Remise en selle

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Remise en selle
J'ai terminé ma journée de boulot, on est Vendredi.
Je ne suis pas pressé de rentrer, personne ne m'attend. En effet, ma femme s'est absentée, elle est dans sa famille pour le Week-End.
Je me sens bien dans ma peau, à cette époque, même un peu fier de moi, j'ai plus baisé avec un homme depuis plusieurs mois, voire une année.
Le libertinage de ma femme m'apporte assez de soumission intérieure, sans m'en rendre compte, j'ai pris gout à ce sentiment de mari trompé soumis.
Je précise qu'elle vit à fond ses désirs libertins, et ses amants en profitent souvent.
Elle a compris depuis longtemps qu'elle a besoin de ces sollicitations continuelles.
Si un homme ne la relance pas assez, c'est qu'il n'aime pas assez leurs jeux sexuels.
Elle arrête leur relation très rapidement, au profit d'un homme à plus forte libido.
Elle est encore dans sa période de découverte des possibilités de son corps.
Elle accepte tout ce qu'on lui propose, RDV fellation, duo, trio, gang bang, ce qui importe, c'est qu'elle soit la seule fille.
Je suis tellement habitué que je ne lui pose plus de questions sur ses retards.
Quand elle arrive enfin en me serrant dans ses bras, pour me dire qu'elle m'aime comme une folle, je comprends que c'est pour me remercier de cette entière liberté.
Et donc, qu'elle a fait une rencontre débridée très, très sexe !
Elle est tellement occupée par ses plaisirs, qu'elle n'a pas remarqué que j'ai cessé mes relations homosexuelles.
Au point qu'elle n'avait pas envie d'aller voir sa mère !
"Ca me fait chier ! J'avais la possibilité de voir Dimitri et un copain ! J'aurais préféré !".
"J'imagines ! Désolé pour toi ! Moi aussi, j'aurais préféré !".
"Hummm ! Merci mon amour ! Tu l'aimes ta p'tite salope ?".
"Je t'adore !".
Donc, c'est avec ces pensées que j'attends mon arrêt de bus, comblé par notre vie hors du commun.
Je descend de l'autocar et marche sans me presser vers notre appartement.
Après 250 m environ, je sens une main sur mon épaule.
On est en plein dans la zone piétonne, au milieu des gens qui passent.
"Coucou, mon chaton !".
Je me retourne, et reconnais Jean Pierre, un ex amant sexagénaire et très pervers.
Il n'est pas seul, un autre homme qui ne m'est pas inconnu, l'accompagne.
Pour l'anecdote, plus d'un an auparavant, cet homme m'a abordé un après-midi, et m'a proposé de me baiser, en ajoutant à voix basse:
"Moi je te connais, je sais que t'aime te faire défoncer ! Viens chez moi, tu vas pas le regretter".
J'ai longuement refusé, il a insisté.
"Tu veux que je parle plus fort ? Qu'on sache que t'es une salope ?".
"Non, chuttt ! C'est bon ! Arrêtes, fais surtout pas ça !".
Il m'a imposé de le suivre chez lui, et m'a copieusement baisé avec une endurance inhabituelle, j'ai pas regretté mon non-choix d'accepter sa proposition.
Il m'a cassé le cul comme un bourrin, avec une domination extrême qui m'a rempli de plaisir cérébral.
Je m'étonne donc, de les voir ensemble, et je dis à Jean-Pierre que j'aime pas qu'il m'appelle "Chaton" au dehors:
"Ne m'appelles pas comme ça en public ! S'il te plait !".
"Excuses-moi ! Je t'aime trop ! Tu le sais ! Pourquoi tu viens plus me voir ? Je te présente mon ami Robert !".
"Euh... On se connait !".
"Robert ?".
"Oui, c'est vrai ! Je l'ai reconnu dans la rue, et je l'ai emmené chez moi !".
"Ah ! Ok, j'ai compris ! C'est vrai que toi, tu l'as connu aux soirées !".
Je comprend tout moi aussi ! C'est comme ça qu'il m'a rencontré, il a participé aux partouzes masquées homos, dont j'étais la salope sans masque, qui devait contenter tous les hommes présents.
Il a surement profité également de cette après-midi "bondage" dans le donjon de Jean-Pierre, ou j'étais attaché 6 heures durant, en attente de nombreuses saillies interminables.
Plus de vingt-cinq hommes masqués m'ont souillé, ce jour là ! Donc je m'attend à tout avec Jean-Pierre et ses "amis" si spéciaux.
"Bon, mon chéri, tu fais quoi là ?".
"Je rentre chez moi".
"Ok ! Ta femme t'attends, je suppose !".
"Non, je suis seul jusqu'à Dimanche soir !".
Ca m'a échappé, je regrette déjà d'avoir révélé ce détail.
"Viens boire un apéro avec nous ! Ca m'ferait plaisir !".
"Euh, ça va dégénérer, je sais pas !".
"Allez, on pense pas qu'à ça, non plus ! Allez ! En tout bien, tout honneur !".
"Bon, OK ! Pas plus d'une heure alors !".
"Promis !".
Arrivé chez Jean-Pierre, il me sert un verre d'alcool, ils m'accompagnent avec une bière et un vin blanc.
L'ambiance reste détendue, et cool, on parle art et peinture, sur une musique jazzy.
J'accepte un deuxième verre, qui va me détendre beaucoup plus.
Puis un troisième, alors que je deviens le sujet de discussion.
La conversation bifurque sur mes performances sexuelles.
Les deux hommes se partagent les anecdotes à mon sujet.
Ils me remettent en mémoire tout ce que j'ai subis pendant ces soirées de soumission.
En me jetant à la figure mon plaisir de le vivre, mes réclamations continuelles de jouir, mon désir de me faire insulter, boire des flots de sperme, prendre plusieurs bites dans ma chatte, mes écoulements urinaires quand on me fistait, etc...
Lentement, sous l'effet de l'alcool, ça commence à m'exciter.
Ca fait tellement longtemps, que j'ai pas ressenti ce désir de soumission masculine.
Je ressens des nœuds dans le ventre, pourvu qu'ils ne me provoquent pas, je ne pourrai pas résister.
En plus, vu la personnalité de Jean-Pierre et ses penchants pour le bondage, ça risque d'aller trop loin pour moi !
Jean-Pierre se lève pour répondre à sa sonnerie.
"Ca, c'est surement eux ! Il est 18 h !".
"Euh, Eux? Tu attendais quelqu'un ?".
"Ben oui ! C'est vendredi, on se fait tout le temps des apéros, avec les potes ! Mais reste ! Je vais te présenter ! Ils ont pas tous eu la chance de te baiser !".
Je suis un peu troublé, mais je ne sais pas pourquoi, je laisse les événements se dérouler, je verrais bien ! De toute façon, je contrôle plus rien.
Cinq inconnus entrent, ils me font tous la bise en me tenant par la taille.
C'est sûr, ils sont tous homos !
"Oh, c'est toi Pascal ! Je comprends Jean-Pierre, maintenant ! Tu sais que t'es son point faible ?".
"Je ...Je sais pas ...".
Tout ça me trouble, j'en suis à mon quatrième verre, je perds toute inhibition, mais malgré la situation, je suis bien, je ne veux plus partir !
Je contiens un besoin de sexe, tous ces hommes murs m'excitent !
J'ai plus aucun doute, je vais encore me faire baiser, c'est sûr !
Mais je suis curieux de connaitre la suite des évènements.
Robert est debout près de moi, derrière le canapé, qui est occupé par 3 invités assis, qui parlent de "Chattes" masculines vues dans des pornos gays.
Quand elles font des rejets de sperme, des retournements en rosace, de fists, etc...
J'ai le regard pensif en imaginant les scènes, pendant que Robert ose me caresser les fesses, et me dit discrètement:
"Putain, j'ai envie de la tienne de chatte, p'tit chéri !".
"Robert ! Pas devant les autres ! Stop !".
Son désir est flagrant. Il est collé contre moi, les invités doivent comprendre que la situation progresse en leur faveur.
Jean-Pierre a tout vu, il s'approche de nous, et accompagne les mains de Robert sur mon cul.
Il me dénude les fesses en les exhibant à tous les hommes présents, pour ensuite les malaxer fermement avec son ami.
"On va pas te laisser repartir sans profiter de toi, mon chéri ! T'as pas envie de baiser ? Allez, finis ton verre".
Il me force à le boire d'un trait, puis le pose sur son meuble.
Ils me collent les mains, sur leurs verges déjà bandées.
J'ai un frisson d'excitation qui me saisit tout le corps, je lâche:
"Orhhhhh ! salauds ! Vous m'avez eu ! Oui, j'en ai envie ! Mais vous êtes sept ! Ca fait longtemps que...".
"Et alors, ça te déranges pas d'habitude ! Allez laisses-toi faire, on va bien s'amuser ! On veut ta chatte !".
Un troisième homme vient à moi, avec une magnifique verge, qu'il a déjà déballé.
Elle est dure et a l'air de me regarder droit dans les yeux, son gland est reluisant et gonflé, en attente de ma réaction.
J'hésite un court instant, puis je me pose sur mes genoux, en ouvrant mes lèvres.
J'ai un soupir de bonheur buccal en la recouvrant de ma bouche.
"Mmmmmmmmmmmmmmmhhhhhhhhhhhhhhhh ! Mmmmmmmmmmmmmmmmm !".
Tout me remonte d'un coup, ce bonheur si intense d'avoir en bouche, cette chose dure et douce, aux formes idéales pour mon palais, cette chaleur et ce gout si particulier.
Cette connexion si excitante, entre mes mouvements buccaux et les gémissements de l'homme.
"Voilà ! C'est bien ! Tu vois que c'est pas compliqué ! On va s'occuper de toi, Chaton ! Déshabillez le !".
Je me laisse dénuder sans quitter la grosse verge de mes lèvres, comment, j'ai pu me passer de ce plaisir ?
C'est déjà trop bon de sucer une grosse bite, alors plusieurs ! Je vais prendre mon pied !
Je glisse lentement sur toute sa longueur, tout en branlant, les deux autres verges que j'ai entre les doigts.
Celles de Robert et Jean-Pierre, en l'occurrence.
Un autre invité vient de faire sucer, une verge aussi dure que l'autre, mais noire comme l'ébène.
Je m'amuse à l'insérer dans ma bouche avec celle du précédent.
Puis, je répond aux sollicitations buccales de tous les invités, dont Tahar, un magrébin épais et dur, puis, Jacky, Fred, Antoine le black et Jean-Marie, le premier que j'ai eu en bouche.
Dans la précipitation, je ne me souviens plus à quel moment, Robert est passé sous mes cuisses.
Mais c'est quand il m'a enduit l'anus de gel, et que j'ai ressenti sa pénétration, que j'ai réalisé que je me faisais enculer.
Putain ! Ca faisait longtemps !
Je cesse toute activité buccale, pour me laisser gagner par le plaisir d'une pénétration anale.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Stop ! Laissez moi apprécier ce moment ! Orhhhhhhh ! Robert ! Putain, c'est trop bon ! Elle est bonne ta queue ! Vas-y ! Encules-moi ! Putainnnnnn ! Ca m'a trop manqué ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !...".
On me rappelle à mes devoirs buccaux, je dois sucer des bites !
Emporté par le bonheur de me faire enculer, je me jette sur tout ce qui ce présente devant ma bouche, en me secouant sur le ventre de Robert.
En quelques minutes, mon anus devient béant et poisseux, Jean-Pierre y ajoute deux doigts, en plus de la queue de Robert.
"Hummm ! T'es prête ma chérie ! T'en veux une autre ?".
L'effet de l'alcool et l'excitation me font dire:
"Oui ! J'en veux d'autres, enculez-moi tous !".
Fred ne se fait pas prier, il m'écartèle en rejoignant Robert dans mon cul.
"Mon dieu, cette chatte ! Putain ! Jean-Pierre ! J'adore ton petit chaton !".
Je me colle aux lèvres de Robert pour étouffer mes râles.
Les deux verges bougent en mouvement alternatif de pistons de moteur, dans ma chatte anale, c'est trop bon ! Ils sont doués ces homos !
On entre dans un balai incessant de changement de verges.
Je dois me soulever plusieurs fois, pour grimper sur un autre invité, et me faire doublement remplir par un autre.
J'ai enchainé les sommets de plaisir, je regrette plus d'être venu.
Elle est loin mon hétérosexualité, je me fais éclater la chatte par 7 homos bien montés, en pédale parfaite.
Mais je m'en moque, je prend mon pied comme rarement, je suis le centre d'intérêt de tous ces hommes, et ça me plait.
Même mes réticences, et mes scrupules de baiser avec des homos sont enterrés, ils me font trop bien jouir !
A présent, je suis planté sur Antoine le black, qui me pilonne par dessous en me soulevant par les fesses.
Mes cuisses sont largement écartées, posées sur mes pieds et le corps au dessus de lui, me tenant sur mes mains également.
Mes couilles sont ballotées au rythme de ses enfoncements profonds.
Je jouis du cul, en coulissant sur les verges qui me comblent la gorge, l'une après l'autre.
Les dialogues sont crus, je me retrouve dans la peau d'une femelle en demande de bites, que tout ce petit monde doit honorer copieusement.
On m'ordonne de me soumettre à chacun de leurs désirs, j'accepte tout !
Même la plus petite des humiliations me remplit de bonheur cérébral.
Les coups de queues sur mon cul, mes couilles, ma face, les gorges profondes, les insultes, etc...
Ma petite bite est malmenée par Jean-Marie, attrapée à pleine main, avec mes testicules, pendant qu'il m'encule profondément.
Je gémis fortement, allongé avec la tête à l'envers, et la gorge ouverte, baisée par Tahar, et sa grosse bite épaisse.
Jean-Marie me lâche les couilles pour sortir sa longue bite, et se la secoue sur mon ventre.
Il m'arrose de la queue au torse, un court instant, puis revient dans ma chatte pour s'y terminer en criant son bonheur.
Je me redresse le visage, j'ai besoin de voir le sien pendant qu'il jouit en moi.
Sa grosse verge glisse encore mieux, grâce au sperme.
J'aime ses grimaces de plaisir, puis son sourire heureux, quand il croise mon regard.
"Orhhhhh ! Putain, Mec ! C'était bon ! J'adore ta chatte ! On remet ça quand tu veux !".
(Ce sera le cas, par hasard, des mois plus tard).
Je lui souris, puis penche ma tête à nouveau pour reprendre ma gorge profonde.
Je râle de nouveau en me faisant encore empaler la chatte.
Je comprendrais dans quelques instants, que c'est Jean-Pierre qui se branle dans mon trou poisseux et spermé, à présent.
Il vient peu après dans ma bouche, pour se faire laver la bite, alors qu'Antoine le remplace dans ma chatte.
Puis, c'est Robert, Tahar, et les autres, j'aime ces petits jeux pervers de changements de sexe, dans ma bouche et ma chatte.
On me relève rapidement sur la demande de Robert, qui se secoue la verge devant ma face.
Tahar en profite pour s'accroupir et se placer dans mon dos, et mon anus en me tenant par les hanches.
Il me penche la tête en arrière et me dit:
"Ouvres bien la bouche ! Salope ! Ils vont se vider les couilles ! T'aimes ça ?".
"Mmmmm ! MMouiiii !".
Robert approche son gros gland gonflé de sang, Fred s'approche également, alors que Jacky patiente derrière eux.
Un gros afflux gluant et chaud me remplit le fond de la gorge, suivi d'un autre aussi abondant.
Je maintiens ma gorge ouverte, en vase improvisé, et constate que Fred a posé aussi son gland au dessus de ma bouche béante.
Roger pousse des râles excitants à entendre, rejoint par Fred, les spermes déferlent dans ma cavité buccale.
Je manifeste un besoin de respirer, le plaisir anal que me provoque Tahar ne m'aide pas.
Ce salaud s'excite de cette scène de remplissage au foutre, et se déchaine dans ma chatte.
"Pas maintenant, attends qu'ils aient fini ! Salope !".
Je parviens à respirer un peu par le nez, un peu de foutre coule dans mon estomac, puis Jacky vient ajouter sa grosse éjaculation également.
Le sperme est au bord du débordement, à la commissure de mes lèvres.
Jacky comprend que c'est trop, il se comprime la bite et me demande:
"Avales déjà ca ! Salope !".
J'ai jamais avalé autant de sperme en une seule gorgée, la seconde est moins fournie.
En ouvrant de nouveau mes lèvres, je constate que ma bouche est poisseuse, ça m'excite !
Jacky revient au dessus de ma bouche, et m'attrape par la nuque pour m'enfoncer sa grosse bite.
Il râle en relâchant la pression manuelle sur sa queue.
Son foutre me comble à nouveau le palais, pendant que Tahar se secoue dans mes fesses.
Mon visage est déformé par le plaisir.
Jacky recule lentement, avec la verge vidée, Tahar me cambre devant lui.
Il se déchaine en m'insultant.
"Putain, j'aime trop baiser des vide-couilles comme toi ! Tu m'excites ! Salope !".
Je me colle le visage au sol, en lui offrant ma chatte éclatée.
Je devine à son rythme qu'il va me donner sa semence.
Parfois, je me cale sur sa défonce anale pour l'accompagner, il me traite de pute, et me demande sans arrêt, si j'en suis une.
"Dis le que t'es une pute ! Je t'entends pas ! Dis le que t'aimes les grosses bites dans ta chatte !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Je suis une pute ! J'aime les grosses bites ! Le foutre !".
"Où ça ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Dans ma chatte ! Ma bouche ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !...".
"Tu le veux mon foutre ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhh ! C'est boooonnnnnnnnnn !".
"Arghhhhhhhhhh ! Tiens, salope ! Arghhhhhhhhhh ! Putain, je me vide les couilles ! Arghhhhhhhhhggggggggggggg !".
Je joui du cul depuis un moment déjà, je m'envoie de plus belle sur sa bite, pour lui permettre un déversement plus complet.
Je sens son gros gland qui se secoue au fond de mes intestins, lâchant sa purée chaude et gluante.
Je me pâme de plaisir, ça fait tellement longtemps que j'ai pas ressenti ce bonheur, si vital pour moi.
Je profite de chaque moment de ce bonheur, pendant que Tahar râle de plaisir aussi.
Je m'en imprègne, avant qu'un autre prenne sa place.
Mon visage est sans équivoque, j'ai bien joui.
"Orhhh ! Putain, c'était le pied total ! Ca t'as plu salope ?".
"Mmmmmm ! Orhhhh ! Oui, et c'est bon, encore ! Orhhh ! Je te sens bien au fond de ma chatte !".
Il recule, et admire ma béance anale, puis son foutre que je laisse ressortir plusieurs fois, parce qu'il me masturbe l'anus avec son gland.
"Hummmm ! Ca c'est bon ! Je t'en ai mis une bonne dose ! T'es pleine de jus, ma p'tite chienne !".
Antoine le black, le presse de se pousser, il m'attrape et me colle au flan du canapé.
Il me remplit la chatte d'une traite, puis m'encule en me claquant les fesses.
Mon gland frotte inlassablement contre le flan du canapé, au rythme de ses assauts puissants.
Ce qui me provoque une érection, malgré moi.
Ses couilles éclaboussent ma chatte poisseuse, ça l'excite autant que moi.
Je suis sollicité par Jean-Pierre, qui se présente devant ma bouche.
Je lui dévore la verge, en bandant de plus en plus fermement, avec la verge trempée de sperme et de jus anal.
L'inévitable arrive au bout de 15 minutes, après deux orgasmes anaux dévastateurs.
J'éjacule de tout mon corps contre le cuir du canapé.
Mon anus comprime la grosse verge noire qui coulisse inlassablement en moi.
Chaque spasme d'éjection de mon sperme, fait comprimer mon sphincter sur sa bite d'ébène.
Du coup, je ressens encore plus sa longue et grosse bite qui me détruit la chatte.
Ensuite, ma verge débande et ma chatte retrouve sa béance détendue.
Dès lors, j'ai déjà atteint mon plus gros orgasme avec Antoine, en éjaculant avec sa bite dans le cul, mais j'ai le devoir de continuer à me faire enculer.
Je m'applique sur la verge de Jean-Pierre, il doit rester ferme, pour m'enculer lui aussi.
Enfin, Antoine s'active comme un forcené et se met à râler son plaisir.
Il m'attrape aux épaules et se déchaine jusqu'à l'éjaculation.
Je suis encore pris par mon plaisir anal, je le vis en m'enfonçant la grosse bite de Jean-Pierre dans la gorge.
Je pousse un très long râle de jouissance étouffée.
Antoine a tout le loisir de se vider, mon corps et ma chatte ne peuvent pas lui échapper.
Il m'assène ses derniers enfoncements, puis prend son temps en frottant son gros gland noir entre mes fesses remplies de foutre.
"Hummmm ! J'adore quand ça glisse tout seul ! T'as une bonne chatte, Pascal ! Orghhhhh ! Putain ! Ca rentre comme dans du beurre ! C'est trop bon !".
Je me dégage de la bite de Jean-Pierre.
"Arghhhhhhhhhh ! Orhhhhh ! Putain, elle est bonne aussi ta bite ! Oufffffffffff ! J'aime trop me faire enculer ! Putain, ce que j'aime ça !".
Quelques minutes plus tard, Jean-Pierre m'invite à m'empaler sur lui, en faisant face aux autres.
On leur offre le spectacle de notre copulation vicieuse.
Je me sens fier de moi en voyant toutes leurs verges pendantes, en semi-érection, et encore juteuses de sperme sur le méat.
Mes cuisses sont grandement écartées, pour laisser voir que Jean-Pierre m'enfonce entièrement sa très longue verge épaisse.
Malgré ce qu'on pourrait penser, c'est lui qui a la plus grosse verge, pas le black.
"Alors, ma p'tite chatte, ils te plaisent mes potes ?".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiii ! Merci Jean-Pierre ! J'ai trop bien joui ! Arhhhhhhhhhhh...".
"Ne me remercies pas encore, on en a pas fini, tu sais que je suis un gros pervers !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Oui, je saaaaaaaais ! Mmmuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhh !".
Je me pâme encore de plaisir, alors qu'il me secoue les couilles et ma petite bite débandée, en m'enculant à fond.
Un filet d'urine s'échappe de mon gland.
Il sent que je ruisselle entre ses jambes.
"Ouais ! J'adore ! Tu vas pisser encore pour moi, mon chéri ! Lâches toi !".
L'alcool annule toujours mes scrupules, je me laisse aller devant les autres.
"Arhhhhhhhhh, c'est bon comme tu m'encules ! Arghhhhhhhhh ! Je me vide ! Jean-Pierre ! Arggggggggggggg !"...".
Des bruits de claquements humides s'ajoute à ses enfoncements, au fur et à mesure que je vide ma vessie sur lui.
"Putain ! Chaton, j'adore te faire jouir comme ça, tu le sais ! Ca m'a manqué !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! C'est bonnnnnnnnnnnnnnnn ! Urhhhhhhhhhhhgggggggggggg ! je veux que tu jouisses ! Viennnnns ! Arhhhhhhh ...".
Il ne tarde pas à craquer, et se déverse entièrement dans ma chatte.
Mon corps s'écroule sur le sien, pendant qu'il bouge encore longuement en moi.
"Tu me manques mon chéri, reviens me voir, j'aime te baiser, tu le sais ! Tu t'amuses pas avec moi ?".
"Orhhh ! Si, je suis désolé, laisses moi y réfléchir ! On en reparlera plus tard ! Orhhhhh ! C'est bon ! Hummmmm ! Tu me remplis tellement bien...".
Il me soulève et se dresse au dessus de moi.
"Mets toi à genoux ! C'est le moment de payer tout ce que t'as reçu ! On va se faire plaisir".
Je m'exécute et me tiens devant sa verge encore droite.
"T'as aimé me pisser dessus pendant que je me vidais les couilles ?".
"Oui, mais c'est toi qui m'a provoqué ça !".
"Oui, mais c'est mon tour maintenant !".
Aussitôt après, il m'arrose la face de son urine chaude, me laissant à peine le temps de clore mes lèvres, puis il comprime sa verge.
Ca ne choque personne, puisque Roger s'approche et le remplace, sa bite est à demi dure en m'arrosant.
"Emmenez le dans la salle de bain, on va lui faire une douche dorée !".
Je suis placé dans le bac de douche, puis Jean-Pierre m'empale en se plaçant accroupi derrière moi.
"Allez y, dès que vous pouvez ! Moi je me vide dans sa chatte !".
Roger me vise le visage avec son jet, alors que je sens mes intestins se remplir de la pisse brulante de Jean-Pierre.
"Putain, ce que j'aime faire ça à un mec ! Ca te plait, Mon Chaton ?".
Je ne peux pas ouvrir la bouche, sinon, je risque d'avaler l'urine de Robert.
Puis, c'est un déferlement continuel de 3 autres sur tout mon corps.
Tahar se retient, en masturbant sa verge.
Dès que Jean-Pierre retire sa queue, je me vide en plusieurs jets.
Je vois le mélange des spermes et d'urine, disparaitre dans la bonde.
Mon ex amant, vient de me faire un lavement à l'urine, je crois que j'ai aimé ça.
Tahar m'empale à son tour, alors qu'Antoine m'enfonce sa bite dans la gorge.
"Pas ça ! Non ! Mmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmm...".
Il me bloque la bouche close sur sa bite, ça va pas me plaire, mais j'y peux rien.
"Avales ! Petite chienne ! On t'a fait plaisir ! A toi maintenant !".
Le liquide chaud s'insinue autant hors de ma bouche, que dans mon gosier.
Je ne peux empêcher des gorgées salées d'investir mon estomac, pendant que Tahar me remplit la chatte d'urine.
Antoine sort sa bite noire, et m'arrose le front pour se terminer, puis se fait laver la verge en fellation.
Je préfère ce moment.
Ensuite, je reste seul avec Tahar qui me garde fermement enfoncé sur sa bite.
Il m'encule lentement en gémissant de plaisir urinaire.
"Orghhhh ! C'est trop bon de pisser dans une chatte ! Ca te plait salope ?".
"Orhhh ! Je ...Je crois que oui ! Orghhh ! Encules-moi un peu, s'il te plait ! Je suis excité !".
Il s'active comme un fou.
"Comme ça ? C'est ça que tu veux ?".
"Argggggggggggghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiii !".
Le liquide s'échappe à chaque enfoncement, jusqu'à mon dernier orgasme anal.
Tahar sort d'un coup, sa vessie est complètement vidée.
Je joui encore du cul, pris de spasmes, en rejetant sa pisse chaude.
Je met un moment à me remettre, assis dans le bac, pendant que Tahar se rince la verge dans le lavabo.
Une fois seul, je me relèverai, afin de me laver entièrement.
Je retrouve les autres, Jean-Pierre va se laver également.
Tout le monde l'imite ensuite.
Le sol du salon à été nettoyé.
Antoine m'invite à me coller contre lui, pour récupérer.
Cette expérience de douche dorée gâche un peu ma soirée, je ne m'y attendais pas, même si cela ne m'étonne pas de Jean-Pierre.
J'apprends qu'ils la pratiquent tous de temps en temps.
"C'est trop bon ! Il y a rien d'anormal pour nous ! Toi, tu pisses quand on t'encule, c'est pas différent ! C'est déjà de l'urophilie !".
Tout ça me laisse perplexe, d'autant que ce n'est pas la première fois que je subis cette pratique.
Je crois que je commence à m'y faire, avec un certain plaisir, sauf que j'aime pas avaler.
Jean-Pierre nous rappelle qu'il est tard, plus de vingt heures, et qu'il a faim.
Il nous propose de diner, sauf si certains veulent partir.
"Pas toi Chaton ! Tu restes ! J'ai envie que tu passes la nuit avec moi ! Pour une fois que je t'ai !".
Quatre sont restés, on s'est un peu amusé, en doubles anales, puis j'ai profité des bras de Jean-Pierre pour la nuit
On avait déjà bien joui, donc pas de baise avant de dormir.
Mais en pleine nuit, probablement vers 6 h, j'ai senti sa grosse verge qui s'enfonçait dans ma chatte.
Le plaisir anal m'a réveillé, il était profondément planté en moi.
Ses mains me gardaient fermement contre son ventre, pendant qu'il me possédait.
"Mmmmmmm ! Mmmmmmmmmm ! Orhhhh ! Qu'est-ce que... Orghh ! Jean-Pierre ! C'est toi ? Arghhhhhhh ! Salaud !...".
"Oui, c'est moi, c'est rentré tout seul ! Ta chatte est encore toute trempée de foutre ! Je t'adore, ma p'tite salope !".
Il me provoque des flatulences anales en m'enculant sur le coté.
"Tu veux que je m'arrête ?".
"Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Non ! Au point où tu en es, surtout pas ! Encore ! Ca monte ! Continues ! C'est bon ! Je... Je vais bientôt jouir ! Arhhhhhhhhhhh...".
Il a éjaculé de tout son être dans ma chatte, très longtemps après.
En me tournant sur le ventre, pour me pilonner le cul.
Après sa jouissance, il est sorti de ma chatte spermée pour s'endormir aussitôt.
J'ai sombré moi aussi, sans changer de position, après quelques rejets anaux incontrôlables.
J'ai retrouvé mon appart le lendemain soir, après une journée sympa avec lui.
On a pris un petit déjeuner énorme, puis il m'a possédé plus sensuellement.
On a pris un repas vers 14 h, ensuite à force de persuasion, il est parvenu à m'emmener dans son donjon pour une séance bondage, à laquelle se sont vicieusement joints Roger et Tahar.
Mes besoins homos m'ont repris tout naturellement.
Ce Week-end m'a appris que je ne pouvais décemment pas me contenter de la soumission du mari trompé.
Me faire dominer par des hommes plus âgés est bien plus puissant, parce que plus réel !
J'ai remis de la distance entre Jean-Pierre et moi, il me connait mieux que moi-même, et retire de moi plus que je ne le voudrais.
C'est lui qui a raison, je jouis toujours intensément avec lui et ses amis, mais j'ai mes scrupules d'hétéro qui m'empêchent de tomber dans cette autodestruction homosexuelle.
Par contre, quand j'ai personne à ma portée pour jouir convenablement, je lui rend visite.
C'est jamais décevant pour moi, même si c'est frustrant pour lui, parce qu'il me veut plus souvent !
J'ai donc encore participé à d'autres "parties" débridées entre hommes, grâce à lui, avec une rencontre étonnante, mais c'est une autre histoire.
Quand j'ai retrouvé ma femme, je lui ai révélé que j'avais été baisé par un homme pendant le Week-end, et que cela ne m'était plus arrivé depuis longtemps.
Je lui cache un peu la vérité, elle est trop crue.
"J'ai retrouvé des sensations que j'avais oublié !"
Sa réaction me confirme qu'elle ne s'était pas rendue compte de cette abstinence, elle ajoute:
"Donc, ça te déranges pas si je vois Dimitri et son copain ?".
"Non, au contraire !".
On a fait l'amour le soir même, comme deux amoureux passionnés.
Deux jours plus tard, elle a reçu Dimitri et son copain à la maison, avec en plus un troisième qui s'est invité.
Plus on est de fous, comme on dit.
Je ne suis pas pressé de rentrer, personne ne m'attend. En effet, ma femme s'est absentée, elle est dans sa famille pour le Week-End.
Je me sens bien dans ma peau, à cette époque, même un peu fier de moi, j'ai plus baisé avec un homme depuis plusieurs mois, voire une année.
Le libertinage de ma femme m'apporte assez de soumission intérieure, sans m'en rendre compte, j'ai pris gout à ce sentiment de mari trompé soumis.
Je précise qu'elle vit à fond ses désirs libertins, et ses amants en profitent souvent.
Elle a compris depuis longtemps qu'elle a besoin de ces sollicitations continuelles.
Si un homme ne la relance pas assez, c'est qu'il n'aime pas assez leurs jeux sexuels.
Elle arrête leur relation très rapidement, au profit d'un homme à plus forte libido.
Elle est encore dans sa période de découverte des possibilités de son corps.
Elle accepte tout ce qu'on lui propose, RDV fellation, duo, trio, gang bang, ce qui importe, c'est qu'elle soit la seule fille.
Je suis tellement habitué que je ne lui pose plus de questions sur ses retards.
Quand elle arrive enfin en me serrant dans ses bras, pour me dire qu'elle m'aime comme une folle, je comprends que c'est pour me remercier de cette entière liberté.
Et donc, qu'elle a fait une rencontre débridée très, très sexe !
Elle est tellement occupée par ses plaisirs, qu'elle n'a pas remarqué que j'ai cessé mes relations homosexuelles.
Au point qu'elle n'avait pas envie d'aller voir sa mère !
"Ca me fait chier ! J'avais la possibilité de voir Dimitri et un copain ! J'aurais préféré !".
"J'imagines ! Désolé pour toi ! Moi aussi, j'aurais préféré !".
"Hummm ! Merci mon amour ! Tu l'aimes ta p'tite salope ?".
"Je t'adore !".
Donc, c'est avec ces pensées que j'attends mon arrêt de bus, comblé par notre vie hors du commun.
Je descend de l'autocar et marche sans me presser vers notre appartement.
Après 250 m environ, je sens une main sur mon épaule.
On est en plein dans la zone piétonne, au milieu des gens qui passent.
"Coucou, mon chaton !".
Je me retourne, et reconnais Jean Pierre, un ex amant sexagénaire et très pervers.
Il n'est pas seul, un autre homme qui ne m'est pas inconnu, l'accompagne.
Pour l'anecdote, plus d'un an auparavant, cet homme m'a abordé un après-midi, et m'a proposé de me baiser, en ajoutant à voix basse:
"Moi je te connais, je sais que t'aime te faire défoncer ! Viens chez moi, tu vas pas le regretter".
J'ai longuement refusé, il a insisté.
"Tu veux que je parle plus fort ? Qu'on sache que t'es une salope ?".
"Non, chuttt ! C'est bon ! Arrêtes, fais surtout pas ça !".
Il m'a imposé de le suivre chez lui, et m'a copieusement baisé avec une endurance inhabituelle, j'ai pas regretté mon non-choix d'accepter sa proposition.
Il m'a cassé le cul comme un bourrin, avec une domination extrême qui m'a rempli de plaisir cérébral.
Je m'étonne donc, de les voir ensemble, et je dis à Jean-Pierre que j'aime pas qu'il m'appelle "Chaton" au dehors:
"Ne m'appelles pas comme ça en public ! S'il te plait !".
"Excuses-moi ! Je t'aime trop ! Tu le sais ! Pourquoi tu viens plus me voir ? Je te présente mon ami Robert !".
"Euh... On se connait !".
"Robert ?".
"Oui, c'est vrai ! Je l'ai reconnu dans la rue, et je l'ai emmené chez moi !".
"Ah ! Ok, j'ai compris ! C'est vrai que toi, tu l'as connu aux soirées !".
Je comprend tout moi aussi ! C'est comme ça qu'il m'a rencontré, il a participé aux partouzes masquées homos, dont j'étais la salope sans masque, qui devait contenter tous les hommes présents.
Il a surement profité également de cette après-midi "bondage" dans le donjon de Jean-Pierre, ou j'étais attaché 6 heures durant, en attente de nombreuses saillies interminables.
Plus de vingt-cinq hommes masqués m'ont souillé, ce jour là ! Donc je m'attend à tout avec Jean-Pierre et ses "amis" si spéciaux.
"Bon, mon chéri, tu fais quoi là ?".
"Je rentre chez moi".
"Ok ! Ta femme t'attends, je suppose !".
"Non, je suis seul jusqu'à Dimanche soir !".
Ca m'a échappé, je regrette déjà d'avoir révélé ce détail.
"Viens boire un apéro avec nous ! Ca m'ferait plaisir !".
"Euh, ça va dégénérer, je sais pas !".
"Allez, on pense pas qu'à ça, non plus ! Allez ! En tout bien, tout honneur !".
"Bon, OK ! Pas plus d'une heure alors !".
"Promis !".
Arrivé chez Jean-Pierre, il me sert un verre d'alcool, ils m'accompagnent avec une bière et un vin blanc.
L'ambiance reste détendue, et cool, on parle art et peinture, sur une musique jazzy.
J'accepte un deuxième verre, qui va me détendre beaucoup plus.
Puis un troisième, alors que je deviens le sujet de discussion.
La conversation bifurque sur mes performances sexuelles.
Les deux hommes se partagent les anecdotes à mon sujet.
Ils me remettent en mémoire tout ce que j'ai subis pendant ces soirées de soumission.
En me jetant à la figure mon plaisir de le vivre, mes réclamations continuelles de jouir, mon désir de me faire insulter, boire des flots de sperme, prendre plusieurs bites dans ma chatte, mes écoulements urinaires quand on me fistait, etc...
Lentement, sous l'effet de l'alcool, ça commence à m'exciter.
Ca fait tellement longtemps, que j'ai pas ressenti ce désir de soumission masculine.
Je ressens des nœuds dans le ventre, pourvu qu'ils ne me provoquent pas, je ne pourrai pas résister.
En plus, vu la personnalité de Jean-Pierre et ses penchants pour le bondage, ça risque d'aller trop loin pour moi !
Jean-Pierre se lève pour répondre à sa sonnerie.
"Ca, c'est surement eux ! Il est 18 h !".
"Euh, Eux? Tu attendais quelqu'un ?".
"Ben oui ! C'est vendredi, on se fait tout le temps des apéros, avec les potes ! Mais reste ! Je vais te présenter ! Ils ont pas tous eu la chance de te baiser !".
Je suis un peu troublé, mais je ne sais pas pourquoi, je laisse les événements se dérouler, je verrais bien ! De toute façon, je contrôle plus rien.
Cinq inconnus entrent, ils me font tous la bise en me tenant par la taille.
C'est sûr, ils sont tous homos !
"Oh, c'est toi Pascal ! Je comprends Jean-Pierre, maintenant ! Tu sais que t'es son point faible ?".
"Je ...Je sais pas ...".
Tout ça me trouble, j'en suis à mon quatrième verre, je perds toute inhibition, mais malgré la situation, je suis bien, je ne veux plus partir !
Je contiens un besoin de sexe, tous ces hommes murs m'excitent !
J'ai plus aucun doute, je vais encore me faire baiser, c'est sûr !
Mais je suis curieux de connaitre la suite des évènements.
Robert est debout près de moi, derrière le canapé, qui est occupé par 3 invités assis, qui parlent de "Chattes" masculines vues dans des pornos gays.
Quand elles font des rejets de sperme, des retournements en rosace, de fists, etc...
J'ai le regard pensif en imaginant les scènes, pendant que Robert ose me caresser les fesses, et me dit discrètement:
"Putain, j'ai envie de la tienne de chatte, p'tit chéri !".
"Robert ! Pas devant les autres ! Stop !".
Son désir est flagrant. Il est collé contre moi, les invités doivent comprendre que la situation progresse en leur faveur.
Jean-Pierre a tout vu, il s'approche de nous, et accompagne les mains de Robert sur mon cul.
Il me dénude les fesses en les exhibant à tous les hommes présents, pour ensuite les malaxer fermement avec son ami.
"On va pas te laisser repartir sans profiter de toi, mon chéri ! T'as pas envie de baiser ? Allez, finis ton verre".
Il me force à le boire d'un trait, puis le pose sur son meuble.
Ils me collent les mains, sur leurs verges déjà bandées.
J'ai un frisson d'excitation qui me saisit tout le corps, je lâche:
"Orhhhhh ! salauds ! Vous m'avez eu ! Oui, j'en ai envie ! Mais vous êtes sept ! Ca fait longtemps que...".
"Et alors, ça te déranges pas d'habitude ! Allez laisses-toi faire, on va bien s'amuser ! On veut ta chatte !".
Un troisième homme vient à moi, avec une magnifique verge, qu'il a déjà déballé.
Elle est dure et a l'air de me regarder droit dans les yeux, son gland est reluisant et gonflé, en attente de ma réaction.
J'hésite un court instant, puis je me pose sur mes genoux, en ouvrant mes lèvres.
J'ai un soupir de bonheur buccal en la recouvrant de ma bouche.
"Mmmmmmmmmmmmmmmhhhhhhhhhhhhhhhh ! Mmmmmmmmmmmmmmmmm !".
Tout me remonte d'un coup, ce bonheur si intense d'avoir en bouche, cette chose dure et douce, aux formes idéales pour mon palais, cette chaleur et ce gout si particulier.
Cette connexion si excitante, entre mes mouvements buccaux et les gémissements de l'homme.
"Voilà ! C'est bien ! Tu vois que c'est pas compliqué ! On va s'occuper de toi, Chaton ! Déshabillez le !".
Je me laisse dénuder sans quitter la grosse verge de mes lèvres, comment, j'ai pu me passer de ce plaisir ?
C'est déjà trop bon de sucer une grosse bite, alors plusieurs ! Je vais prendre mon pied !
Je glisse lentement sur toute sa longueur, tout en branlant, les deux autres verges que j'ai entre les doigts.
Celles de Robert et Jean-Pierre, en l'occurrence.
Un autre invité vient de faire sucer, une verge aussi dure que l'autre, mais noire comme l'ébène.
Je m'amuse à l'insérer dans ma bouche avec celle du précédent.
Puis, je répond aux sollicitations buccales de tous les invités, dont Tahar, un magrébin épais et dur, puis, Jacky, Fred, Antoine le black et Jean-Marie, le premier que j'ai eu en bouche.
Dans la précipitation, je ne me souviens plus à quel moment, Robert est passé sous mes cuisses.
Mais c'est quand il m'a enduit l'anus de gel, et que j'ai ressenti sa pénétration, que j'ai réalisé que je me faisais enculer.
Putain ! Ca faisait longtemps !
Je cesse toute activité buccale, pour me laisser gagner par le plaisir d'une pénétration anale.
"Arghhhhhhhhhhhh ! Stop ! Laissez moi apprécier ce moment ! Orhhhhhhh ! Robert ! Putain, c'est trop bon ! Elle est bonne ta queue ! Vas-y ! Encules-moi ! Putainnnnnn ! Ca m'a trop manqué ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !...".
On me rappelle à mes devoirs buccaux, je dois sucer des bites !
Emporté par le bonheur de me faire enculer, je me jette sur tout ce qui ce présente devant ma bouche, en me secouant sur le ventre de Robert.
En quelques minutes, mon anus devient béant et poisseux, Jean-Pierre y ajoute deux doigts, en plus de la queue de Robert.
"Hummm ! T'es prête ma chérie ! T'en veux une autre ?".
L'effet de l'alcool et l'excitation me font dire:
"Oui ! J'en veux d'autres, enculez-moi tous !".
Fred ne se fait pas prier, il m'écartèle en rejoignant Robert dans mon cul.
"Mon dieu, cette chatte ! Putain ! Jean-Pierre ! J'adore ton petit chaton !".
Je me colle aux lèvres de Robert pour étouffer mes râles.
Les deux verges bougent en mouvement alternatif de pistons de moteur, dans ma chatte anale, c'est trop bon ! Ils sont doués ces homos !
On entre dans un balai incessant de changement de verges.
Je dois me soulever plusieurs fois, pour grimper sur un autre invité, et me faire doublement remplir par un autre.
J'ai enchainé les sommets de plaisir, je regrette plus d'être venu.
Elle est loin mon hétérosexualité, je me fais éclater la chatte par 7 homos bien montés, en pédale parfaite.
Mais je m'en moque, je prend mon pied comme rarement, je suis le centre d'intérêt de tous ces hommes, et ça me plait.
Même mes réticences, et mes scrupules de baiser avec des homos sont enterrés, ils me font trop bien jouir !
A présent, je suis planté sur Antoine le black, qui me pilonne par dessous en me soulevant par les fesses.
Mes cuisses sont largement écartées, posées sur mes pieds et le corps au dessus de lui, me tenant sur mes mains également.
Mes couilles sont ballotées au rythme de ses enfoncements profonds.
Je jouis du cul, en coulissant sur les verges qui me comblent la gorge, l'une après l'autre.
Les dialogues sont crus, je me retrouve dans la peau d'une femelle en demande de bites, que tout ce petit monde doit honorer copieusement.
On m'ordonne de me soumettre à chacun de leurs désirs, j'accepte tout !
Même la plus petite des humiliations me remplit de bonheur cérébral.
Les coups de queues sur mon cul, mes couilles, ma face, les gorges profondes, les insultes, etc...
Ma petite bite est malmenée par Jean-Marie, attrapée à pleine main, avec mes testicules, pendant qu'il m'encule profondément.
Je gémis fortement, allongé avec la tête à l'envers, et la gorge ouverte, baisée par Tahar, et sa grosse bite épaisse.
Jean-Marie me lâche les couilles pour sortir sa longue bite, et se la secoue sur mon ventre.
Il m'arrose de la queue au torse, un court instant, puis revient dans ma chatte pour s'y terminer en criant son bonheur.
Je me redresse le visage, j'ai besoin de voir le sien pendant qu'il jouit en moi.
Sa grosse verge glisse encore mieux, grâce au sperme.
J'aime ses grimaces de plaisir, puis son sourire heureux, quand il croise mon regard.
"Orhhhhh ! Putain, Mec ! C'était bon ! J'adore ta chatte ! On remet ça quand tu veux !".
(Ce sera le cas, par hasard, des mois plus tard).
Je lui souris, puis penche ma tête à nouveau pour reprendre ma gorge profonde.
Je râle de nouveau en me faisant encore empaler la chatte.
Je comprendrais dans quelques instants, que c'est Jean-Pierre qui se branle dans mon trou poisseux et spermé, à présent.
Il vient peu après dans ma bouche, pour se faire laver la bite, alors qu'Antoine le remplace dans ma chatte.
Puis, c'est Robert, Tahar, et les autres, j'aime ces petits jeux pervers de changements de sexe, dans ma bouche et ma chatte.
On me relève rapidement sur la demande de Robert, qui se secoue la verge devant ma face.
Tahar en profite pour s'accroupir et se placer dans mon dos, et mon anus en me tenant par les hanches.
Il me penche la tête en arrière et me dit:
"Ouvres bien la bouche ! Salope ! Ils vont se vider les couilles ! T'aimes ça ?".
"Mmmmm ! MMouiiii !".
Robert approche son gros gland gonflé de sang, Fred s'approche également, alors que Jacky patiente derrière eux.
Un gros afflux gluant et chaud me remplit le fond de la gorge, suivi d'un autre aussi abondant.
Je maintiens ma gorge ouverte, en vase improvisé, et constate que Fred a posé aussi son gland au dessus de ma bouche béante.
Roger pousse des râles excitants à entendre, rejoint par Fred, les spermes déferlent dans ma cavité buccale.
Je manifeste un besoin de respirer, le plaisir anal que me provoque Tahar ne m'aide pas.
Ce salaud s'excite de cette scène de remplissage au foutre, et se déchaine dans ma chatte.
"Pas maintenant, attends qu'ils aient fini ! Salope !".
Je parviens à respirer un peu par le nez, un peu de foutre coule dans mon estomac, puis Jacky vient ajouter sa grosse éjaculation également.
Le sperme est au bord du débordement, à la commissure de mes lèvres.
Jacky comprend que c'est trop, il se comprime la bite et me demande:
"Avales déjà ca ! Salope !".
J'ai jamais avalé autant de sperme en une seule gorgée, la seconde est moins fournie.
En ouvrant de nouveau mes lèvres, je constate que ma bouche est poisseuse, ça m'excite !
Jacky revient au dessus de ma bouche, et m'attrape par la nuque pour m'enfoncer sa grosse bite.
Il râle en relâchant la pression manuelle sur sa queue.
Son foutre me comble à nouveau le palais, pendant que Tahar se secoue dans mes fesses.
Mon visage est déformé par le plaisir.
Jacky recule lentement, avec la verge vidée, Tahar me cambre devant lui.
Il se déchaine en m'insultant.
"Putain, j'aime trop baiser des vide-couilles comme toi ! Tu m'excites ! Salope !".
Je me colle le visage au sol, en lui offrant ma chatte éclatée.
Je devine à son rythme qu'il va me donner sa semence.
Parfois, je me cale sur sa défonce anale pour l'accompagner, il me traite de pute, et me demande sans arrêt, si j'en suis une.
"Dis le que t'es une pute ! Je t'entends pas ! Dis le que t'aimes les grosses bites dans ta chatte !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Je suis une pute ! J'aime les grosses bites ! Le foutre !".
"Où ça ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Dans ma chatte ! Ma bouche ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !...".
"Tu le veux mon foutre ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhh ! C'est boooonnnnnnnnnn !".
"Arghhhhhhhhhh ! Tiens, salope ! Arghhhhhhhhhh ! Putain, je me vide les couilles ! Arghhhhhhhhhggggggggggggg !".
Je joui du cul depuis un moment déjà, je m'envoie de plus belle sur sa bite, pour lui permettre un déversement plus complet.
Je sens son gros gland qui se secoue au fond de mes intestins, lâchant sa purée chaude et gluante.
Je me pâme de plaisir, ça fait tellement longtemps que j'ai pas ressenti ce bonheur, si vital pour moi.
Je profite de chaque moment de ce bonheur, pendant que Tahar râle de plaisir aussi.
Je m'en imprègne, avant qu'un autre prenne sa place.
Mon visage est sans équivoque, j'ai bien joui.
"Orhhh ! Putain, c'était le pied total ! Ca t'as plu salope ?".
"Mmmmmm ! Orhhhh ! Oui, et c'est bon, encore ! Orhhh ! Je te sens bien au fond de ma chatte !".
Il recule, et admire ma béance anale, puis son foutre que je laisse ressortir plusieurs fois, parce qu'il me masturbe l'anus avec son gland.
"Hummmm ! Ca c'est bon ! Je t'en ai mis une bonne dose ! T'es pleine de jus, ma p'tite chienne !".
Antoine le black, le presse de se pousser, il m'attrape et me colle au flan du canapé.
Il me remplit la chatte d'une traite, puis m'encule en me claquant les fesses.
Mon gland frotte inlassablement contre le flan du canapé, au rythme de ses assauts puissants.
Ce qui me provoque une érection, malgré moi.
Ses couilles éclaboussent ma chatte poisseuse, ça l'excite autant que moi.
Je suis sollicité par Jean-Pierre, qui se présente devant ma bouche.
Je lui dévore la verge, en bandant de plus en plus fermement, avec la verge trempée de sperme et de jus anal.
L'inévitable arrive au bout de 15 minutes, après deux orgasmes anaux dévastateurs.
J'éjacule de tout mon corps contre le cuir du canapé.
Mon anus comprime la grosse verge noire qui coulisse inlassablement en moi.
Chaque spasme d'éjection de mon sperme, fait comprimer mon sphincter sur sa bite d'ébène.
Du coup, je ressens encore plus sa longue et grosse bite qui me détruit la chatte.
Ensuite, ma verge débande et ma chatte retrouve sa béance détendue.
Dès lors, j'ai déjà atteint mon plus gros orgasme avec Antoine, en éjaculant avec sa bite dans le cul, mais j'ai le devoir de continuer à me faire enculer.
Je m'applique sur la verge de Jean-Pierre, il doit rester ferme, pour m'enculer lui aussi.
Enfin, Antoine s'active comme un forcené et se met à râler son plaisir.
Il m'attrape aux épaules et se déchaine jusqu'à l'éjaculation.
Je suis encore pris par mon plaisir anal, je le vis en m'enfonçant la grosse bite de Jean-Pierre dans la gorge.
Je pousse un très long râle de jouissance étouffée.
Antoine a tout le loisir de se vider, mon corps et ma chatte ne peuvent pas lui échapper.
Il m'assène ses derniers enfoncements, puis prend son temps en frottant son gros gland noir entre mes fesses remplies de foutre.
"Hummmm ! J'adore quand ça glisse tout seul ! T'as une bonne chatte, Pascal ! Orghhhhh ! Putain ! Ca rentre comme dans du beurre ! C'est trop bon !".
Je me dégage de la bite de Jean-Pierre.
"Arghhhhhhhhhh ! Orhhhhh ! Putain, elle est bonne aussi ta bite ! Oufffffffffff ! J'aime trop me faire enculer ! Putain, ce que j'aime ça !".
Quelques minutes plus tard, Jean-Pierre m'invite à m'empaler sur lui, en faisant face aux autres.
On leur offre le spectacle de notre copulation vicieuse.
Je me sens fier de moi en voyant toutes leurs verges pendantes, en semi-érection, et encore juteuses de sperme sur le méat.
Mes cuisses sont grandement écartées, pour laisser voir que Jean-Pierre m'enfonce entièrement sa très longue verge épaisse.
Malgré ce qu'on pourrait penser, c'est lui qui a la plus grosse verge, pas le black.
"Alors, ma p'tite chatte, ils te plaisent mes potes ?".
"Arghhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiii ! Merci Jean-Pierre ! J'ai trop bien joui ! Arhhhhhhhhhhh...".
"Ne me remercies pas encore, on en a pas fini, tu sais que je suis un gros pervers !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Oui, je saaaaaaaais ! Mmmuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhh !".
Je me pâme encore de plaisir, alors qu'il me secoue les couilles et ma petite bite débandée, en m'enculant à fond.
Un filet d'urine s'échappe de mon gland.
Il sent que je ruisselle entre ses jambes.
"Ouais ! J'adore ! Tu vas pisser encore pour moi, mon chéri ! Lâches toi !".
L'alcool annule toujours mes scrupules, je me laisse aller devant les autres.
"Arhhhhhhhhh, c'est bon comme tu m'encules ! Arghhhhhhhhh ! Je me vide ! Jean-Pierre ! Arggggggggggggg !"...".
Des bruits de claquements humides s'ajoute à ses enfoncements, au fur et à mesure que je vide ma vessie sur lui.
"Putain ! Chaton, j'adore te faire jouir comme ça, tu le sais ! Ca m'a manqué !".
"Arghhhhhhhhhhhh ! C'est bonnnnnnnnnnnnnnnn ! Urhhhhhhhhhhhgggggggggggg ! je veux que tu jouisses ! Viennnnns ! Arhhhhhhh ...".
Il ne tarde pas à craquer, et se déverse entièrement dans ma chatte.
Mon corps s'écroule sur le sien, pendant qu'il bouge encore longuement en moi.
"Tu me manques mon chéri, reviens me voir, j'aime te baiser, tu le sais ! Tu t'amuses pas avec moi ?".
"Orhhh ! Si, je suis désolé, laisses moi y réfléchir ! On en reparlera plus tard ! Orhhhhh ! C'est bon ! Hummmmm ! Tu me remplis tellement bien...".
Il me soulève et se dresse au dessus de moi.
"Mets toi à genoux ! C'est le moment de payer tout ce que t'as reçu ! On va se faire plaisir".
Je m'exécute et me tiens devant sa verge encore droite.
"T'as aimé me pisser dessus pendant que je me vidais les couilles ?".
"Oui, mais c'est toi qui m'a provoqué ça !".
"Oui, mais c'est mon tour maintenant !".
Aussitôt après, il m'arrose la face de son urine chaude, me laissant à peine le temps de clore mes lèvres, puis il comprime sa verge.
Ca ne choque personne, puisque Roger s'approche et le remplace, sa bite est à demi dure en m'arrosant.
"Emmenez le dans la salle de bain, on va lui faire une douche dorée !".
Je suis placé dans le bac de douche, puis Jean-Pierre m'empale en se plaçant accroupi derrière moi.
"Allez y, dès que vous pouvez ! Moi je me vide dans sa chatte !".
Roger me vise le visage avec son jet, alors que je sens mes intestins se remplir de la pisse brulante de Jean-Pierre.
"Putain, ce que j'aime faire ça à un mec ! Ca te plait, Mon Chaton ?".
Je ne peux pas ouvrir la bouche, sinon, je risque d'avaler l'urine de Robert.
Puis, c'est un déferlement continuel de 3 autres sur tout mon corps.
Tahar se retient, en masturbant sa verge.
Dès que Jean-Pierre retire sa queue, je me vide en plusieurs jets.
Je vois le mélange des spermes et d'urine, disparaitre dans la bonde.
Mon ex amant, vient de me faire un lavement à l'urine, je crois que j'ai aimé ça.
Tahar m'empale à son tour, alors qu'Antoine m'enfonce sa bite dans la gorge.
"Pas ça ! Non ! Mmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmm...".
Il me bloque la bouche close sur sa bite, ça va pas me plaire, mais j'y peux rien.
"Avales ! Petite chienne ! On t'a fait plaisir ! A toi maintenant !".
Le liquide chaud s'insinue autant hors de ma bouche, que dans mon gosier.
Je ne peux empêcher des gorgées salées d'investir mon estomac, pendant que Tahar me remplit la chatte d'urine.
Antoine sort sa bite noire, et m'arrose le front pour se terminer, puis se fait laver la verge en fellation.
Je préfère ce moment.
Ensuite, je reste seul avec Tahar qui me garde fermement enfoncé sur sa bite.
Il m'encule lentement en gémissant de plaisir urinaire.
"Orghhhh ! C'est trop bon de pisser dans une chatte ! Ca te plait salope ?".
"Orhhh ! Je ...Je crois que oui ! Orghhh ! Encules-moi un peu, s'il te plait ! Je suis excité !".
Il s'active comme un fou.
"Comme ça ? C'est ça que tu veux ?".
"Argggggggggggghhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiii !".
Le liquide s'échappe à chaque enfoncement, jusqu'à mon dernier orgasme anal.
Tahar sort d'un coup, sa vessie est complètement vidée.
Je joui encore du cul, pris de spasmes, en rejetant sa pisse chaude.
Je met un moment à me remettre, assis dans le bac, pendant que Tahar se rince la verge dans le lavabo.
Une fois seul, je me relèverai, afin de me laver entièrement.
Je retrouve les autres, Jean-Pierre va se laver également.
Tout le monde l'imite ensuite.
Le sol du salon à été nettoyé.
Antoine m'invite à me coller contre lui, pour récupérer.
Cette expérience de douche dorée gâche un peu ma soirée, je ne m'y attendais pas, même si cela ne m'étonne pas de Jean-Pierre.
J'apprends qu'ils la pratiquent tous de temps en temps.
"C'est trop bon ! Il y a rien d'anormal pour nous ! Toi, tu pisses quand on t'encule, c'est pas différent ! C'est déjà de l'urophilie !".
Tout ça me laisse perplexe, d'autant que ce n'est pas la première fois que je subis cette pratique.
Je crois que je commence à m'y faire, avec un certain plaisir, sauf que j'aime pas avaler.
Jean-Pierre nous rappelle qu'il est tard, plus de vingt heures, et qu'il a faim.
Il nous propose de diner, sauf si certains veulent partir.
"Pas toi Chaton ! Tu restes ! J'ai envie que tu passes la nuit avec moi ! Pour une fois que je t'ai !".
Quatre sont restés, on s'est un peu amusé, en doubles anales, puis j'ai profité des bras de Jean-Pierre pour la nuit
On avait déjà bien joui, donc pas de baise avant de dormir.
Mais en pleine nuit, probablement vers 6 h, j'ai senti sa grosse verge qui s'enfonçait dans ma chatte.
Le plaisir anal m'a réveillé, il était profondément planté en moi.
Ses mains me gardaient fermement contre son ventre, pendant qu'il me possédait.
"Mmmmmmm ! Mmmmmmmmmm ! Orhhhh ! Qu'est-ce que... Orghh ! Jean-Pierre ! C'est toi ? Arghhhhhhh ! Salaud !...".
"Oui, c'est moi, c'est rentré tout seul ! Ta chatte est encore toute trempée de foutre ! Je t'adore, ma p'tite salope !".
Il me provoque des flatulences anales en m'enculant sur le coté.
"Tu veux que je m'arrête ?".
"Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhh ! Non ! Au point où tu en es, surtout pas ! Encore ! Ca monte ! Continues ! C'est bon ! Je... Je vais bientôt jouir ! Arhhhhhhhhhhh...".
Il a éjaculé de tout son être dans ma chatte, très longtemps après.
En me tournant sur le ventre, pour me pilonner le cul.
Après sa jouissance, il est sorti de ma chatte spermée pour s'endormir aussitôt.
J'ai sombré moi aussi, sans changer de position, après quelques rejets anaux incontrôlables.
J'ai retrouvé mon appart le lendemain soir, après une journée sympa avec lui.
On a pris un petit déjeuner énorme, puis il m'a possédé plus sensuellement.
On a pris un repas vers 14 h, ensuite à force de persuasion, il est parvenu à m'emmener dans son donjon pour une séance bondage, à laquelle se sont vicieusement joints Roger et Tahar.
Mes besoins homos m'ont repris tout naturellement.
Ce Week-end m'a appris que je ne pouvais décemment pas me contenter de la soumission du mari trompé.
Me faire dominer par des hommes plus âgés est bien plus puissant, parce que plus réel !
J'ai remis de la distance entre Jean-Pierre et moi, il me connait mieux que moi-même, et retire de moi plus que je ne le voudrais.
C'est lui qui a raison, je jouis toujours intensément avec lui et ses amis, mais j'ai mes scrupules d'hétéro qui m'empêchent de tomber dans cette autodestruction homosexuelle.
Par contre, quand j'ai personne à ma portée pour jouir convenablement, je lui rend visite.
C'est jamais décevant pour moi, même si c'est frustrant pour lui, parce qu'il me veut plus souvent !
J'ai donc encore participé à d'autres "parties" débridées entre hommes, grâce à lui, avec une rencontre étonnante, mais c'est une autre histoire.
Quand j'ai retrouvé ma femme, je lui ai révélé que j'avais été baisé par un homme pendant le Week-end, et que cela ne m'était plus arrivé depuis longtemps.
Je lui cache un peu la vérité, elle est trop crue.
"J'ai retrouvé des sensations que j'avais oublié !"
Sa réaction me confirme qu'elle ne s'était pas rendue compte de cette abstinence, elle ajoute:
"Donc, ça te déranges pas si je vois Dimitri et son copain ?".
"Non, au contraire !".
On a fait l'amour le soir même, comme deux amoureux passionnés.
Deux jours plus tard, elle a reçu Dimitri et son copain à la maison, avec en plus un troisième qui s'est invité.
Plus on est de fous, comme on dit.
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