Pris en Stop !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 350 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 532 389 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 675 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Pris en Stop !
Je reviens au vécu, c'était l'année de mon service militaire, je crois ! Oui, c'est sûr !
J'étais quasiment à la fin !
Pendant une permission, je sors un soir avec des amis.
Je les saoule un peu avec mon obsession, envers ma première ex-petite amie.
Je rêve de la reconquérir, mais je n'en aurai pas besoin, c'est elle qui me relancera !
Nous sommes à présent dans une boite en bord de plage, à 12 KM de chez moi, ou plus.
Je m'ennuie fermement, la musique est nulle !
Puis vers 1 heure du matin, je décide de sortir prendre l'air.
Je ne sais pas ce qu'il me passe par la tête, mais je prend la décision de partir, pour rentrer chez moi en Stop !
Cela sans les prévenir, je sais, ça se fait pas !
J'arrive vers La Seyne Sur Mer, au bout de 45 minutes, puis une voiture s'arrête.
Elle est occupée par 4 hommes d'une trentaines d'années.
"Où tu vas jeune ?".
"Toulon !".
"Allez montes, on te ramènes !".
"Mais, on va être serrés !".
"Mais non, c'est une 5 places ! Allez montes !".
L'un d'eux ouvre la porte à l'arrière, sort, et me laisse monter entre eux.
"Maintenant que t'es coincé, on t'as déjà dit que t'étais mignon comme mec ?".
"Euh, oui !".
Je suis troublé par cette phrase directe, je repense à mes baises vicieuses avec le Lieutenant et ses amis.
"C'était des mecs ?".
Je ne réponds pas, je cherche à éviter le sujet ! Mais la main qui me caresse la cuisse, confirme que je suis tombé dans un piège pour jeune garçon comme moi.
"Alors ? Tu réponds pas !".
"Euh, oui, aussi !".
"Ah bon ! Et t'as baisé déjà avec des mecs ?".
"Je ... euh, oui avec des hommes plutôt, pas des jeunes !".
"Comme nous alors ?".
Depuis la confirmation de mon homosexualité, l'un d'eux a sorti sa queue pour se masturber à mes cotés, l'autre a attiré ma main, pour que je dégage son sexe qui bande dans son jeans.
"Oui, comme vous !".
"Souvent ?".
"Euh, j'ai pas l'habitude de parler de ça ! Oui ! Presque tous les jours, à l'armée !".
"T'as un mec là-bas alors !".
"Oui, c'est un gradé, euh...il...il me baise souvent avec ses copains !".
Je suis excité, je n'ai plus de retenue verbale, je branle deux queues à la fois.
"Ohhh ! Toi, on va t'emmener chez moi ! On va s'occuper de ton cul comme il faut !".
L'un de ceux que je branle m'ordonne:
"T'es mince, tu devrais arriver à nous sucer tous les deux pendant qu'on arrive chez mon pote !".
Je me contorsionne et trouve la position idéale pour faire une longue double fellation sur les deux inconnus.
"Oh, putain, il est bon, ce p'tit con ! Il est doué pour les pipes ! Ouais, continues de nous bouffer la bite comme ça !".
"Jacques dépêches-toi ! j'ai trop envie de gouter son cul !".
"C'est bon, on arrive ! Moi aussi, j'ai hâte, bonne pioche, ce soir ! Les gars !".
La voiture stoppe devant une villa typique du Sud de la France.
On sort du véhicule, dans la nuit, plusieurs voitures sont garées, je m'inquiètes alors:
"Vous me ramènerez après ?".
"Bien sûr, ne t'inquiètes pas, mais tu comprends qu'on a une grosse envie maintenant !".
"Oui, je sais !".
"Alors comme ça, t'es la pute d'un militaire !".
"Euh... oui !".
"Et t'as déjà baisé avec plusieurs hommes en même temps ?".
"Oui, souvent !".
"Oh, les mecs on va se régaler ! Je sens !".
Les hommes m'attirent dans le salon et se placent autour de moi.
"Bon, d'abord, tu vas nous montrer ce que tu sais faire avec ta bouche !".
Je prend cette phrase comme un défi, j'en deviens goulu, pervers at avide.
Je remarque la présence d'un grand miroir, face au canapé, les hommes aiment s'y voir en train de se faire sucer.
J'y trouve un plaisir nouveau, je bande comme un fou en me voyant enfoncé sur leurs bites.
Je veux entendre leurs gémissements de plaisir à chaque coup de langue, enfoncée de ma gorge sur leur bite, avalement de couille, etc...
J'aime les faire râler en les masturbant énergiquement, tout en coulissant sur le bout de leurs glands, tour à tour, avec ma bouche.
Je profite de chaque moment pour fixer le miroir, j'aime ce moment ou deux d'entre eux se branlent au dessus de mon visage pendant qu'un autre me baise la gorge.
"Putain, quelle salope celui-là ! On m'a rarement sucé comme ça !".
Très vite, l'un d'eux perd patience.
"Bon, moi, il faut que je le baise ! Fous-toi à poil ! Mec ! Comment tu t'appelles, au fait ?".
"Pascal et vous ?".
"Jacques !", "Fred !"."René !","Jean-Luc !".
Je me dénude face à eux, qui me fixent avec un désir énorme.
"Content de vous connaitre, alors !".
"Nous aussi, ça se voit non ?".
Ils se débarrassent de leurs vêtements, et m'excitent en arborant leurs magnifiques queues, surtout celle de Jean-Luc, un peu longue et très, très épaisse.
Je m'agenouille aussitôt, pour retrouver ce plaisir buccal que j'aime tant, en profitant du retour visuel du miroir, dès que c'est possible.
Fred plonge entre mes fesses et me dévore l'anus.
"Putain, il a un cul magnifique, les mecs ! Il ont de la chance tes militaires ! J'espère qu'ils te baisent comme il faut !".
Je ne répond pas, trop occupé sur les trois autres bites à sucer, pendant qu'il me couvre l'anus de salive en me léchant délicieusement.
Moins de cinq minutes après, je sens le contact de son gland gonflé d'envie, contre mon œillet.
Il pousse assez rapidement en s'aidant de ses mains, sur mes hanches.
Je l'aide en poussant sur mon anus, pour qu'il s'ouvre, je le veux en moi, le sexe avec mon amant militaire me manque déjà !
Fred s'enfonce d'une traite a moitié.
"Putain, il en a encaissé des bites, à mon avis, je suis presque au fond déjà ! Jean-Luc, tu vas pouvoir l'enculer toi aussi !".
Fred se retire entièrement, puis revient après m'avoir craché sur l'anus.
Cette fois, il me comble d'une traite jusqu'aux couilles.
"Ouahhh ! Il est trop bon, les mecs ! C'est une super pioche, ce soir ! Elle te plait, ma bite, Pascal ?".
"Arggggggggggg ! Oui, vas-y ! Qu'est-ce que t'attends ? Défonces-moi !".
"Putain, c'est une vraie salope ! Ah tu veux que je te défonces ? Tiens, tu vas savoir ce que ça fait ! Prends ça !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Oui, putain, c'est bon, encore !".
Très rapidement, je crie mon premier orgasme anal, ce qui augmente la folie sexuelle de mes nouveaux amants.
je parviens à jeter un œil derrière moi, pour voir Fred, aller et venir dans mon cul.
"Il jouit bien du cul, en plus, j'adore ce genre de jeune !".
Puis, c'est au tour de Jacques, et René.
Chacun d'eux me fait hurler de plaisir anal, plusieurs fois successivement.
Je me fais enculer dans plusieurs positions improbables.
Par derrière, par dessous, face à moi.
Ils s'amusent à me faire passer sur l'un et l'autre à califourchon, sans cesser de contenter les autres avec ma bouche.
Ils profitent également du retour visuel de la glace, René me demande:
"Ca te plait à toi aussi ! T'aimes te voir pendant qu'on t'encule !".
"Arghghhhhhhhhhh ! Oui, J'adore !".
Puis c'est au tour de Jean-Luc.
Il me plaque contre le bras du canapé, et pointe son énorme gland dur.
Bien sûr, il n'a aucune difficulté à m'investir analement, mais sa présence me fait jouir presque instantanément, tant il est épais.
"Argggggggggg ! Putain, elle est géniale ta queue ! Je jouis déjà ! Argggggggggggggg !".
"Ton cul est pas mal, non plus, Pascal, je vais bien te le baiser, t'inquiètes pas pour moi !".
Il ne s'en prive pas en effet.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Tu me casses le cul ! Arhhhhhhhhhhhh !".
"C'est ce que tu mérites ! Salope !".
Je suis dépassé par le plaisir anal que me procure cette queue, il me laboure l'anus en me faisant jouir plusieurs fois.
Je le vois s'acharner dans mes fesses, avec une vue d'ensemble sur le coté, il me claque le cul de nombreuses fois. J'aime me voir ainsi soumis.
Je ne me rends même pas compte que je suis en érection, et je ne le constate qu'en rependant mon sperme contre le canapé de Jacques.
"Arghhhhhhhhhh ! Putain, j'adore jouir comme ça ! Arhhhhhhhhhhh !".
C'est le moment que Jean-Luc choisit, pour me laisser aux autres.
"A vous les mecs ! Je pense qu'il a eu son compte avec moi !".
Fred se place au bord du canapé, je comprends que je dois m'empaler sur lui.
Les autres me caressent pendant que je m'active sur leur ami.
René se hasarde à tester mon écartement anal avec ses doigts.
"T'as déja gouté à deux bites en même temps, dans ton cul ?".
"Arhhhhhhh ! Oui, mais pas depuis pas longtemps !".
"Super ! Tu vas y avoir droit encore, alors ! T'as envie ?".
"Oui ! Faites-moi tout ce que vous voulez ! Arhhhhhhh !".
René se cale sur la queue de Fred et parvient sans mal à insérer le bout de son gland.
Il se heurte à l'écartèlement naturel de mon anus, puis il force plus fermement et repousse celui-ci.
Je ressens sa présence comme avec Jean-Luc, je jouis presque instantanément.
Il s'accroche à mes épaules, et m'encule sans se soucier du mouvement de Fred en moi.
"Arhhhhhhh ! J'adore trop ça ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Enculez-moi encore !".
"Putain René ! C'est trop fort, je me vide ! Arhhhhhhhgggggggggg !".
Au lieu de se calmer, René, s'active plus belle, et rejoint son copain en se déversant dans mon cul.
Après son retrait, je me soulève et me retourne face au miroir, je vois mon anus béant et dégoulinant de sperme.
Je reprend des forces petit à petit, avec les cuisses ouvertes, en travers du canapé.
Jacques me donne de l'essuie-tout.
"Essuies-toi, tu vas encore tâcher mon canapé !".
"Désolé !".
"C'est pas grave, c'est notre faute, après tout ! On se régale en tout cas ! Maintenant, c'est notre tour !".
Jean-Luc se place à mes cotés.
"Allez ! Viens ! Regardes toi en train de t'enfoncer sur ma bite !".
Je n'ai jamais vécu ça, mais j'avoue que j'en meure d'envie.
Je me positionne au dessus de sa grosse queue.
Mon petit corps mince, au dessus du sien, large et musclé me rend dingue d'excitation.
C'est lui qui gère le placement de son énorme bite.
Ca y est, c'est le moment ou je dois me laisser descendre sur lui.
Je cesse de retenir mon corps, puis je suis pris d'un énorme râle en me faisant envahir l'anus.
"Arggggggggggghhhhhhhhhhh ! Putain, Jean-Luc ! c'est trop bon ! Argggghhhhhhhhhhh !".
"Tu veux que Jacques essaie de mettre sa queue ? T'as dit qu'on pouvait tout faire !".
"Oui ! Tout ! Viens Jacques !".
Je profite des derniers instants excitants ou je peux encore voir la queue de Jean-Luc en moi.
Jacques écarte mes cuisses, je sens son souffle d'homme excité, il colle son gland contre le haut de mon anus.
Il pousse plusieurs fois en cherchant le chemin de mes intestins.
Je me déforme le visage, sous la sensation d'écartèlement extrême, je ressens quelques picotements.
Puis, à force de tentatives, il pousse plus fort et rejoint son ami en moi.
J'ai un haut le cœur, il faut qu'il bouge vite, pour calmer cette sensation de déchirement anal.
"Vas-y, encules-moi ! Vite !".
Il prend ses appuis, et se mouve en moi, comme il peut, je prend très rapidement plusieurs orgasmes.
Il tient moins de cinq minutes, jusqu'à se déverser en moi presque en s'excusant pour son manque d'endurance.
"Euh, parce que tu penses pas, que j'ai pas assez joui ? Vous m'avez cassé le cul !".
Il se retire, m'offrant la vue de mon anus embué de foutre autour de l'énorme bite de Jean-Luc.
Celui-ci s'en donne alors, à cœur joie, il me pilonne par dessous sans pitié.
Je jouis sans discontinuer, en matant souvent ce qu'il me fait dans le miroir.
Sa grosse verge est entourée à la base d'un amoncellement de sperme qui forme un anneau de mousse visqueuse.
Je m'étonne de voir un effet nouveau sur mon anus, il retourne mon œillet sur sa grosse bite, comme une chaussette qu'on déroule.
Je remarque que c'est surtout à chaque fois que j'ai un besoin de pousser sur mon muscle pour mieux encaisser le plaisir de ses assauts.
"Putain, Jean-Luc ! T'as vu comme tu lui retournes le trou du cul ?".
"Ouais, j'adore ! Il est génial ! Son cul !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Jean-Luc ! S'il te plais ! Joui ! J'en peux plus de jouir !".
"T'as eu ton compte ?".
"Arhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Oui ! Arghhhhhhhhhh !".
"Arhhhhhh ! C'est bon, j'allais éjaculer de toute façon, ouhhhhfffffffff ! Arhhhhhhhhhhhh ! Je te mets tout salope ! Arhhhhhhhhhhh ! Tiens !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Oui ! Mets-moi tout ! Oh putain ! Vous m'avez tué les mecs ! Arghhhhhhhhhh !".
Je me laisse inonder l'anus par Jean-Luc, épuisé de plaisir, sur lui.
Les autres me disent qu'ils ont adoré me baiser, et continuent de se masturber en regardant la scène de ma baise avec Jean-Luc.
L'impulsion des mains de Jean-Luc, me donne le signal que je dois me soulever.
Dès le retrait de sa queue en moi, tout le foutre s'échappe de mon corps et macule son ventre.
"Excellent ! Putain, ce qu'on lui a mis !". S'exclame Jacques.
Il me tend un autre essuie-tout, et plusieurs à son copain pour se nettoyer le ventre.
Je m'essuie, debout, René m'aide en prenant la suite du nettoyage, puis, il me dévore l'anus un petit moment.
"Humm, il le cul éclaté ! Ca m'excite !".
Tout le monde se calme un moment, ils me laissent le canapé pour m'allonger et reprendre des forces avant de me ramener.
"Tu es attendu demain matin ?".
Je réponds:
"Ce matin, en fait, il est déjà presque 4 heures ! Non, pas vraiment ! Pourquoi ?".
"Ben, on va te garder un petit peu, alors ! Notre truc, c'est qu'on baise jamais deux fois le même mec ! Donc comme t'es un bon coup ! On va encore en profiter, avant de plus se revoir !".
Je suis un peu déçu de ce délire, mais je n'y peux rien, c'est eux qui choisissent.
"Dommage, j'aurai bien aimé vous revoir ! Mais tant pis ! Je vais en profiter moi aussi, alors !".
"Bon, nous on va dormir chez nous, et on revient tout à l'heure ! On a la journée pour te défoncer encore !".
René s'impose alors:
"Par contre moi, je vais me faire encore sucer, avant de partir ! Il m'a rendu fou, à se faire éclater par deux bites à la fois ! Et tout le foutre qu'on lui a mis !".
Je m'applique à assouvir son envie de plaisir buccal, avec délice devant ses amis.
Fred ne tarde pas à se joindre à nous.
Ils se font prendre au piège du spectacle qu'on leur offre, et à force de masturbations et de fellations, ils m'arrosent ensemble, le visage et remplissent ma gorge de foutre, moins abondant que leurs premières éjaculations.
Après une douche, je retrouve Jacques dans sa chambre, il dort déjà.
Je ne tarde pas non plus à m'endormir.
Il sera presque Midi, lors de notre réveil, il me demande de le sucer.
Je lui procure ce plaisir avec bonheur, et avale tout son jus, encore.
Puis, il m'offre un petit repas pour tenir.
Enfin, vers 14 h, les autres rappliquent et réitèrent sur moi, les actes de la veille, jusqu'à 18 h.
Chacun éjacule encore deux fois, même moi !
Jacques me ramène chez moi, je vais directement dans ma chambre, pour ne me réveiller qu'a 20 h.
Je mange comme un ogre, devant le regard étonné de mes parents, en repensant à mes amants d'un soir.
Quel dommage ! C'est nul ce choix de ne baiser les mecs qu'une fois !
Par chance, je ne rentrais que le mardi à l'armée, j'ai pu me remettre tranquillement avant les assauts du Lieutenant et du Commandant, puis en fin de semaine, un groupe de plusieurs militaires.
J'étais quasiment à la fin !
Pendant une permission, je sors un soir avec des amis.
Je les saoule un peu avec mon obsession, envers ma première ex-petite amie.
Je rêve de la reconquérir, mais je n'en aurai pas besoin, c'est elle qui me relancera !
Nous sommes à présent dans une boite en bord de plage, à 12 KM de chez moi, ou plus.
Je m'ennuie fermement, la musique est nulle !
Puis vers 1 heure du matin, je décide de sortir prendre l'air.
Je ne sais pas ce qu'il me passe par la tête, mais je prend la décision de partir, pour rentrer chez moi en Stop !
Cela sans les prévenir, je sais, ça se fait pas !
J'arrive vers La Seyne Sur Mer, au bout de 45 minutes, puis une voiture s'arrête.
Elle est occupée par 4 hommes d'une trentaines d'années.
"Où tu vas jeune ?".
"Toulon !".
"Allez montes, on te ramènes !".
"Mais, on va être serrés !".
"Mais non, c'est une 5 places ! Allez montes !".
L'un d'eux ouvre la porte à l'arrière, sort, et me laisse monter entre eux.
"Maintenant que t'es coincé, on t'as déjà dit que t'étais mignon comme mec ?".
"Euh, oui !".
Je suis troublé par cette phrase directe, je repense à mes baises vicieuses avec le Lieutenant et ses amis.
"C'était des mecs ?".
Je ne réponds pas, je cherche à éviter le sujet ! Mais la main qui me caresse la cuisse, confirme que je suis tombé dans un piège pour jeune garçon comme moi.
"Alors ? Tu réponds pas !".
"Euh, oui, aussi !".
"Ah bon ! Et t'as baisé déjà avec des mecs ?".
"Je ... euh, oui avec des hommes plutôt, pas des jeunes !".
"Comme nous alors ?".
Depuis la confirmation de mon homosexualité, l'un d'eux a sorti sa queue pour se masturber à mes cotés, l'autre a attiré ma main, pour que je dégage son sexe qui bande dans son jeans.
"Oui, comme vous !".
"Souvent ?".
"Euh, j'ai pas l'habitude de parler de ça ! Oui ! Presque tous les jours, à l'armée !".
"T'as un mec là-bas alors !".
"Oui, c'est un gradé, euh...il...il me baise souvent avec ses copains !".
Je suis excité, je n'ai plus de retenue verbale, je branle deux queues à la fois.
"Ohhh ! Toi, on va t'emmener chez moi ! On va s'occuper de ton cul comme il faut !".
L'un de ceux que je branle m'ordonne:
"T'es mince, tu devrais arriver à nous sucer tous les deux pendant qu'on arrive chez mon pote !".
Je me contorsionne et trouve la position idéale pour faire une longue double fellation sur les deux inconnus.
"Oh, putain, il est bon, ce p'tit con ! Il est doué pour les pipes ! Ouais, continues de nous bouffer la bite comme ça !".
"Jacques dépêches-toi ! j'ai trop envie de gouter son cul !".
"C'est bon, on arrive ! Moi aussi, j'ai hâte, bonne pioche, ce soir ! Les gars !".
La voiture stoppe devant une villa typique du Sud de la France.
On sort du véhicule, dans la nuit, plusieurs voitures sont garées, je m'inquiètes alors:
"Vous me ramènerez après ?".
"Bien sûr, ne t'inquiètes pas, mais tu comprends qu'on a une grosse envie maintenant !".
"Oui, je sais !".
"Alors comme ça, t'es la pute d'un militaire !".
"Euh... oui !".
"Et t'as déjà baisé avec plusieurs hommes en même temps ?".
"Oui, souvent !".
"Oh, les mecs on va se régaler ! Je sens !".
Les hommes m'attirent dans le salon et se placent autour de moi.
"Bon, d'abord, tu vas nous montrer ce que tu sais faire avec ta bouche !".
Je prend cette phrase comme un défi, j'en deviens goulu, pervers at avide.
Je remarque la présence d'un grand miroir, face au canapé, les hommes aiment s'y voir en train de se faire sucer.
J'y trouve un plaisir nouveau, je bande comme un fou en me voyant enfoncé sur leurs bites.
Je veux entendre leurs gémissements de plaisir à chaque coup de langue, enfoncée de ma gorge sur leur bite, avalement de couille, etc...
J'aime les faire râler en les masturbant énergiquement, tout en coulissant sur le bout de leurs glands, tour à tour, avec ma bouche.
Je profite de chaque moment pour fixer le miroir, j'aime ce moment ou deux d'entre eux se branlent au dessus de mon visage pendant qu'un autre me baise la gorge.
"Putain, quelle salope celui-là ! On m'a rarement sucé comme ça !".
Très vite, l'un d'eux perd patience.
"Bon, moi, il faut que je le baise ! Fous-toi à poil ! Mec ! Comment tu t'appelles, au fait ?".
"Pascal et vous ?".
"Jacques !", "Fred !"."René !","Jean-Luc !".
Je me dénude face à eux, qui me fixent avec un désir énorme.
"Content de vous connaitre, alors !".
"Nous aussi, ça se voit non ?".
Ils se débarrassent de leurs vêtements, et m'excitent en arborant leurs magnifiques queues, surtout celle de Jean-Luc, un peu longue et très, très épaisse.
Je m'agenouille aussitôt, pour retrouver ce plaisir buccal que j'aime tant, en profitant du retour visuel du miroir, dès que c'est possible.
Fred plonge entre mes fesses et me dévore l'anus.
"Putain, il a un cul magnifique, les mecs ! Il ont de la chance tes militaires ! J'espère qu'ils te baisent comme il faut !".
Je ne répond pas, trop occupé sur les trois autres bites à sucer, pendant qu'il me couvre l'anus de salive en me léchant délicieusement.
Moins de cinq minutes après, je sens le contact de son gland gonflé d'envie, contre mon œillet.
Il pousse assez rapidement en s'aidant de ses mains, sur mes hanches.
Je l'aide en poussant sur mon anus, pour qu'il s'ouvre, je le veux en moi, le sexe avec mon amant militaire me manque déjà !
Fred s'enfonce d'une traite a moitié.
"Putain, il en a encaissé des bites, à mon avis, je suis presque au fond déjà ! Jean-Luc, tu vas pouvoir l'enculer toi aussi !".
Fred se retire entièrement, puis revient après m'avoir craché sur l'anus.
Cette fois, il me comble d'une traite jusqu'aux couilles.
"Ouahhh ! Il est trop bon, les mecs ! C'est une super pioche, ce soir ! Elle te plait, ma bite, Pascal ?".
"Arggggggggggg ! Oui, vas-y ! Qu'est-ce que t'attends ? Défonces-moi !".
"Putain, c'est une vraie salope ! Ah tu veux que je te défonces ? Tiens, tu vas savoir ce que ça fait ! Prends ça !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Oui, putain, c'est bon, encore !".
Très rapidement, je crie mon premier orgasme anal, ce qui augmente la folie sexuelle de mes nouveaux amants.
je parviens à jeter un œil derrière moi, pour voir Fred, aller et venir dans mon cul.
"Il jouit bien du cul, en plus, j'adore ce genre de jeune !".
Puis, c'est au tour de Jacques, et René.
Chacun d'eux me fait hurler de plaisir anal, plusieurs fois successivement.
Je me fais enculer dans plusieurs positions improbables.
Par derrière, par dessous, face à moi.
Ils s'amusent à me faire passer sur l'un et l'autre à califourchon, sans cesser de contenter les autres avec ma bouche.
Ils profitent également du retour visuel de la glace, René me demande:
"Ca te plait à toi aussi ! T'aimes te voir pendant qu'on t'encule !".
"Arghghhhhhhhhhh ! Oui, J'adore !".
Puis c'est au tour de Jean-Luc.
Il me plaque contre le bras du canapé, et pointe son énorme gland dur.
Bien sûr, il n'a aucune difficulté à m'investir analement, mais sa présence me fait jouir presque instantanément, tant il est épais.
"Argggggggggg ! Putain, elle est géniale ta queue ! Je jouis déjà ! Argggggggggggggg !".
"Ton cul est pas mal, non plus, Pascal, je vais bien te le baiser, t'inquiètes pas pour moi !".
Il ne s'en prive pas en effet.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Tu me casses le cul ! Arhhhhhhhhhhhh !".
"C'est ce que tu mérites ! Salope !".
Je suis dépassé par le plaisir anal que me procure cette queue, il me laboure l'anus en me faisant jouir plusieurs fois.
Je le vois s'acharner dans mes fesses, avec une vue d'ensemble sur le coté, il me claque le cul de nombreuses fois. J'aime me voir ainsi soumis.
Je ne me rends même pas compte que je suis en érection, et je ne le constate qu'en rependant mon sperme contre le canapé de Jacques.
"Arghhhhhhhhhh ! Putain, j'adore jouir comme ça ! Arhhhhhhhhhhh !".
C'est le moment que Jean-Luc choisit, pour me laisser aux autres.
"A vous les mecs ! Je pense qu'il a eu son compte avec moi !".
Fred se place au bord du canapé, je comprends que je dois m'empaler sur lui.
Les autres me caressent pendant que je m'active sur leur ami.
René se hasarde à tester mon écartement anal avec ses doigts.
"T'as déja gouté à deux bites en même temps, dans ton cul ?".
"Arhhhhhhh ! Oui, mais pas depuis pas longtemps !".
"Super ! Tu vas y avoir droit encore, alors ! T'as envie ?".
"Oui ! Faites-moi tout ce que vous voulez ! Arhhhhhhh !".
René se cale sur la queue de Fred et parvient sans mal à insérer le bout de son gland.
Il se heurte à l'écartèlement naturel de mon anus, puis il force plus fermement et repousse celui-ci.
Je ressens sa présence comme avec Jean-Luc, je jouis presque instantanément.
Il s'accroche à mes épaules, et m'encule sans se soucier du mouvement de Fred en moi.
"Arhhhhhhh ! J'adore trop ça ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Enculez-moi encore !".
"Putain René ! C'est trop fort, je me vide ! Arhhhhhhhgggggggggg !".
Au lieu de se calmer, René, s'active plus belle, et rejoint son copain en se déversant dans mon cul.
Après son retrait, je me soulève et me retourne face au miroir, je vois mon anus béant et dégoulinant de sperme.
Je reprend des forces petit à petit, avec les cuisses ouvertes, en travers du canapé.
Jacques me donne de l'essuie-tout.
"Essuies-toi, tu vas encore tâcher mon canapé !".
"Désolé !".
"C'est pas grave, c'est notre faute, après tout ! On se régale en tout cas ! Maintenant, c'est notre tour !".
Jean-Luc se place à mes cotés.
"Allez ! Viens ! Regardes toi en train de t'enfoncer sur ma bite !".
Je n'ai jamais vécu ça, mais j'avoue que j'en meure d'envie.
Je me positionne au dessus de sa grosse queue.
Mon petit corps mince, au dessus du sien, large et musclé me rend dingue d'excitation.
C'est lui qui gère le placement de son énorme bite.
Ca y est, c'est le moment ou je dois me laisser descendre sur lui.
Je cesse de retenir mon corps, puis je suis pris d'un énorme râle en me faisant envahir l'anus.
"Arggggggggggghhhhhhhhhhh ! Putain, Jean-Luc ! c'est trop bon ! Argggghhhhhhhhhhh !".
"Tu veux que Jacques essaie de mettre sa queue ? T'as dit qu'on pouvait tout faire !".
"Oui ! Tout ! Viens Jacques !".
Je profite des derniers instants excitants ou je peux encore voir la queue de Jean-Luc en moi.
Jacques écarte mes cuisses, je sens son souffle d'homme excité, il colle son gland contre le haut de mon anus.
Il pousse plusieurs fois en cherchant le chemin de mes intestins.
Je me déforme le visage, sous la sensation d'écartèlement extrême, je ressens quelques picotements.
Puis, à force de tentatives, il pousse plus fort et rejoint son ami en moi.
J'ai un haut le cœur, il faut qu'il bouge vite, pour calmer cette sensation de déchirement anal.
"Vas-y, encules-moi ! Vite !".
Il prend ses appuis, et se mouve en moi, comme il peut, je prend très rapidement plusieurs orgasmes.
Il tient moins de cinq minutes, jusqu'à se déverser en moi presque en s'excusant pour son manque d'endurance.
"Euh, parce que tu penses pas, que j'ai pas assez joui ? Vous m'avez cassé le cul !".
Il se retire, m'offrant la vue de mon anus embué de foutre autour de l'énorme bite de Jean-Luc.
Celui-ci s'en donne alors, à cœur joie, il me pilonne par dessous sans pitié.
Je jouis sans discontinuer, en matant souvent ce qu'il me fait dans le miroir.
Sa grosse verge est entourée à la base d'un amoncellement de sperme qui forme un anneau de mousse visqueuse.
Je m'étonne de voir un effet nouveau sur mon anus, il retourne mon œillet sur sa grosse bite, comme une chaussette qu'on déroule.
Je remarque que c'est surtout à chaque fois que j'ai un besoin de pousser sur mon muscle pour mieux encaisser le plaisir de ses assauts.
"Putain, Jean-Luc ! T'as vu comme tu lui retournes le trou du cul ?".
"Ouais, j'adore ! Il est génial ! Son cul !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Jean-Luc ! S'il te plais ! Joui ! J'en peux plus de jouir !".
"T'as eu ton compte ?".
"Arhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Oui ! Arghhhhhhhhhh !".
"Arhhhhhh ! C'est bon, j'allais éjaculer de toute façon, ouhhhhfffffffff ! Arhhhhhhhhhhhh ! Je te mets tout salope ! Arhhhhhhhhhhh ! Tiens !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Oui ! Mets-moi tout ! Oh putain ! Vous m'avez tué les mecs ! Arghhhhhhhhhh !".
Je me laisse inonder l'anus par Jean-Luc, épuisé de plaisir, sur lui.
Les autres me disent qu'ils ont adoré me baiser, et continuent de se masturber en regardant la scène de ma baise avec Jean-Luc.
L'impulsion des mains de Jean-Luc, me donne le signal que je dois me soulever.
Dès le retrait de sa queue en moi, tout le foutre s'échappe de mon corps et macule son ventre.
"Excellent ! Putain, ce qu'on lui a mis !". S'exclame Jacques.
Il me tend un autre essuie-tout, et plusieurs à son copain pour se nettoyer le ventre.
Je m'essuie, debout, René m'aide en prenant la suite du nettoyage, puis, il me dévore l'anus un petit moment.
"Humm, il le cul éclaté ! Ca m'excite !".
Tout le monde se calme un moment, ils me laissent le canapé pour m'allonger et reprendre des forces avant de me ramener.
"Tu es attendu demain matin ?".
Je réponds:
"Ce matin, en fait, il est déjà presque 4 heures ! Non, pas vraiment ! Pourquoi ?".
"Ben, on va te garder un petit peu, alors ! Notre truc, c'est qu'on baise jamais deux fois le même mec ! Donc comme t'es un bon coup ! On va encore en profiter, avant de plus se revoir !".
Je suis un peu déçu de ce délire, mais je n'y peux rien, c'est eux qui choisissent.
"Dommage, j'aurai bien aimé vous revoir ! Mais tant pis ! Je vais en profiter moi aussi, alors !".
"Bon, nous on va dormir chez nous, et on revient tout à l'heure ! On a la journée pour te défoncer encore !".
René s'impose alors:
"Par contre moi, je vais me faire encore sucer, avant de partir ! Il m'a rendu fou, à se faire éclater par deux bites à la fois ! Et tout le foutre qu'on lui a mis !".
Je m'applique à assouvir son envie de plaisir buccal, avec délice devant ses amis.
Fred ne tarde pas à se joindre à nous.
Ils se font prendre au piège du spectacle qu'on leur offre, et à force de masturbations et de fellations, ils m'arrosent ensemble, le visage et remplissent ma gorge de foutre, moins abondant que leurs premières éjaculations.
Après une douche, je retrouve Jacques dans sa chambre, il dort déjà.
Je ne tarde pas non plus à m'endormir.
Il sera presque Midi, lors de notre réveil, il me demande de le sucer.
Je lui procure ce plaisir avec bonheur, et avale tout son jus, encore.
Puis, il m'offre un petit repas pour tenir.
Enfin, vers 14 h, les autres rappliquent et réitèrent sur moi, les actes de la veille, jusqu'à 18 h.
Chacun éjacule encore deux fois, même moi !
Jacques me ramène chez moi, je vais directement dans ma chambre, pour ne me réveiller qu'a 20 h.
Je mange comme un ogre, devant le regard étonné de mes parents, en repensant à mes amants d'un soir.
Quel dommage ! C'est nul ce choix de ne baiser les mecs qu'une fois !
Par chance, je ne rentrais que le mardi à l'armée, j'ai pu me remettre tranquillement avant les assauts du Lieutenant et du Commandant, puis en fin de semaine, un groupe de plusieurs militaires.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passud
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est mon plus gros phantasme, une aventure comme j'aimerais la vivre, se faire prendre par plusieurs hommes un vrai délice ça doit être tellement exitant!