Plus jamais de non !

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Plus jamais de non ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Plus jamais de non !
- Tu ne comptes pas la mettre au lit cette grosse cochonne… Elle a l’âge de ma mère, fait ma femme. Tu ne coucherais tout de même pas avec ta belle-mère ? Ajoute-t-elle.
Si seulement elle savait. Que depuis les premières heures de notre relation, je me faisais sa mère en parallèles !
- Non, j’ai pensé qu’en pouvait lui confier une mission.
- Une mission, quelle mission…
- Oui, qu’elle nous filme…
- Tu crois qu’elle va être à la hauteur, cette conne ?
- Il ne faut pas avoir fait de grandes écoles pour cela.
- Qu’est-ce qu’elle en dit la cochonne.
- Je n’en sais rien… Répond-elle.
- Oui, c’est ça, c’est mieux de jouer la voyeuse.
- Tu serais capable de nous filmer, oui ou non ?
- Si vous me montrez comment cela fonctionne, pourquoi pas.
- Mais laisse tomber mon chéri, je suis certaine qu’elle préfère se joindre à nous.
- Pas question… S’exclame-t-elle.
- La sale voyeuse va, tient, j’ai une idée sale qui me vient à l’esprit, si tu venais me sucer la chatte… Fait ma femme.
- Non Madame, je vous en supplie, je ne fais pas ça…
- Et sucer une bite, tu fais ?
La réponse n’est jamais venue.
- Tu vois chérie. Je préfère de toi à moi qu’elle nous filme, ce sera une bonne punition.
- Oui… Oui, je suis d’accord… Fait ma femme. Si cela est ton souhait pourquoi pas… Avant d’ajouter à l’intention de la voisine ? Et toi, tu mouilles ma salope ?
- Non !
- Oui, c’est ça, je vais de croire, s’exclame ma femme.
Une fois avoir montré à Camille le maniement du caméscope, je m’avance jusqu’à ma femme. Tout de suite, elle baisse ma braguette, fait jaillit de mon sexe du pantalon, puis se détourne pour l’offrir à l’objectif de notre complice. Ma femme affiche une mine admirative et approche ses lèvres rouges. Je me sens comme aspiré. Ma queue disparaît presque entièrement dans sa bouche affamée. C’est brûlant.
Ma femme entame un va-et-vient très humide sur mon sexe gonflée à bloc. Des ronronnements d’aise emplis la chambre. Mon pénis est tout entier soumis des mains et de la bouche de ma femme. Elle le serre fort et le suce avec une fougue incroyable.
Je pense que la présence de la voisine n’est pas étrangère !
Puis elle recrache ma queue pour embrasser mes testicules. Je ne pus retenir un râle rauque. Je suis littéralement dévoré par la bouche qui ne me laisse aucun répit. Alternant douceur et vivacité. Mes jambes tremblent.
Puis toujours devant l’objectif, ma femme entreprend de me soulager du haut que je porte. Ses mains glissent sur mes épaules et caressent mon torse. Lèche mes tétons pointus. Je sombre irrémédiablement dans un pur plaisir qui me donne le vertige.
Puis ma femme m’appuie sur la tête pour me mettre à genoux devant elle, alors qu’elle prend position de la chaise. Sachant très bien ce qu’elle attend, de moi, j’approche ma tête, et contemple la fente poilue aux lèvres épaisses dont le long clitoris apparaît. Le trou vaginal laisse s’écouler un jus dont les effluves forts m’envahissaient les narines. Elle pose les jambes sur mes épaules me tenant enserrées. Le visage contre la vulve. Sous mes coups de langue, elle commence à s’animer. Je la bois en frissonnant. Ma première pensée est de m’arranger de faire parvenir la cassette à beau papa. Mais ma femme loin de s’imaginer mes projets salaces, laisse échapper des gémissements. En desserrant les jambes, elle m’ordonne :
- Suce-moi le bourgeon, comme j’aime que tu le fasses.
Je commence une lente succion. Ma tête est prise en étau entre ses cuisses. Le bouton durci en haut des lèvres. Je le titille de ma langue tendue. Puis je le prends dans ma bouche et l’aspire doucement. Je me demande ce qui se passe dans la tête de Camille ?
Les gémissements que lâche la bouche de ma femme, témoigne qu’elle n’est pas loin d’avoir un orgasme. Alors je m’active !
Au bout de trois orgasmes la voilà qu’elle me lance une œillade. Je saisis le message. Et toujours devant l’objectif, je concentre mon attention sur sa pastille. Après plusieurs coups de langues, l’anneau se desserre, comme souvent. Elle est aux anges. Je le lis dans ses yeux. Je lâche un filet de bave dans la raie. Du bout du doigt, j’étale sur les replis de son anus la salive rendue épaisse par l’excitation.
De savoir, que je suis sur le point d’engloutir le cul de ma femme, je ressens très vite une sensation étrange, voir vertigineuse. Comme je suis impatient de sentir la chair céder sous ma poussée. De s’ouvrir avec une infâme connivence.
Alors j’approche ma queue de l’entrée. Je pousse plus fort, enfonçant d’un coup toute ma verge, et elle grogne comme une bête blessée.
Je m’enlève, puis la remets lentement au fourreau. Je sens ma femme trembler d’une affreuse extase. Merci Camille !
Je recommence de plus en plus vite. Chaque fois que j’enfonce ma queue, elle pousse une plainte. Mon pénis était maculé de traces brunes et tout mouillé. Plus les muscles de ma femme se contractent, plus le sang reste coincé dans ma verge et plus elle grossit, provocant la contraction des muscles de mon épouse.
Ce qu’elle est bonne par-là. Ce qui m’amène à penser qu’il n’a rien à envier à celui de sa mère !
Des oui… Oui… ponctuent ma pénétration. Mon ventre arrive au contact de ses fesses. Elle se soulève pour voir ma queue dans son anus. Je peux commencer à m’agiter en elle, doucement d’abord puis avec des mouvements plus amples et plus rapides.
Pour le besoin du film, elle couine comme jamais, bouche ouverte. Je m’accroche à ses cuisses dressées et ouvertes. Je prends un plaisir certain, d’enculer ma femme devant un témoin.
Je lui intime soudain de se mettre à quatre pattes sur le lit, pour lui infliger une levrette anale. Sitôt emmancher, elle braille son plaisir à qui veut l’entendre. Ivre d’épuisement, je lâche ma jouissance dans son boyau, à longs jets brûlants.
Je n’avais pas autant éjaculé depuis… Une éternité, peut-être même jamais.
Je m’affale sur elle, alors qu’elle s’affale sur le lit.
Je m’apprête à donner congé à Camille, mais cette dernière a disparue. Elle a posé le caméscope sur la chaise, avant de fuir.
Le lendemain cassette en main, je vais frapper chez Camille. Pour ne pas se faire voir en ma compagnie, elle m’invite à entrer chez elle.
- Mais ça ne va pas, de venir comme ça chez moi. J’espère que personne ne vous a vu ?
- Je voulais vous remercier pour nous avoir filmées.
- J’avais le choix ?
- Vous avez fait de l’excellent boulot.
- Oui, c’est ça ! Sous la contrainte tout de même…
- Cela vous dit de la visionner, ensemble.
- Vous me prenez pour qui ?
- Je mets ma main à couper que vous êtes caressé une fois dans votre maison.
- Et alors ? S’offusque-t-elle.
- Combien d’orgasmes ?
- Mais qu’est-ce que cela peut vous foutre !
- La curiosité. Vous connaissez cela, la voyeuse que vous êtes !
Je profite de l’instant pour lui remonter sa jupe. D’un lent mouvement extrêmement sensuel. Je m’attends d’une seconde à l’autre, de prendre une gifle. Mais voilà, pour mon plus grand plaisir, elle n’arrive pas.
Le contact avec sa peau est divin. Je commence à la caresser lentement, passant de l’intérieur d’une cuisse à l’autre. Ma main est dissimulée par sa jupe. Elle semble apprécier, à voir qu’elle ferme lentement les yeux comme pour profiter pleinement de l’instant.
Après quelques longues secondes, ma main entre délicatement en contact avec son sous-vêtement. Il est humide. Son pubis est enserré dans une culotte en coton ornée de contours visiblement en dentelles. Il semble touffu et ses deux grandes lèvres paraissent un peu à l’étroit sous l’étoffe. Les yeux clos, Camille soupir de contentement. Alors, je tente une approche avec son intimité. Je glisse pour cela, deux doigts entre sa peau et l’élastique de sa culotte. À tâtons, ils arrivent jusqu’au vagin. Il est gorgé de mouille. La coquine fait balancer ses hanches. Je suis sur la bonne voie, et pourtant je retire lentement ma main de sa culotte, puis de dessous sa jupe.
- C’était pour vous donner un avant-goût du dessert !
- Alors pourquoi arrêter ?
- J’ai cru comprendre jusqu’alors que vous ne vouliez pas !
- Continuez, c’était délicieux. Croyez-moi, j’en ai un grand besoin !
- Et si je refuse ?
- De vous à moi, j’ai eu souvent envie d’être à la place de votre femme. Je suis maintenant certaine qu’avec vous, je vais adorer ça.
- Ça fait combien de temps que vous n’avez pas fait cela ?
- Une éternité !
Cette confidence ne peut pas me faire plus plaisir et semble me donner des ailes.
Conforté de sentir nos opportunismes complémentaires, je reprends ma caresse. À l’affût de chaque détail, sur chacune de ses réactions.
Je la fais s’asseoir sur le divan tout proche et je la déchausse. Je dépose délicatement mes lèvres sur ses orteils sacrément aromatisés. Mon regard s’attarde un instant sur sa culotte qui masque sa source. Une chaleur sale monte en moi. Camille semble déridée. Ses yeux pétillent de malice.
Je me mets à embrasser les orteils, à les sucer goulûment. La légère odeur de cuir mêlé à une once de sueur qui en émane m’enivre seconde après seconde. Je les lèche un à un, les aspire. Camille apprécie, son sourire s’élargit.
- Et bien ! Si je m’attendais à cela !
Elle gigote sur le divan. Cela a pour effet de dévoiler davantage le haut de ses cuisses.
- Qu’est-ce que l’excitation peut produire chez moi, dit-elle d’une voix chargée de désir.
Alors que je la débarrasse de son slip en coton. La vision de sa chatte à forte pilosité m’hypnotise. J’inspire fortement pour emplir mes poumons de l’arôme épicé de son antre diffus.
- Elle te plaît ? Murmure-t-elle, d’une voix à peine audible. Pas trop dense, les poils ?
- Jamais pour moi !
Mes yeux plantés sur sa fourche, j’approche mon visage à quelques centimètres de son sexe. Elle écarte un peu plus les cuisses, s’exposant à ma vue. Je plonge ma tête dans le triangle poilu pour l’explorer de ma langue. Je savoure d’abord le goût acidulé et le picotement des poils rêches sur ma figure.
Ses gémissements m’éclairent, sur le chemin à suivre pour la mener au plaisir. Elle s’infléchit légèrement, ses mains agrippent mon crâne. Je mets toute mon œuvre à l’ouvrage.
- Oui… Oui, murmure-t-elle fiévreusement.
J’agace son bouton de ma langue. Ses respirations se transforment en profonds soupirs. Je la sens de plus en plus proche de l’orgasme. Ses cuisses se referment sur ma tête. Emprisonnant par cette action, ma bouche plaquée contre sa vulve. Puis voilà qu’elle explose. En un ultime gémissement libérateur.
Quelques minutes plus tard, elle se détend, reprenant son souffle. Un sourire satisfait et serein se dessinant sur son visage.
Un bien-être m’envahit, un délicieux picotement pointe au creux de mon ventre. Je me positionne entre ses jambes, avec une verge aussi dure que du marbre.
- Vas-y, doucement, me dit-elle. Ça fait des années que je n’ai été baisé.
Je commence à m’y enfoncer lentement. Les premiers centimètres glissent facilement, encouragés par ses gémissements. Je peux sentir sa chatte m’aspirer. Mon rythme devient un peu plus rapide plus profondément. Sa respiration se saccade. Son visage se convulse de plaisir.
- Oh, que c’est bon ! Grogne-t-elle.
Je la bourre de coups de reins. Que mon excitation survoltée exerce sur moi.
- Je jouis… Je jouis… ! Crie-t-elle. C’est la première fois que je jouis avec une queue, là…
Je jouis à mon tour. Encore quelques secondes et je me retire. Le divan est trempé par son jus. Mais alors que je suis en train de me rajuster, voilà que Camille lâche :
- Je veux que tu me prennes comme une pute !
- Ah oui… Mais tu ne sais peut-être pas, mais je n’ai pas d’expérience avec ce type de personnage !
- Pourtant avec ta femme…
- Tu trouves qu’elle est du genre un peu spécial…
- Je le pense oui.
- Tu en veux encore ?
- Oui, s’il te plaît. Tu sais, avec la longue traversée de désert que j’ai connue côté sexualité, tu comprends bien, que j’ai ma chatte qui a faim.
- Et je présume que tu veux que je lui donne un second biberon ?
- Tu as tout compris !
À ces mots, je lui enfonce ma verge poisseuse d’un coup et bien profondément. Elle grimace sous le choc. Je commence à frapper sa chatte aussi forte que je le peux. Mes couilles se fracassant contre ses fesses
- Oh encore… Encore ! Je prends un pied d’enfer !
Il a fallut que mes va-et-vient soient agressifs et véloces, pour arrivé à nourrir une seconde fois sa chatte de ma jouissance.
Le visage de Camille est rouge. Je devine qu’elle n’a jamais été baisée de la sorte ces derniers temps. Voir peut-être même jamais.
- Putain, qu’est-ce qu’elle a pris ma chatte ! Lâche-t-elle, avant d’ajouter ? Oh ! Excuse-moi, je ne suis plus moi-même ! Je ne me reconnais pas !
Alors que nous récupérons tous deux, devant une tasse de café bien mérité, Camille me pose des questions sur ma vie de couple. J’essaye à ma manière d’y répondre.
- Et dis-moi il y a un vieux qui vient plusieurs fois accompagner d’une forte femme.
- Mes beaux-parents !
- Ah oui !
- Pourquoi cette question ?
- Je ne sais pas pourquoi je te dis cela !
- Tu ne sais pas, mais le vieux comme tu dis, est comme toi, c’est un voyeur.
- Comment ça ?
- Il est, lui aussi fan de nos galipettes. Je précise par cassette interposée.
- Tu le lui donnes ?
- Non, il m’arrive de temps à autre, de placer derrière un film une galipette.
- Et il la regarde ?
- Je le suppose, oui, enfin, je l’espère.
- Tu es un drôle de personnage, toi.
- L’excitation me fait faire de drôle de chose parfois !
- Tu prends ton pied ?
- La vie mérite d’être vécu, et crois-moi, j’en profite bien, et j’en fais aussi profité au autre. Tiens le vieux, cela te dit de te le mettre dans ton lit ?
- Après ce que je viens de connaître, je ne dis pas non !

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