Pierre, l'amoureux caché. 2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pierre, l'amoureux caché. 2
Notre deuxième nuit a confirmé une entente parfaite de sensualité sexuelle.
Ca ne m'arrange pas du tout, je vais devoir lutter contre mes sentiments.
Toutefois, je ne veux pas m'en passer, c'est décidé !
Par chance, mon amour (et mon entente) avec Corinne est trop parfait pour douter, c'est la femme de ma vie !
Je m'offre donc une parenthèse enchantée avec Pierre, sans retenue.
Lorsque je le vois au lieu de Rendez-vous, je suis heureux de le revoir enfin.
Je monte dans son véhicule, il démarre en posant sa main sur ma cuisse.
La discussion porte sur mes aventures extra conjugales.
"Alors, comme ça ! Tu sors avec 2 autres filles ! C'est pas sympa pour Corinne !".
"Ecoutes ! Pour le moment, j'en ai besoin, j'aime plaire ! Et puis, c'est les filles qui me draguent ! Et je sais pas dire non, quand elles sont mignonnes !".
"T'es un bourreau des cœurs ! Et je me suis prendre, moi aussi !".
"Désolé, je ne l'ai pas cherché !".
"Je sais, je ne t'en veux pas !".
"En tout cas, je sais que tôt ou tard, j'arrêterais tout ça, je fais trop de mal aux gens qui m'aiment ! Il me faudra faire un choix !".
"C'est moi !".
"C'est pas possible ! Tu le sais !".
"Oui, je plaisante !".
Plus loin, il me dit:
"T'es comment, avec les autres mecs ?".
"Tu veux vraiment savoir ça ? Je suis loin d'être le même !".
"Oui ! Je veux tout savoir de toi !".
"OK ! Je suis une vraie salope !".
"Ah bon, t'as fait quoi ?".
"Ben ! Mon premier amant m'a initié aux jeux à plusieurs, déjà !".
"Beaucoup ?".
"2, puis 6 ou 7, et à la fin, plus de 15 ! Et même plus, un soir, dans un cinéma porno à Marseille ! Et, il y a quelques mois, on m'a baisé à la chaine, au Sex-Shop ! Bien plus que ça, donc ! Mais bizarrement, c'est pas ce qui me plait le plus ! J'aime le coté dépravant et soumission, mais beaucoup d'hommes manquent d'endurance !".
"Ca doit être chaud ! Quand même !".
"Oui, ce que je préfère, c'est tout le sperme que je prend partout ! J'ai un peu honte, mais ça me rend fou !".
"Ca, je l'ai vu que t'adorais le sperme ! Et t'es déjà tombé sur un autre mec amoureux ?".
"Oui, mais t'es le premier que je ne repousse pas !".
"Merci, j'ai de la chance, alors ! Mon amour !".
Chez lui, il me plaque au mur, pour m'embrasser, dès qu'il peut.
Il me déclare encore sa passion, son besoin de m'avoir tout le temps avec lui, me prendre, me faire jouir.
C'est trop pour moi, je ne peux pas lui résister.
Ses mains et ses baisers me font fondre de désir pour lui.
Il parvient sans mal à me dénuder les fesses et me prendre debout dans son entrée.
J'ai le sentiment qu'il se libère d'une trop forte envie de moi, contenue depuis trop longtemps.
Mon corps est bloqué par ses bras puissants, mes vêtements m'entravent les pieds, alors qu'il me transperce l'anus à grands coups de queue.
Mes cris de plaisir emplissent son appartement.
"Vas-y mon amour, tu peux crier, il m'a trop manqué ton cul ! J'aime te défoncer la chatte !".
Je découvre avec excitation qu'il commence à se lâcher et partage son coté pervers avec moi.
Même si cette féminisation de mon anus, me trouble toujours un peu, je l'encourage à me parler en m'enculant.
"Oui, Pierre ! Défonces-moi ! Lâches-toi ! Tu m'as manqué, toi aussi !".
"J'en peux plus de penser à toi, je suis obligé de me branler, tu m'excites trop ! Il faut que je jouisse ! Là ! Maintenant !".
Il m'entraine vers une table, sans sortir de mon cul, et m'étale dessus, pour se déchainer.
"Oh, Pardon Pascal, mais il faut que je t'encule comme ça, je dois me soulager, c'est trop fort !".
Je me fais détruire comme une vulgaire pute, jusqu'au moment ou il se déverse enfin.
Mon anus est poisseux, mes fesses rougies par ses mains.
Il recule en titubant, et s'appuie contre le mur derrière lui.
Il admire mon corps étalé sur sa table, mon anus est béant, humide de jus anal, et laisse échapper ses premiers écoulements de foutre gluant.
Il voit bien qu'il m'a complètement vidé, je suis encore sonné par sa fougue.
"Ca va ? Mon bébé ? Ca t'as pas plu ? J'ai été trop pervers !".
"Non, tu te doutes bien, que j'aime aussi, quand c'est pervers comme ça ! Mais tu m'a trop fait jouir, j'ai besoin de reprendre mes esprits ! Je sens plus mon... euh...ma chatte !".
"Humm ! J'aime bien employer ce mot, je sais pas pourquoi ! Je peux continuer ?".
"Oui !".
"Merci, mon p'tit chat ! Je vois que tu t'es rasé pour moi ! J'adore !".
Je me redresse lentement, il m'aide et m'embrasse tendrement.
Il remarque que je bande, je comprend son étonnement.
"Oui, t'as failli me faire éjaculer, encore !".
"Hummm ! C'est dommage ! On recommencera tout à l'heure !".
Ensuite, il me sert à boire, pendant que je fini de me dénuder, pour m'installer sans son salon.
J'ai pris soin, avant, de nettoyer l'anus avec des Kleenex.
Il quitte ses habits également, je remarque que son gland est encore humide et un peu gonflé.
Je le couche légèrement et lui offre un délicieuse caresse buccale de quelques minutes, qui le comble de bonheur.
Puis, on se serre l'un contre l'autre, pour parler encore, sans cesser de nous caresser.
On retrouve ce qui fait la base de notre entente, notre amitié.
L'échange est fait de nombreux touchers et de plaisanteries diverses.
On s'entend toujours aussi bien, ce qui nous rassure.
Il est alors pris d'un besoin de me donner du plaisir avec ses mains et sa bouche.
Je me laisse emporter dans un enivrant déluge de sensations multiples.
Tout mon corps est léché, retourné dans tous les sens.
On ne m'a jamais autant donné d'amour.
Dans une confusion de sens, je me retrouve sous lui avec la tête au bord de son profond canapé.
Il prend mon visage retourné et dirige sa grosse verge, un peu molle, entre mes lèvres.
Il se penche entre mes cuisses pour me lécher sans fin, de l'anus au gland, en passant par mes testicules rasés. Mon corps imberbe l'excite.
Pendant ce la, il imprime un mouvement de bassin dans la gorge, comme s'il me faisait l'amour buccalement.
Sa bite prend de l'ampleur et vient s'écraser contre ma glotte en durcissant.
Elle trouve le chemin pour aller plus loin.
Je le reçoit au plus profond de ma bouche, je retrouve mes possibilités buccales, repoussées avec un ancien amant.
Il se redresse et regarde sa grosse bite disparaitre entre mes lèvres.
"Mmmmmm ! Putain, même ça, c'est exceptionnel avec toi ! Tu la prends bien profond, j'aime !".
Il se régale ainsi, quelques minutes, me faisant saliver à outrance.
Puis, il décale un peu mon cul, pour me placer sur le ventre, au bord du canapé.
Il pose son gros gland contre mon œillet anal et sans grosse difficulté, il me pénètre en trois poussées.
Je râle déjà mon plaisir.
"Pascal ! Je suis tellement bien dans ton cul ! Je l'aime trop ta p'tite chatte ! En plus, ça glisse tout seul avec mon sperme, déjà à l'intérieur !".
"Ourhhhhhhhhh ! Ahhhhhhhhhh ! Tu me donnes trop de plaisir ! Pierre ! Merci de m'aimer comme ça !".
"J'ai pas envie que tu ailles baiser avec d'autres hommes ! Je veux être le seul !".
"Je te promets que tu seras le seul ! J'en ai plus besoin, grâce à toi !".
Il amplifie ses enfoncements avec douceur, en me remerciant, heureux de cette promesse.
La différence avec notre premier accouplement est énorme, il me possède avec tant de sensualité et de passion que j'en perd le contrôle de ma raison.
Je me cambre à l'extrême, pour l'aider à s'enfoncer plus loin dans mon cul.
"Pierre ! Tu me rends dingue ! Arhhhhhhhh ! J'aime être à toi ! Arggggghhhhhhh !".
"Tu l'as dis ! C'est vrai ? T'es à moi ?".
"Orhhhhhhhhhhh ! Je sais pas, je sais plus, Oui, Arhhhhhhhhhhhhhh !".
"Je t'aime ! J'ai envie de te prendre longtemps ! J'aime ta chatte !".
"Fais comme tu veux ! Je suis à toi ! Arhhhhhhhhhhhhh ! je joui encooooorrrrrrrrrre !".
Sa puissante et lente possession, me transporte d'orgasme en orgasme.
Il joue avec mon corps et mon anus comme avec celui d'une poupée légère.
J'aime les moments ou je peux lui rendre le plaisir reçu, en m'empalant sur lui, sur le dos, puis face à lui.
Dès que la position le permet, on est irrésistiblement attiré par la bouche de l'autre.
J'aime jouir sur sa grosse queue, tout en frissonnant sous les caresses appuyées de ses grandes mains.
Je me laisse tomber en arrière encore empalé sur lui, mon corps entre ses longues jambes.
La pénétration est délicieusement source de plaisir anal intense.
Après un long moment de bonheur commun, il se redresse et me soulève les fesses.
Il me voute sur moi même, pour me pénétrer encore, m'offrant une vue sur sa bite, en moi.
Il m'assène ses assauts profonds en me caressant la queue.
Puis, il me relève encore, et me déplace, il doit devenir fou, puisque seules, mes épaules touchent le tapis de sol.
Il reprend ses mouvements de pénétration puissante.
Je joui encore comme jamais, tout en ayant peur qu'il me lâche.
J'accroche mes jambes à son torse, je suis en complète érection.
Je sens venir ma première éjaculation, il s'en rend compte lui aussi.
Il m'entoure la queue du creux de la main, au niveau du gland.
Je l'aide à me posséder ainsi comme je peux, avec un appui sur mes bras.
Je crie mon double orgasme en me déversant dans sa main.
Il me vide le canal urinaire patiemment, sans cesser de m'enculer.
Puis, il recule doucement, en nous baissant progressivement.
Il revient en moi, plonge son visage dans le creux de mon épaule pour me mordiller de nombreuses fois.
Il me présente sa main maculée de mon sperme, qui commence à couler.
Je lui lave la main avec vice et volupté, en gémissant sous ses mordillements.
Il vient vers mes lèvres et mélange sa langue avec la mienne, dans un interminable baiser au sperme.
Il attrape un gros coussin ensuite, et le place sous mon ventre.
Il reprend sa "chatte" préférée, et me détruit encore et encore, très longuement, sans se presser, ni s'affoler.
Je suis au bord de l'épuisement d'orgasme anal, mais je ne voudrais pas qu'il s'arrête, pour rien au monde.
Il m'expédie très loin dans l'orgasme, mon cerveau explose en sensations extrêmes de plaisirs.
Je comprends que je suis en train de couler au niveau de mon sexe, il me fait gicler à force de solliciter ma prostate.
Le liquide est absorbé par le coussin, au fur et à mesure qu'il me détruit l'anus.
Mes cris de jouissance le rendent fou, il montre enfin des signes de jouissance à son tour.
Je l'accompagne de mes mouvements de bassin.
Nos râles se rejoignent, nos corps se collent et se décollent avec fougue.
Puis nos cris s'amplifient, révélant le force de notre plaisir intense et commun.
La fin en devient bestiale, saccadée en assauts incontrôlés.
Même, mes nombreux bruits de rejet d'air, suite aux assauts répétés de Pierre, nous excitent.
Il me remplit inlassablement de son jus d'amour. je lui dis que j'aime recevoir son sperme chaud dans l'anus.
Il s'affale ensuite sur mon corps, nous soufflons tous les deux, vidés de toute énergie.
"Arhhhhhhhh ! Pierre ! j'ai jamais joui comme ça avec un autre ! Tu m'as emmené trop loin ! Pffffffffffffffff !".
"Mon amour, C'est pareil pour moi, Tu me transformes ! J'ai jamais été comme ça !".
"J'ai l'impression d'être face à mon double ! Je suis comme ça, quand je fais l'amour avec une fille que j'aime !".
"Alors, tu dois vraiment l'aimer ! Parce que c'est fort !".
"Tu m'en veux, si je continue de vouloir être avec toi, aussi ? Pour moi, c'est deux besoins différents !".
"C'est un peu dur, mais, j'ai trop besoin de te voir, donc, je suis obligé d'accepter ! Mon amour !".
"Par contre, je passe à autre chose ! Et je crois que j'ai fait des dégâts !".
"Comment ça ?".
"Tu peux te retirer ? De ma chatte ?".
Je lui parle ainsi, en sachant que ça lui fait plaisir.
Je me soulève aussi et lui montre son coussin inondé, de ce qui est peut être de l'urine claire.
"Je suis désolé, ça m'arrive souvent quand on m'encule, et surtout, après que j'ai éjaculé !".
"Ah, C'est pas grave, je crois que ça m'excite en fait, mais ça te fait quoi ?".
"Ben, ça me fait jouir, c'est une conséquence de mon plaisir anal !".
"Alors ! J'adore ! Pour la tache, ça se lave ! Je m'en fous !".
On échange un nouveau baiser passionné.
Il se pose sur le canapé, les bras ballants.
"Ouah, je suis mort ! J'ai trop bien joui !".
Quand à moi, je suis encore pris de spasmes anaux, mes cuisses ruissellent de jus anal et de sperme.
J'ai le sentiment d'avoir le ventre plein d'air, et en libérer un peu fera du bien.
Je lui demande ou sont les toilettes pour plus d'intimité.
Je reviens vers lui, il est déjà entrain de s'habiller.
"Allez, j'ai faim, je t'offre une pizza ! Ca te va ?".
"Oui, mais ça me gênes ! T'es pas obligé !".
"Allez, bouges ton p'tit cul ! On y va ! Mon bébé !".
On rentre deux heures plus tard, il m'a fait plaisir, en se contenant pour ne pas me tenir la main en public.
On passe le reste de la soirée à discuter, l'un contre l'autre, dans son lit.
Je me sens bien dans ses bras, sous ses caresses et ses baisers tendres.
Il remarque ma fatigue et me passe ses doigts dans les cheveux, avec douceur.
Lentement, je m'endors contre son épaule, comme un bébé.
Pendant la nuit, je fais un rêve ou je suis surpris par Corinne, alors que Pierre commence à me pénétrer.
Je lui dis que j'en ai besoin en râlant mon plaisir.
Mais la puissance du plaisir est trop réelle, je m'éveille, Pierre m'encule vraiment !
"Arhhh ! Pierre ! Qu'est-ce que...Arhhhhhhhhhhhh !".
"J'ai pas pu m'en empêcher, mon bébé ! Je bandais trop fort, ça me faisait mal à la queue ! Mais ça va mieux, maintenant ! Je peux continuer ?".
"Arhhhhhhh ! A ton avis ? Oui ! Mais, ne te retiens pas, s'il te plais !".
"Merci ! Mon amour, je t'aime !".
Il me transperce avec fougue sur le coté, puis, me plaque sur le ventre, pour se déchainer et se vider sans fin, de son besoin d'éjaculer dans ma "chatte".
Il se dégage ensuite et s'allonge à mes cotés, en me prenant la main.
Je replonge dans mon sommeil, sans changer de position, lui aussi.
Vers 10 heures du matin, il me sort de mes songes:
"Allez mon bébé ! On se lève".
Il pose un plateau, avec un petit déjeuner complet sur le lit.
"T'as besoin de reprendre des forces, je crois !".
Il m'accompagne, j'ai rarement connu ce genre de complicité avec un homme.
J'ai envie de lui dire qu'il m'a encore bien fait jouir, cette nuit, mais je crains que cela ne l'excite encore !
On se lève ensemble et on remarque les effets de notre baise, de la veille.
Les taches blanchâtres sur ses draps foncés ne laissent pas de place à l'imagination.
Il me sourit, fier de lui.
Je vais me doucher, après avoir évacué mes besoins naturels, et pratique un lavement ensuite.
Il me rejoint pour un lavage mousseux et sensuel de mon corps.
Cela se termine en un début de sodomie.
Il fini de se doucher à son tour, pendant que je l'attends en rangeant le petit déjeuner nu, dans sa cuisine.
Il vient se coller dans mon dos.
"T'es trop beau, mon amour ! Tu me plais trop !".
Je penche ma tête en arrière, en posant main derrière sa nuque, pour me laisser aller à la pression de ses dents dans le creux de mon épaule, et à son gros sexe qui trouve le chemin de mes entrailles.
"Arghhhhhhhhh ! Pierre ! Tu me tues ! Comment, je vais faire avec Corinne, tu m'as tout pris !".
"Je m'en fous, c'est son problème ! Pas le mien !".
Inutile de vous raconter qu'il m'a encore fait orgasmer de nombreuses fois, pendant plus d'une heure.
Nous avons eu, juste un peu de temps, pour nous nourrir avant qu'il me dépose devant ma porte.
Corinne est déjà là, qui m'attend, elle ignore la nouvelle nature de ma relation avec Pierre, et c'est bien ainsi.
Je lui propose de profiter du beau temps, afin d'éviter de lui faire l'amour.
J'aurai eu trop de mal, j'ai encore éjaculé avec Pierre avant de venir.
Ca ne m'arrange pas du tout, je vais devoir lutter contre mes sentiments.
Toutefois, je ne veux pas m'en passer, c'est décidé !
Par chance, mon amour (et mon entente) avec Corinne est trop parfait pour douter, c'est la femme de ma vie !
Je m'offre donc une parenthèse enchantée avec Pierre, sans retenue.
Lorsque je le vois au lieu de Rendez-vous, je suis heureux de le revoir enfin.
Je monte dans son véhicule, il démarre en posant sa main sur ma cuisse.
La discussion porte sur mes aventures extra conjugales.
"Alors, comme ça ! Tu sors avec 2 autres filles ! C'est pas sympa pour Corinne !".
"Ecoutes ! Pour le moment, j'en ai besoin, j'aime plaire ! Et puis, c'est les filles qui me draguent ! Et je sais pas dire non, quand elles sont mignonnes !".
"T'es un bourreau des cœurs ! Et je me suis prendre, moi aussi !".
"Désolé, je ne l'ai pas cherché !".
"Je sais, je ne t'en veux pas !".
"En tout cas, je sais que tôt ou tard, j'arrêterais tout ça, je fais trop de mal aux gens qui m'aiment ! Il me faudra faire un choix !".
"C'est moi !".
"C'est pas possible ! Tu le sais !".
"Oui, je plaisante !".
Plus loin, il me dit:
"T'es comment, avec les autres mecs ?".
"Tu veux vraiment savoir ça ? Je suis loin d'être le même !".
"Oui ! Je veux tout savoir de toi !".
"OK ! Je suis une vraie salope !".
"Ah bon, t'as fait quoi ?".
"Ben ! Mon premier amant m'a initié aux jeux à plusieurs, déjà !".
"Beaucoup ?".
"2, puis 6 ou 7, et à la fin, plus de 15 ! Et même plus, un soir, dans un cinéma porno à Marseille ! Et, il y a quelques mois, on m'a baisé à la chaine, au Sex-Shop ! Bien plus que ça, donc ! Mais bizarrement, c'est pas ce qui me plait le plus ! J'aime le coté dépravant et soumission, mais beaucoup d'hommes manquent d'endurance !".
"Ca doit être chaud ! Quand même !".
"Oui, ce que je préfère, c'est tout le sperme que je prend partout ! J'ai un peu honte, mais ça me rend fou !".
"Ca, je l'ai vu que t'adorais le sperme ! Et t'es déjà tombé sur un autre mec amoureux ?".
"Oui, mais t'es le premier que je ne repousse pas !".
"Merci, j'ai de la chance, alors ! Mon amour !".
Chez lui, il me plaque au mur, pour m'embrasser, dès qu'il peut.
Il me déclare encore sa passion, son besoin de m'avoir tout le temps avec lui, me prendre, me faire jouir.
C'est trop pour moi, je ne peux pas lui résister.
Ses mains et ses baisers me font fondre de désir pour lui.
Il parvient sans mal à me dénuder les fesses et me prendre debout dans son entrée.
J'ai le sentiment qu'il se libère d'une trop forte envie de moi, contenue depuis trop longtemps.
Mon corps est bloqué par ses bras puissants, mes vêtements m'entravent les pieds, alors qu'il me transperce l'anus à grands coups de queue.
Mes cris de plaisir emplissent son appartement.
"Vas-y mon amour, tu peux crier, il m'a trop manqué ton cul ! J'aime te défoncer la chatte !".
Je découvre avec excitation qu'il commence à se lâcher et partage son coté pervers avec moi.
Même si cette féminisation de mon anus, me trouble toujours un peu, je l'encourage à me parler en m'enculant.
"Oui, Pierre ! Défonces-moi ! Lâches-toi ! Tu m'as manqué, toi aussi !".
"J'en peux plus de penser à toi, je suis obligé de me branler, tu m'excites trop ! Il faut que je jouisse ! Là ! Maintenant !".
Il m'entraine vers une table, sans sortir de mon cul, et m'étale dessus, pour se déchainer.
"Oh, Pardon Pascal, mais il faut que je t'encule comme ça, je dois me soulager, c'est trop fort !".
Je me fais détruire comme une vulgaire pute, jusqu'au moment ou il se déverse enfin.
Mon anus est poisseux, mes fesses rougies par ses mains.
Il recule en titubant, et s'appuie contre le mur derrière lui.
Il admire mon corps étalé sur sa table, mon anus est béant, humide de jus anal, et laisse échapper ses premiers écoulements de foutre gluant.
Il voit bien qu'il m'a complètement vidé, je suis encore sonné par sa fougue.
"Ca va ? Mon bébé ? Ca t'as pas plu ? J'ai été trop pervers !".
"Non, tu te doutes bien, que j'aime aussi, quand c'est pervers comme ça ! Mais tu m'a trop fait jouir, j'ai besoin de reprendre mes esprits ! Je sens plus mon... euh...ma chatte !".
"Humm ! J'aime bien employer ce mot, je sais pas pourquoi ! Je peux continuer ?".
"Oui !".
"Merci, mon p'tit chat ! Je vois que tu t'es rasé pour moi ! J'adore !".
Je me redresse lentement, il m'aide et m'embrasse tendrement.
Il remarque que je bande, je comprend son étonnement.
"Oui, t'as failli me faire éjaculer, encore !".
"Hummm ! C'est dommage ! On recommencera tout à l'heure !".
Ensuite, il me sert à boire, pendant que je fini de me dénuder, pour m'installer sans son salon.
J'ai pris soin, avant, de nettoyer l'anus avec des Kleenex.
Il quitte ses habits également, je remarque que son gland est encore humide et un peu gonflé.
Je le couche légèrement et lui offre un délicieuse caresse buccale de quelques minutes, qui le comble de bonheur.
Puis, on se serre l'un contre l'autre, pour parler encore, sans cesser de nous caresser.
On retrouve ce qui fait la base de notre entente, notre amitié.
L'échange est fait de nombreux touchers et de plaisanteries diverses.
On s'entend toujours aussi bien, ce qui nous rassure.
Il est alors pris d'un besoin de me donner du plaisir avec ses mains et sa bouche.
Je me laisse emporter dans un enivrant déluge de sensations multiples.
Tout mon corps est léché, retourné dans tous les sens.
On ne m'a jamais autant donné d'amour.
Dans une confusion de sens, je me retrouve sous lui avec la tête au bord de son profond canapé.
Il prend mon visage retourné et dirige sa grosse verge, un peu molle, entre mes lèvres.
Il se penche entre mes cuisses pour me lécher sans fin, de l'anus au gland, en passant par mes testicules rasés. Mon corps imberbe l'excite.
Pendant ce la, il imprime un mouvement de bassin dans la gorge, comme s'il me faisait l'amour buccalement.
Sa bite prend de l'ampleur et vient s'écraser contre ma glotte en durcissant.
Elle trouve le chemin pour aller plus loin.
Je le reçoit au plus profond de ma bouche, je retrouve mes possibilités buccales, repoussées avec un ancien amant.
Il se redresse et regarde sa grosse bite disparaitre entre mes lèvres.
"Mmmmmm ! Putain, même ça, c'est exceptionnel avec toi ! Tu la prends bien profond, j'aime !".
Il se régale ainsi, quelques minutes, me faisant saliver à outrance.
Puis, il décale un peu mon cul, pour me placer sur le ventre, au bord du canapé.
Il pose son gros gland contre mon œillet anal et sans grosse difficulté, il me pénètre en trois poussées.
Je râle déjà mon plaisir.
"Pascal ! Je suis tellement bien dans ton cul ! Je l'aime trop ta p'tite chatte ! En plus, ça glisse tout seul avec mon sperme, déjà à l'intérieur !".
"Ourhhhhhhhhh ! Ahhhhhhhhhh ! Tu me donnes trop de plaisir ! Pierre ! Merci de m'aimer comme ça !".
"J'ai pas envie que tu ailles baiser avec d'autres hommes ! Je veux être le seul !".
"Je te promets que tu seras le seul ! J'en ai plus besoin, grâce à toi !".
Il amplifie ses enfoncements avec douceur, en me remerciant, heureux de cette promesse.
La différence avec notre premier accouplement est énorme, il me possède avec tant de sensualité et de passion que j'en perd le contrôle de ma raison.
Je me cambre à l'extrême, pour l'aider à s'enfoncer plus loin dans mon cul.
"Pierre ! Tu me rends dingue ! Arhhhhhhhh ! J'aime être à toi ! Arggggghhhhhhh !".
"Tu l'as dis ! C'est vrai ? T'es à moi ?".
"Orhhhhhhhhhhh ! Je sais pas, je sais plus, Oui, Arhhhhhhhhhhhhhh !".
"Je t'aime ! J'ai envie de te prendre longtemps ! J'aime ta chatte !".
"Fais comme tu veux ! Je suis à toi ! Arhhhhhhhhhhhhh ! je joui encooooorrrrrrrrrre !".
Sa puissante et lente possession, me transporte d'orgasme en orgasme.
Il joue avec mon corps et mon anus comme avec celui d'une poupée légère.
J'aime les moments ou je peux lui rendre le plaisir reçu, en m'empalant sur lui, sur le dos, puis face à lui.
Dès que la position le permet, on est irrésistiblement attiré par la bouche de l'autre.
J'aime jouir sur sa grosse queue, tout en frissonnant sous les caresses appuyées de ses grandes mains.
Je me laisse tomber en arrière encore empalé sur lui, mon corps entre ses longues jambes.
La pénétration est délicieusement source de plaisir anal intense.
Après un long moment de bonheur commun, il se redresse et me soulève les fesses.
Il me voute sur moi même, pour me pénétrer encore, m'offrant une vue sur sa bite, en moi.
Il m'assène ses assauts profonds en me caressant la queue.
Puis, il me relève encore, et me déplace, il doit devenir fou, puisque seules, mes épaules touchent le tapis de sol.
Il reprend ses mouvements de pénétration puissante.
Je joui encore comme jamais, tout en ayant peur qu'il me lâche.
J'accroche mes jambes à son torse, je suis en complète érection.
Je sens venir ma première éjaculation, il s'en rend compte lui aussi.
Il m'entoure la queue du creux de la main, au niveau du gland.
Je l'aide à me posséder ainsi comme je peux, avec un appui sur mes bras.
Je crie mon double orgasme en me déversant dans sa main.
Il me vide le canal urinaire patiemment, sans cesser de m'enculer.
Puis, il recule doucement, en nous baissant progressivement.
Il revient en moi, plonge son visage dans le creux de mon épaule pour me mordiller de nombreuses fois.
Il me présente sa main maculée de mon sperme, qui commence à couler.
Je lui lave la main avec vice et volupté, en gémissant sous ses mordillements.
Il vient vers mes lèvres et mélange sa langue avec la mienne, dans un interminable baiser au sperme.
Il attrape un gros coussin ensuite, et le place sous mon ventre.
Il reprend sa "chatte" préférée, et me détruit encore et encore, très longuement, sans se presser, ni s'affoler.
Je suis au bord de l'épuisement d'orgasme anal, mais je ne voudrais pas qu'il s'arrête, pour rien au monde.
Il m'expédie très loin dans l'orgasme, mon cerveau explose en sensations extrêmes de plaisirs.
Je comprends que je suis en train de couler au niveau de mon sexe, il me fait gicler à force de solliciter ma prostate.
Le liquide est absorbé par le coussin, au fur et à mesure qu'il me détruit l'anus.
Mes cris de jouissance le rendent fou, il montre enfin des signes de jouissance à son tour.
Je l'accompagne de mes mouvements de bassin.
Nos râles se rejoignent, nos corps se collent et se décollent avec fougue.
Puis nos cris s'amplifient, révélant le force de notre plaisir intense et commun.
La fin en devient bestiale, saccadée en assauts incontrôlés.
Même, mes nombreux bruits de rejet d'air, suite aux assauts répétés de Pierre, nous excitent.
Il me remplit inlassablement de son jus d'amour. je lui dis que j'aime recevoir son sperme chaud dans l'anus.
Il s'affale ensuite sur mon corps, nous soufflons tous les deux, vidés de toute énergie.
"Arhhhhhhhh ! Pierre ! j'ai jamais joui comme ça avec un autre ! Tu m'as emmené trop loin ! Pffffffffffffffff !".
"Mon amour, C'est pareil pour moi, Tu me transformes ! J'ai jamais été comme ça !".
"J'ai l'impression d'être face à mon double ! Je suis comme ça, quand je fais l'amour avec une fille que j'aime !".
"Alors, tu dois vraiment l'aimer ! Parce que c'est fort !".
"Tu m'en veux, si je continue de vouloir être avec toi, aussi ? Pour moi, c'est deux besoins différents !".
"C'est un peu dur, mais, j'ai trop besoin de te voir, donc, je suis obligé d'accepter ! Mon amour !".
"Par contre, je passe à autre chose ! Et je crois que j'ai fait des dégâts !".
"Comment ça ?".
"Tu peux te retirer ? De ma chatte ?".
Je lui parle ainsi, en sachant que ça lui fait plaisir.
Je me soulève aussi et lui montre son coussin inondé, de ce qui est peut être de l'urine claire.
"Je suis désolé, ça m'arrive souvent quand on m'encule, et surtout, après que j'ai éjaculé !".
"Ah, C'est pas grave, je crois que ça m'excite en fait, mais ça te fait quoi ?".
"Ben, ça me fait jouir, c'est une conséquence de mon plaisir anal !".
"Alors ! J'adore ! Pour la tache, ça se lave ! Je m'en fous !".
On échange un nouveau baiser passionné.
Il se pose sur le canapé, les bras ballants.
"Ouah, je suis mort ! J'ai trop bien joui !".
Quand à moi, je suis encore pris de spasmes anaux, mes cuisses ruissellent de jus anal et de sperme.
J'ai le sentiment d'avoir le ventre plein d'air, et en libérer un peu fera du bien.
Je lui demande ou sont les toilettes pour plus d'intimité.
Je reviens vers lui, il est déjà entrain de s'habiller.
"Allez, j'ai faim, je t'offre une pizza ! Ca te va ?".
"Oui, mais ça me gênes ! T'es pas obligé !".
"Allez, bouges ton p'tit cul ! On y va ! Mon bébé !".
On rentre deux heures plus tard, il m'a fait plaisir, en se contenant pour ne pas me tenir la main en public.
On passe le reste de la soirée à discuter, l'un contre l'autre, dans son lit.
Je me sens bien dans ses bras, sous ses caresses et ses baisers tendres.
Il remarque ma fatigue et me passe ses doigts dans les cheveux, avec douceur.
Lentement, je m'endors contre son épaule, comme un bébé.
Pendant la nuit, je fais un rêve ou je suis surpris par Corinne, alors que Pierre commence à me pénétrer.
Je lui dis que j'en ai besoin en râlant mon plaisir.
Mais la puissance du plaisir est trop réelle, je m'éveille, Pierre m'encule vraiment !
"Arhhh ! Pierre ! Qu'est-ce que...Arhhhhhhhhhhhh !".
"J'ai pas pu m'en empêcher, mon bébé ! Je bandais trop fort, ça me faisait mal à la queue ! Mais ça va mieux, maintenant ! Je peux continuer ?".
"Arhhhhhhh ! A ton avis ? Oui ! Mais, ne te retiens pas, s'il te plais !".
"Merci ! Mon amour, je t'aime !".
Il me transperce avec fougue sur le coté, puis, me plaque sur le ventre, pour se déchainer et se vider sans fin, de son besoin d'éjaculer dans ma "chatte".
Il se dégage ensuite et s'allonge à mes cotés, en me prenant la main.
Je replonge dans mon sommeil, sans changer de position, lui aussi.
Vers 10 heures du matin, il me sort de mes songes:
"Allez mon bébé ! On se lève".
Il pose un plateau, avec un petit déjeuner complet sur le lit.
"T'as besoin de reprendre des forces, je crois !".
Il m'accompagne, j'ai rarement connu ce genre de complicité avec un homme.
J'ai envie de lui dire qu'il m'a encore bien fait jouir, cette nuit, mais je crains que cela ne l'excite encore !
On se lève ensemble et on remarque les effets de notre baise, de la veille.
Les taches blanchâtres sur ses draps foncés ne laissent pas de place à l'imagination.
Il me sourit, fier de lui.
Je vais me doucher, après avoir évacué mes besoins naturels, et pratique un lavement ensuite.
Il me rejoint pour un lavage mousseux et sensuel de mon corps.
Cela se termine en un début de sodomie.
Il fini de se doucher à son tour, pendant que je l'attends en rangeant le petit déjeuner nu, dans sa cuisine.
Il vient se coller dans mon dos.
"T'es trop beau, mon amour ! Tu me plais trop !".
Je penche ma tête en arrière, en posant main derrière sa nuque, pour me laisser aller à la pression de ses dents dans le creux de mon épaule, et à son gros sexe qui trouve le chemin de mes entrailles.
"Arghhhhhhhhh ! Pierre ! Tu me tues ! Comment, je vais faire avec Corinne, tu m'as tout pris !".
"Je m'en fous, c'est son problème ! Pas le mien !".
Inutile de vous raconter qu'il m'a encore fait orgasmer de nombreuses fois, pendant plus d'une heure.
Nous avons eu, juste un peu de temps, pour nous nourrir avant qu'il me dépose devant ma porte.
Corinne est déjà là, qui m'attend, elle ignore la nouvelle nature de ma relation avec Pierre, et c'est bien ainsi.
Je lui propose de profiter du beau temps, afin d'éviter de lui faire l'amour.
J'aurai eu trop de mal, j'ai encore éjaculé avec Pierre avant de venir.
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Les avis des lecteurs
C’est très bon ❤️
Matthieu
Matthieu