Première apporche.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Première apporche.
Quand j’arrive dans ma chambre j’y trouve Martine juchée sur mon bureau en train de fouiller au-dessus de mon armoire au milieu de mes bouquins de poche.
Elle me présente sans le savoir, un corps assez pulpeux est bien formé. Sa jupe courte suivant le mouvement de ses gestes dévoile parfois ses cuisses qui ne font qu’accentuer la rondeur de sa croupe.
Sa pose est du moins très aguichante. Un pied sur le plateau du bureau l’autre sur une chaise ce qui lui écarte assez largement les cuisses. Sa posture me permet de voir très précisément une petite culotte blanche qui moule étroitement ses fesses et son entrecuisse. Elle surprend mon regard.
-Tiens te voilà, enfin ?
-Oui merci, je suis dans ma chambre. Qu’est-ce que tu fou là ?
-Je regarde voir si je ne trouve pas des bouquins de cul.
-Ne cherche pas, je n’en es pas !
-Tu sais mon oncle en détient une bonne collection.
-Tant mieux pour lui.
-Et pourquoi ?
-Parce que je n’en trouve pas l’utilité, voilà tout ! Bon maintenant Martine, si tu veux bien je voudrais bien resté seul si cela ne te dérange pas !
-Mon oncle, lui, fait-elle en pouffant de rire, il les lis sur son lit, il bande et ça lui fait une grosse bosse sous son pantalon.
-C’est bien, si tu veux bien maintenant descendre de là !
Je l’aide à quitter son perchoir, non sans laisser trainé une fois encore mon regard sur les portions généreuses de ses jambes et de ses fesses.
-Cela ne te dis pas de savoir à quoi j’ai assisté pas plus tard que hier soir ?
-Oui, mais très vite, après tu files !
-Et bien, en me rendant chez ma grand-mère pour une petite visite de courtoisie, qui d’ailleurs n’était pas chez elle. Mais dont la porte non verrouillé m’a permis d’entrer, enfin bref. Mais alors que je pénètre les lieux sans m’annoncer, j’aperçois la porte de mon oncle entrouverte. Un bruit confus, me décide de jouer la voyeuse. Il est allongé sur son lit, très concentré sur son magazine de cul. Tout de suite mon attention est attirée par le mouvement saccadé de son bras droit. J’aperçois que sa main tient sa queue qui sort de la fenêtre de sa braguette. Il est en train de se branler le cochon. Sa queue est énorme. Le gland dépasse de son poing. Il s’astique à toute allure. Il s’essouffle. A un moment le voilà qu’il se tord et grimace, et un liquide se met à gicler du bout de sa queue. Mon oncle gémit avant de s’effondrer sur son lit. Peur d’être découverte, je me suis précipiter à quitter l’appartement.
-Et bien ! Tu en as parlé à quelqu’un de ce que tu as vu ?
-Ça ne va pas !
-Bon, si tu veux bien j’ai à faire maintenant.
-Tu me raccompagnes chez moi ?
-Mais tu es venue avec qui ?
-Avec personne.
-Et comment tu as fait pour persuader ma mère à te laisser entrer dans ma chambre.
-Elle n’est pas au courante de ma visite !
-Et comment tu as fait.
-Comme chez mamie, c’était ouvert, je suis rentrée.
-Putain, toi tu es irrécupérable. Aller viens je te dépose chez toi.
Une fois dans la voiture elle se met à me parler de sa mère Maryse.
-Tu la trouve comment ma mère?
-En voilà une drôle de question, pourquoi tu veux le savoir ?
-Comme ça, par curiosité.
-Je la trouve charmante ta mère, si tu veux savoir.
-Pas plus ?
-Tu veux m’entendre dire quoi ?
-Je ne sais pas moi, tu coucherais avec elle ?
-Je pense qu’elle ne serait pas très contente de savoir comment tu cause d’elle. Et je ne te parle pas de ton père.
-Tu ne diras rien, je compte sur toi…
Et après un court silence elle lâche :
-Et moi je te plais ?
- Tu es mignonne.
-Tu sortirais avec moi ?
-Je sors avec personne.
- Tu ne baises pas, alors ? Tu es encore puceau ?
-Je n’es pas besoin de sortir avec quelqu’un pour me soulager sexuellement.
Là mon cerveau me projette successivement la tête de Brigitte, Bernadette, Odile, Barbara, mes maîtresses.
-Tu coucherais avec moi ?
-Martine tu m’emmerdes là !
-Aller… je n’ai pas de petit copain et je suis en manque. Juste une fois… juste pour éteindre le feu que j’ai entre les jambes…
-Tu es vierge ?
-Tu n’as qu’à vérifier de toi-même. Je ne suis pas contre, tu sais !
Son regard plein de défi, m’exaspère, je lui jette.
-Je ne sais pas ce qui me retient de te mettre une fessée pour ton impertinence.
-Vas-y ! Oui Alain, vas-y ! Je la mérite…
-Oui ta raison ! Je vais te la donner.
-Allez, que oui je la mérite.
Je l’attrape, et la tire jusqu’à moi sur la banquette de la R6. Je retrousse sa jupe au-dessus de son fessier. J’ai une vue imprenable sur sa culotte. J’abats une première claque. Comme cela la fait rire, j’en rajoute quatre, oui quatre coups violents. Tous plus forts les uns que les autres. Ceci fait, je la pousse à retourner à sa place, et lui envoi un :
-Alors, que de la gueule !
-Même pas mal !
-Tu en veux encore une série ?
Elle se soulève de sa place passagère, et fait disparaître ses mains sous sa jupe. Elle gesticule sur la banquette. Quand ses mains, réapparaissent à ma vue, c’est en train de tirer sa culotte à l’air libre. Elle me regarde fixement, et me jette.
-Avec plaisir ! Mais cul nu !
Elle laisse tomber sa culotte sur le plancher, et retrousse l’ourlet de sa jupe et revient à la charge, se couchant pour cela de nouveau sur mes genoux. J’ai l’impression d’avoir une bouillotte sur les cuisses. Il ne m’en faut pas plus pour me faire naître un début d’érection au fond de mon slip. Elle est totalement offerte à ma convoitise. Elle remue un peu, son corps frottant sur le mien. Je me dois de la repousser doucement.
-Aller, soit sage on pourrait nous surprendre. Tu oublies que nous sommes en pleine rue.
Mais c’est loin d’embarrasser marine ! Elle n’a pas l’intention de partir. Se contentant même de se balancer légèrement sur moi. Elle redresse la tête, pour me fixer.
-Allez Alain fesse-moi ! Et après je me casse.
Levant la main, je l’abats de toutes mes forces sur une des fesses nues. Je la relève aussitôt, et lui, administre une autre claque, plus fort encore.
-Oui ! Encore ! M’encourage-t-elle.
Sa requête est loin de me surprendre pas. C’est une folle de cul, cette gamine, et je sais de quoi je parle. A chacune de ses visites avec ses parents, elle s’invitait à ma chambre et se priver pas de se frotter à moi. Comme je trouvais cela plutôt agréable je me laissais faire.
Alors si cela est son souhait pourquoi le lui refuser. Et j’ai bien l’intention de lui en donner pour son grade. Déchaîné, je m’acharne à lui faire rougir le cul. Et cela jusqu’à épuisement.
-Aller rentre chez toi maintenant, j’ai à faire !
Elle sort de la voiture, fait le tour pour se planter devant ma portière. Là, elle se passe la culotte, accentuant ses mouvements provocante. En fixant mon érection, elle sourit, avant de laisser tomber.
-Vilain ! Encore quelques coups et je jouissais ! Bon ce sera pour la prochaine fois.
-Oui, tu peux y compter.
J’ai mis du temps à trouver le sommeil tant la gamine m’avait échauffé.
Et comme par magie, je trouve le lendemain en sortant du boulot, la fameuse Martine assise sur le capot de la R6.
-Tu me ramènes chez moi ?
-Seulement si tu es sage !
Le long du chemin, Martine m’explique ses déboires amoureux. Elle finit par éclater en sanglots. Je choisis un endroit pour arrêter le moteur. Je la prends par les épaules pour la réconforter. Elle pleure un peu contre moi.
Je l’embrasse sur la joue, puis sèche ce qu’il lui reste de larmes avec mes lèvres.
Sans que ma volonté n’intervienne vraiment, je glisse ma main le long de son bras, vers son sein. Je défais les boutons du haut de son chemisier. Remonte le soutien-gorge, dénude des seins bien fermes, deux belles pommes, aux pointes couleur de cerise. Je les caresse tout en lui embrassant et en lui mordillant le cou. En même temps, ma main redevenue libre retrousse le bas de sa jupe, glisse sur sa cuisse. Martine a les deux mains crispées dans mes cheveux, ses gémissements m’encouragent.
Ma main comme téléguidée se pose sur sa rondeur chaude et élastique. Je sens la petite pointe toute dure venir chatouiller ma paume au fond de sa culotte. Instinctivement, je trouve le mouvement qu’il faut, enveloppant, léger et ferme à la fois.
Martine se redresse et prend ma bouche. Nos lèvres s’écrasent, nos bouches s’ouvrent, et je pousse ma langue à la recherche de la sienne. Un frisson délicieux me parcourt. Très vite elle s’apercevoir de l’effet qu’elle me fait en fixant la bosse que fait mon érection sous mon pantalon. C’est bizarre, à cause de l’excitation qui m’a submergé, je n’éprouve aucune gêne pour ce que je fais, tout au contraire.
Je couvre de baisers son torse, elle frissonne. La pointe de ma langue dessine des arabesques sur sa peau. Je descends jusqu’au nombril passant entre ses seins, puis je remonte. Je lape la sueur qui perle sur sa poitrine, passant d’une rondeur à l’autre. Je prends entre mes lèvres l’un des deux tétons. Avec un gémissement, Martine se tend de plaisir.
Pendant que je tète, que je mordille, mes doigts font subir un sort analogue à l’autre téton. La tête de Martine bascule sans arrêt de gauche à droite et de droite à gauche et je l’entends qui murmure comme une litanie - Que c’est bon… Ah ! Que c’est bon…
Mon autre main est descendue sur son ventre rond puis sur une cuisse et, comme aimantée, elle se retrouve dans son entrecuisse, happée puis serrée presque douloureusement par ses jambes croisées. Seule la toile d’une culotte toute simple me sépare de sa vulve dont je sens la chaleur intense. Elle a les yeux hagards mais remplis de tendresse.
C’est un sous-vêtement tout simple, en toile fine. Ma main est plaquée contre son ventre, bridée par le tissu humide. Martine soulève les reins et fait glisser sa culotte jusqu’à mi-cuisse. Elle repose ses fesses, lève les jambes et me regarde. Je finis le travail.
Je découvre sa toison, un petit buisson de poils soyeux, je ne peux pas m’empêcher de les caresser avec la main puis avec la joue. Ah, comme j’aime ce chatouillis et cette odeur. Cette senteur à la fois agréable et cuisante qui n’appartient qu’à elle et qui m’excite au plus haut point, mon érection commence à me faire mal.
Je dirige ma tête dans son entrecuisse qu’elle vient d’ouvrir. La position est inconfortable. Au travers des poils presque transparents, devant mes yeux, s’entrouvrent les deux lèvres de son sexe. De la pointe de ma langue, je caresse cette fente qui s’élargit naturellement. La tête rejetée en arrière, Martine ronronne doucement. Sous ma langue, je sens les nymphes qui gonflent et écartent les grandes lèvres. Je ne m’appartiens plus, ce parfum, ce contact si doux et tellement réactif. Les cuisses de Martine vibrent sur mes joues. Tous mes sens se concentrent dans ma langue. Je n’ai plus qu’un objectif : procurer le plaisir le plus grand possible.
Plusieurs fois je parcours cette petite vallée, à chaque fois je sens l’excitation qui monte. À nouveau, j’arrive à la fin de mon escalade quand Martine m’attrape la tête et la bloque.
-Là, oui là !
Sous ma langue, roulant derrière une fine membrane, une petite boule dure semble remplie de sensibilité. Avec précaution, j’écarte le capuchon. Prise de soubresauts qui me font déraper, Martine râle.
-Oh oui, continue… oui… oui…
Je maintiens fermement son bassin et retourne à l’assaut du petit bouton. Je le happe entre mes lèvres et je le suce, du dessous de la langue, je le caresse. Martine semble prise de folie, s’appuyant sur mes épaules, elle se tend en arc, emprisonnant ma tête dans l’étau de ses cuisses. Sur mon menton, je sens couler une liqueur qui s’échappe d’elle. Elle pousse un long cri rauque puis retombe, molle, vidée de son énergie.
Moi, couché commodément sur le plancher, je tremble d’excitation, tétanisé par l’intensité de cet orgasme. Je la regarde reprendre pied. Son regard est aveugle, sa bouche est figée dans un sourire. Enfin, ses yeux reprennent vie, ils pétillent de bonheur. Elle me sourit.
-Jamais, jamais je n’ai vécu cela… C’était merveilleux… Et toi ? Tu dois toi aussi jouir.
Sa main vient alors palper mon caleçon. Ses doigts jouent dans mes poils, effleurent la hampe, la tapotent, éprouvent sa rigidité. Elle est surprise, je le vois à son regard. Elle attrape ma tige de la main droite et, dans le mouvement, entraîne la peau vers le bas. Encore une fois, je lis la surprise puis l’intérêt dans ses yeux lorsque le gland apparaît. Je ferme les yeux pour mieux savourer. Je sens le collier de ses doigts m’enserrer et me branle de bas en haut, de haut en bas. Je n’en peux plus !
-Arrête !
Elle s’interrompt et me regarde,
-Je fais ça mal ?
-Oh non, mais je suis trop excité, ce que tu me fais va me faire exploser…
-Mais… c’est juste ce que je veux !
Elle me serre dans son poing et me branle doucement. Je vois ses seins danser en rythme, je sens les pointes frotter sur mon torse. Ça y est, tout mon corps se crispe, le point de non-retour est atteint, l’orgasme monte inéluctablement et, dans un grognement j’explose. Un premier jet va se perdre sur sa joue, elle se recule assez vite pour que les suivants retombent sur sa main. Elle me regarde, les yeux emplis de fierté. Elle me goûte et elle m’avale, puis elle me sourit :
-On se revoit demain.
-Juste une fois, c’est bien ce que tu m’as dit. Fais-je en reprenant la route pour la mener chez elle, avec le goût de sa chatte en bouche.
Quelques jours plus tard je suis appelé par le père pour un service. Me demandant si j’étais disponible pour l’aider à déménager son frère avec d’autre mec.
Après une journée très harassante, le père de Martine assiste pour m’offrir le couvert le soir même. Il se trouve que Martine est chez une copine. Ce qui n’est pas pour me déplaire.
Alors que nous sommes au désert, Maryse quitte la table pour prendre place sur le divan, soit disant pour fumer une cigarette. Et elle choisit pour cela, de s’installer derrière son mari et en face de moi. Je n’avais pas dans un premier temps pigée sa conduite. Mais au bout d’un moment tout en me fixant dans les yeux la voilà qui écarte les cuisses. Et tire sur sa jupe. Par ce geste, elle m’expose au regard qu’elle ne porte pas de culotte, de sorte que je vois tout. Un pubis rasé, une fente ouverte qui laisse voir le bord crénelé des petites lèvres. Je bande ! Je suis impatient de connaitre la suite. Ça passe déjà par un sourire. Contente de me narguer. Je me place alors de sorte de lui exhibé la bosse que fait mon érection sous la toile de mon pantalon. Je suis heureux qu’elle attarde son regard dessus !
Le mari, qui jusqu’alors est plus intéresser par l’appareil photo donné par son frère, prend alors conscience que sa femme a quitté la table pour se retrouver à présent derrière lui. La coquine a eu juste le temps de serrer les jambes et de rabattre sa jupe sur ses cuisses.
Les secondes suivantes, je m’efforce, pas sans mal, de concentré toute mon attention sur ce que fait le mari. Mais je suis distrait par Maryse. Si bien que mon regard va sans cesse, du mari à Maryse. Emporté par la dépravation et profitant de se trouver derrière le dos du mari, cette fois c’est son chandail que Maryse retrousse vers le haut, m’exhibant ainsi sa forte poitrine.
Je me demande jusqu’à où les femmes de cette famille oseront aller pour m’aguicher. De son côté, le mari perdant patience avec l’appareil photo, s’autorise d’aller importuné son frère par téléphone interposé. Maryse profite de son absence pour prendre place à mon côté, sur une chaise. Et sans préavis me peloter à travers mes vêtements.
-Je ne te cache pas Alain que tu m’excites!
-Oui je vois bien, mais ton mari ?
Elle cherche ma bouche, me donne un baiser et laisse tomber :
-Viens j’ai une idée.
Et là elle me traîne jusqu’à la cave.
-J’ai envie de toi !
-Eh bien, c’est de famille !
-Pardon ? Me lâche-t-elle.
-Je disais moi aussi !
Comment je peux résister à une telle furie sexuelle, alors qu’elle se frotte contre moi. Elle me couvre de baisers, tout en continuant de me masse la queue à travers le pantalon.
Elle écarte mon tee-shirt. Je suis pris dans une vague de caresses et de baisers. Elle gémit sans discontinuer.
-Tu es magnifique. Tu dois donner du plaisir à tes copines. J’ai plus que jamais désir de toi !
Cette femme est une vraie tornade. Qui emporte tout sur son passage. Elle se met à genoux sur la terre battue, prend ma queue, titille le gland avec sa langue, commence une longue masturbation. Je suis depuis le début dans un état de transe.
Elle attise comme jamais mon désir en me fouillant avec sa langue. Une envie folle de découvrir m’emporte, au point de l’écarter de ma queue, et de la faire se mettre debout. Je prends l’initiative de soulever la jupe. Je tâte sa croupe ferme et pleine.
Je ne parviens pas à y croire. J’ai devant mes yeux le cul de Maryse, et je peux en faire ce que je veux. Le sillon est profond. Elle se courbe en avant, assez pour j’aperçoive sa chatte ouverte entre les cuisses. J’approche ma figure de la moule, hume son odeur, lèche les lèvres luisante. Alors que je suis prêt à bouffer sa chatte, la voilà qui me repousse.
-Tu me rends folle, mais malheureusement il va falloir remettre ça pour une autre fois. Viens… viens maintenant… on va voir mon mari, si il s’en sort avec son appareil photo.
-C’est vrai pour une prochaine rencontre.
Elle ne me répond pas, mais me fait un clin d’œil complice.
Elle me présente sans le savoir, un corps assez pulpeux est bien formé. Sa jupe courte suivant le mouvement de ses gestes dévoile parfois ses cuisses qui ne font qu’accentuer la rondeur de sa croupe.
Sa pose est du moins très aguichante. Un pied sur le plateau du bureau l’autre sur une chaise ce qui lui écarte assez largement les cuisses. Sa posture me permet de voir très précisément une petite culotte blanche qui moule étroitement ses fesses et son entrecuisse. Elle surprend mon regard.
-Tiens te voilà, enfin ?
-Oui merci, je suis dans ma chambre. Qu’est-ce que tu fou là ?
-Je regarde voir si je ne trouve pas des bouquins de cul.
-Ne cherche pas, je n’en es pas !
-Tu sais mon oncle en détient une bonne collection.
-Tant mieux pour lui.
-Et pourquoi ?
-Parce que je n’en trouve pas l’utilité, voilà tout ! Bon maintenant Martine, si tu veux bien je voudrais bien resté seul si cela ne te dérange pas !
-Mon oncle, lui, fait-elle en pouffant de rire, il les lis sur son lit, il bande et ça lui fait une grosse bosse sous son pantalon.
-C’est bien, si tu veux bien maintenant descendre de là !
Je l’aide à quitter son perchoir, non sans laisser trainé une fois encore mon regard sur les portions généreuses de ses jambes et de ses fesses.
-Cela ne te dis pas de savoir à quoi j’ai assisté pas plus tard que hier soir ?
-Oui, mais très vite, après tu files !
-Et bien, en me rendant chez ma grand-mère pour une petite visite de courtoisie, qui d’ailleurs n’était pas chez elle. Mais dont la porte non verrouillé m’a permis d’entrer, enfin bref. Mais alors que je pénètre les lieux sans m’annoncer, j’aperçois la porte de mon oncle entrouverte. Un bruit confus, me décide de jouer la voyeuse. Il est allongé sur son lit, très concentré sur son magazine de cul. Tout de suite mon attention est attirée par le mouvement saccadé de son bras droit. J’aperçois que sa main tient sa queue qui sort de la fenêtre de sa braguette. Il est en train de se branler le cochon. Sa queue est énorme. Le gland dépasse de son poing. Il s’astique à toute allure. Il s’essouffle. A un moment le voilà qu’il se tord et grimace, et un liquide se met à gicler du bout de sa queue. Mon oncle gémit avant de s’effondrer sur son lit. Peur d’être découverte, je me suis précipiter à quitter l’appartement.
-Et bien ! Tu en as parlé à quelqu’un de ce que tu as vu ?
-Ça ne va pas !
-Bon, si tu veux bien j’ai à faire maintenant.
-Tu me raccompagnes chez moi ?
-Mais tu es venue avec qui ?
-Avec personne.
-Et comment tu as fait pour persuader ma mère à te laisser entrer dans ma chambre.
-Elle n’est pas au courante de ma visite !
-Et comment tu as fait.
-Comme chez mamie, c’était ouvert, je suis rentrée.
-Putain, toi tu es irrécupérable. Aller viens je te dépose chez toi.
Une fois dans la voiture elle se met à me parler de sa mère Maryse.
-Tu la trouve comment ma mère?
-En voilà une drôle de question, pourquoi tu veux le savoir ?
-Comme ça, par curiosité.
-Je la trouve charmante ta mère, si tu veux savoir.
-Pas plus ?
-Tu veux m’entendre dire quoi ?
-Je ne sais pas moi, tu coucherais avec elle ?
-Je pense qu’elle ne serait pas très contente de savoir comment tu cause d’elle. Et je ne te parle pas de ton père.
-Tu ne diras rien, je compte sur toi…
Et après un court silence elle lâche :
-Et moi je te plais ?
- Tu es mignonne.
-Tu sortirais avec moi ?
-Je sors avec personne.
- Tu ne baises pas, alors ? Tu es encore puceau ?
-Je n’es pas besoin de sortir avec quelqu’un pour me soulager sexuellement.
Là mon cerveau me projette successivement la tête de Brigitte, Bernadette, Odile, Barbara, mes maîtresses.
-Tu coucherais avec moi ?
-Martine tu m’emmerdes là !
-Aller… je n’ai pas de petit copain et je suis en manque. Juste une fois… juste pour éteindre le feu que j’ai entre les jambes…
-Tu es vierge ?
-Tu n’as qu’à vérifier de toi-même. Je ne suis pas contre, tu sais !
Son regard plein de défi, m’exaspère, je lui jette.
-Je ne sais pas ce qui me retient de te mettre une fessée pour ton impertinence.
-Vas-y ! Oui Alain, vas-y ! Je la mérite…
-Oui ta raison ! Je vais te la donner.
-Allez, que oui je la mérite.
Je l’attrape, et la tire jusqu’à moi sur la banquette de la R6. Je retrousse sa jupe au-dessus de son fessier. J’ai une vue imprenable sur sa culotte. J’abats une première claque. Comme cela la fait rire, j’en rajoute quatre, oui quatre coups violents. Tous plus forts les uns que les autres. Ceci fait, je la pousse à retourner à sa place, et lui envoi un :
-Alors, que de la gueule !
-Même pas mal !
-Tu en veux encore une série ?
Elle se soulève de sa place passagère, et fait disparaître ses mains sous sa jupe. Elle gesticule sur la banquette. Quand ses mains, réapparaissent à ma vue, c’est en train de tirer sa culotte à l’air libre. Elle me regarde fixement, et me jette.
-Avec plaisir ! Mais cul nu !
Elle laisse tomber sa culotte sur le plancher, et retrousse l’ourlet de sa jupe et revient à la charge, se couchant pour cela de nouveau sur mes genoux. J’ai l’impression d’avoir une bouillotte sur les cuisses. Il ne m’en faut pas plus pour me faire naître un début d’érection au fond de mon slip. Elle est totalement offerte à ma convoitise. Elle remue un peu, son corps frottant sur le mien. Je me dois de la repousser doucement.
-Aller, soit sage on pourrait nous surprendre. Tu oublies que nous sommes en pleine rue.
Mais c’est loin d’embarrasser marine ! Elle n’a pas l’intention de partir. Se contentant même de se balancer légèrement sur moi. Elle redresse la tête, pour me fixer.
-Allez Alain fesse-moi ! Et après je me casse.
Levant la main, je l’abats de toutes mes forces sur une des fesses nues. Je la relève aussitôt, et lui, administre une autre claque, plus fort encore.
-Oui ! Encore ! M’encourage-t-elle.
Sa requête est loin de me surprendre pas. C’est une folle de cul, cette gamine, et je sais de quoi je parle. A chacune de ses visites avec ses parents, elle s’invitait à ma chambre et se priver pas de se frotter à moi. Comme je trouvais cela plutôt agréable je me laissais faire.
Alors si cela est son souhait pourquoi le lui refuser. Et j’ai bien l’intention de lui en donner pour son grade. Déchaîné, je m’acharne à lui faire rougir le cul. Et cela jusqu’à épuisement.
-Aller rentre chez toi maintenant, j’ai à faire !
Elle sort de la voiture, fait le tour pour se planter devant ma portière. Là, elle se passe la culotte, accentuant ses mouvements provocante. En fixant mon érection, elle sourit, avant de laisser tomber.
-Vilain ! Encore quelques coups et je jouissais ! Bon ce sera pour la prochaine fois.
-Oui, tu peux y compter.
J’ai mis du temps à trouver le sommeil tant la gamine m’avait échauffé.
Et comme par magie, je trouve le lendemain en sortant du boulot, la fameuse Martine assise sur le capot de la R6.
-Tu me ramènes chez moi ?
-Seulement si tu es sage !
Le long du chemin, Martine m’explique ses déboires amoureux. Elle finit par éclater en sanglots. Je choisis un endroit pour arrêter le moteur. Je la prends par les épaules pour la réconforter. Elle pleure un peu contre moi.
Je l’embrasse sur la joue, puis sèche ce qu’il lui reste de larmes avec mes lèvres.
Sans que ma volonté n’intervienne vraiment, je glisse ma main le long de son bras, vers son sein. Je défais les boutons du haut de son chemisier. Remonte le soutien-gorge, dénude des seins bien fermes, deux belles pommes, aux pointes couleur de cerise. Je les caresse tout en lui embrassant et en lui mordillant le cou. En même temps, ma main redevenue libre retrousse le bas de sa jupe, glisse sur sa cuisse. Martine a les deux mains crispées dans mes cheveux, ses gémissements m’encouragent.
Ma main comme téléguidée se pose sur sa rondeur chaude et élastique. Je sens la petite pointe toute dure venir chatouiller ma paume au fond de sa culotte. Instinctivement, je trouve le mouvement qu’il faut, enveloppant, léger et ferme à la fois.
Martine se redresse et prend ma bouche. Nos lèvres s’écrasent, nos bouches s’ouvrent, et je pousse ma langue à la recherche de la sienne. Un frisson délicieux me parcourt. Très vite elle s’apercevoir de l’effet qu’elle me fait en fixant la bosse que fait mon érection sous mon pantalon. C’est bizarre, à cause de l’excitation qui m’a submergé, je n’éprouve aucune gêne pour ce que je fais, tout au contraire.
Je couvre de baisers son torse, elle frissonne. La pointe de ma langue dessine des arabesques sur sa peau. Je descends jusqu’au nombril passant entre ses seins, puis je remonte. Je lape la sueur qui perle sur sa poitrine, passant d’une rondeur à l’autre. Je prends entre mes lèvres l’un des deux tétons. Avec un gémissement, Martine se tend de plaisir.
Pendant que je tète, que je mordille, mes doigts font subir un sort analogue à l’autre téton. La tête de Martine bascule sans arrêt de gauche à droite et de droite à gauche et je l’entends qui murmure comme une litanie - Que c’est bon… Ah ! Que c’est bon…
Mon autre main est descendue sur son ventre rond puis sur une cuisse et, comme aimantée, elle se retrouve dans son entrecuisse, happée puis serrée presque douloureusement par ses jambes croisées. Seule la toile d’une culotte toute simple me sépare de sa vulve dont je sens la chaleur intense. Elle a les yeux hagards mais remplis de tendresse.
C’est un sous-vêtement tout simple, en toile fine. Ma main est plaquée contre son ventre, bridée par le tissu humide. Martine soulève les reins et fait glisser sa culotte jusqu’à mi-cuisse. Elle repose ses fesses, lève les jambes et me regarde. Je finis le travail.
Je découvre sa toison, un petit buisson de poils soyeux, je ne peux pas m’empêcher de les caresser avec la main puis avec la joue. Ah, comme j’aime ce chatouillis et cette odeur. Cette senteur à la fois agréable et cuisante qui n’appartient qu’à elle et qui m’excite au plus haut point, mon érection commence à me faire mal.
Je dirige ma tête dans son entrecuisse qu’elle vient d’ouvrir. La position est inconfortable. Au travers des poils presque transparents, devant mes yeux, s’entrouvrent les deux lèvres de son sexe. De la pointe de ma langue, je caresse cette fente qui s’élargit naturellement. La tête rejetée en arrière, Martine ronronne doucement. Sous ma langue, je sens les nymphes qui gonflent et écartent les grandes lèvres. Je ne m’appartiens plus, ce parfum, ce contact si doux et tellement réactif. Les cuisses de Martine vibrent sur mes joues. Tous mes sens se concentrent dans ma langue. Je n’ai plus qu’un objectif : procurer le plaisir le plus grand possible.
Plusieurs fois je parcours cette petite vallée, à chaque fois je sens l’excitation qui monte. À nouveau, j’arrive à la fin de mon escalade quand Martine m’attrape la tête et la bloque.
-Là, oui là !
Sous ma langue, roulant derrière une fine membrane, une petite boule dure semble remplie de sensibilité. Avec précaution, j’écarte le capuchon. Prise de soubresauts qui me font déraper, Martine râle.
-Oh oui, continue… oui… oui…
Je maintiens fermement son bassin et retourne à l’assaut du petit bouton. Je le happe entre mes lèvres et je le suce, du dessous de la langue, je le caresse. Martine semble prise de folie, s’appuyant sur mes épaules, elle se tend en arc, emprisonnant ma tête dans l’étau de ses cuisses. Sur mon menton, je sens couler une liqueur qui s’échappe d’elle. Elle pousse un long cri rauque puis retombe, molle, vidée de son énergie.
Moi, couché commodément sur le plancher, je tremble d’excitation, tétanisé par l’intensité de cet orgasme. Je la regarde reprendre pied. Son regard est aveugle, sa bouche est figée dans un sourire. Enfin, ses yeux reprennent vie, ils pétillent de bonheur. Elle me sourit.
-Jamais, jamais je n’ai vécu cela… C’était merveilleux… Et toi ? Tu dois toi aussi jouir.
Sa main vient alors palper mon caleçon. Ses doigts jouent dans mes poils, effleurent la hampe, la tapotent, éprouvent sa rigidité. Elle est surprise, je le vois à son regard. Elle attrape ma tige de la main droite et, dans le mouvement, entraîne la peau vers le bas. Encore une fois, je lis la surprise puis l’intérêt dans ses yeux lorsque le gland apparaît. Je ferme les yeux pour mieux savourer. Je sens le collier de ses doigts m’enserrer et me branle de bas en haut, de haut en bas. Je n’en peux plus !
-Arrête !
Elle s’interrompt et me regarde,
-Je fais ça mal ?
-Oh non, mais je suis trop excité, ce que tu me fais va me faire exploser…
-Mais… c’est juste ce que je veux !
Elle me serre dans son poing et me branle doucement. Je vois ses seins danser en rythme, je sens les pointes frotter sur mon torse. Ça y est, tout mon corps se crispe, le point de non-retour est atteint, l’orgasme monte inéluctablement et, dans un grognement j’explose. Un premier jet va se perdre sur sa joue, elle se recule assez vite pour que les suivants retombent sur sa main. Elle me regarde, les yeux emplis de fierté. Elle me goûte et elle m’avale, puis elle me sourit :
-On se revoit demain.
-Juste une fois, c’est bien ce que tu m’as dit. Fais-je en reprenant la route pour la mener chez elle, avec le goût de sa chatte en bouche.
Quelques jours plus tard je suis appelé par le père pour un service. Me demandant si j’étais disponible pour l’aider à déménager son frère avec d’autre mec.
Après une journée très harassante, le père de Martine assiste pour m’offrir le couvert le soir même. Il se trouve que Martine est chez une copine. Ce qui n’est pas pour me déplaire.
Alors que nous sommes au désert, Maryse quitte la table pour prendre place sur le divan, soit disant pour fumer une cigarette. Et elle choisit pour cela, de s’installer derrière son mari et en face de moi. Je n’avais pas dans un premier temps pigée sa conduite. Mais au bout d’un moment tout en me fixant dans les yeux la voilà qui écarte les cuisses. Et tire sur sa jupe. Par ce geste, elle m’expose au regard qu’elle ne porte pas de culotte, de sorte que je vois tout. Un pubis rasé, une fente ouverte qui laisse voir le bord crénelé des petites lèvres. Je bande ! Je suis impatient de connaitre la suite. Ça passe déjà par un sourire. Contente de me narguer. Je me place alors de sorte de lui exhibé la bosse que fait mon érection sous la toile de mon pantalon. Je suis heureux qu’elle attarde son regard dessus !
Le mari, qui jusqu’alors est plus intéresser par l’appareil photo donné par son frère, prend alors conscience que sa femme a quitté la table pour se retrouver à présent derrière lui. La coquine a eu juste le temps de serrer les jambes et de rabattre sa jupe sur ses cuisses.
Les secondes suivantes, je m’efforce, pas sans mal, de concentré toute mon attention sur ce que fait le mari. Mais je suis distrait par Maryse. Si bien que mon regard va sans cesse, du mari à Maryse. Emporté par la dépravation et profitant de se trouver derrière le dos du mari, cette fois c’est son chandail que Maryse retrousse vers le haut, m’exhibant ainsi sa forte poitrine.
Je me demande jusqu’à où les femmes de cette famille oseront aller pour m’aguicher. De son côté, le mari perdant patience avec l’appareil photo, s’autorise d’aller importuné son frère par téléphone interposé. Maryse profite de son absence pour prendre place à mon côté, sur une chaise. Et sans préavis me peloter à travers mes vêtements.
-Je ne te cache pas Alain que tu m’excites!
-Oui je vois bien, mais ton mari ?
Elle cherche ma bouche, me donne un baiser et laisse tomber :
-Viens j’ai une idée.
Et là elle me traîne jusqu’à la cave.
-J’ai envie de toi !
-Eh bien, c’est de famille !
-Pardon ? Me lâche-t-elle.
-Je disais moi aussi !
Comment je peux résister à une telle furie sexuelle, alors qu’elle se frotte contre moi. Elle me couvre de baisers, tout en continuant de me masse la queue à travers le pantalon.
Elle écarte mon tee-shirt. Je suis pris dans une vague de caresses et de baisers. Elle gémit sans discontinuer.
-Tu es magnifique. Tu dois donner du plaisir à tes copines. J’ai plus que jamais désir de toi !
Cette femme est une vraie tornade. Qui emporte tout sur son passage. Elle se met à genoux sur la terre battue, prend ma queue, titille le gland avec sa langue, commence une longue masturbation. Je suis depuis le début dans un état de transe.
Elle attise comme jamais mon désir en me fouillant avec sa langue. Une envie folle de découvrir m’emporte, au point de l’écarter de ma queue, et de la faire se mettre debout. Je prends l’initiative de soulever la jupe. Je tâte sa croupe ferme et pleine.
Je ne parviens pas à y croire. J’ai devant mes yeux le cul de Maryse, et je peux en faire ce que je veux. Le sillon est profond. Elle se courbe en avant, assez pour j’aperçoive sa chatte ouverte entre les cuisses. J’approche ma figure de la moule, hume son odeur, lèche les lèvres luisante. Alors que je suis prêt à bouffer sa chatte, la voilà qui me repousse.
-Tu me rends folle, mais malheureusement il va falloir remettre ça pour une autre fois. Viens… viens maintenant… on va voir mon mari, si il s’en sort avec son appareil photo.
-C’est vrai pour une prochaine rencontre.
Elle ne me répond pas, mais me fait un clin d’œil complice.
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Les avis des lecteurs
Ce texte est bien parce qu'il y a un maximum de dialogues et peu de descriptions.