Petite Sabrina, à ton tour!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Petite Sabrina, à ton tour!
C’est quand le manque d’une femme se fait sentir que je commence à chercher. Avec des regards gourmands, même si je me dis que c’est mal, cela m’échauffent les sens me redonnent du goût à la séduction. Alors lorsque ma fille amène sa copine à la maison, je ne me doute pas de ce qui va arriver. Sabrina a un visage très mignon avec des yeux noisette, un petit nez en trompette et un sourire quasi permanent. Elle attire la sympathie et conquit tout le monde sans difficulté.
Au fil des rencontres et de mes discussions avec Sabrina, je ne peux m’empêcher de fixer sa poitrine généreuse. Ces petites fesses. Petits à petits nous sommes très complices et elle obtient de moi des confidences sur mes goûts en matière de femmes.
Très vite aussi elle vient à la maison en jupes très courtes avec des escarpins. Je la complimente pour cette allure très féminine.
Un après-midi alors que je suis seul à la maison en train de bricoler. On gratte doucement à ma porte d’entrée avant que cette dernière s’ouvre.
-Est-ce que je peux entrer ? Me fait une petite voix que je reconnais être celle de Sabrina
Elle a un ton et une mine pleins d’une humilité hypocrite. Je l’accueille avec plaisir. Pendant qu’elle me sert son baratin. Que j’écoute à peine, portant mon intérêt sur son plastique.
Du geste, je l’invite à prendre place sur le divan. Elle croise les jambes en continuant à me parler.
Elle me souri et lance un regard sans équivoque avant de croiser ostensiblement les jambes, juste assez lentement pour me convaincre qu’elle ne porte pas de culotte en me laissant entrevoir furtivement son buisson de poils.
Surtout de ne pas tomber dans son piège. Pourtant l’effet que me fait son numéro d’allumeuse est évident.
Après m’avoir dit au revoir, elle prend le chemin de la sortie en faisant rouler ses hanches sous sa jupe d’une façon si exagéré qu’on devine le tremblement de son fessier rebondis.
-Ah, au fait !
Elle se tient tout près de moi, la pointe de ses seins lourds visible à travers le tissu de scène. Elle me gratifie d’un nouveau battement de cils.
-Je me demandais si, enfin peut-être tu pourrais me faire l’amour ? Et sans attendre ma réponse elle saute sur moi. Se serrant à moi, se massant discrètement contre mon bassin allant jusqu’à glisser une jambe entre les miennes. Elle colle sa joue contre la mienne, s’insère encore plus entre mes jambes et me demande si j’ai envie d’elle. Feignant de ne pas bien comprendre, je lui réponds qu’elle est mignonne, mais qu’à mon âge on ne doit pas regarder les jeunes filles.
Elle me fixe d’un air boudeur.
-Alors on fait quoi ?
-Je ne sais pas !
-Ah bon ! Tu ne sais pas ! Me fait-elle, alors qu’elle commence à me masser la queue à travers l’étoffe de mon pantalon.
Sous l’effet de l’excitation je lui avoue que j’ai envie d’elle. Là elle sort sa langue pour me lécher le visage et la bouche. S’appuyant sur le rebord de la table de la salle à manger, elle trousse sa jupe sur son ventre. Elle ouvre les cuisses pour s’offrir à moi. Incapable de me retenir, je sors ma queue, déjà raide. Pour mieux l’accueillir, elle se renverse sur la table. Ce fut agressif, brutal. Je pense qu’elle attendait ça de moi. Elle se redresse comme pour mieux observer ma queue qui la pénètre à grands coups, va et vient en elle.
-Oui…oh oui, tu me fais du bien… fais-moi jouir…une jeune salope comme moi !
Elle lâche un gémissement rauque venant du plus profond de son ventre. A chacun de mes coups de reins, un liquide transparent s’échappe de sa chatte, comme si elle éjacule.
- Je suis une baiseuse, une salope, baise-moi ! S’écrie Sabrina hors d’elle, et elle se mit à jouir.
Je prends ses jambes sur mes épaules, ce qui me fait m’enfoncer plus loin. Elle est trempée, sa mouille dégouline entre ses fesses, se répand sur la table. Ses yeux brillent d’un éclat vicieux.
-Cela te dirait de jouir dans mon cul ?
-Et pourquoi je ferais ça ?
-Parce que je sais que tu aimes ça ; pardi !
-Tu sais ça comment ?
-T’occupe ! Me lâche-t-elle, en passant les mains sous sa croupe pour l’ouvrir.
Au milieu des frisottis, l’entonnoir de l’anus saillie, déformé. Elle balade le bout de son doigt, caressant les reliefs irréguliers. Avec un ronronnement, elle tend la main vers mon visage, enfonce dans ma bouche l’index à l’aide duquel elle venait de se tripoter l’anus. Je le suce avidement. Sans me quitter des yeux, elle enduit son trou du cul de ma salive, repoussant les quelques frisotis qui la gênent avant d’enfoncer le bout du doigt entre les fronces biscornues.
- Il faut bien que je me prépare, si tu veux que ça rentre !
-Tu l’as déjà fait par là ?
-Pas avec un homme !
Après quelques va-et-vient, elle retire son doigt le ramène entre mes lèvres. Cette fois, je sens parfaitement son goût amer. Elle pose à présent deux doigts devant l’entrée de son anus. Et lentement pèse dessus. J’aperçois les premières phalanges disparaitre dans le puits. Elle poursuit sa préparation, faisant entrer et sortir ses phalanges de son rectum, jusqu’à apparaisse un entonnoir rouge entre les protubérances tordus.
-Viens, je vois que nous sommes sur la même longueur d’ondes ! Fait-elle avec un sourire goguenard.
Dévoré d’excitation, je frotte mon gland contre son anus.
-Encule-moi mon beau ! Laisse-t-elle tomber d’une voix oppressée.
Avec joie, je pousse de toutes mes forces le gland à l’entrée de ses reins. Mon exhortation aggravé par l’excitation, je claque son fessier. Elle hurle de douleur quand ma main s’abat en travers de ses fesses. Je lui claque le cul sans ménagement. Elle sanglote en se trémoussant sous mes coups secs. Sa peau vire à l’écarlate. Partagée entre la douleur et une volupté indéniable, elle sursaute à chaque brûlure que lui procure ma fessée.
Je sors ma queue de son antre. D’une voix méconnaissable, elle me supplie :
-Remets-la-moi dans le cul ! Tu n’as pas le droit de te retirer comme ça !
Je me mets à l’agiter sans quitter du regard les fesses rouges qui baillent devant moi. J’appuis de nouveau le gland sur les replis irrités de l’anus et pèse de toute ma caresse pour la sodomiser de nouveau. Je la pénètre en la tenant par les hanches. Arc-bouté contre elle, je me mets à la pistonner avec une aisance qui prouve que le petit trou c’est fait ami avec ma queue. Les gémissements de Sabrina se changent en petits cris. Elle se cambre pour mieux m’accueillir au fond de son cul. Je suis estomaqué, excité aussi de voir avec quelle facilité je coulisse dans le cul de la copine de ma fille. Je finis par remonter les mains pour capturer ses seins, tandis que son cul tape contre mon bas-ventre.
je l’encule, et l’encule encore. Puis je m’immobilise au fond d’elle pour profiter au maximum de l’instant. Son trou du cul est parcouru de contractions. Je donne un coup de reins plus fort. Je suis soudain traversé par une onde électrique qui me tétanise. Un torrent de lave parcoure ma queue planté au plus profond d’elle.
Je m’entends pousser un rugissement qui tient plus de l’animal que de l’humain tandis que je me vide par à-coups violents dans son trou du cul.
Après m’avoir vidé jusqu’à la dernière goutte, je libère le cul de la jeune fille avec un bruit de ventouse, comme un bouchon qui saute. L’abondance de sperme que je venais d’éjaculer en elle, s’est échappée de son orifice, ruisselant entre les poils qui tapissaient la raie, venant engluer le plateau de la table.
Sabrina retrouve très vite son air narquois mais ne semblait pas pressée de se rajuster. Sans pudeur d’aucune sorte, elle reste les cuisses écartées, exhibant son cul rougi, dégouttant de sperme, la main posée sur son con pour se caresser distraitement.
- On aurait recommencé, tu ne crois pas ?
-Il serait peut-être plus sage de remettre cela à plus tard !
-Tu promets qu’on recommencera ? Fait-elle d’un ton plutôt résigné qu’attrister.
-Promis !
Elle me regarde me rajuster sans changer de position, se tripotant distraitement tandis que s’agrandissait la flaque sur la table.
Au fil des rencontres et de mes discussions avec Sabrina, je ne peux m’empêcher de fixer sa poitrine généreuse. Ces petites fesses. Petits à petits nous sommes très complices et elle obtient de moi des confidences sur mes goûts en matière de femmes.
Très vite aussi elle vient à la maison en jupes très courtes avec des escarpins. Je la complimente pour cette allure très féminine.
Un après-midi alors que je suis seul à la maison en train de bricoler. On gratte doucement à ma porte d’entrée avant que cette dernière s’ouvre.
-Est-ce que je peux entrer ? Me fait une petite voix que je reconnais être celle de Sabrina
Elle a un ton et une mine pleins d’une humilité hypocrite. Je l’accueille avec plaisir. Pendant qu’elle me sert son baratin. Que j’écoute à peine, portant mon intérêt sur son plastique.
Du geste, je l’invite à prendre place sur le divan. Elle croise les jambes en continuant à me parler.
Elle me souri et lance un regard sans équivoque avant de croiser ostensiblement les jambes, juste assez lentement pour me convaincre qu’elle ne porte pas de culotte en me laissant entrevoir furtivement son buisson de poils.
Surtout de ne pas tomber dans son piège. Pourtant l’effet que me fait son numéro d’allumeuse est évident.
Après m’avoir dit au revoir, elle prend le chemin de la sortie en faisant rouler ses hanches sous sa jupe d’une façon si exagéré qu’on devine le tremblement de son fessier rebondis.
-Ah, au fait !
Elle se tient tout près de moi, la pointe de ses seins lourds visible à travers le tissu de scène. Elle me gratifie d’un nouveau battement de cils.
-Je me demandais si, enfin peut-être tu pourrais me faire l’amour ? Et sans attendre ma réponse elle saute sur moi. Se serrant à moi, se massant discrètement contre mon bassin allant jusqu’à glisser une jambe entre les miennes. Elle colle sa joue contre la mienne, s’insère encore plus entre mes jambes et me demande si j’ai envie d’elle. Feignant de ne pas bien comprendre, je lui réponds qu’elle est mignonne, mais qu’à mon âge on ne doit pas regarder les jeunes filles.
Elle me fixe d’un air boudeur.
-Alors on fait quoi ?
-Je ne sais pas !
-Ah bon ! Tu ne sais pas ! Me fait-elle, alors qu’elle commence à me masser la queue à travers l’étoffe de mon pantalon.
Sous l’effet de l’excitation je lui avoue que j’ai envie d’elle. Là elle sort sa langue pour me lécher le visage et la bouche. S’appuyant sur le rebord de la table de la salle à manger, elle trousse sa jupe sur son ventre. Elle ouvre les cuisses pour s’offrir à moi. Incapable de me retenir, je sors ma queue, déjà raide. Pour mieux l’accueillir, elle se renverse sur la table. Ce fut agressif, brutal. Je pense qu’elle attendait ça de moi. Elle se redresse comme pour mieux observer ma queue qui la pénètre à grands coups, va et vient en elle.
-Oui…oh oui, tu me fais du bien… fais-moi jouir…une jeune salope comme moi !
Elle lâche un gémissement rauque venant du plus profond de son ventre. A chacun de mes coups de reins, un liquide transparent s’échappe de sa chatte, comme si elle éjacule.
- Je suis une baiseuse, une salope, baise-moi ! S’écrie Sabrina hors d’elle, et elle se mit à jouir.
Je prends ses jambes sur mes épaules, ce qui me fait m’enfoncer plus loin. Elle est trempée, sa mouille dégouline entre ses fesses, se répand sur la table. Ses yeux brillent d’un éclat vicieux.
-Cela te dirait de jouir dans mon cul ?
-Et pourquoi je ferais ça ?
-Parce que je sais que tu aimes ça ; pardi !
-Tu sais ça comment ?
-T’occupe ! Me lâche-t-elle, en passant les mains sous sa croupe pour l’ouvrir.
Au milieu des frisottis, l’entonnoir de l’anus saillie, déformé. Elle balade le bout de son doigt, caressant les reliefs irréguliers. Avec un ronronnement, elle tend la main vers mon visage, enfonce dans ma bouche l’index à l’aide duquel elle venait de se tripoter l’anus. Je le suce avidement. Sans me quitter des yeux, elle enduit son trou du cul de ma salive, repoussant les quelques frisotis qui la gênent avant d’enfoncer le bout du doigt entre les fronces biscornues.
- Il faut bien que je me prépare, si tu veux que ça rentre !
-Tu l’as déjà fait par là ?
-Pas avec un homme !
Après quelques va-et-vient, elle retire son doigt le ramène entre mes lèvres. Cette fois, je sens parfaitement son goût amer. Elle pose à présent deux doigts devant l’entrée de son anus. Et lentement pèse dessus. J’aperçois les premières phalanges disparaitre dans le puits. Elle poursuit sa préparation, faisant entrer et sortir ses phalanges de son rectum, jusqu’à apparaisse un entonnoir rouge entre les protubérances tordus.
-Viens, je vois que nous sommes sur la même longueur d’ondes ! Fait-elle avec un sourire goguenard.
Dévoré d’excitation, je frotte mon gland contre son anus.
-Encule-moi mon beau ! Laisse-t-elle tomber d’une voix oppressée.
Avec joie, je pousse de toutes mes forces le gland à l’entrée de ses reins. Mon exhortation aggravé par l’excitation, je claque son fessier. Elle hurle de douleur quand ma main s’abat en travers de ses fesses. Je lui claque le cul sans ménagement. Elle sanglote en se trémoussant sous mes coups secs. Sa peau vire à l’écarlate. Partagée entre la douleur et une volupté indéniable, elle sursaute à chaque brûlure que lui procure ma fessée.
Je sors ma queue de son antre. D’une voix méconnaissable, elle me supplie :
-Remets-la-moi dans le cul ! Tu n’as pas le droit de te retirer comme ça !
Je me mets à l’agiter sans quitter du regard les fesses rouges qui baillent devant moi. J’appuis de nouveau le gland sur les replis irrités de l’anus et pèse de toute ma caresse pour la sodomiser de nouveau. Je la pénètre en la tenant par les hanches. Arc-bouté contre elle, je me mets à la pistonner avec une aisance qui prouve que le petit trou c’est fait ami avec ma queue. Les gémissements de Sabrina se changent en petits cris. Elle se cambre pour mieux m’accueillir au fond de son cul. Je suis estomaqué, excité aussi de voir avec quelle facilité je coulisse dans le cul de la copine de ma fille. Je finis par remonter les mains pour capturer ses seins, tandis que son cul tape contre mon bas-ventre.
je l’encule, et l’encule encore. Puis je m’immobilise au fond d’elle pour profiter au maximum de l’instant. Son trou du cul est parcouru de contractions. Je donne un coup de reins plus fort. Je suis soudain traversé par une onde électrique qui me tétanise. Un torrent de lave parcoure ma queue planté au plus profond d’elle.
Je m’entends pousser un rugissement qui tient plus de l’animal que de l’humain tandis que je me vide par à-coups violents dans son trou du cul.
Après m’avoir vidé jusqu’à la dernière goutte, je libère le cul de la jeune fille avec un bruit de ventouse, comme un bouchon qui saute. L’abondance de sperme que je venais d’éjaculer en elle, s’est échappée de son orifice, ruisselant entre les poils qui tapissaient la raie, venant engluer le plateau de la table.
Sabrina retrouve très vite son air narquois mais ne semblait pas pressée de se rajuster. Sans pudeur d’aucune sorte, elle reste les cuisses écartées, exhibant son cul rougi, dégouttant de sperme, la main posée sur son con pour se caresser distraitement.
- On aurait recommencé, tu ne crois pas ?
-Il serait peut-être plus sage de remettre cela à plus tard !
-Tu promets qu’on recommencera ? Fait-elle d’un ton plutôt résigné qu’attrister.
-Promis !
Elle me regarde me rajuster sans changer de position, se tripotant distraitement tandis que s’agrandissait la flaque sur la table.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime cette histoire..la rencontre de deux générations...
J'ai connu cette excitation avec ma petite voisine de 19 ans..
Un délice des sens...et ce sentiment d'interdit... mais avec le consentement mutuel
Ou est le crime ??
Du plaisir,du plaisir..et rien d'autre.
Merci pour ce moment d'excitation
Rudy
J'ai connu cette excitation avec ma petite voisine de 19 ans..
Un délice des sens...et ce sentiment d'interdit... mais avec le consentement mutuel
Ou est le crime ??
Du plaisir,du plaisir..et rien d'autre.
Merci pour ce moment d'excitation
Rudy