premiers émois naturiste( 2eme partie)
Récit érotique écrit par Léane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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premiers émois naturiste( 2eme partie)
Presque une année s’est écoulée depuis notre escapade dans ce camping naturiste.
Ludo et moi sommes séparés, bientôt divorcés. J’ai besoin de prendre du temps pour moi et depuis quelques semaines je n‘ai qu’une idée en tête: Retourner dans ce camping.
Je m’organise pour trouver du temps et décide de m’y rendre dans la mème période que la dernière fois. Fin du mois d’aout.
La date fatidique approche et je réunis tant bien que mal mon matériel de camping dont j’ai besoin.
J’ai du mal à trouver le sommeil la nuit précédent mon départ pour mon petit coin de paradis.
Au moment de m’habiller le matin j’opte pour ma robe blanche préférée.
Une robe légère arrivant au dessus des genoux avec juste de fines bretelles et légèrement décolletée.
Je me rends compte que je ne me suis toujours pas décrite et je vous en demande pardon.
Je suis châtain foncée cheveux mi long et légèrement bouclée, J’ai les yeux verts je mesure 1m 68, je pèse 53 kg . Je pense avoir une jolie silhouette féminine et j’ai une poitrine que quelques copines m’envies.
Je fais du 90 bonnet E . J’ai fais une épilation laser de mon sexe en gardant une petite lignée de poils sur le dessus de mon pubis, style maillot semi intégral. Mais il m’arrive la plupart du temps de raser ces derniers poils.
Je roule depuis une heure environ et devrait arriver d’ici 10 minutes. Mon coeur accélère, partagé entre le stress et la hâte d’y être.
J’espère que se sera comme l’été passé et que je n’aurais pas de mauvaises surprises. J’ai prévu d’y passer deux nuits.
ça y’est je tourne sur la petite route menant après 300 mètres à l’entrée du domaine naturiste.
Il y a à l’entrée une zone ou sont stockées les poubelles et containers de tri et au moment ou je passe un homme en sort.
Il est entièrement nu, il doit avoir une cinquantaine d’année, assez fin et le sexe dépourvu de poil.
Aussitôt je retrouve ce sentiment de bien être mêlé d’excitation.
Je le dépasse et me rends en voiture jusqu’au parking. Ca ressemble à la dernière fois avec peut être un peu plus de monde.
Je vois quelques personnes nues et une question tourne dans ma tête: Je reste habillée ou je vais nue à la réception. En descendant de la voiture je suis assommée par la chaleur, nous sommes en fin de matinée et depuis une bonne semaine le thermomètre reste bloqué au dessus de 35 degrés toute la journée.
Le petit parking est vide de gens, et je décide d’ôter mon string mais de garder ma robe.
En marchant je croise un couple de vieux, puis un second. Tous sont nus.
Je me sens tout de suite envahie par les bonnes sensations de l’été dernier.
Personne dans la réception sauf une dame qui m’accueille et m’attribut un emplacement situé non loin de la piscine.
Cette fois-ci je n’attends pas d’installer ma tente pour me déshabiller.
Enfin nue!!! Et seule cette fois-ci.
L’emplacement à coté du mien est vide et celui d’après accueille une grande caravane.
Je ne vois pas ses occupants.
Monter ma tente en étant nue me procure quelques chatouillements entre les cuisses.
Une fois installée, je décide de me rendre à la piscine, Je regroupe quelques affaires dans un petit sac et me rends vers le bassin.
En quittant mes sandales avant le pédiluve je vois qu’il doit y avoir une dizaine de personnes maximum.
Je dois contourner le bassin pour rejoindre les transats.
Les gens ne font pas attention à moi, et je suis confortée dans mon choix d’être revenue.
Je me glisse dans l’eau, elle est vraiment bonne. Au vu des températures caniculaires du moment le contraire m’aurait étonnée.
Quel bonheur de se baigner nue. Ça n’a vraiment rien à voir que quand on garde son maillot.
Une dame entre dans l’eau et nous commençons à discuter. Elle me dit que ça fait 20 ans qu’elle et son mari viennent ici. Elle connait le coin par coeur et m’explique pleins de choses.
Je lui dis que c’est ma première fois seule.
« - vous avez raison , me dit elle, profitez de la vie? Ici vous ne craignez rien. Il y a que de la nature autour, aucun voyeur . Vous avez choisis le plus bel endroit au monde.
Son mari nous rejoins dans l’eau. N’ayant que nos têtes hors de l’eau on oublie que nous sommes nus et la conversation est tout à fait normale.
Vers midi je quitte la piscine et rejoins ma tente. Je manges une salade préparée à la maison.Malgré la chaleur accablante je ne tiens pas en place. Je trouve dommage, vivant cette nouvelle expérience , de rester enfermée dans ma tente.
Je pars donc en exploration. Je repense à cet homme vu au local poubelle en arrivant et décide d’aller vers l’entrée du camping. Je traverse donc la quasi totalité du domaine . Je marche sur le chemin goudronné menant à l’entrée. Je vois soudainement une voiture arriver vers moi. J’ai l’impression de marcher sur une route.
Je me dis à voix haute: Putain, je suis à poil sur la route!!!
Je porte mes mains dans mes cheveux, les relève, et je sens un léger courant d’air dans mon cou et sous les bras. Ça peut paraître anodin mais la sensation est décuplée par le fait que je suis nue.
Ca m’excite « énormément.
J’arrive au niveau des containers, la route continue vers la sortie puis la grande route; J’ai envie d’avancer , je fais quelques mètres et n’ose pas aller plus loin. Il y a un une petite riviere presque à sec avec une piste qui la suit. Je m’engage et explore ce lieu enchanteur. Régulièrement il y a de petits sentiers permettant d’approcher du lit de la riviere. J’y descends et marche sur les pierres vermoulues évitant les endroits ou l’eau stagne encore.
De l’autre coté de la riviere, la foret semble impénétrable jusqu’a cette clairière. Je m’avance. Seul le bruit du vent dans les arbres et au loin le bruit de la grande route.
Je ne sais pas trop ce qui me pousse à continuer, mais j’avance lentement mais surement en direction de celle-çi. La foret se resserre autour de moi, et le vrombissements des voitures se fait plus fort à chaque pas. Un talus de 3 mètres de hauteur se dresse devant moi et au dessus: La route. Je reste là à écouter les voitures passer. La route est peu fréquentée mais il y a malgré tout du passage. Je me dis que je devrai maintenant retourner vers le camping, mais une force intérieure me pousse à aller voir un peu plus prés.
Je commence donc à gravir prudemment ce talus. Toujours invisible, je finis à 4 pattes et je vois enfin le bitume. Entendant une voiture approcher je recule de quelques pas.
Puis me rapproche à nouveau. Je sens l’excitation monter en moi, et toujours à 4 pattes à un mètre de la chaussée je commence à frotter ma chatte trempée.
Nouvelle voiture et je recule à peine.
Je n’en peux plus, je m’allonges sur le dos, invisible , et commence à me masturber.
D’abord doucement puis un peu plus énergiquement. Quelques voitures passent à moins de 2 mètres de moi. Quel délire!!!
Cela faisait un petit moment que j’avais envie de faire pipi, et lorsque l’orgasme arriva, je jouis si fort que je ne pu retenir l’urine. Allongée dans l’herbe, le corps submergé de spasmes je me laissais aller à me pisser dessus.Le premier jet sortit assez violemment allant s’échouer sur ma jambe gauche . puis la main sur le haut de mon pubis tirant vers mon ventre , le second jet arriva sur ma poitrine et sur mon ventre. Je caressais alors mon corps à deux mains, étalant mon urine sur moi.
Je me resaisissais, je me mettais debout et m’éloignais du bord de la route, sans faire attention qu’à ce moment là j’aurais été visible d’un automobiliste. Je me demandais ce qu’il m’arrivait.
D’un coté je me disais que faisais n’importe quoi et en mème temps ce nouveau plaisir était tellement excitant que j’étais un peu perdue.
Je rejoignais ma tente en espérant ne pas trop sentir l’urine mais je ne croisais personne suffisamment proche.
Je filais à la douche et m’accordais une petite sieste. Je me réveille vers 16h en sueur. Il fait vraiment chaud dans ma tente et je retourne à la piscine.
Beaucoup plus de monde que ce matin. Je pense que tout le camping est la. Je trouve malgré tout un transat à l’ombre. Je me jette dans la piscine. Restant dans l’eau, je scrute discrètement les personnes autour de moi. Essentiellement des personnes âgées, mais aussi une famille, un couple de jeunes autour de 25 ans. Ils sont très beaux tous les deux.
Mes pensées vont alors vers ce sentier que j’avais commencé a explorer lors de notre week-end avec mon mari. J’ai envie d’aller voir ou il mène. Mon escapade vers la route tout à l’heure m’a donné des ailes. J’aime être nue ici mais j’ai envie d’aller plus loin, vers « l’interdit »
Je quitte la piscine, passe par ma tente pour mettre mes chaussures, me re-badigeonne le corps de crème solaire et prend enfin la direction de la forêt.
Je remarque des marquages à la peinture sur les grosses pierres. Sur le plan du domaine il y a un trait tout autour du camping de la mème couleur. Il s’agit de la limite et je pense que se sentier est donc cette limite à ne pas franchir… nue.
J’avance et vois une autre marque ,puis une autre. En fait le sentier suit la limite.
Je me dis que si je peux faire le tour complet ça me fait une super randonnée. J’adore.
Je marche ainsi pendant un bon moment; jusqu’a un carrefour. Le sentier principal continue de monter et les marques au sol m’envoient à gauche. Je suis donc la limite du camping.
Je suis seule dans la forêt. Je n’ai croisé personne. Les températures caniculaires n’incitent pas à la randonnée en mème temps.
Envie de faire pipi depuis un moment. Et si je faisais ça ici au milieu du sentier!!!
Je fais souvent des rando et à chaque fois il faut trouver un coin à l’abri mais ce coup çi, étant dèja nue… Cette situation m’excite beaucoup et je commence à me caresser doucement. Je m’accroupis donc et commence à uriner au milieu du chemin tout en gardant mes doigts entre mes lèvres. Sentir l’urine couler sur mes doigts me procure une sensation incroyable. Je me doigte énergiquement ce qui a pour effet de faire gicler mon urine sur mes cuisses. J’en ai partout.
Je me remets à marcher tout en continuant mes caresses. Je n’en peux plus. Je trouve un coin d’herbe pour m’allonger et me masturbe jusqu’a jouir. J’essaie d’étouffer mes gémissements.
Je sens que ça monte. Je regardais jusqu’a présent autour de moi afin de vérifier que j’étais seule, mais je fermais finalement les yeux, posais ma tête en arrière dans l’herbe et me laissais aller complètement. Mon excitation était telle que plus rien autour de m’aurait empêcher de jouir.
J’explosais une nouvelle fois au milieu de la nature. Je restais allongée un moment comme ça.
J’avais presque envie que du monde arrive et me surprenne.
Je reprenais finalement ma balade. Quel extase d’être complètement à poil dans cette forêt.
J’arrivais sur un nouveau croisement.
Un sentier hors zone du camping partait à droite et je le suivais. Au bout de quelques minutes j’aperçus entre les branches une habitation!!!
Mince. Que faire?
J’avance prudemment, pas de signe de vie. J’avance encore. Le chemin à l’orée de la forêt longe une propriété, non clôturée. Une petite maison en pierre aux volets en bois entrouverts. Je ne vois personne et continue sur le sentier. Au milieu des arbres j’aperçois comme un vieil abri de jardin.
« -Putain, je suis chez des gens!!! Me disais-je
Demi tour. Toujours pas âme qui vive mais je vois bien que ce n’est pas abandonné. Les habitants ont du partir.
Retour vers le camping, je m’imagine revenir bientôt et oser m’approcher plus. Traverser le jardin, J’imagine une térrasse ou je me ferais bronzer nue pendant l’absence des propriétaires.
Pour l’heure je suis toujours ce sentier qui devrait me ramener vers le camping. Effectivement j’aperçois entre les arbres des bungallows. Je me retrouve donc dans le camping non loin de l’entrée.
Je rejoins ma tente et retourne une nouvelle fois prendre une douche. Personne. Je suis limite frustrée d’être seule. Je me savonne et me shampouine. En temps normal ( chez moi) il n’y aurait rien d’excitant mais je n’ai pas l’habitude de me laver dans des douches collectives et je trouve ça très troublant. Je tarde à sortir de la douche. Je n’en ai pas besoin mais j’entreprends de me raser sous les bras et surtout ma chatte qui vit de grands moments d’émotion en ce moment.
Je suis une nouvelle fois toute excitée. Je pose mon rasoir au sol, me re-savonne une énième fois. Enfin du monde!!! Un petit vieux entre et s’installe à un lavabo. Il est face à moi à 3 mètres tout au plus.
Et monsieur commence lui aussi à se raser, la barbe lui. Je suis couverte de mousse de gel douche. Terriblement excitée par la situation.
Je me rince doucement en promenant mes mains sur mon corps. Je me tourne dos à lui, me cambre légèrement pour lui offrir la plus belle vue possible sur mes fesses. Et si je refaisais semblant de me raser devant lui. Je me penche pour reprendre mon rasoir et commence à promener le rasoir sur mes lèvres gonflées de désir.
J’essaie de regarder discrètement dans sa direction pour voir si il me regarde. Ouiiii
Il me mate. Je continue. Le contact du rasoir sur ma vulve suffit à faire monter le désir.
Vais je avoir le troisième orgasme de la journée.
Le monsieur, ayant surement fini de se raser vient se rincer sous la douche. J’occupe celle du milieu et il vient à ma droite. Nous sommes suffisamment proche pour presque pouvoir se toucher. Je me baisse pour laisser mon rasoir au sol et attraper mon gel douche. J’ai mon visage à quelques centimètres de sa queue.Il n’est pas rasé à cet endroit la. Mais sa queue est longue et épaisse. Je me redresse et fait couler du gel douche sur mon ventre.
Il est concentré à se laver. Surement un vieux naturiste pas du tout réceptif ni émoustillé de prendre une douche en ma compagnie.. Mais moi!!! Je ne tiens plus et faisant semblant de me laver l’entrejambe je me caresse à quelques centimètres de lui. Je suis pleine de savon, et mes doigts glissent dans mon vagin. J’essaie de ne pas lui montrer que je suis en train de me branler en ayant des mouvements désordonnés.
L’orgasme me submerge et je lui tourne le dos en appuyant sur le bouton de la douche afin de faire jaillir l’eau. J’arrive tant bien que mal à étouffer quelques gémissements mais mon corps se tend. Je me redresse sur la pointe des pieds. Une main sur mon clitoris et l’autre appuyant de toutes mes forces sur le bouton de la douche. As t’il vu mon manège?
Le monsieur s’écarte et se sèche. Puis regroupe ses affaires et quitte les sanitaires.
Je me sèche également et rejoins ma tente. Je m’y affale.
Je n’arrive pas trop à réaliser tout ce que je vis depuis ce matin. J’ai l’impression qu’à chaque fois que je quitte ma tente il m’arrive une nouvelle expérience. Et que la nouvelle est plus intense que la précédente.
Dans mon organisation, j’avais l’idée de quitter le camping ce soir pour aller manger quelque part dans le village voisin. Je vois mon linge posé dans un coin de la tente. Je n’ai aucune envie de me rhabiller. Mais cette fois il va bien falloir.
Mais je trouve une astuce pour reculer ce moment difficile. Je pose mon linge sur le siège arrière de ma voiture, regroupe quelques papiers trainant sous les sièges. Je constitue une petite poubelle et décide de conduire nue jusqu’au local poubelle à l’entrée du camping.
Je m’habillerai en bas.
Me voilà partie. Nouvelle sensation, j’aime beaucoup aussi, mais ça j’imagine que vous vous y attendiez.
Je me gare le long de la petite route et vais jeter ma petite poubelle.Il est temps de se rhabiller mais j’attends un peu.Je remarque quelques affiches sur le panneau d’entrée. Je m’en approche pour les lire.
Plan d’évacuation, tarifs, infos générales…
Une voiture descend pour sortir du camping et vient se garer derrière moi. Je suis de l’autre coté de la route. Plaques belge , un couple, la dame sort avec elle aussi sa poubelle à la main. Mais elle est habillée elle.
Je rejoins ma voiture en passant devant la leurs pour que le monsieur me voit bien et m’assoie pour conduire. Ils vont démarrer et partir derrière moi. Ils savent que je suis nue. Je démarre au moment ou la dame remonte à bord. Ils me suivent. Je vois dans mon rétro qu’ils vont tourner a droite grâce à leur clignotant. Je fais de mème. Ils vont me suivre sur cette route sur environ 4 ou 5 kilomètres. Je ne sais pas si ils discutent entre eux sur le fait que je suis toute nue. Mais ça me plaît beaucoup.
Ils finissent par changer de direction. Je m’arrête sur un espace le long de la route et finit par me rhabiller.
Je vous raconterai dans la dernière partie de mon histoire La suite de mes aventures dans mon nouveau terrain de jeu: le camping naturiste et surtout ses alentours…
Ludo et moi sommes séparés, bientôt divorcés. J’ai besoin de prendre du temps pour moi et depuis quelques semaines je n‘ai qu’une idée en tête: Retourner dans ce camping.
Je m’organise pour trouver du temps et décide de m’y rendre dans la mème période que la dernière fois. Fin du mois d’aout.
La date fatidique approche et je réunis tant bien que mal mon matériel de camping dont j’ai besoin.
J’ai du mal à trouver le sommeil la nuit précédent mon départ pour mon petit coin de paradis.
Au moment de m’habiller le matin j’opte pour ma robe blanche préférée.
Une robe légère arrivant au dessus des genoux avec juste de fines bretelles et légèrement décolletée.
Je me rends compte que je ne me suis toujours pas décrite et je vous en demande pardon.
Je suis châtain foncée cheveux mi long et légèrement bouclée, J’ai les yeux verts je mesure 1m 68, je pèse 53 kg . Je pense avoir une jolie silhouette féminine et j’ai une poitrine que quelques copines m’envies.
Je fais du 90 bonnet E . J’ai fais une épilation laser de mon sexe en gardant une petite lignée de poils sur le dessus de mon pubis, style maillot semi intégral. Mais il m’arrive la plupart du temps de raser ces derniers poils.
Je roule depuis une heure environ et devrait arriver d’ici 10 minutes. Mon coeur accélère, partagé entre le stress et la hâte d’y être.
J’espère que se sera comme l’été passé et que je n’aurais pas de mauvaises surprises. J’ai prévu d’y passer deux nuits.
ça y’est je tourne sur la petite route menant après 300 mètres à l’entrée du domaine naturiste.
Il y a à l’entrée une zone ou sont stockées les poubelles et containers de tri et au moment ou je passe un homme en sort.
Il est entièrement nu, il doit avoir une cinquantaine d’année, assez fin et le sexe dépourvu de poil.
Aussitôt je retrouve ce sentiment de bien être mêlé d’excitation.
Je le dépasse et me rends en voiture jusqu’au parking. Ca ressemble à la dernière fois avec peut être un peu plus de monde.
Je vois quelques personnes nues et une question tourne dans ma tête: Je reste habillée ou je vais nue à la réception. En descendant de la voiture je suis assommée par la chaleur, nous sommes en fin de matinée et depuis une bonne semaine le thermomètre reste bloqué au dessus de 35 degrés toute la journée.
Le petit parking est vide de gens, et je décide d’ôter mon string mais de garder ma robe.
En marchant je croise un couple de vieux, puis un second. Tous sont nus.
Je me sens tout de suite envahie par les bonnes sensations de l’été dernier.
Personne dans la réception sauf une dame qui m’accueille et m’attribut un emplacement situé non loin de la piscine.
Cette fois-ci je n’attends pas d’installer ma tente pour me déshabiller.
Enfin nue!!! Et seule cette fois-ci.
L’emplacement à coté du mien est vide et celui d’après accueille une grande caravane.
Je ne vois pas ses occupants.
Monter ma tente en étant nue me procure quelques chatouillements entre les cuisses.
Une fois installée, je décide de me rendre à la piscine, Je regroupe quelques affaires dans un petit sac et me rends vers le bassin.
En quittant mes sandales avant le pédiluve je vois qu’il doit y avoir une dizaine de personnes maximum.
Je dois contourner le bassin pour rejoindre les transats.
Les gens ne font pas attention à moi, et je suis confortée dans mon choix d’être revenue.
Je me glisse dans l’eau, elle est vraiment bonne. Au vu des températures caniculaires du moment le contraire m’aurait étonnée.
Quel bonheur de se baigner nue. Ça n’a vraiment rien à voir que quand on garde son maillot.
Une dame entre dans l’eau et nous commençons à discuter. Elle me dit que ça fait 20 ans qu’elle et son mari viennent ici. Elle connait le coin par coeur et m’explique pleins de choses.
Je lui dis que c’est ma première fois seule.
« - vous avez raison , me dit elle, profitez de la vie? Ici vous ne craignez rien. Il y a que de la nature autour, aucun voyeur . Vous avez choisis le plus bel endroit au monde.
Son mari nous rejoins dans l’eau. N’ayant que nos têtes hors de l’eau on oublie que nous sommes nus et la conversation est tout à fait normale.
Vers midi je quitte la piscine et rejoins ma tente. Je manges une salade préparée à la maison.Malgré la chaleur accablante je ne tiens pas en place. Je trouve dommage, vivant cette nouvelle expérience , de rester enfermée dans ma tente.
Je pars donc en exploration. Je repense à cet homme vu au local poubelle en arrivant et décide d’aller vers l’entrée du camping. Je traverse donc la quasi totalité du domaine . Je marche sur le chemin goudronné menant à l’entrée. Je vois soudainement une voiture arriver vers moi. J’ai l’impression de marcher sur une route.
Je me dis à voix haute: Putain, je suis à poil sur la route!!!
Je porte mes mains dans mes cheveux, les relève, et je sens un léger courant d’air dans mon cou et sous les bras. Ça peut paraître anodin mais la sensation est décuplée par le fait que je suis nue.
Ca m’excite « énormément.
J’arrive au niveau des containers, la route continue vers la sortie puis la grande route; J’ai envie d’avancer , je fais quelques mètres et n’ose pas aller plus loin. Il y a un une petite riviere presque à sec avec une piste qui la suit. Je m’engage et explore ce lieu enchanteur. Régulièrement il y a de petits sentiers permettant d’approcher du lit de la riviere. J’y descends et marche sur les pierres vermoulues évitant les endroits ou l’eau stagne encore.
De l’autre coté de la riviere, la foret semble impénétrable jusqu’a cette clairière. Je m’avance. Seul le bruit du vent dans les arbres et au loin le bruit de la grande route.
Je ne sais pas trop ce qui me pousse à continuer, mais j’avance lentement mais surement en direction de celle-çi. La foret se resserre autour de moi, et le vrombissements des voitures se fait plus fort à chaque pas. Un talus de 3 mètres de hauteur se dresse devant moi et au dessus: La route. Je reste là à écouter les voitures passer. La route est peu fréquentée mais il y a malgré tout du passage. Je me dis que je devrai maintenant retourner vers le camping, mais une force intérieure me pousse à aller voir un peu plus prés.
Je commence donc à gravir prudemment ce talus. Toujours invisible, je finis à 4 pattes et je vois enfin le bitume. Entendant une voiture approcher je recule de quelques pas.
Puis me rapproche à nouveau. Je sens l’excitation monter en moi, et toujours à 4 pattes à un mètre de la chaussée je commence à frotter ma chatte trempée.
Nouvelle voiture et je recule à peine.
Je n’en peux plus, je m’allonges sur le dos, invisible , et commence à me masturber.
D’abord doucement puis un peu plus énergiquement. Quelques voitures passent à moins de 2 mètres de moi. Quel délire!!!
Cela faisait un petit moment que j’avais envie de faire pipi, et lorsque l’orgasme arriva, je jouis si fort que je ne pu retenir l’urine. Allongée dans l’herbe, le corps submergé de spasmes je me laissais aller à me pisser dessus.Le premier jet sortit assez violemment allant s’échouer sur ma jambe gauche . puis la main sur le haut de mon pubis tirant vers mon ventre , le second jet arriva sur ma poitrine et sur mon ventre. Je caressais alors mon corps à deux mains, étalant mon urine sur moi.
Je me resaisissais, je me mettais debout et m’éloignais du bord de la route, sans faire attention qu’à ce moment là j’aurais été visible d’un automobiliste. Je me demandais ce qu’il m’arrivait.
D’un coté je me disais que faisais n’importe quoi et en mème temps ce nouveau plaisir était tellement excitant que j’étais un peu perdue.
Je rejoignais ma tente en espérant ne pas trop sentir l’urine mais je ne croisais personne suffisamment proche.
Je filais à la douche et m’accordais une petite sieste. Je me réveille vers 16h en sueur. Il fait vraiment chaud dans ma tente et je retourne à la piscine.
Beaucoup plus de monde que ce matin. Je pense que tout le camping est la. Je trouve malgré tout un transat à l’ombre. Je me jette dans la piscine. Restant dans l’eau, je scrute discrètement les personnes autour de moi. Essentiellement des personnes âgées, mais aussi une famille, un couple de jeunes autour de 25 ans. Ils sont très beaux tous les deux.
Mes pensées vont alors vers ce sentier que j’avais commencé a explorer lors de notre week-end avec mon mari. J’ai envie d’aller voir ou il mène. Mon escapade vers la route tout à l’heure m’a donné des ailes. J’aime être nue ici mais j’ai envie d’aller plus loin, vers « l’interdit »
Je quitte la piscine, passe par ma tente pour mettre mes chaussures, me re-badigeonne le corps de crème solaire et prend enfin la direction de la forêt.
Je remarque des marquages à la peinture sur les grosses pierres. Sur le plan du domaine il y a un trait tout autour du camping de la mème couleur. Il s’agit de la limite et je pense que se sentier est donc cette limite à ne pas franchir… nue.
J’avance et vois une autre marque ,puis une autre. En fait le sentier suit la limite.
Je me dis que si je peux faire le tour complet ça me fait une super randonnée. J’adore.
Je marche ainsi pendant un bon moment; jusqu’a un carrefour. Le sentier principal continue de monter et les marques au sol m’envoient à gauche. Je suis donc la limite du camping.
Je suis seule dans la forêt. Je n’ai croisé personne. Les températures caniculaires n’incitent pas à la randonnée en mème temps.
Envie de faire pipi depuis un moment. Et si je faisais ça ici au milieu du sentier!!!
Je fais souvent des rando et à chaque fois il faut trouver un coin à l’abri mais ce coup çi, étant dèja nue… Cette situation m’excite beaucoup et je commence à me caresser doucement. Je m’accroupis donc et commence à uriner au milieu du chemin tout en gardant mes doigts entre mes lèvres. Sentir l’urine couler sur mes doigts me procure une sensation incroyable. Je me doigte énergiquement ce qui a pour effet de faire gicler mon urine sur mes cuisses. J’en ai partout.
Je me remets à marcher tout en continuant mes caresses. Je n’en peux plus. Je trouve un coin d’herbe pour m’allonger et me masturbe jusqu’a jouir. J’essaie d’étouffer mes gémissements.
Je sens que ça monte. Je regardais jusqu’a présent autour de moi afin de vérifier que j’étais seule, mais je fermais finalement les yeux, posais ma tête en arrière dans l’herbe et me laissais aller complètement. Mon excitation était telle que plus rien autour de m’aurait empêcher de jouir.
J’explosais une nouvelle fois au milieu de la nature. Je restais allongée un moment comme ça.
J’avais presque envie que du monde arrive et me surprenne.
Je reprenais finalement ma balade. Quel extase d’être complètement à poil dans cette forêt.
J’arrivais sur un nouveau croisement.
Un sentier hors zone du camping partait à droite et je le suivais. Au bout de quelques minutes j’aperçus entre les branches une habitation!!!
Mince. Que faire?
J’avance prudemment, pas de signe de vie. J’avance encore. Le chemin à l’orée de la forêt longe une propriété, non clôturée. Une petite maison en pierre aux volets en bois entrouverts. Je ne vois personne et continue sur le sentier. Au milieu des arbres j’aperçois comme un vieil abri de jardin.
« -Putain, je suis chez des gens!!! Me disais-je
Demi tour. Toujours pas âme qui vive mais je vois bien que ce n’est pas abandonné. Les habitants ont du partir.
Retour vers le camping, je m’imagine revenir bientôt et oser m’approcher plus. Traverser le jardin, J’imagine une térrasse ou je me ferais bronzer nue pendant l’absence des propriétaires.
Pour l’heure je suis toujours ce sentier qui devrait me ramener vers le camping. Effectivement j’aperçois entre les arbres des bungallows. Je me retrouve donc dans le camping non loin de l’entrée.
Je rejoins ma tente et retourne une nouvelle fois prendre une douche. Personne. Je suis limite frustrée d’être seule. Je me savonne et me shampouine. En temps normal ( chez moi) il n’y aurait rien d’excitant mais je n’ai pas l’habitude de me laver dans des douches collectives et je trouve ça très troublant. Je tarde à sortir de la douche. Je n’en ai pas besoin mais j’entreprends de me raser sous les bras et surtout ma chatte qui vit de grands moments d’émotion en ce moment.
Je suis une nouvelle fois toute excitée. Je pose mon rasoir au sol, me re-savonne une énième fois. Enfin du monde!!! Un petit vieux entre et s’installe à un lavabo. Il est face à moi à 3 mètres tout au plus.
Et monsieur commence lui aussi à se raser, la barbe lui. Je suis couverte de mousse de gel douche. Terriblement excitée par la situation.
Je me rince doucement en promenant mes mains sur mon corps. Je me tourne dos à lui, me cambre légèrement pour lui offrir la plus belle vue possible sur mes fesses. Et si je refaisais semblant de me raser devant lui. Je me penche pour reprendre mon rasoir et commence à promener le rasoir sur mes lèvres gonflées de désir.
J’essaie de regarder discrètement dans sa direction pour voir si il me regarde. Ouiiii
Il me mate. Je continue. Le contact du rasoir sur ma vulve suffit à faire monter le désir.
Vais je avoir le troisième orgasme de la journée.
Le monsieur, ayant surement fini de se raser vient se rincer sous la douche. J’occupe celle du milieu et il vient à ma droite. Nous sommes suffisamment proche pour presque pouvoir se toucher. Je me baisse pour laisser mon rasoir au sol et attraper mon gel douche. J’ai mon visage à quelques centimètres de sa queue.Il n’est pas rasé à cet endroit la. Mais sa queue est longue et épaisse. Je me redresse et fait couler du gel douche sur mon ventre.
Il est concentré à se laver. Surement un vieux naturiste pas du tout réceptif ni émoustillé de prendre une douche en ma compagnie.. Mais moi!!! Je ne tiens plus et faisant semblant de me laver l’entrejambe je me caresse à quelques centimètres de lui. Je suis pleine de savon, et mes doigts glissent dans mon vagin. J’essaie de ne pas lui montrer que je suis en train de me branler en ayant des mouvements désordonnés.
L’orgasme me submerge et je lui tourne le dos en appuyant sur le bouton de la douche afin de faire jaillir l’eau. J’arrive tant bien que mal à étouffer quelques gémissements mais mon corps se tend. Je me redresse sur la pointe des pieds. Une main sur mon clitoris et l’autre appuyant de toutes mes forces sur le bouton de la douche. As t’il vu mon manège?
Le monsieur s’écarte et se sèche. Puis regroupe ses affaires et quitte les sanitaires.
Je me sèche également et rejoins ma tente. Je m’y affale.
Je n’arrive pas trop à réaliser tout ce que je vis depuis ce matin. J’ai l’impression qu’à chaque fois que je quitte ma tente il m’arrive une nouvelle expérience. Et que la nouvelle est plus intense que la précédente.
Dans mon organisation, j’avais l’idée de quitter le camping ce soir pour aller manger quelque part dans le village voisin. Je vois mon linge posé dans un coin de la tente. Je n’ai aucune envie de me rhabiller. Mais cette fois il va bien falloir.
Mais je trouve une astuce pour reculer ce moment difficile. Je pose mon linge sur le siège arrière de ma voiture, regroupe quelques papiers trainant sous les sièges. Je constitue une petite poubelle et décide de conduire nue jusqu’au local poubelle à l’entrée du camping.
Je m’habillerai en bas.
Me voilà partie. Nouvelle sensation, j’aime beaucoup aussi, mais ça j’imagine que vous vous y attendiez.
Je me gare le long de la petite route et vais jeter ma petite poubelle.Il est temps de se rhabiller mais j’attends un peu.Je remarque quelques affiches sur le panneau d’entrée. Je m’en approche pour les lire.
Plan d’évacuation, tarifs, infos générales…
Une voiture descend pour sortir du camping et vient se garer derrière moi. Je suis de l’autre coté de la route. Plaques belge , un couple, la dame sort avec elle aussi sa poubelle à la main. Mais elle est habillée elle.
Je rejoins ma voiture en passant devant la leurs pour que le monsieur me voit bien et m’assoie pour conduire. Ils vont démarrer et partir derrière moi. Ils savent que je suis nue. Je démarre au moment ou la dame remonte à bord. Ils me suivent. Je vois dans mon rétro qu’ils vont tourner a droite grâce à leur clignotant. Je fais de mème. Ils vont me suivre sur cette route sur environ 4 ou 5 kilomètres. Je ne sais pas si ils discutent entre eux sur le fait que je suis toute nue. Mais ça me plaît beaucoup.
Ils finissent par changer de direction. Je m’arrête sur un espace le long de la route et finit par me rhabiller.
Je vous raconterai dans la dernière partie de mon histoire La suite de mes aventures dans mon nouveau terrain de jeu: le camping naturiste et surtout ses alentours…
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Les avis des lecteurs
Pour un homme, il est bon et beau de lire le récit d'une femme qui assume sa féminité et ses liqueurs qui jaillissent du ventre. Plus âgé que vous j'ai trouvé dans le naturisme coquin, avec mon amoureuse, des plaisirs proches du vôtre
