Pierre, l'amoureux caché. la fin
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pierre, l'amoureux caché. la fin
Je m'épanoui dans ma double relation amoureuse, entre Corinne et Pierre.
Par chance, la folie du début s'est calmée, il ne m'encule plus aussi souvent.
Même si nos ébats sont toujours aussi passionnés et complets.
Après ce premier mois, ou j'étais au chômage, et lui en congés, nous sommes à présent dans un rythme plus naturel.
On se voit, le plus souvent en soirée, chez moi ou chez lui.
La plupart du temps, il part dormir chez lui, à cause de son travail.
Il m'avoue vivre, de plus en plus mal, notre relation, il me veut pour lui seul.
Je me déteste, malgré tout, mon coté égoïste me fait faire du mal aux gens que j'aime, et qui m'aiment.
"Je t'aime, je suis bien avec toi, mais je veux plus ! Je supporte plus de te partager !".
"Pierre, je redoutais ce moment, mais je n'ai pas changé d'avis ! Tu sais ce qu'il va se passer, il te faudra me quitter !".
"Je sais ! Ne m'en veux pas, je souffre trop maintenant ! Pardon, mon amour ! Je dois penser à moi !".
Je sais au fond de moi, que je l'aime, moi aussi, j'ai tenu bon, en lui cachant mes sentiments, même s'il n'est pas dupe.
Il m'apprend qu'il a demandé une mutation pour n'importe quelle région.
La réponse est tombée, il part en Bretagne !
"Tu le sais depuis un moment, je suppose !".
"Oui ! Pascal ! Pourquoi !".
"J'ai senti que tu étais ailleurs, parfois, après qu'on ai fait l'amour !".
"J'ai voulu protéger notre relation jusqu'au bout !".
"T'as eu raison ! Tu pars quand ?".
"A la fin de la semaine ! Samedi !".
"D'accord ! Si tu m'aimais encore, avant de nous quitter !".
Je m'offre à lui avec un plaisir et une tristesse immense.
Je subis mes choix de vie, en jouissant sous ses assauts profonds.
Je retiens mes larmes, il m'essuie les yeux en me souriant.
"Tu m'aimes ! Pascal ! T'as beau dire le contraire ! Je le sais !".
"Arrêtes avec ça ! S'il te plait !".
Je joui en le serrant contre moi, puis, en lui donnant ma bouche, dans un délicieux et fougueux baiser.
Notre échange sexuel retrouve la passion du début, il se déchaine en moi avec une puissance phénoménale.
J'ai le sentiment qu'il veut me faire changer d'avis en me submergeant de plaisir anal.
Je répand mon sperme entre mes jambes, en criant qu'il me rend fou.
Il me fait ensuite gicler mon liquide doré avec abondance, jusqu'à son déversement de sperme chaud.
Il me crie qu'il m'aime, me supplie de le choisir, en jouissant dans mon cul.
Je me dégage de son gros sexe, puis me retourne pour essuyer ses larmes.
"Je te demande pardon ! J'aurai jamais du céder à ton amour ! Ce serait plus simple pour toi !".
"J'ai mal ! Pascal, je t'aime trop ! Comment je vais faire pour vivre sans toi ?".
"Je sais pas, tu vas y arriver ! Avec le temps ! Finalement, c'est moi qui ai le rôle le plus facile ! Excuses-moi ! Mon bébé !".
Nous profiterons de chaque jour, pour nous aimer.
Comme il a du vider son appartement, le dernier jour se fait chez moi.
Je me suis rasé pour son plaisir, je sais qu'il apprécie mon corps juvénile, malgré mes 24 ans.
Ma ressemblance avec un adolescent l'excite comme un fou, et encore davantage, si je suis imberbe.
Dès qu'il passe ma porte, je me jette dans ses bras et cherche ses lèvres.
"Pierre ! Je... je...".
"Dis-moi que tu m'aimes ! Pascal ! Je t'en supplie ! Fais semblant ! Je sais pas ! Oublies tout le reste, pour notre dernier nuit !".
"Je... je t'aime !".
Je me blottis dans ses bras, en pleurant, je sais que je pense, ce que je lui ai dis, mais je laisse le doute planer pour lui.
On ne veut pas passer cette soirée uniquement avec du sexe, on se caresse longuement avant d'aller diner ensemble à l'extérieur.
On marche ensuite au bord de la plage, là, où nous nous sommes aimés pour la première fois.
Il m'arrête en me montrant le rocher qui m'a servi d'appui, pour encaisser ses assauts.
"Tu vois ! Même si ça me fait mal, je ne regrettes pas notre histoire ! Tu es mon premier amour ! Pascal, je ne t'oublierais jamais !".
"Moi, non plus, je vais devoir reprendre ma vie glauque d'hétéro heureux et d'homo caché ! Si seulement, toi et Corinne aviez pu accepter ma différence !".
"Je peux pas ! Mon amour, c'est trop dur !".
"Je comprends ! En plus, Corinne ne sait pas pour nous, donc ! C'est pas possible !".
Il regarde à nouveau le rocher.
"Ca m'a fait un choc, quand je t'ai entendu jouir, la première fois ! Tu m'as rendu fou, tu le sais ? J'ai aimé ta sensualité aussi !".
"Moi aussi ! Pierre ! Tu es arrivé à un moment ou j'avais besoin de cette sensualité. J'aime ta douceur, ta passion, ta domination aussi !".
"Si on rentrait pour nous retrouver, encore ?".
"Oui, mon amour ! On rentre !".
Il me sourit, mes mots le comblent de bonheur.
Je me tourne pour rebrousser chemin, mais il me retient, en m'attirant vers le rocher.
"Viens, j'ai envie de ta bouche, mon amour ! Ici ! Comme le premier soir !".
Cette fois, c'est lui qui prend appui sur le rocher, il m'aide à déballer sa grosse bite.
Je titille son gland avec une envie folle de lui.
Sa verge est dure dans mes doigts, comment vais-je faire pour me passer de lui, je l'aime tant !
Après une longue passion de ma langue autour de son gland gonflé, je l'englobe entre mes lèvres humides et chaudes.
Il gémit son bonheur d'être dans ma gorge.
Ma connaissance parfaite de sa bite et de ses points faibles m'aident à l'emmener très loin dans le plaisir de cette fellation.
Il use et abuse de mes possibilités d'insertion buccale, entre mes aller et retour sur sa grosse verge.
Après de longues minutes, il me supplie:
"Ahhhhhhh ! Pascal arrêtes ! Tu vas me faire jouir ! Je veux ta chatte !".
Je m'éloigne de sa queue.
"Mmmmm ! Sllllrp ! D'accord, mais je veux avaler ton plaisir à la fin !".
"Oui, Tout ce que tu veux ! Avec plaisir !".
Je prends sa place, il me dénude les fesses, et me dévore l'anus comme un amant passionné.
Je le supplie de me prendre, enfin, il se relève et se colle à mon œillet.
Alors qu'il pousse entre mes lobes fessiers, je me recule sur lui.
"Oh, Pierre ! Mon amour, je te veux ! Encules-moi encore ! J'aime tellement t'appartenir !".
"Oui, mon bébé ! Je vais t'enculer encore, ici ! Comme la première fois ! Tu te souviens ?".
Sa grosse bite s'enfonce en moi, je râle en disant:
"Arhhhhhhhh ! Oui, j'oublierai jamais, Pierre ! C'était si bon, et si beau !".
"Ohhh ! Putain, ta chatte va me manquer, mon amour !".
"Arhhhhhhh ! Prends la, encore Pierre ! Prends la ! Ahhhhhhhhhhhh !".
Mon ventre est douloureux, en frottant contre le rocher sous ses assauts puissants dans mon cul.
Mais je ne veux pas gâcher ce moment intense, entre hommes.
Je l'entend gémir et proche de me rejoindre dans mon troisième orgasme anal.
"Ahhhhh ! Chéri ! Tourne toi, je vais cracher ! Vite !".
J'écarte mes lèvres, il s'y engouffre aussitôt et m'abreuve avec abondance de son jus d'amour.
J'avale en subissant mes derniers spasmes anaux de plaisir.
Je me nourri de son sperme si délicieux et chaud, je voudrais qu'il ne cesse jamais d'éjaculer !
"Arghhhhhh ! Pascal ! C'est trop bon, arhhhhhhhh ! Je t'aime comme un fou ! Argggggggghhhhhhhhhhh !".
J'apprécie ses caresses sur mon crâne pendant que je lui prodigue mes derniers léchages langoureux de sa magnifique verge.
Je remonte vers lui ensuite, très doucement, pour clore notre échange par un baiser tendre et plein d'amour.
"Tu m'en veux pas ? Tu voulais peut être, faire l'amour chez toi !".
"Non, Pierre, c'est bien comme ça, aussi ! J'aime agir sans calculer ! On rentre ?".
"Oui, mon amour !".
Une fois arrivés, je nous sers à boire.
On se blottit, l'un contre l'autre, en écoutant un disque de musique sensuelle.
On reparle de notre histoire, pendant plus d'une heure, et plusieurs disques 33 tours.
Sa main droite me défait les boutons de chemise, pendant qu'il m'embrasse.
Je me laisse dénuder, j'aime ma sensation d'abandon, en me penchant en arrière pour l'aider à dégrafer mon pantalon, et me lever pour qu'il me découvre les fesses.
"T'es à moi, Pascal ! Quoi que tu dises, je sais que tu n'arriveras pas à m'oublier ! Personne ne pourra t'aimer plus que moi !".
Je me tourne pour lui offrir mes fesses, en collant son visage contre mon cul.
"Je sais, mon amour, je sais ! C'est vrai, je suis à toi ! Profites en ! Encore !".
Il ne se prive de ce plaisir buccal qu'il adore tant.
Puis il se dresse et se dénude lui aussi.
Il me soulève, dans ses bras, et m'entraine vers mon lit en m'embrassant.
Je passe mon bras autour de son cou pour répondre à ses baisers.
Je me sens si bien, entre ses bras puissants.
Il se pose au bord du lit, je comprend que je dois lui faire face.
Je me positionne à califourchon, son sexe force déjà contre mon anus, à cause de mon poids.
Il me regarde avec tendresse, et ajoute:
"Allez mon bébé, enfonce toi sur ma queue ! J'ai envie !".
Je glisse longuement en râlant.
"Arhhhhhh ! Moi aussi ! Aarhhhhhhhh !".
Il me soulève par les fesses avec ses mains puissantes, en m'empalant comme une poupée fragile.
Je me laisse posséder en me cambrant et jouit en penchant ma tête en arrière.
Je l'accompagne ensuite en mouvements de bassin vicieux, mon anus le recouvre de jus anal.
Notre copulation dans cette position est très longue, on apprécie vraiment ce plaisir.
Puis je me soulève et reviens sur lui en lui tournant le dos.
Il se laisse ainsi baiser la bite pendant quelques minutes, puis m'attrape par les hanches pour m'enculer contre mon matelas, comme une salope.
A nouveau, il se calme et me tourne pour m'aimer passionnément.
Le frottement de son ventre me fait bander.
Il se relève et me caresse en m'enculant.
Je ne tarde pas à maculer mon ventre et mon torse entre ses doigts.
Il est fier de lui, en me regardant jouir.
Puis il me tire par les jambes et me plie en deux pour m'enculer plus fort, avec mes pieds posés au sol, et le torse sur le lit.
Je comprends son intention et je veux lui donner ce plaisir.
Je le laisse me détruire l'anus sans discontinuer.
Puis le moment arrive enfin.
Arghggggggggg ! Pierre ! Ca y est, je vais gicler ! Arggggggggggg !".
J'inonde mon carrelage sans m'arrêter, autant de temps qu'il lui est nécessaire, pour éjaculer sans fin dans mon anus.
Nos cris de plaisir communs sont énormes.
On nous entend surement, et on s'en moque !
J'ai l'anus ouvert comme jamais, son sperme, plus liquide, coule déjà, le long de sa bite, encore en moi.
Il a encore des spasmes d'éjaculation, je me redresse pour l'attirer dans mes fesses avec mon bras.
"Oh putain, c'était trop bon, encore Pascal ! Tu m'aimes ? Dis le moi !".
"Oui, mon amour !".
Nous avons pris une douche, puis, nous nous sommes couchés, ensuite aimés, encore et encore.
Chacun a fait l'effort de tenir pour cette dernière nuit.
Enfin, je lui avoué la réalité de mes sentiments, avant son départ, en fin de matinée.
Il m'a confirmé qu'il savait que je l'aimais depuis le début.
Je l'ai laissé partir en emportant mes secrets les plus intimes; mon homosexualité et mon amour immense pour lui.
Par chance, la folie du début s'est calmée, il ne m'encule plus aussi souvent.
Même si nos ébats sont toujours aussi passionnés et complets.
Après ce premier mois, ou j'étais au chômage, et lui en congés, nous sommes à présent dans un rythme plus naturel.
On se voit, le plus souvent en soirée, chez moi ou chez lui.
La plupart du temps, il part dormir chez lui, à cause de son travail.
Il m'avoue vivre, de plus en plus mal, notre relation, il me veut pour lui seul.
Je me déteste, malgré tout, mon coté égoïste me fait faire du mal aux gens que j'aime, et qui m'aiment.
"Je t'aime, je suis bien avec toi, mais je veux plus ! Je supporte plus de te partager !".
"Pierre, je redoutais ce moment, mais je n'ai pas changé d'avis ! Tu sais ce qu'il va se passer, il te faudra me quitter !".
"Je sais ! Ne m'en veux pas, je souffre trop maintenant ! Pardon, mon amour ! Je dois penser à moi !".
Je sais au fond de moi, que je l'aime, moi aussi, j'ai tenu bon, en lui cachant mes sentiments, même s'il n'est pas dupe.
Il m'apprend qu'il a demandé une mutation pour n'importe quelle région.
La réponse est tombée, il part en Bretagne !
"Tu le sais depuis un moment, je suppose !".
"Oui ! Pascal ! Pourquoi !".
"J'ai senti que tu étais ailleurs, parfois, après qu'on ai fait l'amour !".
"J'ai voulu protéger notre relation jusqu'au bout !".
"T'as eu raison ! Tu pars quand ?".
"A la fin de la semaine ! Samedi !".
"D'accord ! Si tu m'aimais encore, avant de nous quitter !".
Je m'offre à lui avec un plaisir et une tristesse immense.
Je subis mes choix de vie, en jouissant sous ses assauts profonds.
Je retiens mes larmes, il m'essuie les yeux en me souriant.
"Tu m'aimes ! Pascal ! T'as beau dire le contraire ! Je le sais !".
"Arrêtes avec ça ! S'il te plait !".
Je joui en le serrant contre moi, puis, en lui donnant ma bouche, dans un délicieux et fougueux baiser.
Notre échange sexuel retrouve la passion du début, il se déchaine en moi avec une puissance phénoménale.
J'ai le sentiment qu'il veut me faire changer d'avis en me submergeant de plaisir anal.
Je répand mon sperme entre mes jambes, en criant qu'il me rend fou.
Il me fait ensuite gicler mon liquide doré avec abondance, jusqu'à son déversement de sperme chaud.
Il me crie qu'il m'aime, me supplie de le choisir, en jouissant dans mon cul.
Je me dégage de son gros sexe, puis me retourne pour essuyer ses larmes.
"Je te demande pardon ! J'aurai jamais du céder à ton amour ! Ce serait plus simple pour toi !".
"J'ai mal ! Pascal, je t'aime trop ! Comment je vais faire pour vivre sans toi ?".
"Je sais pas, tu vas y arriver ! Avec le temps ! Finalement, c'est moi qui ai le rôle le plus facile ! Excuses-moi ! Mon bébé !".
Nous profiterons de chaque jour, pour nous aimer.
Comme il a du vider son appartement, le dernier jour se fait chez moi.
Je me suis rasé pour son plaisir, je sais qu'il apprécie mon corps juvénile, malgré mes 24 ans.
Ma ressemblance avec un adolescent l'excite comme un fou, et encore davantage, si je suis imberbe.
Dès qu'il passe ma porte, je me jette dans ses bras et cherche ses lèvres.
"Pierre ! Je... je...".
"Dis-moi que tu m'aimes ! Pascal ! Je t'en supplie ! Fais semblant ! Je sais pas ! Oublies tout le reste, pour notre dernier nuit !".
"Je... je t'aime !".
Je me blottis dans ses bras, en pleurant, je sais que je pense, ce que je lui ai dis, mais je laisse le doute planer pour lui.
On ne veut pas passer cette soirée uniquement avec du sexe, on se caresse longuement avant d'aller diner ensemble à l'extérieur.
On marche ensuite au bord de la plage, là, où nous nous sommes aimés pour la première fois.
Il m'arrête en me montrant le rocher qui m'a servi d'appui, pour encaisser ses assauts.
"Tu vois ! Même si ça me fait mal, je ne regrettes pas notre histoire ! Tu es mon premier amour ! Pascal, je ne t'oublierais jamais !".
"Moi, non plus, je vais devoir reprendre ma vie glauque d'hétéro heureux et d'homo caché ! Si seulement, toi et Corinne aviez pu accepter ma différence !".
"Je peux pas ! Mon amour, c'est trop dur !".
"Je comprends ! En plus, Corinne ne sait pas pour nous, donc ! C'est pas possible !".
Il regarde à nouveau le rocher.
"Ca m'a fait un choc, quand je t'ai entendu jouir, la première fois ! Tu m'as rendu fou, tu le sais ? J'ai aimé ta sensualité aussi !".
"Moi aussi ! Pierre ! Tu es arrivé à un moment ou j'avais besoin de cette sensualité. J'aime ta douceur, ta passion, ta domination aussi !".
"Si on rentrait pour nous retrouver, encore ?".
"Oui, mon amour ! On rentre !".
Il me sourit, mes mots le comblent de bonheur.
Je me tourne pour rebrousser chemin, mais il me retient, en m'attirant vers le rocher.
"Viens, j'ai envie de ta bouche, mon amour ! Ici ! Comme le premier soir !".
Cette fois, c'est lui qui prend appui sur le rocher, il m'aide à déballer sa grosse bite.
Je titille son gland avec une envie folle de lui.
Sa verge est dure dans mes doigts, comment vais-je faire pour me passer de lui, je l'aime tant !
Après une longue passion de ma langue autour de son gland gonflé, je l'englobe entre mes lèvres humides et chaudes.
Il gémit son bonheur d'être dans ma gorge.
Ma connaissance parfaite de sa bite et de ses points faibles m'aident à l'emmener très loin dans le plaisir de cette fellation.
Il use et abuse de mes possibilités d'insertion buccale, entre mes aller et retour sur sa grosse verge.
Après de longues minutes, il me supplie:
"Ahhhhhhh ! Pascal arrêtes ! Tu vas me faire jouir ! Je veux ta chatte !".
Je m'éloigne de sa queue.
"Mmmmm ! Sllllrp ! D'accord, mais je veux avaler ton plaisir à la fin !".
"Oui, Tout ce que tu veux ! Avec plaisir !".
Je prends sa place, il me dénude les fesses, et me dévore l'anus comme un amant passionné.
Je le supplie de me prendre, enfin, il se relève et se colle à mon œillet.
Alors qu'il pousse entre mes lobes fessiers, je me recule sur lui.
"Oh, Pierre ! Mon amour, je te veux ! Encules-moi encore ! J'aime tellement t'appartenir !".
"Oui, mon bébé ! Je vais t'enculer encore, ici ! Comme la première fois ! Tu te souviens ?".
Sa grosse bite s'enfonce en moi, je râle en disant:
"Arhhhhhhhh ! Oui, j'oublierai jamais, Pierre ! C'était si bon, et si beau !".
"Ohhh ! Putain, ta chatte va me manquer, mon amour !".
"Arhhhhhhh ! Prends la, encore Pierre ! Prends la ! Ahhhhhhhhhhhh !".
Mon ventre est douloureux, en frottant contre le rocher sous ses assauts puissants dans mon cul.
Mais je ne veux pas gâcher ce moment intense, entre hommes.
Je l'entend gémir et proche de me rejoindre dans mon troisième orgasme anal.
"Ahhhhh ! Chéri ! Tourne toi, je vais cracher ! Vite !".
J'écarte mes lèvres, il s'y engouffre aussitôt et m'abreuve avec abondance de son jus d'amour.
J'avale en subissant mes derniers spasmes anaux de plaisir.
Je me nourri de son sperme si délicieux et chaud, je voudrais qu'il ne cesse jamais d'éjaculer !
"Arghhhhhh ! Pascal ! C'est trop bon, arhhhhhhhh ! Je t'aime comme un fou ! Argggggggghhhhhhhhhhh !".
J'apprécie ses caresses sur mon crâne pendant que je lui prodigue mes derniers léchages langoureux de sa magnifique verge.
Je remonte vers lui ensuite, très doucement, pour clore notre échange par un baiser tendre et plein d'amour.
"Tu m'en veux pas ? Tu voulais peut être, faire l'amour chez toi !".
"Non, Pierre, c'est bien comme ça, aussi ! J'aime agir sans calculer ! On rentre ?".
"Oui, mon amour !".
Une fois arrivés, je nous sers à boire.
On se blottit, l'un contre l'autre, en écoutant un disque de musique sensuelle.
On reparle de notre histoire, pendant plus d'une heure, et plusieurs disques 33 tours.
Sa main droite me défait les boutons de chemise, pendant qu'il m'embrasse.
Je me laisse dénuder, j'aime ma sensation d'abandon, en me penchant en arrière pour l'aider à dégrafer mon pantalon, et me lever pour qu'il me découvre les fesses.
"T'es à moi, Pascal ! Quoi que tu dises, je sais que tu n'arriveras pas à m'oublier ! Personne ne pourra t'aimer plus que moi !".
Je me tourne pour lui offrir mes fesses, en collant son visage contre mon cul.
"Je sais, mon amour, je sais ! C'est vrai, je suis à toi ! Profites en ! Encore !".
Il ne se prive de ce plaisir buccal qu'il adore tant.
Puis il se dresse et se dénude lui aussi.
Il me soulève, dans ses bras, et m'entraine vers mon lit en m'embrassant.
Je passe mon bras autour de son cou pour répondre à ses baisers.
Je me sens si bien, entre ses bras puissants.
Il se pose au bord du lit, je comprend que je dois lui faire face.
Je me positionne à califourchon, son sexe force déjà contre mon anus, à cause de mon poids.
Il me regarde avec tendresse, et ajoute:
"Allez mon bébé, enfonce toi sur ma queue ! J'ai envie !".
Je glisse longuement en râlant.
"Arhhhhhh ! Moi aussi ! Aarhhhhhhhh !".
Il me soulève par les fesses avec ses mains puissantes, en m'empalant comme une poupée fragile.
Je me laisse posséder en me cambrant et jouit en penchant ma tête en arrière.
Je l'accompagne ensuite en mouvements de bassin vicieux, mon anus le recouvre de jus anal.
Notre copulation dans cette position est très longue, on apprécie vraiment ce plaisir.
Puis je me soulève et reviens sur lui en lui tournant le dos.
Il se laisse ainsi baiser la bite pendant quelques minutes, puis m'attrape par les hanches pour m'enculer contre mon matelas, comme une salope.
A nouveau, il se calme et me tourne pour m'aimer passionnément.
Le frottement de son ventre me fait bander.
Il se relève et me caresse en m'enculant.
Je ne tarde pas à maculer mon ventre et mon torse entre ses doigts.
Il est fier de lui, en me regardant jouir.
Puis il me tire par les jambes et me plie en deux pour m'enculer plus fort, avec mes pieds posés au sol, et le torse sur le lit.
Je comprends son intention et je veux lui donner ce plaisir.
Je le laisse me détruire l'anus sans discontinuer.
Puis le moment arrive enfin.
Arghggggggggg ! Pierre ! Ca y est, je vais gicler ! Arggggggggggg !".
J'inonde mon carrelage sans m'arrêter, autant de temps qu'il lui est nécessaire, pour éjaculer sans fin dans mon anus.
Nos cris de plaisir communs sont énormes.
On nous entend surement, et on s'en moque !
J'ai l'anus ouvert comme jamais, son sperme, plus liquide, coule déjà, le long de sa bite, encore en moi.
Il a encore des spasmes d'éjaculation, je me redresse pour l'attirer dans mes fesses avec mon bras.
"Oh putain, c'était trop bon, encore Pascal ! Tu m'aimes ? Dis le moi !".
"Oui, mon amour !".
Nous avons pris une douche, puis, nous nous sommes couchés, ensuite aimés, encore et encore.
Chacun a fait l'effort de tenir pour cette dernière nuit.
Enfin, je lui avoué la réalité de mes sentiments, avant son départ, en fin de matinée.
Il m'a confirmé qu'il savait que je l'aimais depuis le début.
Je l'ai laissé partir en emportant mes secrets les plus intimes; mon homosexualité et mon amour immense pour lui.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C’est triste.
Merci de m’avoir répondu.
La chipie
Merci de m’avoir répondu.
La chipie
Aucun regret, mais il reste dans ma tête. Le temps embellit les histoires ! On s'est retrouvés sur FB, il a eu plusieurs longues histoires avec d'autres hommes, mais a eu du mal à m'oublier, comme moi ! Il vit seul à présent, et se contente de rencontres éphémères.
Sacré confession, vous vous etes revu depuis ? Vous avez regretté d'etre resté avec Corinne ou vous n'avez pas de regret finalement ?