je vous aide… c’est bien pour ça que je suis là, non ?
-Merci Alain…
Le liseré noir de ses bas, tranche sur ses chairs d’une pâleur malsaine. Elle porte un chaste slip orné de dentelle.
Se retrouver troussée, en présence d’un homme sur une cuvette de toilettes ne lui fait, ni chaud ni froid. La bouche ouverte et les yeux fermés, elle ne dit plus un mot, n’esquisse même plus un geste. C’est une occasion dont je n’ai jamais osé rêver surtout avec une femme dans son genre.
On aurait dit que sous l’effet d’un coup de baguette magique, un de mes fantasmes les plus chers se réalise.
La saisissant à pleines mains par les fesses, je la soulève pour pouvoir rouler sa jupe sur ses hanches. Lui arracher par la même occasion sa précieuse culotte dont l’empiècement est déjà humide. Cela ne me prend qu’un instant. Sans un mot, sans un geste, elle retombe assise sur la cuvette.
Je ne fais qu’entrevoir son sexe qui a vite disparu entre ses larges cuisses serrées. Son cul pâle déborde du couvercle mais les replis de sa jupe m’empêchent de bien voir.
Elle se vide déjà. Son geyser de pisse est dru. Le raffut emplit tout l’espace de la pièce. Urinant plus fort encore, la voilà qu’elle lâche un pet sonore. Son visage reste de marbre. Rien ne s’oppose à ce que je poursuive mon exploration. Je sens que je vais arriver à mes fins avec elle. Mais je ne dois surtout pas lui parler, pour éviter de la ramener à la conscience.
A genoux devant elle, je suis idéalement placé pour me rincer l’œil. Je descends son slip de ses cuisses à ses chevilles, le glisse jusqu’à ses talons. Par la suite, je lui écarte les cuisses. Occupée à se vider, elle ne proteste même pas.
Ses poils noirs frisé jusque dans l’entrecuisse et l’entre fesse, dissimulent ses chairs intimes. Sa coulée d’urine transperce l’épais buisson en le souillant. Des gouttes brillent à la surface de son pubis. Je me tiens si près de sa chatte que je reçois des éclaboussements chaudes dans la figure. Je lève la tête vers elle pour voir dans quelles dispositions d’esprit elle se trouve. L’expression absente de son visage, yeux clos, bouche entrouverte, n’a pas changé.
Elle urine toujours, à gros bouillons. La chatte à seulement quelques centimètres de mon visage. La vision de son buisson en sueur, l’odeur acide de sa pisse me soûlent. Avec prudence, j’approche les mains de son sexe. Elle ne bronche pas.
J’enfoui mes doigts dans l’épaisseur de ses poils, que j’écarte. Dessous s’étale une grosse vulve bestiale. Ses petites lèvres s’entrouvrent à l’entrée de son vagin. Je découvre un méat urinaire giclant à tout-va, sans à coups.
Reniflant de près l’odeur de sa chatte, je perçois comme un parfum salé de mouille, pointant dans l’épaisse odeur de pisse. Au sommet de sa longue fente, son gros bonbon rose, qui dépasse du capuchon.
Tout en maintenant ouverte son buisson de poils, j’écarte ses petites lèvres que j’élargis. Elle ne bouge pas plus que si elle était morte.
Elle lâche ses dernières giclées, affaissée sur elle-même, les yeux toujours clos, les mains posées à plat sur ses cuisses. Pris d’inspiration perverse, je parcours du doigt toute sa fente du clitoris à l’anus. Je suis dans mon univers, là !
Sa mouille à odeur forte de marée ruissèle. Recouvre la couche de pisse dans ses poils et sur mes mains. La bouche ouverte, elle lâche un souffle. Puisque rien ne s’y oppose, je continus.
Son vagin bée. J’y glisse mon doigt. Phalange après phalange, en tournant. J’atteins le fond. Il est exquis, même très chaud. Il lâche de la mouille par vagues. Prise au jeu, la voilà qu’elle écarte encore le compas de ses cuisses. Ce qui lui permet d’avancer le bas-ventre et ainsi de mieux m’exposer son sexe.
J’entame un mouvement de va-et-vient avec l’index dans sa chatte. La joue touchant l’émail froid du siège, je peux mieux apercevoir son anus. Au-delà d’un fouillis de poils frisés. Je ne peux m’empêcher de le toucher. Sa corolle, est tiède et très vite, mes attouchements l’assouplissent.
Je présente le bout de mon index glissant de mouille à l’ouverture de la fosse. La coquine pousse en douce, comme si elle voulait chier. J’enfile mon doigt dans son anus, qui s’est violemment contracté. De l’air sort de sa bouche entrouverte avec un sifflement aigu. La branlant par le vagin et par l’anus en même temps, j’avance ma tête entre ses cuisses et réussis à atteindre son bouton du bout de ma langue. Je la possède par toutes ses zones sensibles à la fois, et j’ai la sensation que ma queue serrée dans ma braguette va gicler d’un instant à l’autre.
Je la branle sans vergogne. De tous mes doigts. Qui clapotent dans son jus. Ses cuisses frémissent. Elle renverse la tête en arrière. Avalant l’air par petits coups rapides. Émet un bref sanglot étouffé. Elle a jouit ! Oui, Sylviane a jouit ! Et moi je n’en peux plus.
Toujours agenouillé devant elle, j’applique ma langue sur son clitoris. Toujours aussi dur. Elle est parcourue d’un spasme bref, mais n’émet aucun son.
Je ne sais pourquoi, je le reculotte. Une fois rajustée, avec le goût de sa chatte en bouche, j’ai quitté les lieux en la soutenant. Bras dessus, bras dessous, sans qu’aucun son sorte de nos bouches. Et tout en avançant en direction de la chambre, la voilà qu’elle parait enfin tenir debout par ses propres moyens. Je m’interroge sur son étrange attitude. Et là je surprends son regard vif.
Elle est parfaitement consciente et ce depuis le début ! Alors tout n’a été que comédie ! Il n’y a plus d’hésitation à avoir sur le sens de sa conduite.
-Il ne s’est rien passé ? Jurez-le ! Me fait-elle.
-Vous parlez de quoi là ?
-On s’est bien compris… foutez-moi le camp maintenant perver…
-Tu portes une belle culotte ! Lui fais-je.
Elle me contemple quelques secondes avec stupéfaction et répond seulement :
-C’est gentil, merci !
Je prends cette réponse pour un encouragement pour poursuivre :
-J’aimerais bien la voir un peu mieux.
Et là, pour ma plus grande consternation la voilà qui se fâche.
-Dites donc, toi, ça va pas ? Chuchote-t-elle pour ne pas qu’en l’entende.
Il ne m’en faut pas plus, pour la suite de la réception, de rester à ma place.
Ce jour là, à défaut de pouvoir compter sur une serveuse de mon équipe, non disponible, je me suis contenté d’une débutante, donc Sylvie.
Il faut aussi avouer que Sylviane directrice d’un autre service que le mien, c’était prise à la dernière minute. Et qui compté sur mes compétences professionnelles pour organiser dans son jardin une petite réception entre amis. J’avais tout de suite accepté. J’ai toujours adoré les challenges, surtout qu’en sa payer bien !
Suite à mon petit accrochage avec Sylvie je me suis donc contenté de rester à ma place, et cela jusqu’à ce que je juge que je n’avais plus besoin d’elle, et que je lui donné congé. Préférant achever le service seul, pour les quelques retardataires. Qui un après l’autre quittait le lieu. Mais alors que je débarrasse mon matériel, il se trouve que j’aperçois Sylviane, la maitresse des lieux, inconsciente, étendue à même l’herbe. L’alcool avait eu raison d’elle, pensais-je. Il faut avouer qu’elle n’avait pas arrêté de venir à la charge ! Je m’avance jusqu’à elle pour prendre de ses nouvelles, en l’interpelant. Mais comme elle ne répond à aucun de mes appels, j’essaye de la redresser, pas sans mal.
-Ah c’est vous ! me fait-elle, en ouvrant un œil.
-Qui voulez-vous que ce soit d’autre ?
-Qu’est-ce… que vous me voulez ? Bafouille-t-elle.
-Rien ! J’étais seulement très inquiet de vous trouvez allongée au sol.
-Ça fait longtemps que je suis comme cela ? Fait-elle en essayant de se redresser.
-Je ne peux vous le dire, Sylviane. Je fais, alors qu’elle me tombe dans les bras.
Incapable qu’elle est, de se maintenir sur ses pieds. Je l’emmène jusqu’à l’intérieur. Elle insiste pour que je l’emmène jusqu’à sa chambre. Je suis surpris par le fouillis indescriptible qui y règne et qui contraste singulièrement avec le salon soigneusement rangé. Il y a même des sous-vêtements qui traînent sur le lit en désordre. Je l’abandonne sur son lit avec la certitude d’avoir fait ma B.A. Mais c’est sans compter sur Sylviane, qui me demande :
-J’ai envie de faire pipi !
-Pardon !
-Je dis que j’ai envie de faire pipi !
-Et vous ne pouvez pas y aller seule ?
-Je suis incapable de faire un pas sans tomber… s’il vous plaît Alain !
Je me laisse attendrir par sa demande et la porte sur mon dos, et l’emmène jusqu’à la pièce souhaité. Une salle d’eau comportant un W.C. La pièce est propre et bien rangé, à défaut de la chambre. Quand je la lâche, elle tombe assise sur la lunette.
-Vous m’appelez quand vous aurez fini !
-Non… partez pas, on ne sait jamais…
Très vite je suis submergé par une drôle d’envie. Un désir de profiter de l’occasion qu’elle me donne. La vision plus tôt de la culotte de Sylvie n’est pas étrangère à cette convoitise.
D’ailleurs il y a longtemps qu’elle m’excite cette Sylviane. Avec ses belles paroles et ses grosses fesses. Qu’on ne voit jamais et qu’on n’a pas le droit de toucher.
Elle parait dormir sur les toilettes. Sans qu’elle réagisse, je saisi le bas de sa jupe. Que je relève sur ses cuisses.
-Que faites-vous Alain ?
-Je vous aide… c’est bien pour ça que je suis là, non ?
-Merci Alain…
Le liseré noir de ses bas, tranche sur ses chairs d’une pâleur malsaine. Elle porte un chaste slip orné de dentelle.
Se retrouver troussée, en présence d’un homme sur une cuvette de toilettes ne lui fait, ni chaud ni froid. La bouche ouverte et les yeux fermés, elle ne dit plus un mot, n’esquisse même plus un geste. C’est une occasion dont je n’ai jamais osé rêver surtout avec une femme dans son genre.
On aurait dit que sous l’effet d’un coup de baguette magique, un de mes fantasmes les plus chers se réalise.
La saisissant à pleines mains par les fesses, je la soulève pour pouvoir rouler sa jupe sur ses hanches. Lui arracher par la même occasion sa précieuse culotte dont l’empiècement est déjà humide. Cela ne me prend qu’un instant. Sans un mot, sans un geste, elle retombe assise sur la cuvette.
Je ne fais qu’entrevoir son sexe qui a vite disparu entre ses larges cuisses serrées. Son cul pâle déborde du couvercle mais les replis de sa jupe m’empêchent de bien voir.
Elle se vide déjà. Son geyser de pisse est dru. Le raffut emplit tout l’espace de la pièce. Urinant plus fort encore, la voilà qu’elle lâche un pet sonore. Son visage reste de marbre. Rien ne s’oppose à ce que je poursuive mon exploration. Je sens que je vais arriver à mes fins avec elle. Mais je ne dois surtout pas lui parler, pour éviter de la ramener à la conscience.
A genoux devant elle, je suis idéalement placé pour me rincer l’œil. Je descends son slip de ses cuisses à ses chevilles, le glisse jusqu’à ses talons. Par la suite, je lui écarte les cuisses. Occupée à se vider, elle ne proteste même pas.
Ses poils noirs frisé jusque dans l’entrecuisse et l’entre fesse, dissimulent ses chairs intimes. Sa coulée d’urine transperce l’épais buisson en le souillant. Des gouttes brillent à la surface de son pubis. Je me tiens si près de sa chatte que je reçois des éclaboussements chaudes dans la figure. Je lève la tête vers elle pour voir dans quelles dispositions d’esprit elle se trouve. L’expression absente de son visage, yeux clos, bouche entrouverte, n’a pas changé.
Elle urine toujours, à gros bouillons. La chatte à seulement quelques centimètres de mon visage. La vision de son buisson en sueur, l’odeur acide de sa pisse me soûlent. Avec prudence, j’approche les mains de son sexe. Elle ne bronche pas.
J’enfoui mes doigts dans l’épaisseur de ses poils, que j’écarte. Dessous s’étale une grosse vulve bestiale. Ses petites lèvres s’entrouvrent à l’entrée de son vagin. Je découvre un méat urinaire giclant à tout-va, sans à coups.
Reniflant de près l’odeur de sa chatte, je perçois comme un parfum salé de mouille, pointant dans l’épaisse odeur de pisse. Au sommet de sa longue fente, son gros bonbon rose, qui dépasse du capuchon.
Tout en maintenant ouverte son buisson de poils, j’écarte ses petites lèvres que j’élargis. Elle ne bouge pas plus que si elle était morte.
Elle lâche ses dernières giclées, affaissée sur elle-même, les yeux toujours clos, les mains posées à plat sur ses cuisses. Pris d’inspiration perverse, je parcours du doigt toute sa fente du clitoris à l’anus. Je suis dans mon univers, là !
Sa mouille à odeur forte de marée ruissèle. Recouvre la couche de pisse dans ses poils et sur mes mains. La bouche ouverte, elle lâche un souffle. Puisque rien ne s’y oppose, je continus.
Son vagin bée. J’y glisse mon doigt. Phalange après phalange, en tournant. J’atteins le fond. Il est exquis, même très chaud. Il lâche de la mouille par vagues. Prise au jeu, la voilà qu’elle écarte encore le compas de ses cuisses. Ce qui lui permet d’avancer le bas-ventre et ainsi de mieux m’exposer son sexe.
J’entame un mouvement de va-et-vient avec l’index dans sa chatte. La joue touchant l’émail froid du siège, je peux mieux apercevoir son anus. Au-delà d’un fouillis de poils frisés. Je ne peux m’empêcher de le toucher. Sa corolle, est tiède et très vite, mes attouchements l’assouplissent.
Je présente le bout de mon index glissant de mouille à l’ouverture de la fosse. La coquine pousse en douce, comme si elle voulait chier. J’enfile mon doigt dans son anus, qui s’est violemment contracté. De l’air sort de sa bouche entrouverte avec un sifflement aigu. La branlant par le vagin et par l’anus en même temps, j’avance ma tête entre ses cuisses et réussis à atteindre son bouton du bout de ma langue. Je la possède par toutes ses zones sensibles à la fois, et j’ai la sensation que ma queue serrée dans ma braguette va gicler d’un instant à l’autre.
Je la branle sans vergogne. De tous mes doigts. Qui clapotent dans son jus. Ses cuisses frémissent. Elle renverse la tête en arrière. Avalant l’air par petits coups rapides. Émet un bref sanglot étouffé. Elle a jouit ! Oui, Sylviane a jouit ! Et moi je n’en peux plus.
Toujours agenouillé devant elle, j’applique ma langue sur son clitoris. Toujours aussi dur. Elle est parcourue d’un spasme bref, mais n’émet aucun son.
Je ne sais pourquoi, je le reculotte. Une fois rajustée, avec le goût de sa chatte en bouche, j’ai quitté les lieux en la soutenant. Bras dessus, bras dessous, sans qu’aucun son sorte de nos bouches. Et tout en avançant en direction de la chambre, la voilà qu’elle parait enfin tenir debout par ses propres moyens. Je m’interroge sur son étrange attitude. Et là je surprends son regard vif.
Elle est parfaitement consciente et ce depuis le début ! Alors tout n’a été que comédie ! Il n’y a plus d’hésitation à avoir sur le sens de sa conduite.
-Il ne s’est rien passé ? Jurez-le ! Me fait-elle.
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