Petite fleur des iles. 8
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Petite fleur des iles. 8
Petite fleur des îles.
8) : Enfin prise par le chibre de Xavier.
Préface : L’échange par mail pendant les cinq premiers chapitres de cette histoire entre Maeva et Xavier sont un copier/coller d’un échange avec une de mes fans avec quelques coupures pour garder son anonymat. Je l’avais prévenue de la possibilité de me servir de nos échanges dans une future histoire et lui dédie donc celle-ci.
Il attend un instant que mon corps s’habitue à un tel intrus puis se met ensuite en mouvement et commença à me baiser. Mais cela n'a vraiment rien à voir avec ce que j’ai connu dans ma jeune vie de femme en fleur. Il me baise à une allure lente, puis de plus en plus rapide de coups de bite puissants, profonds sans être trop violents. Il me faut bien deux minutes de baise pour que la douleur s’atténue. Je passe par différentes étapes, attirance, puis douleur et enfin le plaisir. Mon vagin est si chaud que je suis sûre que ma cyprine se transforme en vapeur autour de son pal. Xavier me défonce maintenant sauvagement et je dois m’agripper à la tête de lit pour résister à ses ruades.
Suite : Mon esprit divague soudain pensant au tableau que nous formons. Je suis en train de fondre de plaisir, moi une jeunette qui n’a pas vingt ans en train de se faire saillir comme une jument par un vieil étalon sur le retour, mais quel étalon !!! Mais un énorme coup de bite bien placé me fait revenir de mes pensées. Je crie, mais pas de douleur… Je me vide à nouveau, ma cyprine doit gicler à chaque fois qu’il compresse l’air emprisonné au fond de ma chatte par ce formidable bouchon.
- Aaahhh ouahhh ! Arrète, je n’en peux plus, je me viiiide !!!! Je le supplie, ne pouvant retenir mon plaisir.
Mais ça ne lui fait ni chaud ni froid. Sa cadence incroyable s’accélère encore, me tringlant avec une bestialité que l’on n’attendrait pas d’un sexagénaire. Je recommence à gémir de plaisir comme la salope que je suis devenue à son contact. Je me demande depuis combien de minutes il me baise dans cette position, je suis sa chose, son vide couilles. Je le sens enfin s'immobiliser au plus profond de mes entrailles, poussant un râle libérateur. Je ressens dans mon intimité la puissance des jets de sperme qui inondent mon vagin qui se remplit de son foutre chaud. Je ne ressens enfin plus aucun soubresaut ni flot de foutre sortir de son énorme queue encore dure. « Encore dure ??? » qui vient de terminer son travail.
–Xavier, t’es vraiment pas un homme ordinaire, putain ce que tu m’as mis !
Mais il ne bouge toujours pas, son poireau toujours aussi gros et dur planté dans ma chatte, soudain il reprend ses coups de reins faisant gicler le foutre surabondant de ma chatte, comme une machine infatigable.
-Fin du premier round, maintenant passons aux choses sérieuses. Tu te rappelles de tes paroles de tout à l’heure ? Je te cite : « Je veux connaître le sort de toutes les putes qui sont passé dans ton lit ». Eh bien, je vais exhausser ton vœu.
Je suis toujours en position de levrette. Dans la glace, je vois l'increvable verge ressortir de ma fente béante. Xavier caresse alors de sa grosse queue la fente des mes fesses et s’immobilise au niveau du trou de mon cul. Il récupère avec ses doigts le foutre qui dégouline de ma chatte et en tartine mon sphincter. Son majeur me pénètre doucement et m’arrache un petit cri de douleur et de surprise mélangées. Il présente maintenant le bout de son gland sur le centre de mon cratère. Je fais la fière, recule mon cul vers ce pal tendu et essaie de pousser sur mon sphincter pour m’ouvrir. L’intromission commence. Dans un pénis, il y a deux endroits critiques question taille chez certains hommes, le gland et les derniers centimètres de la hampe, les plus massifs, et Chez Xavier, son gland est gros, très gros. La différence de taille entre son gland et ma rondelle est incompatible. Jamais il ne pourra rentrer…, même malgré le mélange de ma mouille et de son sperme mêlés qui enduisent ma muqueuse anale et un jet froid qui glace mes fesses.
-Avec cet onguent, ça glissera mieux et va un peu anesthésier la zone. Me rassure-t-il.
Jamais je ne me suis faite sodomisée. Je suis comme une débutante au judo qui pour son premier combat doit affronter une adversaire ceinture noire, cinquième dan. Putain ce que je vais dérouiller !!!
Comment un engin pareil peut-il me pénétrer ? Il est si large, si long et presque toujours aussi dur! Je voudrais bien vous voir à ma place… Encore une chance qu’après sa première éjaculation, son sexe bien que toujours dressé, ait perdu un peu de sa dureté et que Xavier doive le guider avec sa main.
Je sens la chaleur de son gland contre mon anneau fripé. La pression augmente entre mes fesses mais la lubrification aidant, sa formidable verge glisse et entre en moi. Curieusement, ce début de sodomie se déroule mieux que je le craignais, son lubrifiant sans doute. Son gland se décalotte et entre sans coup férir d’un seul trait et se regonfle de sang aussitôt, mon sphincter se resserre une fois la tête passée, l’emprisonnant. Xavier essaie de bouger mais on dirait que l’on me plante des aiguilles dans le cul.
-Aaaahhh ! Nooon ! Ne bouge plus, je t’en supplie… C’est horrible !
Je fixe son regard dans le miroir et l’implore, apeurée.
- J’ai peur que tu me fasses trop mal.
-Je ne t’ai pas fais pas trop mal jusqu’à présent, je vais attendre pour que tu te détentes et y aller doucement. Mais tu sais, le plus « dur » est déjà passé.¬
Je sens mon anus se dilater de plus en plus. Malgré mon inquiétude, les centimètres suivant glissent de mieux en mieux. Il ne bouge plus et laisse à nouveau le temps à mon sphincter de s’accoutumer. Mon cul se dilate enfin comme par enchantement. Je projette mon cul vers lui pour lui faire comprendre que je suis prête pour la suite. Doucement, Inexorablement et surtout sans aucune brutalité, Xavier pousse son défonce-cul, c’est le cas de le dire, entre mes fesses, d’une poussée rectiligne et ininterrompue.
Son sexe disparait dans ma rondelle inexorablement. Il progresse dans mes tripes, dilatant et perforant mon cul, ses mains crochetées sur mes hanches, et redevenant le gourdin du début. Son chibre disparait à moitié dans mon fion, puis aux trois quarts. J’ai déjà plus de quinze centimètres dans le cul. Pour le commun des mortels, ça va rarement plus loin, mais là, ce n’est pas fini! D’un « han » final, sa grosse matraque est toute entière dans mon cul, Xavier se penche sur moi, sa bouche près de mon oreille.
- Es-tu prête pour l’assaut final? Me murmure-t-il.
- Oh oui! T’es pas monté comme un âne, t’es monté comme un centaure, alors fait quand même gaffe!
Xavier fait maintenant jouer son bassin, commence à me ramoner l’arrière-train et glisse une de ses mains dans ma vulve béante. Soudain, il accélère le rythme, faisant claquer contre mes fesses son bas-ventre et ses burnes sur ma chatte. Je vois mon visage grimaçant sous ses coups de boutoir de plus en plus puissants. J’admire ses fesses en sueur dont les muscles encore fermes se contractent et jouent à chaque pénétration de cette grosse queue qui me pilonne l’arrière-train.
J’ai beau tortiller du croupion pour essayer de me dégager en hurlant de douleur mais Xavier me tient fermement et continue sa cavalcade. Il me bascule et me prend dans la position de la cuillère. Encore une chance que jusqu’à présent il m’a prise par derrière, limitant la pénétration, sinon…Mais que n’ai-je pas pensé là ? Pendant un quart d’heure, il me fait tout le Kamasoutra, passant de ma chatte à mon anus. Heureusement que mon cul a eu le temps de s’adapter à son boutefeu car il finit debout, moi accrochée à son cou pour limiter tant que possible l’empalement fatal sur ce pieu digne du comte Dracula.
Enfin, il finit par éjaculer, il crache encore d'énormes quantités de foutre pour graisser mes boyaux, continuant inlassablement à se vider les burnes et crachant sa semence par vague en moi. Il me repose enfin sur le sol. C’est à peine si j’arrive à tenir debout, mes jambes flageolent. Son sexe toujours aussi dur et tendu commence enfin à perdre de sa superbe et débande doucement.
Je vais m’appuyer sur la glace pour reprendre mes esprits, qu’est-ce que j’ai pris !!! J’expulse par des contractions incontrôlées son sperme de mon vagin et de mon cul. Une tache se forme sur le sol.
-Bon Maeva ! Tu as obtenu ce que tu voulais, ce sera la première et la dernière fois. Je veux continuer à vivre une vie paisible dans ce quartier et si on continuait, ça finira mal un jour ou l’autre. Ça te fera de bons souvenirs.
Quel mufle ! Mais il a peut-être raison. Déjà l’autre jour avec mes demi-sœurs, c’était chaud. Je ramasse mes frusques puis vais prendre une douche avec une démarche de canard. Putain que j’ai mal au cul !
En pensant à Océane et Isis, il faut que je les mouche.
Le lendemain, je filme avec mon Smartphone une pièce du sous-sol où mon père a énormément joué quand il était jeune avec Xavier et ses frères, plus particulièrement deux endroits. Je traverse la rue et prends mes demi-sœurs à part et leur fait voir la vidéo.
-Qu’est-ce que tu veux que ça nous foutes de voir cette pièce ! T’es trop sentimentale, Maeva. Se moque de moi Océane.
-Vous vous rappelez ce que je vous avais affirmé concernant le voisin ? Toi Océane, tu m’as parlé des vidéos qui tournent sur un certain site, mais tu ne connais pas celle-là !
Je tape dans le moteur de recherche : Profil de mlkjhg39, ouvre la première référence et cherche dans les vidéos affichées. L’une s’appelle : Hors-normes. Je l’ouvre et leur fais voir.
-Putain la bite ! Elle est énorme ! S’exclame Isis. Mais pourquoi tu nous montres-ça quel rapport avec Xavier ?
-Quel rapport ? Je m’insurge. Regarde-mieux, surtout l’arrière plan…-Bordel de merde ! S’écrit Océane, refais-voir ce que tu as filmé… C’est pas vrai ! Y a pas à tortiller du cul, c’est bien filmé au même endroit…-Alors ! Je ricane. Je suis une affabulatrice ? Je ne dis que des conneries ? Notre voisin que tu traites de vieux con est bien celui des vidéos. Ça vous en bouche un coin, hein !!!
-Et ce que tu nous as dit, reprend Isis, c’est vrai ? Tu l’as branlé ?
-Oui, et pas qu’un peu, branlé et sucé. Toi avec ta petite bouche, Isis, je ne sais même pas si tu y arriverais. Pour vous donner une idée du morceau, je veux que tu mesures la longueur de ton avant-bras de la pliure du coude à ton poignet puis la grosseur de ton poignet.
-Vingt centimètres et dix sept, annonce Isis.
-Pilepoil ! Tu as la taille de sa queue et sa circonférence la plus épaisse. Beau bébé, hein ?
-Et il t’a baisée ? Spécule Océane.
Je prends un certain temps avant de répondre pour garder notre secret.
-Non ! Il n’a jamais voulu. Il trouve que ce n’est pas correct et que je dois trouver un amant de mon âge.
-Ah !
-Ah !
A suivre…
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
8) : Enfin prise par le chibre de Xavier.
Préface : L’échange par mail pendant les cinq premiers chapitres de cette histoire entre Maeva et Xavier sont un copier/coller d’un échange avec une de mes fans avec quelques coupures pour garder son anonymat. Je l’avais prévenue de la possibilité de me servir de nos échanges dans une future histoire et lui dédie donc celle-ci.
Il attend un instant que mon corps s’habitue à un tel intrus puis se met ensuite en mouvement et commença à me baiser. Mais cela n'a vraiment rien à voir avec ce que j’ai connu dans ma jeune vie de femme en fleur. Il me baise à une allure lente, puis de plus en plus rapide de coups de bite puissants, profonds sans être trop violents. Il me faut bien deux minutes de baise pour que la douleur s’atténue. Je passe par différentes étapes, attirance, puis douleur et enfin le plaisir. Mon vagin est si chaud que je suis sûre que ma cyprine se transforme en vapeur autour de son pal. Xavier me défonce maintenant sauvagement et je dois m’agripper à la tête de lit pour résister à ses ruades.
Suite : Mon esprit divague soudain pensant au tableau que nous formons. Je suis en train de fondre de plaisir, moi une jeunette qui n’a pas vingt ans en train de se faire saillir comme une jument par un vieil étalon sur le retour, mais quel étalon !!! Mais un énorme coup de bite bien placé me fait revenir de mes pensées. Je crie, mais pas de douleur… Je me vide à nouveau, ma cyprine doit gicler à chaque fois qu’il compresse l’air emprisonné au fond de ma chatte par ce formidable bouchon.
- Aaahhh ouahhh ! Arrète, je n’en peux plus, je me viiiide !!!! Je le supplie, ne pouvant retenir mon plaisir.
Mais ça ne lui fait ni chaud ni froid. Sa cadence incroyable s’accélère encore, me tringlant avec une bestialité que l’on n’attendrait pas d’un sexagénaire. Je recommence à gémir de plaisir comme la salope que je suis devenue à son contact. Je me demande depuis combien de minutes il me baise dans cette position, je suis sa chose, son vide couilles. Je le sens enfin s'immobiliser au plus profond de mes entrailles, poussant un râle libérateur. Je ressens dans mon intimité la puissance des jets de sperme qui inondent mon vagin qui se remplit de son foutre chaud. Je ne ressens enfin plus aucun soubresaut ni flot de foutre sortir de son énorme queue encore dure. « Encore dure ??? » qui vient de terminer son travail.
–Xavier, t’es vraiment pas un homme ordinaire, putain ce que tu m’as mis !
Mais il ne bouge toujours pas, son poireau toujours aussi gros et dur planté dans ma chatte, soudain il reprend ses coups de reins faisant gicler le foutre surabondant de ma chatte, comme une machine infatigable.
-Fin du premier round, maintenant passons aux choses sérieuses. Tu te rappelles de tes paroles de tout à l’heure ? Je te cite : « Je veux connaître le sort de toutes les putes qui sont passé dans ton lit ». Eh bien, je vais exhausser ton vœu.
Je suis toujours en position de levrette. Dans la glace, je vois l'increvable verge ressortir de ma fente béante. Xavier caresse alors de sa grosse queue la fente des mes fesses et s’immobilise au niveau du trou de mon cul. Il récupère avec ses doigts le foutre qui dégouline de ma chatte et en tartine mon sphincter. Son majeur me pénètre doucement et m’arrache un petit cri de douleur et de surprise mélangées. Il présente maintenant le bout de son gland sur le centre de mon cratère. Je fais la fière, recule mon cul vers ce pal tendu et essaie de pousser sur mon sphincter pour m’ouvrir. L’intromission commence. Dans un pénis, il y a deux endroits critiques question taille chez certains hommes, le gland et les derniers centimètres de la hampe, les plus massifs, et Chez Xavier, son gland est gros, très gros. La différence de taille entre son gland et ma rondelle est incompatible. Jamais il ne pourra rentrer…, même malgré le mélange de ma mouille et de son sperme mêlés qui enduisent ma muqueuse anale et un jet froid qui glace mes fesses.
-Avec cet onguent, ça glissera mieux et va un peu anesthésier la zone. Me rassure-t-il.
Jamais je ne me suis faite sodomisée. Je suis comme une débutante au judo qui pour son premier combat doit affronter une adversaire ceinture noire, cinquième dan. Putain ce que je vais dérouiller !!!
Comment un engin pareil peut-il me pénétrer ? Il est si large, si long et presque toujours aussi dur! Je voudrais bien vous voir à ma place… Encore une chance qu’après sa première éjaculation, son sexe bien que toujours dressé, ait perdu un peu de sa dureté et que Xavier doive le guider avec sa main.
Je sens la chaleur de son gland contre mon anneau fripé. La pression augmente entre mes fesses mais la lubrification aidant, sa formidable verge glisse et entre en moi. Curieusement, ce début de sodomie se déroule mieux que je le craignais, son lubrifiant sans doute. Son gland se décalotte et entre sans coup férir d’un seul trait et se regonfle de sang aussitôt, mon sphincter se resserre une fois la tête passée, l’emprisonnant. Xavier essaie de bouger mais on dirait que l’on me plante des aiguilles dans le cul.
-Aaaahhh ! Nooon ! Ne bouge plus, je t’en supplie… C’est horrible !
Je fixe son regard dans le miroir et l’implore, apeurée.
- J’ai peur que tu me fasses trop mal.
-Je ne t’ai pas fais pas trop mal jusqu’à présent, je vais attendre pour que tu te détentes et y aller doucement. Mais tu sais, le plus « dur » est déjà passé.¬
Je sens mon anus se dilater de plus en plus. Malgré mon inquiétude, les centimètres suivant glissent de mieux en mieux. Il ne bouge plus et laisse à nouveau le temps à mon sphincter de s’accoutumer. Mon cul se dilate enfin comme par enchantement. Je projette mon cul vers lui pour lui faire comprendre que je suis prête pour la suite. Doucement, Inexorablement et surtout sans aucune brutalité, Xavier pousse son défonce-cul, c’est le cas de le dire, entre mes fesses, d’une poussée rectiligne et ininterrompue.
Son sexe disparait dans ma rondelle inexorablement. Il progresse dans mes tripes, dilatant et perforant mon cul, ses mains crochetées sur mes hanches, et redevenant le gourdin du début. Son chibre disparait à moitié dans mon fion, puis aux trois quarts. J’ai déjà plus de quinze centimètres dans le cul. Pour le commun des mortels, ça va rarement plus loin, mais là, ce n’est pas fini! D’un « han » final, sa grosse matraque est toute entière dans mon cul, Xavier se penche sur moi, sa bouche près de mon oreille.
- Es-tu prête pour l’assaut final? Me murmure-t-il.
- Oh oui! T’es pas monté comme un âne, t’es monté comme un centaure, alors fait quand même gaffe!
Xavier fait maintenant jouer son bassin, commence à me ramoner l’arrière-train et glisse une de ses mains dans ma vulve béante. Soudain, il accélère le rythme, faisant claquer contre mes fesses son bas-ventre et ses burnes sur ma chatte. Je vois mon visage grimaçant sous ses coups de boutoir de plus en plus puissants. J’admire ses fesses en sueur dont les muscles encore fermes se contractent et jouent à chaque pénétration de cette grosse queue qui me pilonne l’arrière-train.
J’ai beau tortiller du croupion pour essayer de me dégager en hurlant de douleur mais Xavier me tient fermement et continue sa cavalcade. Il me bascule et me prend dans la position de la cuillère. Encore une chance que jusqu’à présent il m’a prise par derrière, limitant la pénétration, sinon…Mais que n’ai-je pas pensé là ? Pendant un quart d’heure, il me fait tout le Kamasoutra, passant de ma chatte à mon anus. Heureusement que mon cul a eu le temps de s’adapter à son boutefeu car il finit debout, moi accrochée à son cou pour limiter tant que possible l’empalement fatal sur ce pieu digne du comte Dracula.
Enfin, il finit par éjaculer, il crache encore d'énormes quantités de foutre pour graisser mes boyaux, continuant inlassablement à se vider les burnes et crachant sa semence par vague en moi. Il me repose enfin sur le sol. C’est à peine si j’arrive à tenir debout, mes jambes flageolent. Son sexe toujours aussi dur et tendu commence enfin à perdre de sa superbe et débande doucement.
Je vais m’appuyer sur la glace pour reprendre mes esprits, qu’est-ce que j’ai pris !!! J’expulse par des contractions incontrôlées son sperme de mon vagin et de mon cul. Une tache se forme sur le sol.
-Bon Maeva ! Tu as obtenu ce que tu voulais, ce sera la première et la dernière fois. Je veux continuer à vivre une vie paisible dans ce quartier et si on continuait, ça finira mal un jour ou l’autre. Ça te fera de bons souvenirs.
Quel mufle ! Mais il a peut-être raison. Déjà l’autre jour avec mes demi-sœurs, c’était chaud. Je ramasse mes frusques puis vais prendre une douche avec une démarche de canard. Putain que j’ai mal au cul !
En pensant à Océane et Isis, il faut que je les mouche.
Le lendemain, je filme avec mon Smartphone une pièce du sous-sol où mon père a énormément joué quand il était jeune avec Xavier et ses frères, plus particulièrement deux endroits. Je traverse la rue et prends mes demi-sœurs à part et leur fait voir la vidéo.
-Qu’est-ce que tu veux que ça nous foutes de voir cette pièce ! T’es trop sentimentale, Maeva. Se moque de moi Océane.
-Vous vous rappelez ce que je vous avais affirmé concernant le voisin ? Toi Océane, tu m’as parlé des vidéos qui tournent sur un certain site, mais tu ne connais pas celle-là !
Je tape dans le moteur de recherche : Profil de mlkjhg39, ouvre la première référence et cherche dans les vidéos affichées. L’une s’appelle : Hors-normes. Je l’ouvre et leur fais voir.
-Putain la bite ! Elle est énorme ! S’exclame Isis. Mais pourquoi tu nous montres-ça quel rapport avec Xavier ?
-Quel rapport ? Je m’insurge. Regarde-mieux, surtout l’arrière plan…-Bordel de merde ! S’écrit Océane, refais-voir ce que tu as filmé… C’est pas vrai ! Y a pas à tortiller du cul, c’est bien filmé au même endroit…-Alors ! Je ricane. Je suis une affabulatrice ? Je ne dis que des conneries ? Notre voisin que tu traites de vieux con est bien celui des vidéos. Ça vous en bouche un coin, hein !!!
-Et ce que tu nous as dit, reprend Isis, c’est vrai ? Tu l’as branlé ?
-Oui, et pas qu’un peu, branlé et sucé. Toi avec ta petite bouche, Isis, je ne sais même pas si tu y arriverais. Pour vous donner une idée du morceau, je veux que tu mesures la longueur de ton avant-bras de la pliure du coude à ton poignet puis la grosseur de ton poignet.
-Vingt centimètres et dix sept, annonce Isis.
-Pilepoil ! Tu as la taille de sa queue et sa circonférence la plus épaisse. Beau bébé, hein ?
-Et il t’a baisée ? Spécule Océane.
Je prends un certain temps avant de répondre pour garder notre secret.
-Non ! Il n’a jamais voulu. Il trouve que ce n’est pas correct et que je dois trouver un amant de mon âge.
-Ah !
-Ah !
A suivre…
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