Premiers émois naturistes ( fin) - histoire érotique

Je roule maintenant vers le village voisin, plus exactement une petite ville, afin de trouver un coin sympa pour manger. Je trouve de quoi me garer sur une petite place en arrière de la rue principale. Ce village assez touristique amène pas mal de monde, et je me sens décalée par rapport à ce que je vis dans mon petit camping naturiste.
J’ai sur moi un string un soutien gorge et ma robe blanche que j’avais en arrivant.
Je prends mon petit sac à main et par me balader dans les rues.
Ambiance provençale, maisons en pierres; jardinières de fleurs, des boutiques d’artisanat et de souvenirs avec de larges devantures ouvertes sur la rue.
J’aime beaucoup ces ambiances estivales, mais aujourd’hui j’ai du mal à me concentrer et à profiter de cette ambiance de vacances.
Je me revois en train de me promener nue dans le camping au milieu des gens, ou dans la forêt alentour. Et puis je me prend à imaginer que ce village serait lui aussi naturiste. Tout le monde serait nu. Dans la rue, les boutiques, les restaurants…
Je pense que j’adorerai vivre ça. Je n’ai qu’une envie: me remettre à poil.
Plutôt que de trouver un restaurant, je cherche quelque chose à emporter et à manger au camping. Je veux vite y retourner.D’ailleurs il faudra que j’investisse dans une table et des chaises. Pas trés confortable de manger assise sur mon matelas dans la tente.
Mais ouiiii, il y a un supermarché à l’entrée du village. Je peux surement trouver tout ce dont j’ai besoin.
Tans pis pour la visite de la ville.
Retour voiture et direction le supermarché.
Et si j’enlevais mon string!!!
Je me gare légèrement à l’écart, et discrètement j’ôte ce sous vêtement qui me gène. Et le soutif? Hésitation. Personne à coté de la voiture, je me contorsionne et l’enlève à son tour. Au tour de la robe…. Non je rigole!!!
Je sors et me sens tout de suite bien, la clim en entrant dans le magasin surprend mes tétons qui se dressent aussitôt.
Il me semble qu’on peux le deviner à travers la robe. Légèrement transparente, je pense que si un regard s’attarde sur moi on peux voir que je ne porte rien dessous.
Presque personne dans le magasin. Je repère rapidement le rayon qui m’interrèsse et trouve une jolie chaise pliante. Une d’entre elles étant en exposition je m’y installe. Confortable.
Le rayon étant vide je m’amuse à relever le bas de ma robe pour dévoiler un peu mon sexe furtivement. 
Musique et annonce dans les haut-parleur du magasin:
La jeune femme qui montre sa chatte à tous les clients est priée de quitter le magasin ou de se mette complément nue.
Mais non je déconne!!! Ça annonce juste que le magasin va fermer et qu’on est priés de rejoindre les caisses…. Et habillée s’il vous plait.
Ma chaise à la main, je me hâte de trouver de quoi manger pour ce soir et aussi demain midi.
Caisse automatique , Deux ou trois personnes et je rejoins ma voiture.
Retour vers le camping.
En entrant dans le domaine, non loin de l’entrée je croise une jeune femme, habillée, avec un sac à dos qui semble quitter les lieux. Je n’y prête pas attention sur le moment mais une fois à ma tente je me dis:
Imagine elle part à pied en faisant du stop!!!
Et si je la prenais en stop. Vu qu’elle vient d’ici on pourrait parler « naturisme et ça me plairait bien.
Je m’étais déjà remise nue.
-Et si je reprenais la route toute nue, je l’imaginais monter à mes cotés. Je n’ai jamais eue d’expérience avec une autre fille. Mais sans aller jusque là , ca m’exciterai de me retrouver en voiture avec elle.
Je me lance; je jette ma robe sur le siège arrière et pars nue en direction de la sortie.
Arrivée sur la grande route personne . A droite ou à gauche? Je tente à gauche, et roule prés de 5 minutes. Personne… Soit une voiture l’as prise en stop ( si toutefois elle en faisait), soit elle est partie de l’autre coté.
Je fais demi tour dés que possible.
Je repasse devant l’entrée du camping et poursuis ma route. Après quelques minutes, je m’apprête à renoncer lorsque il me semble la reconnaître. Elle est là, marchant le long de la route. C’est bien elle.
A l’approche de ma voiture , m’entendant surement arriver, elle se tourne vers moi et ouiiii, elle lève le pouce.
Mon coeur qui battait déjà vite accélère encore. Je ralentis , hésite , la dépasse.
J’ai peur mais je ne peux pas laisser passer une occasion pareille.
Je m’arrêtes alors le long de la route. Dans le rétro, je la vois se presser pour rejoindre ma voiture.
Elle arrive, je suis nue, et je baisse la vitre passager.
Elle se penche et me voit.
Un regard surpris mais amusé m’accueille.
-Bonjour, vous allez vous?
-Bonjour je vais à B….. Vous conduisez nue?
Heu oui, désolée je suis au camping, Je vous ai vu le quitter tout à l’heure. Sinon je ne me serais pas arrêtée. Je vous emmène?
Heu… oui allez, merci à vous.
Mettez votre sac derrière si vous voulez.
-ok
Dans ma tête j’eu quelques secondes pour me demander ce que je faisais encore comme connerie!!! Elle avait un leggings noir ainsi qu’un tee-shirt blanc. Elle devait avoir entre 20 et 25 ans, brune cheveux long attachés en queue de cheval. Un visage de poupée avec des yeux d’un bleu magnifique.
Elle prit place à coté de moi et on se mit en route.
-J’espere que vous n’êtes pas gênée que je sois nue.
Ca m’a surprise quand je vous ai vue. Mais je suis également au camping naturiste et j’ai l’habitude de voir les gens nus. Mais en voiture c’est la première fois.
-Vous faites du naturisme depuis longtemps?
-Oui depuis petite avec mes parents.
Je ne vous avez pas vu au camping? Lui demandais-je.
-On a du se rater.
-La ville est loin d’ici? Je ne connais pas trop.
-Environ 20 minutes.
Elle m’expliquait que ses grand- parents habitaient dans ce village et qu’elle allait passer la nuit chez eux. Qu’elle devait retourner au camping demain. Ces parents louaient un mobil-homme pour toute la saison mais s’étaient absentés pour quelques jours.
-Et tes grands parents ( je la tutoyais maintenant) ne pouvais pas venir te chercher?
-Non, Ils ne conduisent plus et j’ai pris l’habitude de faire du stop. Dans le coin je n’ai jamais eu de soucis. Mème si c’est la première fois que je suis prise par une femme nue!!
On éclata de rire toutes les deux.
-C’est une grande ville ou je te mène? Vu que je suis à poil quand mème je ne voudrais pas me retrouver je ne sais pas trop ou.
-non ce n’est pas très grand mais vous pouvez me laisser un peu avant si vous preferez.
-On verra en arrivant. On peux se tutoyer tu sais.
Je sentais le fauteuil sous mes fesses devenir de plus en mouillé.
Je faisais semblant de me gratter, mais j’avais surtout envie de me toucher. Pour la première fois de ma vie, une fille m’excitait.
J’avais envie de poser ma main qui était sur le levier de vitesse sur sa cuisse mais je ne voulais pas la brusquer. Mème moi j’avais peur de ce nouveau contact.
Nous discutions de choses et d’autres. Nous arrivions au village. Grosse frustration de la quitter.
-Et demain tu rentres comment?
-Pareil, en stop.
Tu veux que je viennes te chercher? Ça ne ma déranges pas.
-Je ne veux pas abuser de ta gentillesse,
Je t’assures ça ne me déranges pas, et je viendrais habillée cette fois çi; lui dis je en riant.
Elle ria aussi.
Je la laissais en bas d’une rue à l’entrée d’un joli village.
-Dis moi à quelle heure tu veux que je te récupères demain du coup.
-Tu es vraiment sure que ça ne t’embêtes pas?
-Non je t’assures. Je ne voudrais pas te laisser faire du stop toute seule. Si jamais un détraqué passait dans le coin. Lui disais-je en riant.
un détraqué? C’est pas comme si tu étais à poil dans ta voiture pour prendre des autostoppeurs!!!
C’est vrai j’ai un un peu abusé.
A 11H si c’est bon pour toi alors
-oui pas de soucis
Contre toute attente c’est elle qui posa sa main sur la mienne. Puis elle me fit un bisou sur la joue.
-Merci infiniment et à demain alors.
A demain, bonne soirée.
Je la vis s’éloigner dans la rue. Elle se tourna vers moi et me fit un signe de la main.
Je lui rendis son signe. Elle disparut.
Je repris la route mais avec cette fois les doigts sur ma vulve. Je me caressais pendant tout le retour. En essayant de ne pas jouir au volant.
Je m’imaginais déjà demain avec elle et je me faisais des films sur ce qui allait pouvoir se passer entre nous.
Ce bisou sur ma joue m’avait surprise, vraiment!!! Pourquoi avait elle fait ça? Avait elle envie de moi. Était elle lesbienne ou juste polie et gentille.
Je viens d’avoir 33 ans. J’ai toujours été une jeune femme » sage » sans aucune extravagance.
Mon ex-mari ne m’a jamais poussée dans ce sens et avec du recul je me demande si je ne suis pas passée à coté de toutes ces années. Cette découverte du naturisme tournant quelque peu à l’exhibitionnisme me transcende. Je découvre une nouvelle facette de ma personnalité. Je ne sais pas ou cela va me mener mais je me dis qu’il faut essayer. Essayer tout ce qui me passe par la tête. Dans la limite du raisonnable…. Ou pas!!!
La soirée au camping se passe sans aucune extravagance. Il y a peu de monde. Je mange sur ma jolie chaise.
Un peu avant la nuit, la fraicheur se fait enfin sentir. Je pars faire un petit tour vers les poubelles pour y jeter mes quelques bricoles. Ca ne valait pas un déplacement mais la moindre occasion de ma balader à poil est bonne à prendre.
Envie de croiser du monde mais le petit chemin reste désèspérement vide.
Je me couche enfin en laissant l’ouverture de ma tente ouverte.Je passe un long moment à imaginer ce qui m’attends avec cette jeune fille dont je ne connais mème pas le prénom.
J’élabore différents scénarios. Dans son imaginaire on ose faire beaucoup de choses mais quand la réalité est la, souvent notre éducation et nos angoisses nous freines.
Nous verrons bien demain.
Je dors comme une masse et me réveille tôt 6h. Pipi. Je sors de ma tente. Tout le camping semble encore endormi. Je ne sais pas si c’est le fait de vivre nue ou si c’est parce que tous mes sens sont portés vers l’excitation de toutes ces nouvelles sensations, mais mème le fait de faire pipi m’excite. J’avoue que plusieurs fois dans ma vie je me suis amusée à me pisser dessus, sous la douche, à la mer dans mon maillot, mais il aurait été inconcevable pour mon ex-mari de tenter quelques jeux en ce sens. Quelle tristesse.
A peine réveillée et déjà excitée!!! Serais je en train de devenir une vraie salope?
Je pars en direction des sanitaires mais je trouve dommage d’aller faire pipi normalement aux toilettes. L’envie se fait très pressante en marchant et je commence à avoir du mal à me retenir.
Et je me dis alors:
Pourquoi te retenir? Et si je me pissais dessus en marchant!!!
En plus en tongue c’est pas grave ça se rince.
Je me laisse aller, mais à chaque pas un instinct naturel reprends le dessus et mes muscles se crispent. Arrivée devant les wc , je n’ai toujours pas réussi à faire pipi.
Je continue donc à marcher sur ce chemin. Le chemin qui passe près de la réception, de la terrasse du bar et continue vers la piscine.Concentrée, les premières gouttes arrivent enfin et le liquide chaud coule sur mes cuisses . La sensation est à la hauteur de mes espérances.
La fraicheur du matin contraste avec la chaleur de mon urine. Une deuxième salve d’urine arrive bien plus importante que la première. Cette fois ça coule entre mes deux cuisses, et je sens que ça arrive jusqu’à mes pieds. Je marche toujours et à chaque pas je libère un peu plus d’urine et le robinet s’ouvre enfin complètement. C’est un véritable déluge de pisse qui s’abat sur mes jambes.
Le bruit que provoque l’urine en s’échappant de mon corps me procure un grand moment d’excitation.
On a tous déjà entendu ce son caractéristique. Mème à travers les portes des toilettes. Et bien je l’entends venant de moi alors que je marche dehors.
Le jet est puissant et par moment je vois que ça gicle en avant. Si quelqu’un arrivait, mème de loin il verrai assurément que je suis en train de me pisser dessus.
La sensation est divine, je ne pensais pas qu’il pouvait y en avoir en aussi grande quantité.

Assise sur les toiletes, on ne se rend pas vraiment compte du volume. Mais là alors. Je suis inondée.
L’envie s’apaise peu à peu. Je touche mes cuisse et mon sexe trempé, puis porte mes doigts à ma bouche. Ma langue s’enroule autour de mon doigt souillé. Je réitère le geste plusieurs fois.
Le gout n’est pas désagréable. De retour à ma tente je décide de me rincer au point d’eau situé entre les deux emplacement. Personne a proximité.
L’eau fraiche jaillit et je m’asperge. Je tends mon ventre en avant et me rince. Je me tourne et fait couler l’eau entre mes fesses . Malgré cette période caniculaire la fraicheur matinale me saisit et surtout la température de l’eau contraste avec celle de ma pisse quelques minutes plus tôt.
Je me recouche et vous savez quoi? Je me rendors après m’être masturbée.

Il est bientôt l’heure de retourner chercher ma petite autostoppeuse. Douche pour me faire toute propre et fraiche.
Je décide d’enfiler ma robe, sans sous vêtements. Je roule en mélangeant excitation et stress. Le village approche, J’ai 10 minutes d’avance. Je me gare le long de la route un peu avant le village.
Je n’arrive pas à savoir si c’est la peur ou l’excitation qui prend le dessus. Respiration.
Je redémarre pour me garer un peu plus près de notre lieu de rendez-vous lorsque je la vois arriver.
Elle s’est changée. Elle porte une robe semblable à la mienne mais bleue. La sienne a des manches courtes. Elle à défait ses cheveux. Elle est magnifique. Elle m’aperçois et me fait un signe.
Et bonjour me dit elle.
Bonjour. Comment vas tu depuis hier.
Très bien me lance t’elle avec un grand sourire et en envoyant son sac sur la banquette arrière.
Son large sourire dévoile ses dents parfaites. D’un blanc pur. Ses lèvres semblent douces. Je me perds quelques instants dans le bleu profond de ses yeux… Je craque!!!
Nos visages s’avancent l’un vers l’autre en même temps et nous nous faisons la bise.
-Merci d’être venue me chercher, ça me fais très plaisir. Je vois que tu t’es habillée?
-Oui tu as vu ça. J’ai eu du mal.
-On pourra se mettre nue au camping, J’ai hâte.
-Ou avant!!!
Et on se mets à rire. Je me demande comment est son corps. J’ai envie de la voir nue.
Au fait, je m’appelle Léane et toi?
-Camille.
-Tu as passé une bonne soirée avec tes grands parents?
-Oui, ils m’ont fait manger comme 4. Comme à chaque fois. Et toi?
Oui je ne me suis pas couchée tard et j’ai pensé à toi.
A moi?
Oui j’ai eu un peu honte après coup de t’avoir prise alors que j’étais à poil.
Aaah, Beh c’est rien. C’était amusant et tu es très jolie en plus. Je peux te demander ton âge?
J’ai 33 ans et toi?
21 j’aimerai bien avoir ton corps quand j’aurais ton âge!!!
Hey, ça va, je suis pas si vieille non plus.
Et on éclata de rire toutes les deux.
Tu as des seins magnifique, les miens sont plus petits. Ca me frustre souvent.
-Pourquoi? Il ne faut pas, je suis sure qu’ils sont très jolis.
Surement mais quand j’étais petite je rêvais d’avoir une grosse et belle poitrine. Je pense que c’est mort pour moi. Quand j’ai vu les tiens hier, Je n’arrivais pas à regarder ailleurs.
Il faut que je te les remontres alors?
J’adorerai.Oui
Je n’en revenais pas. J’avançais lentement mais surement vers ma première relation homosexuelle. Je me trompais peut-être, mais elle me donnais l’impression d’être attirée par moi. A moins que se soit la naïveté de son jeune âge. En tous cas, de mon coté j’avais vraiment envie d’explorer cette nouvelle expérience qui s’offrait à moi.
La route sur laquelle nous roulions est une petite route du sud de la France, Reculée des grandes nationales et bordée par de grandes forêts se chènes. La circulation est bien moins dense que sur les grands axes.
Je m’arrétais sur le bas coté et détachais ma ceinture de sécurité.
-Je veux bien te montrer ma poitrine mais je dois enlever complètement ma robe et je n’ai rien dessous.
Je t’ai vu nue hier déjà, tu sais.
-Oui c’est sur.
Je dandinais mes fesses sur le siège afin de décoincer ma robe et en me contorsionnant je la faisait glisser par dessus ma tête.
-Whouaaa, soupira t’elle, t’es trop belle.
On n’est pas à égalité maintenant. Tu peux faire pareil si tu veux, mais ne te sens pas obligée. C’est comme tu le sens.
J’ai l’habitude depuis toujours d’être nue mais c’est vrai que ici au bord de la route, ça fait bizarre. Mais oui pas de soucis.
Elle rehaussa ses fesses, fit remonter sa jolie robe bleue et dévoila un joli string blanc. Sa peau brune était bronzée à merveille et le contraste avec le blanc de son slip était à en faire pâlir plus d’un. Au fur et mesure que sa robe montait le long de son corps, je découvrais un corps magnifique. Fine et ferme, une peau parfaite sans grains de beauté ni taches de rousseurs.
Ma vulve s’enflamait au mème rythme que sa robe remontait. Ses seins apparaissèrent enfin.
Certes petits mais d’une forme parfaite. De jolis tétons rose se dressaient fièrement . Ils ne faisait pas froid du tout et j’en concluais que c’était du à l’excitation . J’étais aux anges et mon clitoris me brulait.
Elle posa sa robe sur ses genoux. Elle me regardais avec ses yeux bleus . Un bleu entre les profondeurs de l’océan et les lagons du pacifique. Pour la première fois de ma vie j’eu envie d’embrasser une femme.
Ta poitrine est magnifique. Ne sois pas frustrée . Tes seins me plaisent énormément. Ton corps est d’une beauté que je n’ai rarement vu. Tu semble pure, et tes yeux!!! Tes yeux me font chavirer ma belle.
C’est vrai je vous plait? Vous êtes lesbienne?
Je n’ai jamais eu aucun rapport avec une femme. Mais je t’avoue que toi… Je n’ai jamais ressentis une chose pareille. Tu as éveillé en moi des envies incroyables.
Mon visage s’approcha du sien. Le sien fit de mème sans que nos yeux ne se quittent un instant.
Nos lèvres se touchèrent. J’eu comme une douce décharge électrique dans tout mon corps et je sentis couler entre mes cuisses d’abondantes sécrétions.

Un klaxon et le lourd vrombissement d’un camion nous sortit de notre douce étreinte, nous rappelant que nous étions en train de nous embrasser à poil au bord de la route.
Le chauffeur avait du apercevoir une chose peu habituelle et nous avait manifester son agréable surprise.
-Il vaut mieux qu’on roule disais-je à Camille en redémarrant.
-Moi aussi c’est la première fois tu sais. J’ai un peu peur mais ça m’a plu de t’embrasser.
-J’ai adoré aussi, j’ai déjà envie de recommencer.
-Rentrons au camping.
En roulant elle se pencha vers mon visage et me fit un baiser d’une douceur incroyable sur la joue, tout en posant sa main sur la mienne. La situation était tellement incroyable. Elle caressait le dessus de ma main du bout de ses doigts avec une douceur extrême.
En franchissant l’entrée de notre camping elle me chuchota:
-J’ai envie qu’on essaie de faire l’amour, Viens dans mon mobil-home.
Je ne pu sortir aucun mot de ma bouche, mais en la regardant je lui fis un signe de la tête pour approuver. C’était fou. J’allais faire l’amour pour la première fois de ma vie avec une femme.
Et quelle femme en plus!!! Une merveille de 21 ans. J’étais au dela de toute rationalité, je me laissais juste porter par ce que je dictait mes entrailles.
Elle me guida jusqu’à son petit chez-elle. Pas de soucis pour sortir nue de la voiture vu que nous étions dans le camping.Elle sortie la première ,sa robe à la main et ne pris pas son sac resté derrière. Je la suivais. Elle paraissait encore plus belle. Sa longue chevelure brune tombant à la moitié de son dos invitant mon regard à découvrir ses fesses. Un petit cul magnifique, ferme mis en avant par son string qu’elle avait gardé sur elle.
-J’ai oublié la clé dans mon sac!!! Me dit elle .
Je m’écartais légèrement afin de la laisser retourner à la voiture et nos peaux s’effleurèrent.
Je me pinçais les lèvres avec mes dents .
Elle pu ouvrir. Je ne fis pas attention à l’aménagement , mais je lui dis juste, comme deux ados qui se cachent:
Tes parents ne risquent pas d’arriver au moins.
-Non aucun risque , ils ne reviennent que après demain.
Elle pris ma main et m’entraina dans sa chambre. Elle me fit m’assoir sur le lit puis délicatement me poussa en arrière pour que je m’allonges sur le dos. Elle se mit au dessus de moi en faisant avancer ses genoux un à un de part et d’autre de mes jambes. Sa peau était tiède, douce. Elle se pencha vers moi. Je posais mes mains sur ses fesses. Sa bouche rejoignit la mienne. Mon dieu comme ce contact était agréable. Rien à voir avec un baiser à un homme. Rapidement je sentis la pointe de sa langue sur la mienne. Nos bouches faisaient connaissance, nos lèvres se découvraient, nos langues se mêlaient, nos salives se mélangeaient.
Son buste venu se poser contre ma poitrine, je pouvais sentir les battements de nos deux coeurs.
Je promenais mes mains sur ses fesses, montant dans son dos puis redescendais. Je passais mes doigts dans ses cheveux. De mes deux mains j’entourais son visage d’ange et mes yeux plongés dans les siens, envoutée par ce bleu infini, je sentis monter en moi un sanglot. Un profond sanglot d’émotion intense et incontrôlable.

Voyant mes yeux s’embuer, elle eu un regard de tendresse infini et ses yeux se mouillèrent aussi.
Nous nous mirent à pleurer toutes les deux, ce qui eu tendance à nous faire rire en mème temps.
L’émotion de ce que vous vivions était vraiment intense.
Elle se décala sur le coté et vint blottir sa tête sur mon épaule. Elle posa sa main sur mon ventre. De ma main droite je lui saisis doucement le poignet et fis glisser sa main jusqu’à mes seins.
Je sentis un soupir profond et sa main se mit à caresser ma poitrine. Elle passait délicatement de l’un à l’autre, ses doigts effleurant mes tétons qui n’avaient jamais étés autant tendus je pense.
Elle descendis lentement son visage et sa langue alla s’amuser avec mes tétons. Elle semblait prendre énormément de plaisir à caresser, malaxer, pétrir mes seins ? Ses lèvres les suçaient, ses dents les mordillaient, sa langue les léchaient.
C’était divin.
Je la fis tourner le dos sur le lit, commença à caresser son visage. Mon majeur se promenait sur ses lèvres, entra délicatement dans sa bouche . Je caressais sa langue, puis je posais mon doigt humide sur un de ces tétons. Elle se cambra instantanément en gémissant.
Ma main continua sur son ventre et je ralentissais à l’approche de son string. Elle eu un regard que je n’oublierais jamais. Un regard me suppliant de continuer, un regard mélangeant un désir énorme et une angoisse comme on peux la lire dans le regard d’une enfant qui cherche du réconfort dans les yeux de sa mère ou de son père.
Elle m’attrapa par le cou, tira ma tète vers la sienne et me chuchota :
-Touches moi
Mes yeux, à nouveau embués, ne quittèrent pas les siens.
Ma main glissa sous le tissus de son string et alla se perdre entre ses lèvres mouillées. Je ne sentis aucun poil. Seule sa peau lisse et douce. Je faisais doucement glisser un doigt à l’orée de ce sexe brulant prèt à exploser. Je la sentis à nouveau se raidir. Ses genoux remontèrent se serrer sur ses cuisses. Me tenant toujours par le cou elle serra ma tête contre la sienne, et dans un cri de jouissance extrême qu’elle ne pu retenir, elle fut secouée d’un orgasme magnifique qui dura plusieurs secondes.
A genoux à ses cotés je continuais à promener mes mains sur son corps. Je venais me placer au niveau de ses pieds et, commençais à descendre son string pour la libérer enfin de ce bout de tissus récalcitrant.
Elle était enfin nue devant moi. Je lui écartais doucement les cuisses.
J’avais envie de gouter son sexe encore brulant.
Je découvrais à 33 ans l’amour avec une femme et je me sentais comme une adolescente qui découvre des plaisirs interdits. En penchant mon visage vers cette petite chatte brillante de désir je me disais au fond de moi:
-whaou,je vais faire un cunni à une jeune femme; Je suis devenue lesbienne? Je ne sais pas mais c’est tellement bon.
Je n’avais jamais connu une telle sensualité en faisant l’amour avec mon ex-mari ou mes précédents partenaires. Avec les hommes c’est toujours plus viril et ce n’est pas pour me déplaire.
Je n’ai jamais aimé la vulgarité, les hommes qui parlent mal du style:( tu aimes ça hein salope)
Mais un peu de poigne, me faire secouer, sentir que » je me fais sauter » J’aime beaucoup.
Là, avec Camille je vivais autre chose.
Quand les lèvres de ma bouche touchèrent les lèvres de son sexe, je n’eu plus aucune peur ni réticence.
Je me mis à découvrir ce nouveau monde. La douceur de son sexe, l’odeur de sa vulve m’envoutait.
Ma langue reconnaissait ce que mes doigts avaient tant explorés dans mon corps depuis si longtemps. J’avais presque l’impression de me faire un cunni à moi mème.
Je sentis ses mains dans mes cheveux. Elle appuyait pour que mes caresses soient plus profondes. Elle remuait son bassin au rythme de mes coups de langue, je sentais son clitoris brulant entre mes lèvres. Son vagin devint alors encore plus humide, ses sécrétions encore plus abondante. Je recevais dans ma bouche le cadeau qu’elle m’offrait en jouissant une nouvelle fois.
Je ne voulais plus que ma bouche quitte ce sexe magnifique, je continuais délicatement à promener ma langue entre ses lèvres puis autour, les écartant doucement de mes doigts pour dévoiler son clitoris . Ma langue le caressait en petits ronds et parfois je le prenais entre mes lèvres pour le sucer et l’aspirer.
Camille se tourna peu peu dans l’autre sens. Ses doux baisers accompagnés de coups de langues approchaient doucement de mon sexe . Je comprenais que ça allait être mon tour de vivre un moment magique.
Elle vint se placer au-dessus de moi en position de 69.
J’avais sa plus profonde intimité à quelques centimètres de mon visage.
Je posais mes mains sur ses fesses, la tête en arrière je fermais les yeux et me laissez aller à ses caresses.Sa langue chaude était d’une douceur incroyable. Je promenais mes mains sur ses fesses, les remontais dans son dos. Les faisant glisser jusqu’à ses seins, J’ouvrais mes yeux pour voir ce petit anus rosé et palpitant de Camille.
Putain!!! Je faisais un 69 avec une fille. Je relevais un peu ma tête et ma langue alla se poser sur ce petit trou du cul. Je me laissais aller complètement aux sensations qui s’offraient à moi sans plus aucune retenue.
Je sentis monter l’orgasme. Je serrais mes bras autour de ces hanches, mon visage enfoui entre ses fesses.Secouée de nombreux spasmes j’avais l’impression que toutes mes pulsions sexuelles refoulées depuis tant d’années se libéraient enfin.
Nous nous endormirent presque un moment sans changer de place. Elle, sa joue posée sur ma vulve, et moi la tête sur l’oreiller, avec une vue imprenable sur le coeur de son vagin et son anus.
J’ai un peu voyagé dans ma vie, J’en ai vu des baux paysages mais cette vue là restera de loin la plus belle de toutes.

Durant le temps que nous avons passées ensemble avant mon départ qui fut un déchirement, Nous refîmes l’amour plusieurs fois avec toujours autant d’intensité.
Camille habitant vers Montpellier, à deux heures de chez moi, nous nous promirent de nous revoir…. En cachette de ses parents.