Plaisir nocturne entre hommes. - histoire érotique

1982, une année où tout est possible.
A cette époque, je suis encore fidèle. Enfin, avec les filles !
Puisque je n'arrive pas à m'empêcher de rencontrer des hommes.

Pourtant, je lutte, mais c'est peine perdue.
D'ailleurs, je fréquente les cinémas pornos depuis 2 ans et demi, environ.
J'aime ce coté facile d'accès, je m'y abreuve de sexe masculin, en libre service.
Pour un prix modeste, je jouis en m'y faisant abuser par plusieurs hommes, ayant plus du double de mon âge, de 14 h à 23 h, voire Minuit.

Mais ce soir là, je n'ai pas la tête à ça ! Et c'est tant mieux, puisque je refoule encore bêtement mon homosexualité.
Je suis bien dans ma peau d'hétéro, si cela pouvait rester comme ça !

Je traverse le vieux Toulon, en passant par des rues sombres.
Les rues se vident, il est très tard, et je rentre chez mes parents, content de ma soirée avec des potes.
J'ai la tête emplie des regards insistants d'une nouvelle connaissance féminine.
La fille est très jolie, mais je n'ose pas me permettre d'y penser.
Je suis déja en couple avec une autre, depuis presque 2 ans.

"Psssttt ! ... Psssttt !".

Je continue de marcher, pensant que ce n'est pas pour moi.

"Psssttt ! Attends moi, Jeune ! Il faut que je te parle !".

Je me retourne, et vois un homme à une quarantaine de mètres.
Il se presse de remonter à mon niveau.
Plus il approche, et plus son allure m'est familière.
Il est à un mètre, et me dit:

"Salut ! Ou tu vas comme ça ?".
"Ben, je vais chez moi pourquoi ?".
"Je sors du cinéma porno ! J'pensais t'y voir ! T'y vas pas assez souvent, c'est dommage, j'aurais adoré que tu me suces un peu, ça te dis pas là ? Maintenant ?".

Du coup, son visage me revient en mémoire, mais il faut avouer qu'en général, je suis à genoux devant lui.
Quand je ne suis pas penché sur sa bite, si ca se passe dans les rangées de sièges.
Je ne compte plus le nombre de fois, où il a éjaculé dans ma bouche, et j'apprécie beaucoup son jus.
Tout en me rappelant, plus aisément, sa belle queue, je lui réponds;

"Qu... Euh ! On peut pas ! Comment on peut faire ?".
"On va bien trouver ! T'inquiètes pas pour ça ! Putain, je suis encore plus excité, du coup ! Je dois en avoir plein les couilles ! T'as pas envie ?".

Il a posé sa main sur sa braguette, pour se caresser en admirant ma bouche.

"Euh... oui... Ok ! Mais il faut que ce soit discret !".

Il m'entraine dans une ruelle non éclairée, puis s'enfonce dans le fond d'une entrée ouverte d'immeuble ancien.

"Baisses-toi ! Prends la dans ta bouche ! Putain, je bande comme un âne ! Vite !".

On est éclairés par la lune, qui nous envoie sa lumière, par la verrière de la cage d'escaliers.
Il déballe sa verge épaisse, pendant que je me prosterne devant elle.
Aussitôt, il m'attrape par la nuque, pour m'enfoncer son gros mandrin, au fond de la gorge.

Je gémis de plaisir buccal.

"Mmmmmmmm ! Mmmmmmm...".

Il parle à voix basse, même si l'heure est tardive.

"Orhhhh ! C'que c'est bon ! J'adore ta p'tite bouche ! Oui, prends la bien, comme ça ! Fais moi moi jouir comme tu sais le faire ! Je m'éclate toujours avec toi ! Et toi ? Tu l'aimes ma bite ?".
"Mmmmmm ! Slllrrrpppp ! Mouiii ! Je l'adore ! Elle m'excite ! Mmmmmm... Mmmmm....".

Voilà, malgré toutes mes réticences, je replonge avec délice dans mes vices les plus pervers.
J'aime lui sucer la bite, c'est plus fort que moi.
Il m'honore de gémissements de plaisir, quand je lui lèche amoureusement le gland.
Je me sens comblé de bonheur cérébral, c'est trop bon, d'avoir ce long et épais, morceau de chair dure dans la gorge.

Il m'a calé contre le mur, afin de me baiser profondément la bouche.
Ma vue s'habitue à la pénombre, je distingue clairement mieux sa grosse verge, quand il me laisse régurgiter ma salive.
Je la tient par les couilles, la lueur lunaire fait briller son gland.
Pourquoi, cette vision me fascine ?

Je replonge sur son membre pour le pomper frénétiquement, comme une femelle affamée.

"Hummmmmmmmmmm ! Ouais ! Continues comme ça, tu vas l'avoir mon jus ! Orhhhh ! C'est trop bon ! Putain ! Tu me suces trop bien, petit !".

Il ne m'en faut pas davantage pour le pomper plus avidement.
Même les bruits de pas, d'inconnus qui passent dans la rue, ne nous perturbent plus.
Ils ne peuvent pas nous apercevoir, dans notre recoin d'immeuble, mais ça nous excite davantage.

"Orhhh ! Minot ! Ca y est ! Ca monte ! Ne t'arrêtes pas ! Encore !".

Je me fais un devoir de tenir mon rythme de fellation.
Cela dure encore quelques courtes minutes, pendant lesquelles je m'enivre de ses gémissements qui s'amplifient.

Puis, il bloque ma tête entre ses mains, et m'envoie de fortes secousses au fond de la gorge.
Une chaleur puissante m'envahit le palais.
Un puissant frisson de plaisir cérébral me gagne, je suis fier de ma prestation buccale.
Son gland est secoué par ses éjections, et coulisse plus aisément, son sperme commence à me remplir la gorge.

Ses doigts se crispent sur mon crâne, alors qu'il pousse ses râles de plaisir.
Je comprend qu'il me faut avaler ses premières éjections de foutre, si je ne veux pas que cela me coule au bord des lèvres.
Ca y est, j'ai le gout puissant de son plaisir qui se déverse en moi.
J'aime ce gout âpre, et un peu amèrement salé, qui me rempli la bouche de ce jus collant et poisseux.
Je reprend une secousse, et un jet chaud au fond de la glotte.

Il laisse tomber ses mains, et me laisse gérer la suite de notre plaisir buccal mutuel.
Sous mes doigts, je ressens ses derniers spasmes péniens, grâce au jus épais qui passe dans son canal urinaire.
Ma fellation se ralenti, pour devenir plus sensuelle et juteuse.
Je l'avale lentement, tout en le léchant avec passion.
Parfois ma langue remonte le long de sa hampe, en récupérant son sperme au passage.
Il me faut un bon moment avant de retrouver une bouche sans fils de sperme et de salive.

"Orhhh ! Là, là ! Qu'est ce que tu me suces bien ! Tu l'aimes mon jus ?".
"Mmmmm ! Sllllrppp ! Oui, il est bon et chaud ! J'adore ! Tu m'en a beaucoup donné ! Merci ! J'adore ça !".
"J'en avais trop envie, je me suis longtemps branlé au cinéma ! Ca doit être pour ça ! Ca t'as plu ?".
"Oui, énormément !".

Il se remet en ordre, alors que de mon coté, je retiens une érection qui me donne envie de me branler.
Je me réserve pour plus tard, dans ma chambre.

"J'te ramènes si tu veux ?".
"Je veux bien !".

Sur le trajet, il me fait part à nouveau, de son plaisir vécu, en jouissant dans ma bouche.
Je lui réponds timidement;

"Merci... ça fait plaisir de savoir que tu as aimé ça ! Moi aussi, j'y ai pris du plaisir !".
"Ca fait longtemps que tu rencontres des hommes ? T'as quel âge, au fait ?".
"Depuis deux ans environ, j'ai 22 ans !".

"Putain, tu les fais pas ! Je t'en donnais 18 ! Moi, j'en ai 47 au fait! Et t'es que pédé, ou tu fais aussi les filles ?".
"Non, je préfère les filles, mais j'arrive pas à me passer des hommes !".

"Comme moi ! Mais j'adore qu'un jeune mec me suce ! Et avec toi, ça me plairait d'aller plus loin ! On t'as déjà baisé ?".
"Oui, souvent ! Donc, tu l'as jamais fait avec un mec ?".

"Si ! Mais j'aime moins ! Ca me plait rarement ! Y a que des vieux au cinéma ! Et je sais pas pourquoi, j'ai envie d'essayer avec toi !".
"C'est flatteur !".

On approche du véhicule, on échange un sourire sans équivoque.
J'ai encore le gout de son sperme dans la bouche, et j'aime cette sensation.
Moi qui ne pensais plus à mes penchants de pédé, il vient de me rappeler à l'ordre.

Je revis notre écart, et comprend que je n'ai même pas rechigné à lui donner ce plaisir buccal.
Comme si, il avait allumé un interrupteur automatique, qui me fait tout accepter sexuellement.

Je m'assois près de lui, il démarre.

"T'as un peu de temps ? Ca te dit qu'on fasse mieux connaissance ?".
"Si tu veux, j'suis pas pressé !".
"T'as encore un peu de mon jus, sous la bouche, tiens ! Essuie toi !".

Je saisi son Kleenex pour me nettoyer, sous son regard souriant et vicieux.
Il nous emmène dans un coin de nature reculé, avec vue sur la rade de Toulon.
On se raconte peu à peu, tous nos secrets intimes.

"Je sais pas ce que tu ressens quand tu me suces, mais saches que moi, j'adore jouir dans ta bouche !".
"Merci ! Ben, en fait, je sais pas pourquoi, j'aime ça ! Ca ne m'avait jamais traversé l'esprit avant de le faire, pour la première fois ! C'est un homme qui m'a initié, et depuis j'en suis accroc, c'est excitant d'avoir une grosse bite bien dure dans la bouche, j'adore cette forme et cette chaleur ! Et puis, j'adore vous faire éjaculer. Même le gout du sperme me rend dingue !".
"Hummm ! Tant mieux pour moi ! Je suis content que des jeunes comme toi, existent ! Ca t'es déjà arrivé d'avoir envie que je te baise ?".
"A chaque fois !".

On rit ensemble, conscient que la tension sexuelle est constante.
Au bout d'une petite heure, il sort de la voiture, et me demande de le rejoindre.
En arrivant près de lui, il me baisse lentement devant sa braguette.

"Hummmm ! Allez, montres moi combien tu l'aimes ma bite !".

En caressant sa verge, je constate qu'il bande encore sous le jeans.
Cette fois, il me laisse lui libérer la queue.
En retrouvant le contact de mes lèvres, il soupire de plaisir.

"Arhhh ! Ouais ! Comme ça, tu sais y faire ! On voit que t'aimes vraiment ça ! C'est bon ! Putain, ça me fait bizarre de penser que j'ai envie de t'enculer !".

C'est la deuxième fois que je lui pompe la bite, mais je m'en régale encore, sans m'en lasser.
Il me permet de lui dévorer la queue pendant plus de dix minutes.
Cette fois, la lune éclaire parfaitement son gros gland et toute sa longueur épaisse.
Il me relève, et plonge ses mains entre mon pantalon et mes fesses.

Je comprends ses intensions, et me défait la ceinture, en me tournant.
Il contemple mon cul dénudé, alors que je m'enduis l'anus de salive.

Il me penche au dessus de son capot avant, sur le coté du véhicule.
Je l'entend cracher sur sa main et sa bite, avant de le deviner, entrain de se frayer un chemin entre mes lobes fessiers.
Quand il pousse contre mon œillet, j'essaie de m'ouvrir le plus vite possible.
En quelque poussées, je ressens son épais et long sexe qui glisse longuement en moi.

"Orhhhh ! Il est bon ton p'tit cul ! Je sens que ça va être génial !".

Je gémis en ressentant son gros gland qui touche mon fondement.
Enfin, j'ai sa grosse bite dans ma chatte ! Fini la frustration de seulement le sucer !

"C'est bon pour toi aussi ? Elle te fait du bien ma bite ?".
"Orhhhh ! Oui, je te sens bien ! Arhhhh... Enfin, tu m'encules ! Vas y bouges ! Baises-moi ! Laches toi ! Putain, c'est trop bon !".
"C'est vrai ? J'peux me lâcher ?".

Il m'assène un grand coup de queue puissant.

"Arghhhhhhhhh ! Oui ! Comme ça ! Continues ! Baise-moi encore ! Orhh, si tu savais depuis combien de temps que je pense à ça !".

Il enchaine une longue série de coups profonds.

"Comme ça ! C'est ça que tu veux ?".
"Ouiiiiii ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
"Orghhhhhhhh ! Putain, je savais que ce serait bon de t'enculer ! Je m'éclate ! T'es une vraie p'tite salope ! Pire qu'une gonzesse !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Je vais jouir ! Continues...".

Mon visage se crispe, en subissant ce premier orgasme anal.
Je ne le sais pas, mais c'est une découverte pour lui, il ne pensait qu'on pouvait jouir du cul.

"Putain, tu fais pas semblant ! Tu prends vraiment ton pied ! T'aimes ça, te faire enculer !".
"Arghhhhhhhhhhhgggggggggggg ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Ne t'arrêtes pas... Arggggggggghhhhhh !...".

Ma première pipe l'a rendu plus endurant, ce qui lui permet de me faire connaitre trois autres orgasmes, au même endroit, en variant les rythmes.

Il me déplace ensuite vers l'avant, et me couche sous lui, sur le capot.
Je m'accroche comme je peux, presque allongé.
Puis, il me plante son gros et long pieu d'une traite.

"Orghhhhhhhhhh ! Putain ! Tu vas me tuer comme ça ! Arghhhhhhhh ! C'est booooonn ...".

Dans cette position, j'ai l'impression qu'il me pilonne, comme un marteau piqueur.
Je le prend profondément enfoncé, sur toute sa longueur, en criant de plaisir anal.
Son gros gland m'écartèle les parois anales, en me provoquant une érection contre le capot.
Mon anus dégouline de jus poisseux, sur ses couilles et les miennes.
Il adore ça !

"Putain ! J'te baise le cul comme une chatte ! Ca rentre comme dans du beurre ! C'est trop bon ! C'est même meilleur !".

Je vis des moments de plaisir quand les orgasmes montent, et de supplice quand ils retombent, puisqu'il continue de me labourer inlassablement.
Il s'est arrêté souvent, mais ses courts besoins de reprendre son souffle, ne coïncident pas aux miens.
Mais j'avoue que j'adore ces moments aussi !

Puis, il m'agrippe par les épaules pour se déchainer un peu, et se fige en moi, en râlant très fort.
Heureusement qu'il est très tard, et que nous sommes seuls.

"Argggggggggggggghhhhhhhhhhhhh ! Putain, je me vide dans ton cul, c'est trop booonnnnnnnn !".

Je le rejoins dans l'orgasme, et m'accorde à son rythme d'assauts, en bougeant mon cul sur sa verge.
On mêle nos râles de plaisir, en s'accordant parfaitement l'un dans l'autre.

Quand on décide de se séparer, je scrute sa réaction, lorsqu'il découvre que j'ai éjaculé sur son capot avant.

"Putain ! T'as joui aussi ? Pourtant, tu t'es pas branlé ! Je t'ai pas vu !".
"Avec ce que tu m'as mis, crois-moi que j'en avais pas besoin !".
"C'était bon, alors ?".

"Ohh, putain ! Oui ! Tu m'as bien fait jouir, merci ! On remet ça quand tu veux ! Et toi, pas déçu ?".
"Pas du tout ! Ca m'a rappelé ma jeunesse, quand je baisai mon meilleur pote pédé. Tu sais que t'as un beau cul pour un mec ?".
"Merci !".

J'envoie la main sur sa verge humide, avant de lui demander;

"Je peux la sucer encore un peu ?".
"Avec plaisir ! Vas y ! Ne te gènes surtout pas !".

Il s'appuie sur le véhicule, et me contemple pendant que je me régale de lui lécher la verge, pleine de foutre et de jus anal.

"Hummmm ! T'es une vraie petite salope ! Ca m'plait ! La prochaine fois qu'on se voit, je t'enculerai encore ! J'adore ton p'tit cul !".
"Mmmmmm ! Sllllrppp ! J'espère !".

Il m'a laissé devant chez mes parents, en faisant cette réflexion:

"Putain, on habite à coté, l'un de l'autre ! Dommage que je sois marié ! Ca m'aurait plu de te baiser chez moi !".
"Oui, dommage, j'aurai adoré avoir une relation suivie avec toi !".

"Moi aussi ! Mais si un jour, c'est possible, je te préviendrai !".
"OK ! J'espère que ça se fera, alors !".

En rentrant, j'ai pas eu besoin de me branler avant de me coucher.
Par contre, en sortant du lit, j'ai du nettoyer discrètement mon drap, taché au niveau de mon cul.
J'ai pas envie que ma mère, devine que son fils se fait défoncer la chatte par des hommes âgés.
J'aurai dû garder mon slip taché sur moi.

Comme prévu, quand on se croisait au cinéma, il m'enculait une fois sur deux.