Plaisir opportuniste - histoire érotique

Corinne est au travail. Moi, c'est mon jour de repos.

Il est 14 h, et je me prépare à rejoindre des potes, à notre point de chute, une brasserie du centre-ville.

Alors que je me rase, la sonnette résonne.
J'ouvre sans réfléchir, et là, je reste tétanisé.

Un type immense me regarde de haut, avec autant d'étonnement que moi.
L'instant est suspendu.
Il bafouille:

"Euh, pardon de vous déranger ! Je représente la société ...".

Bref, c'est un représentant pour je ne sais plus quelle compagnie.
Pas intéressé, je l'informe que cela ne pourra se faire, en bafouillant encore plus que lui.
Mais, pourquoi ?

Parce que si on ne connait pas par nos prénoms, on se connait déjà physiquement ! Puisqu'il me baise souvent en Sex-Shop, et parfois en bord de Mer !

"C'est pas grave ! Merci pour votre accueil, jeune homme !".

Il se retourne pour changer de porte, j'ai deux voisins de palier.
Je referme aussitôt, encore chamboulé par la situation.

Je me remémore nos baises en lieux chauds, dont notre première fois.
Il m'a un peu rebouté ce jour là ! Avec son physique de grand bucheron, pas très beau.
Surtout avec cette énorme quantité de poils qui le recouvraient du torse aux couilles.
Mais au fil des rencontres, j'ai trouvé ça excitant.
Il faut dire qu'il avait de sérieux atouts entre les jambes !

Pour l'heure, je dois me reprendre !
Il a du entrer chez un voisin, puisqu'il n'est plus sur le palier.

Je fini de me raser, avec la tête ailleurs, en essayant d'imaginer encore sa grosse verge.
Elle ressemblait à quoi déjà ? Ah, oui, son gland très large avec sa queue foncée et veinée.
Hummmm ! Un délice !
Bon, Pascal ! Oublies ça ! Tu dois y aller ! On t'attend !

Je fini de peaufiner ma coiffure, quand on toque à ma porte.
C'est lui ?
J'ouvre, il est là !
Le ton change:

"T'es tout seul ?".
"Euh, oui !".
"J'peux entrer ?".
"...Oui".

Il entre et pousse la porte derrière lui.

"Tu sais qui je suis ? Tu te souviens de moi ?".
"Ou... Oui, j'aurais du mal à l'oublier !".

"J'ai un peu de temps ! Ca te dit de t'amuser avec moi ? Depuis que je t'ai reconnu, ma queue me laisse pas tranquille ! Comme tu sais comment t'en occuper ! J'te laisse faire !".

Cette déclaration d'intérêt me rempli d'orgueil, je dois le satisfaire!
Je ferme mon verrou à double tour, tant pis pour mes potes, ils m'attendront.

Alors que je me pose à genoux devant sa queue, il accompagne mon mouvement, avec sa main sur mon crâne.
Je suis tout émoustillé, en attendant cette grosse verge qu'il commence à déballer devant moi.
Je retrouve cette énorme pilosité, nullement gênante, grâce à la taille de son engin.

Je prends mon temps, en déposant ma langue sur son gros gland, par petits lapements.

"Orhhhh ! Ouais ! Comme ça ! Putain ! Tu me suces toujours aussi bien, j'adore baiser avec toi, minot !".

Il attire mon visage pour m'embrocher la gorge.

"Ouais ! Prends la bien profond ! Comme les autres fois ! T'aimes ça toi aussi !".
"Mmmmm ! Mmmmm ! Mmmmoui ! J'adore te sucer comme ça !".

"Putain, si je m'attendais à ça ! Je pensais pas te baiser aujourd'hui ! Mais c'est génial, ça m'évitera d'aller au Sex-Shop ! T'as envie toi aussi ?".
"Mmmmmm ! Mmmmmmmmm ! Moui !".

C'est sûr que sa bite dans ma bouche, m'a donné une grosse envie, il peut me faire ce qu'il veut, maintenant.

"T'es sûr que personne ne va venir ?".
"Oui, c'est sûr !".
"Alors, viens ! J'ai envie de me mettre à l'aise, pendant que tu me pompes la bite !".

Il entre dans mon salon, baisse son pantalon, et se pose sur un de mes fauteuils.
Je me glisse entre ses cuisses, et reprend ma fellation vicieuse, pendant qu'il me caresse la tête en gémissant son plaisir.
Un frisson de bonheur cérébral me rempli le corps, je suis bien dans ma tête, en lui offrant ce plaisir pervers.

"Orghhhhhh ! Minot ! J'aime trop ta façon de me bouffer la bite ! On voit que t'aimes ça ! Putain, ce que c'est bon !".

Je me régale buccalement, en lui pratiquant tout ce que j'aime, sauf lui gober souvent les couilles, à cause des poils.
Je ne m'attarde jamais, même si je lui fais, malgré tout.

Il commence à me ralentir, avec sa main.

"Stop ! Sinon, je vais te gicler dans la gueule ! J'ai envie de ton p'tit cul, aussi !".

Je lui souris, son regard vicieux finit de m'exciter.
Je me redresse, il ajoute:

"Laisses-moi un peu de temps ! Déshabilles toi, je veux voir ta p'tite chatte !".

Je m'exécute avec un désir énorme, qu'il me prenne comme en lieu chaud.

"Poses toi là !".

Je lui tend mes fesses imberbes. Puis, sens ses mains sur chacune d'elle.
Un crachat vient me lubrifier, puis sa langue me laboure l'anus.
C'est la première fois qu'il ose me faire ça !

"T'as du gel ?".

Je quitte ma position pour lui tendre, en échangeant encore un regard complice avec lui.
Il sait que je lui suis soumis, il me guide comme un pantin.
Il me penche sur le fauteuil, devant lui.

"T'es prêt, minot ? Tu la veux dans le cul ?".
"Oui, je la veux !".
"C'est bien ! Prépares ta petite chatte, alors!".

En écrivant cela, je réalise qu'on a toujours baisé, sans connaitre nos prénoms, mais est-ce important ?

Sa grosse verge trouve mon orifice anal très rapidement.
Son gros gland commence à m'écarteler.

"Orghhhhhhhhhh ! Putain, moi non plus, je pensais pas vivre ça, aujourd'hui ! Orghhhh ! Oui, enfonces-toi ! Orhhhh ! C'est bon !".
"Oufff ! J'adore te baiser, minot ! Tu m'encaisses bien !".

A ces mots, sa verge termine sa progression, et ses couilles viennent me toucher l'œillet anal.
J'ai la bouche grande ouverte, en lâchant un long râle de plaisir.

"Tu l'aimes ma queue ! P'tite salope !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Tu me baises toujours aussi bien !".

Il ne s'affole pas, mais me possède puissamment, et profondément.
Je lâche des cris à chaque fois qu'il s'enfonce fortement, tout au fond de ma jeune chatte.

"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Oui, encore ! Tu me défonces, salaud !".
"T'aimes ça ! Non ?".

"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Ouiii !...".
"Putain, j'aimerai te voir sucer pendant que j't'encule ! Comme au Sex-Shop ! Ou au Mourillon (bord de mer) ! C'est excitant ! T'aurai envie ?"."
"Arghhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiii !".

Cette possession contrôlée dure quelques petites minutes, puis, il s'accroche à mes épaules et me laboure comme un bourrin.
Je vis déjà mon troisième, ou quatrième orgasme anal, je sais plus.

Ensuite, il me couche sur le dos, sur mon canapé, et me baise comme une femelle, en me tenant par les chevilles, pendant une merveilleuse éternité.
Enfin, il montre des signes de faiblesse.

"Putain, c'est trop bon de te baiser la chatte, minot ! Orhhhh ! Je vais cracher mon foutre ! Prépares-toi ! Je veux tout te mettre dans ta p'tite gueule ! Orhhhh ! Putain, merde, je joui déjà !".

Il m'insémine un peu malgré lui, puis sort sa grosse verge, en la comprimant avec ses gros doigts.
J'ouvre la bouche pour le laisser m'investir la gorge.

Son sperme me comble le palais aussitôt, de sa gluante chaleur salée.
Je gémis mon bonheur de l'avaler, je suis excité comme une chienne en chaleur.

J'ai besoin de me toucher la queue, j'aime trop le boire.
Toute notre baise me revient, pendant que je me branle en l'avalant.

Il gémit encore son plaisir, et caresse mes cheveux en se vidant la queue.
Il m'insère un de ses gros doigts dans la chatte, ce qui me fait rejeter son foutre, sur son majeur.

"Orhhhh ! Tu m'as bien fait jouir, minot ! Putain, j'aime t'enculer comme ça ! Comme une petite femelle ! Humm ! J'adore jouer avec ta chatte aussi !".

Il me baise avec son gros doigt, pendant que je m'astique la verge, sans quitter sa queue, avec ma gorge.

"Ouais, c'est ça ! Crache ton jus, tu l'as mérité ! Allez ! Viens ! Minot ! Crache ton foutre ! J'veux le voir !".
""Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Ouiiiii ! Je jouiiiiiiiiiiiiiii !".

Il accélère ses mouvements de doigt, alors que je me repend sur mon ventre.

Un peu après, il revient entre mes cuisses, et me repénètre avec sa grosse verge.
Je suis surpris.

"Orghhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Doucement ! Orhhh ! Putain, tu m'a défoncé, encore ! Orhhhh ! C'que j'aime ça ! Putain, c'est trop bon...".

Il use de mon orifice, encore un peu, me procurant un plaisir énorme, puis se pose derrière mon dos.

On discute ainsi, il me propose de revenir avec un complice qui a les mêmes gouts que lui.

"Si tu veux, mais il faudra se caler sur un jour, je suis pas toujours libre !".