Pris au piège!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Pris au piège! Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pris au piège!
Comme prévu la veille, je me rends chez la mère de ma copine, pour la conduire chez son médecin. Je suis dans la voiture, moteur en route, attendant son arrivée. Il faut dire que je suis arrivé bien avant l’heure dite. C’est au moment où je m’attendais le moins que je la vois sortir de son hall.
-Ça fait longtemps que tu attends ? Me lance-t-elle en prenant place sur le siège.
-Non, je viens d’arriver.
- La cause de mon retard est due au fait que je n’ai plus rien à me mettre aux pieds. Il a fallu que je cherche dans les vieilles chaussures pour trouver quelque chose à me mettre aux pieds. Me fait-elle en m’exhibant des ballerines noires et brillantes.
Quelques kilomètres plus tard, je la dépose devant le cabinet et je cherche une place pour me garer pour attendre son retour. Je profite de l’instant pour bouquiner. C’est alors qu’une idée me vient à l’esprit. À un tel point que je suis impatient que Jeanine me revienne. Je trépigne même d’impatience, à vrai dire. Quand enfin je la vois sortir du cabinet médical, j’ai le cœur qui bat la chamade. Je sors de la voiture et marche jusqu’à elle.
-Tu as un problème ? Me fait-elle un peu surprise de ma venue.
-Non, seulement que j’aimerais vous faire plaisir.
-Comment ça, lâche-t-elle d’un ton étonné.
-Venez, vous verrez…
Ne cherchant pas à en savoir plus, elle se met à m’emboîter le pas, jusqu’à arriver devant l’entrée de la boutique désirée.
-Qu’est-ce que tu fais ? Me fait-elle.
-Je vous invite à entrer.
-Mais Alain, je n’ai pas les moyens !
-Moi oui… entrez !
Résultat, Jeanine ressort quelques minutes plus tard avec deux boîtes de chaussures en main.
-Merci Alain. Je ne sais comment te remercier.
-Vous l’avez fait en portant aux pieds cette belle paire de sandales.
-Je me sens très à l’aise dedans.
-Vous m’en voyez ravi pour vous.
L’ambiance est euphorique pour le retour. Je m’autorise même de lui révéler un de mes souvenirs.
-Un soir du 14 juillet, après un défilé, vous vous êtes baissée pour aider votre fille de lui retiré sa tenue de majorette.
-C’était Sylvie.
-Oui, c’était elle. Et pour ça, vous vous êtes accroupie.
-Oui, la meilleure position pour ce faire.
-Oui, mais se faisant, vous m’avez exhibé sans le savoir la fourche.
-Oh ! Alain… on voilà des manières !
-C’était plus fort que moi. J’étais toujours à l’affût de ce genre d’exposition.
-Je ne m’en souviens pas, mais je pense que tu n’as pas eu grand-chose à te mettre à tes rétines.
-Erreur ! Il se trouve que ce jour-là, pour le besoin de regarder le feu d’artifice, j’étais muni d’une paire de jumelles. Et à l’abri où je me trouvais je n’ai pas hésité un seul moment de m’en servir.
-Non… tu as fait ça ! Toi ! Me lâche-t-elle.
-Et voyez-vous Jeanine, ce soir j’ai eu l’agréablement panorama de votre entrejambe. Et je me rappel comme si c’était hier, d’apercevoir une bande de tissu blanc, d’où s’évader des poils.
-Alain, voyons, tu me mets dans l’embarra, tu sais ?
-Il ne faut pas ! C’était un besoin chez moi d’assouvir ma curiosité.
-Eh bien, j’espère que tu en as bien profité.
-Pas aussi longtemps que je le désirais…
-Comment ça ?
-Sitôt la tenue de majorette retirée, vous vous êtes redressée…
-Et tu l’as regretté ?
-Je n’aurais pas été contre d’un peu plus.
-Tu n’as pas honte ? Tu avais quel âge ?
-J’étais très jeune.
-Et très cochon…
-Ça doit bien remonter à une bonne dizaine d'années !
-Au moins, oui…
- J’étais moins en chair à cette époque-là…
-Par contre, vous êtes toujours aussi agréable à regarder.
-Je ne rêve pas là, tu me dragues ?
-Aller savoir !
- Les chaussures, puis cette confession. Toi au moins, tu n’y vas pas par quatre chemins !
- Je ne vois pas pourquoi je me gênerais !
-Eh bien, il ne faudrait pas que Sylvie l’apprenne, elle, jalouse comme elle est, elle me ferait une scène pas possible ! Fait-elle en posant son regard sur le mien, alors qu’en est arrivé.
Elle a de grands yeux sombres, un peu écartés, et une bouche boudeuse, entrouverte sur des dents carnassières.
-Vous m’offrez un café ?
-Avec ce que je viens t’entendre, j’hésite ! Mais enfin, je te dois bien ça. Répond-t-elle d’une voix acidulée.
Après avoir déverrouillé la porte, elle m’invite à entrer. Je referme la porte alors qu’elle pose les deux cartons sur le petit meuble de chaussure à l’entrée. Et alors qu’elle s’apprête à se déchausser, je la l’en dissuade.
-Qu’est-ce que tu as ?
-Si vous le permettez, j’aimerais vous déchausser.
-Après ce que je viens d’entendre, j’hésite de me laisser entre tes mains !
- Je vais alors m’abstenir !
-Je plaisante, me lâche-t-elle. Tu ne peux pas savoir comment je suis heureuse quand beau gosse comme toi me caresse les pieds.
-Je n’irai pas jusqu’à là ! Fais-je en m’agenouillant à ses pieds. Enfin, j’ajoute, sans votre aval.
Cela la fait sourire. Je lui saisis la jambe droite entre la cheville et le mollet. Je la sens frémir à ce contact. J’ai la main ferme et le geste assuré, j’attrape délicatement le talon de sa sandale et fais lentement glisser la chaussure en la regardant droit dans les yeux, puis avec un sourire à peine esquissé.
Puis mon attention revient sur le pied, que j’ai posé sur ma cuisse. Je saisis alors la chaussure et glisse une lanière entre ses orteils, puis force un peu pour la faire glisser entre les doigts. Sous la surprise, Jeanine garde le silence.
Pour déchausser son autre pied, je l’invite à prendre place sur le petit banc, posé sur un coin. Dans le mouvement, la jambe monte et les genoux s’écartent de quelques centimètres. Je ne peux retenir mon regard, comme le soir d’un 14 juillet, glissé entre ses cuisses. Je crois percevoir une bande de tissu blanc. Sa culotte ! Je veux en avoir le cœur net. Pour ça, j’accentue l’écartement des jambes afin que la lumière pénètre plus largement entre les cuisses et me permette de voir avec certitude ce que je souhaite voir.
D’elle-même, peut-être suite à ma confession, Jeanine s’autorise à écarter un peu plus encore le compas de ses jambes. Un délicieux bien-être m’envahit, alors qu’un délicieux picotement taquine ma queue. Je fais entamer à mes mains un massage des mollets puis remonter vers ses cuisses. Jeanine n’a pas la volonté de m’en dissuader. Du bout des doigts, j’effleure la culotte blanche tendue et Jeanine laisse échapper un gémissement.
-Ça va, Jeanine ?
-Je ne sais pas, à vrai dire…
Je passe mes mains fureteuses sous la jupe pour agripper l’élastique de la culotte et tire doucement, la faisant glisser le long de ses fesses puis de ses cuisses. Ayant dégagé la culotte, je la porte à mes narines pour s’enivrer des odeurs intimes de la mère de ma copine du moment.
-Alain, je pense que nous allons faire des bêtises ?
-Les bêtises, c’est toute ma vie !
Je me saisis de son pied et le porte à mes lèvres pour y déposer des baisers ardents. Puis, du bout de la langue, je lèche un à un les orteils au goût salé. Mon plaisir monte aussi lentement qu’inexorablement. J’ai la tête prête à éclater, mais ce n’est pas de migraine !
-Je dors tout éveillé, là ! Me lâche-t-elle.
-Ça vous arrive de ce genre de scène, Jeanine ?
-Non… et c’est dommage, tu ne crois pas ?
- Je suis persuadé, par contre, que vous vous êtes déjà caresser en pensant à moi.
-Petit prétentieux…
-Soyez honnête… ne me mentez pas !
-Oui, cela m’est arrivée de me caresser, oui ! Avoue-t-elle. Mais rien qu’une fois !
-Ah ! Vous voyez, que vous ne pouvez pas me mentir.
D’un grognement, je lui demande de poursuivre son récit.
Mais avant touche chose, je l’entraîne jusqu’au salon. La pousse même, a collé son cul sur le divan. Elle ne songe même pas à protester quand mes doigts déboutonnent son chemisier, puis s’insinuèrent lentement entre son soutien-gorge et sa peau très blanche. Ni lorsqu’ils atteignent son mamelon qui s’érige aussitôt. Que c’est, bon d’être l’objet d’une femme en manque de câlins ! Je n’ai ni de scrupule, ni de tabou.
Je relève complètement la jupe, la saisis par les hanches et fermement la force à se mettre au bord du divan. Elle s’offre sans aucune résistance. Les cuisses suffisamment écartées pour me permettre la vision de son sexe luisant aux lèvres disjointes, niché entre deux buissons. Comme tout le temps devant ce beau tableau, je ne parviens pas à maîtriser mes pulsions.
Son odeur me soûle. Jeanine est tellement ouverte que j’ai la sensation de pouvoir enfouir mon visage entier dans son vagin brûlant. Ma surprise se confirme à la vue du clitoris qui pointe entre les nymphes, tellement elle est excitée. Il mesure bien quelques centimètres et je n’en ai jamais vu d’aussi arrogant. Je colle mon nez dans la fente déjà humide. Elle reprend son récit, entrecoupé de halètements et de silences.
-Tout en pensant à toi, j’avais la chatte était inondée. Je n’en pouvais plus, alors j’ai introduit mes doigts dans mon vagin. Mon clitoris vibrait sous mes caresses. C’est là, visuellement ton visage m’est apparu. Et j’ai joui !
Elle se mord les lèvres après cet aveu brûlant. Soudain, l’envie déraisonnable de lui lécher la chatte me traverse l’esprit, et je le lui en fais part.
- Moi je n’ai qu’une envie en ce moment !
-Oui, laquelle ?
-Celle de vous sucer le sexe.
-Tu ne devrais pas faire ça, je ne me suis pas lavée, implore-t-elle.
Pourtant j’insiste, j’écarte fermement ses cuisses et pose ma bouche sur sa vulve odorante. Là, je deviens comme fou. A ne plus contrôler mes paroles.
-Vous sentez vraiment fort de la chatte… et j’aime ça !
Ma langue lèche sa vulve dans ses moindres recoins, je l’enfonce au plus profond d’elle et aspire ses effluves. Je veux tout avaler ! J’en profite pour lui faire une toilette méticuleuse avec ma langue avant de revenir plus sagement sur un clito. Soulée, par son plaisir, la voici qui me prend la tête et la plaque contre son pubis.
-Lèche-le bien, tète-le, aspire-le, je jouis facilement du clito…
Je l’entends gémir à chacune de mes coups de langue. Manifestement, elle apprécie ce que je lui prodigue. Son bassin se tortille. Elle se lâche, elle-aussi dans ses paroles.
-Vas-y encore, plus fort, aspire-le dans ta bouche.
Ce ne sont plus des gémissements, mais carrément des cris qui remplissent la pièce. Elle accentue la pression sur ma tête pour que je continue. Bruits de succion obscènes. J’ose même, dans un moment de folie, mordiller son bouton, juste du bout des dents pour ne pas lui faire mal. La réaction ne se fait pas attendre, le même râle guttural que le premier coup de langue, s’échappe de sa poitrine. Qu’elle réitère ensuite à chaque coup de léchage. Jusqu’à ne plus en pouvoir, et de me repousser sans ménagement et termine elle-même sa jouissance, en se frottant la chatte à pleine main comme une possédée.
L’odeur puissante de sa mouille se répand dans la pièce. J’écarte les fesses chaudes, en pétrissant la chair. La mouille poisse la raie. J’y trempe mes doigts pour les glisser ensuite dans la raie. Jeanine se cabre sur ma main. J’enfouis mon doigt au fond de la raie, tâtonnant sur l’anus entrouvert. Les abords du trou se ramollissent. Je n’ai qu’à pointer mon doigt sur l’orifice pour que le sphincter se relâche. J’introduis mon doigt par saccades dans le rectum, éprouvant au passage les contractions des parois autour des phalanges. Emporté par l’excitation, je pistonne rapidement le rectum. Un flot de mouille inonde ma figure. Elle me fixe avec un éclat vif dans ses yeux.
-Tu as peut-être encore le temps de t’occuper de mes tétons, j’adore ça, propose-t-elle sans quiproquos.
Je saisis les deux globes que je pétris, que je malaxe tout en léchant deux tétons assez gros et proéminents.
-Tète-moi fort, tu ne peux pas savoir comme j’aime ça, réclame-t-elle.
Je m’exécute.
-Encore plus fort ! Fais-moi mal ! Mords-moi les tétons ! Mords-moi fort ! Vas-y, n’hésite pas… je ne suis pas Sylvie.
Culbutée par le prénom de ma copine, je me mets à pincer très fort les deux tétons simultanément. S’en suit une longue séance de maltraitance de ses nichons.
-Plus fort je te dis, oui encore plus fort, pince-les, étire-les, continue, Alain, tu vas me faire jouir. J’étire ses deux nichons, en écrasant les bouts avec mes doigts, de toutes mes forces.
Soudain, un râle guttural sort de ses entrailles, elle jouit d’une puissance insoupçonnée durant de longues secondes. Enfin, elle me repousse et saisit elle-même ses deux seins pour les malaxer à son tour sans précaution, ce qui a sans doute pour effet de prolonger sa jouissance.
-Je pense qu’il serait bien qu’on ne te voit pas ici seul avec moi.
-Je le pense aussi.
Loin d’être rassasié de cette relation. Je profite bien plus tard, que Jeanine s’en aille pour se rendre comme elle le fait tous les jours, dans l’appartement qu’elle en a la surveillance pendant l’absence de ses propriétaires pour la suivre à distance.
Sitôt la porte ouverte, je me faufile pour me glisser derrière elle.
-Tu es fou ? Qu’est-ce que tu fais là ?
Sans prendre la peine de lui répondre. Sachant qu’elle affectionne cela. Je prends ses seins dans mes paumes et les malaxe sans ménagement, faisant rouler les pointes entre mes doigts.
-Oui…Je vais jouiiiiiiiiir !
Je profite de sa liesse pour câliner ses flancs. De glisser mes mains sur ses fesses. Je prends le temps d’en dessiner les contours d’un doigt. Très vite, je cède à l’envie qui me tiraille depuis ma venue, le ventre. Je soulève pour ça le tissu qui me sépare de son intimité, glisse mes doigts dans sa culotte, puis plonge au contact de sa chatte, déjà moite de désir. De son côté, la coquine tâtonne pour ouvrir ma braguette. Dès que c’est fait, elle s’empare de ma queue raide et la libère ainsi que les couilles. Ma queue remue doucement, elle replie ses doigts autour d’elle et se met à la masser longuement.
J’accélère le va-et-vient de mon index dans le vagin dilaté. Avec mon autre main, je cherche à atteindre son anus. Jeanine arque les reins au maximum et sa main se serre avec force autour de ma queue. Du pouce elle malaxe mon gland, faisant jouer sous la pulpe de son doigt les deux masses arrondies trouées par le méat.
Je suis dans un état second. Je dégage ma queue de sa main pour la guider vers sa tirelire. Dès qu’elle sent que je la frôle, elle rejette la tête en arrière. Je l’empale doucement d’un lent mouvement glissant. Elle halète maintenant et s’agrippe à moi. Mes coups de reins la font osciller.
Je distingue ma verge qui coulisse, poisseuse de mouille, entre les grosses lèvres distendues. Je ne cherche même pas à me retenir, j'explose en elle en longs jets de semence en grognant comme une bête tandis qu’elle continue de faire des va-et-vient pour me soutirer jusqu’à la dernière goutte.
Après m'être retirée de son fourreau, je distingue qu’un filet de jus s’écoule de son con. Elle le récupère avec son doigt et l’étale sur sa toison pubienne. Puis, glissant à nouveau sa main dans sa vulve, elle en récupère encore un peu avant de porter ses doigts à sa bouche et de les lécher. Elle déguste ma semence.
-Trop bon ton jus, trop bon comment tu baises, conclut-elle. Ma fille a bien de la chance, de t’avoir.
Je me garde bien de lui répondre. De lui révéler, que la jouissance qu’elle vient de prendre dans sa chatte, sa fille n’aura jamais la chance de la recevoir. Malgré nos sept mois ensemble.
Peur qu’elle me piège !

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