Retour aux sources, Ernest le paysan ! 2 - histoire érotique

Relire mon histoire avec Ernest, m'a donné envie d'en reparler.

Ce paysan cinquantenaire était bougrement vicelard, mais j'aimais ça !

Il a du se masturber de nombreuses fois en repensant à mon cul et ma bouche, et il a surement emporté le secret de notre relation avec lui.
Il aurait plus de 90 ans aujourd'hui !

Je pense avoir apporté un peu de plaisir, dans cette vie si dure, qu'était la sienne !

Cela doit faire dix jours, qu'on se retrouve dans sa ferme.
Il me baise un peu partout, sur les bottes de paille, contre les enclos des vaches, qui assistent à nos ébats.

Parfois, je lui dévore la bite, alors qu'il est debout contre son tracteur.
Un jour, il m'a enculé comme une brute, en matant ses chiens qui copulaient.

Cette fois, comme d'habitude, je me lève tôt et me rend sur le chemin qui mène à sa ferme.
Je prends les précautions habituelles, pour ne pas être vu.

Je pense à ce qui m'attend, j'espère qu'il sera un peu plus sage, et ne me demandera qu'une fellation.
Toutes ces sodomies finissent par devenir gênantes, avec mes cousins et leurs amis !
Je suis sans cesse, pris de rejets d'airs incessants !

En arrivant, je le vois devant sa maison, il me fait signe de le rejoindre.
Près de lui, il me dit:

"J'vais te baiser dans ma chambre ! Ca m'changera de la grange !".
"Encore ! Bonjour ! Au fait !".
"Oh, pardon mon P'tit ! Bonjour ! Alors, t'es v'nu prendre ton p'tit coup ?".
"Ben ! On peut dire ça comme ça ! J'viens aussi pour tenir ma promesse ! Mais, t'en a pas marre de m'enculer ?".

Il m'entraine par la main, vers son lit (très ancien !) et ajoute:

"Jamais ! Mais tu vas me manger la bite ! Pour commencer ! Tiens ! Occupes toi d'elle !".

Il se tourne vers moi, sa main tient déjà sa grosse verge veinée et gonflée à bloc.
Je me prosterne devant lui, en me pénétrant la gorge.

"Hummm ! T'aimes le gros boudin, toi ! C'est bon comme tu me bouffes la queue ! Tu te régales ! Pas vrai ?".
"Mmmmm ! Mmmmmm ! Oui ! J'adore ! Mmmmm ...".

Il s'éloigne un instant, puis revient avec un appareil Polaroid.

Il s'assoit sur son lit et se laisse dévorer longuement, en me regardant faire vicieusement.
Je n'oublie pas un centimètre de sa grosse verge, ma langue s'en nourrit comme d'une glace éternelle.
Les clics vont se suivre tout au long de notre baise.

Je m'en fous, et je ressens même une satisfaction de savoir qu'il pourra ainsi se remémorer nos ébats.

Sa domination sur moi, est totale, Je sais qu'il va encore me posséder, et je vais encore assumer mon rôle de salope soumise, sans broncher.

Il me relève le visage au bout d'un long moment.

"Fous toi à poil ! Dépêches toi ! Il faut que je t'encule !".

Je m'exécute alors qu'il se branle, tout en fixant mon corps qui se dévoile devant lui.

"Hummm ! Tu me plais trop, ma p'tite salope ! Allez viens encore me sucer ! Viens me manger le saucisson !".

Je trouve cette expression un peu ridicule, mais comme j'adore sucer sa grosse verge, je ne demande pas mieux !
Il joue avec ma gorge et mon visage, il aime me traiter vulgairement avec sa bite.

Il me questionne ensuite:

"Hummm ! Racontes moi des trucs de salope, que t'as fait avec les autres !".

Sans cesser de lui dévorer la queue, je lui raconte ma première fois avec le militaire gradé, puis l'engrenage qui suivra, avec le Commandant et ses amis.

"Ben ma salope ! T'es une vraie pute ! T'as baisé avec plusieurs mecs en même temps ?".
"Mmmm ! Oui ! Mmmmmm ! Glllllrp ! Mmmmmmmmmmm !".

Il m'arrache à sa bite et vient se placer derrière moi, après avoir craché une grosse dose de salive sur mon œillet.

Je le retiens un peu avec ma main dans mon dos.
Mon anus s'ouvre déjà, et l'accueille peu à peu, en me faisant râler.

"Arghhhhhhhhhhhh ! Ernest ! Orhhhhhhh ! C'est bon ! Elle est géniale ta grosse bite !".

Il commence une longue série de va et viens incessants, tout en se dénudant.
Une fois nu, il amplifie ses assauts en m'insultant.

Je dois lui raconter mes ébats avec mes anciens amants.
Je lui parle donc des routiers, la double sodomie dans les toilettes de l'autoroute, puis mes baises en camion.

Mes gangs bangs avec les militaires, la longue saillie du commandant pendant les manœuvres, en pleine nuit.

Je m'auto simule et connait plusieurs orgasmes pendant qu'il m'encule en levrette, puis sur le ventre, sur le dos.

C'est dans cette position, que je ne peux m'empêcher d'éjaculer sous ses yeux, alors qu'il me fouille l'anus profondément avec sa bite.

J'arrive au moment pervers, ou je lui raconte ma première série de doubles anales, lors de mon dernier gang bang militaire.
Il sent que son plaisir monte, et demande de placer mon visage devant sa bite.

Tout de suite, trois longs jets s'écrasent sur ma face, de mes joues, jusqu'au front.
Puis, il s'enfonce dans ma gorge, en jouissant comme jamais.

Après deux nouveaux clics, il pose l'appareil photo et me tient le visage pour mieux coulisser entre mes lèvres et m'abreuver abondamment.

Son plaisir baisse enfin en intensité, il me parle plus sereinement.

"Oh non de dieu ! Tu m'as trop excité ! C'est vrai tout ce que tu m'as dit ?".
"Oui ! Tout est vrai ! Et j'ai pas tout dit !".
"Ben, la vache ! T'es une belle salope ! Mais tant mieux pour moi , J'me régale ! J'aimerai bien te voir sucer, pendant que te fourre la chatte!".
"Je vois pas comment, mais je ne demande pas mieux !".

"Bon, je dois retourner au boulot ! Tu vas être en retard, toi aussi !".
"Non, ça va ! Je suis assez libre, le matin ! Par contre demain, je vais m'emmerder !".
"Pourquoi ?"
"Ben, ma tante part avec les cousins, en famille, mais je préfère rester ici, et il y a pas assez de place pour moi ! De toute façon !".
"Ben, passes me voir en fin de matinée, jusqu'à l'après midi !".
"D'accord !".

Je m'essuie vite le visage avec un de ses mouchoirs en tissu, puis rentre chez ma tante.
En arrivant, j'ai l'heureux réflexe de me laver, directement les joues dans la salle de bain.

Bien m'en a pris ! J'ai vu ma face avec trois filets de sperme coincés dans les cheveux !
Après un court shampoing, je vais embrasser ma tante.

La suite est habituelle, de nombreux rejets d'air anaux pendant les premières heures, que je contiens parfois.

Vers 10 heures du matin, le lendemain, après le départ de mes cousins, je prends le chemin de la ferme.
Ernest n'est pas dans la grange, je vais donc voir chez lui.

Je vois un inconnu entrer chez mon amant.
Sa porte est encore ouverte, j'entend leur conversation:

"Salut Ness ! Pourquoi tu voulais me voir ? Ca fait un bon bout de temps, que tu viens plus au bois, au fait !".
"Salut Bert ! Ben, j'ai plus besoin en ce moment ! J'ai ce qu'il me faut !".
"Ah bon ?".
"Ouais, un beau p'tit jeune ! Bien salope ! Avec un bon p'tit cul ! J'ai envie que tu le baises avec moi ! Ca te dit ?".
"Ben, merci ! Mais, il sera d'accord ?".

J'ose alors entrer, et révèle que j'ai tout entendu:

"Pourquoi pas ! Ca fait longtemps que je l'ai plus fait !".

Il faut avouer que l'homme est à mon gout, très viril, comme Ernest.

"Ohhh ! Enchanté ! Tu t'appelles comment ?".
"Pascal et toi ?".
"Bertrand ! Alors, c'est à cause de toi que je vois plus mon pote de baise !".
"On dirait !".

"Montres à Bert comme tu est doué pour sucer une bite !".

On est surpris par le coté direct de cette proposition, mais on réagit assez vite.

Bertrand se cale contre la table de cuisine, et déballe sa verge à demi molle.
Je m'accroupi devant lui, et commence par le lécher longuement.
Puis, au fur et à mesure qu'il bande sous ma langue, je m'empale plusieurs fois sur sa verge qui durcit et s'allonge étonnamment.

"Hummm ! Tu me suces bien ! Orhhhh ! il a raison ! T'es doué ! Elle te plait ma queue ?".
"Hummmmm ! Oui ! Je suis gâté ! J'ai de la chance !".
"Alors ? T'as bien fait de venir ! Pas vrai ?". Ajoute Ernest.
"Hummm ! Ouais, et j'ai hâte de le baiser, aussi !".

Mon amant paysan fait de la place sur la table, puis s'éloigne et revient avec son appareil photo Polaroid.

"Pas le visage !". Lui demande Bertrand.
"T'inquiètes pas, c'est pas ce qui m'intéresse !".

Il immortalise ma fellation sur son pote, puis baisse son pantalon, et le mien.
Il me dévore le cul un long moment, puis me relève et commence à me pénétrer devant son ami.

Bertrand admire la grosse verge d'Ernest qui m'écartèle lentement, puis disparait peu à peu, et coulisse de plus en plus aisément, grâce à mes sécrétions anales.

Bertrand est excité d'entendre Ernest qui me baise en me parlant vulgairement.
Son ventre claque fortement à présent, je râle mon plaisir anal en m'étouffant sur la verge de Bertrand.

Bertrand qui s'impatiente !

"Laisses-le moi un peu ! Moi aussi, j'veux lui défoncer la chatte !".

Ma gorge est alors baisée par Ernest et c'est Bertrand qui m'encule.
Il imite son pote en me parlant crûment.

Mon amant fermier prend quelques photos, puis me baise la gorge plus sérieusement.
Mon corps est possédé tour à tour par l'un et l'autre, nos vêtements sont amassés au milieu de la cuisine.

J'enchaine les orgasmes, et mon anus révèle qu'il est au maximum de son plaisir, par sa béance naturelle et l'abondance de jus qu'il laisse couler.

A un moment, je suis accroupi sur Bertrand qui est assis sur le banc.
Je m'empale sur lui en m'accrochant à ses épaules.

Une main d'Ernest se pose sur ma nuque, je sens sa verge qui cherche à rejoindre celle de son copain, dans mon anus.

"Ness ! Qu'est ce que tu fais ? Tu crois que...".
"Laisses-moi faire, il m'a raconté qu'il l'a déjà fait ! On va voir si c'est vrai !".

Bertrand constate que la grosse verge de son pote, va parvenir à rejoindre la sienne.
Mon visage se crispe dans un plaisir douleur, puis je pousse un long râle plus puissant, quand il glisse en moi, jusqu'au fond !

"Oh, non de dieu ! C'que c'est serré ! C'est bon ! Ouhhh ! J'ai jamais fais ça ! C'est trop bon !".

Ernest rajoute:

"Orhhh ! La vache, moi aussi, c'est ma première fois ! C'est excitant ! Quelle chatte, tu as, ma p'tite salope !".

J'ai le souffle coupé par leur présence anale, mais je ne veux pas échanger ma place, j'aime trop ce moment.
C'est Ernest qui bouge en premier.
Les deux complices mettent du temps à s'habituer à cette pratique extrême.

Ce n'est qu'au bout de quelques minutes, qu'ils trouvent la synchronisation parfaite, et me font atteindre un summum de plaisir anal.

Bertrand ne peut retenir son plaisir, il éjacule dans mes intestins, en grognant comme un bête.
Ernest prend un malin plaisir à coulisser encore en moi, comme pour le masturber à l'intérieur de mon cul.
Je sens que Bertrand se déverse longuement, je me laisse embrasser, pendant qu'il joui pleinement son orgasme.

Ernest ralenti peu à peu ses mouvements, il me soulève, puis me déplace et revient dans mon anus pour reprendre sa défonce anale.
Il me pousse à lécher, la queue pleine de foutre de son ami.

La cuisine est emplie de bruits de claquements contre mon cul, de succion sur la verge de Bertrand, et de nos gémissements à tous les trois.

Lorsque la bite de Bert est lavée et commence à dégonfler, je me tiens sur ses cuisses en me cambrant pour mieux encaisser les violents coups de verge de mon paysan.
Je devine que sa bite est couverte du foutre de son pote.
Enfin, il me prévient de sa jouissance !
Il se fige et se vide interminablement dans mon cul.
Je me redresse et l'attire contre moi.

"Oui ! Ernest, j'aime que tu me remplisses la chatte ! c'est tellement bon !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! La vache, comment je vais me passer de toi ? Ma p'tite salope ! Arghhhhhhhhhh ! Pascal ! C'est boonnnnnnnnnn !".

Il ne cesse de bouger, pour accompagner son déversement de foutre.
Je vis mes derniers moments de plaisir anal ainsi.

"Arghhhhhhhhhh ! Ernest ! Je joui encore ! Arghhhhhhhhhh ! Putain ! Tu me baises de mieux en mieux ! Arghhhhhhhhhh ! Vous m'avez cassé le cul, tous les deux ! J'ai pris mon pied !".

Puis, il reprend ses esprits, et se retire en regardant sa bite, il attire mon visage vers elle.
Je comprends ce qu'il veut, et assume mon devoir de jeune salope mâle, en serrant les fesses.

Après cela, je suis l'objet de plaisanteries salaces et excitantes sur ma bouche et ma "chatte", cela ne me déplait pas !

Bertrand reste avec moi pendant que mon amant rattrape le temps perdu à son travail.

A cause d'un rejet anal, je dois poser ma main entre mes fesses.
Les spermes mélangés me maculent les doigts, je me rince aussitôt sous le robinet, et me fais une rapide toilette intime.

Bertrand me parle de sexe avec des hommes, pendant que je me rhabille.
Lui et moi avons une petite faim, ça creuse la baise !

On attend notre hôte pour déjeuner, puis ils me défoncent encore jusqu'à 15h30, environ.
je me suis encore retrouvé entre leurs deux corps, doublement pénétré.
Je suis rentré sur les rotules.
Ma tante s'est étonnée de me trouver endormi sur le canapé !
Malgré le plaisir, j'attends le Week End avec impatience, j'en peux plus de me faire prendre tous les jours, comme ça !